mercredi 18 février 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! J'avais décidé de ne pas vous écrire aujourd'hui, mais j'ai changé d'idée. Comme toujours je suis seul chez moi et je pense à mon rétablissement. Pendant la maladie j'avais pas de bonnes valeurs et vous en faites pas maintenant ce sont pas celle des conservateurs. Je pense au travail à tout le temps que ça m'a pris pour comprendre qu'il fallait travailler pour payer le loyer. J'aimais l'argent mais j'en avais jamais assez, je dépensais tout sans respecter mes obligations. Bon! C'est assez pour les confessions. J'écrirai pas sur les unions bein voèyons! Lentement je vieillis en trouvant que le temps passe vite, c'est pas que je m'ennuis mais j'attend la suite. Aujourd'hui il fait soleil dans le goulag occidental, je cherche pas l'exil je suis à mon domicile.Je vous parle des actualités ça semble pas se calmer en Ukraine. Me suis préparé un café, je reste fragile, je serai jamais guéris mais je fais avec... Semble qu'en France ils ont passés la loi Macron sous une espèce de numéro baillon bien à eux, les choses changent pas beaucoup ça prend du temps et encore on vois pas comment. Je pense aux Beatles à Abbey Road, ça fait longtemps que j'ai  écouté. Avez vous une idée de comment un bonhomme de cinquante huit ans pourrais réinventer sa vie. C'est à ça que je pense la nuit. J'ai pris ma douche me suis parfumé j'adore ça. Quand je souffrais beaucoup j'avais toujours l'impression de puer même si je me douchais trois ou quatre fois par jour. L'après-midi y'a beaucoup de circulation.Une chose que je me dis y'a autant de malades que de maladies. C'est pas fort mon texte cet après-midi. Quand on vieillis on perd beaucoup de poésie, on vie, on vie, tout ce qu'on fait c'est petit, on l'oublie, on l'oublie et on pense à Paris la nuit de son logement déconfit, déconstruit, et on plie sous le bruit, sous la scie des mercis des folies, ça se taris, ça s'enfouis... Je suis déjà enterré et demande pas pitié... C'est ridicule écrire comme ça, avez vous déjà vu ça?  Je regarde dehors, les camions de gravier passent. Les gens sont à leurs affaires, ils ont rien a dire des désirs d'un pseudo écrivain, entre le métro, le boulot, le dodo, y'a pas grand temps pour lire surtout quand ils ont des enfants. J'écris pareils même si c'est pour les aveugles, vous leurs lirez. J'essaye de terminer ça en beauté avec une pensée pour vous tous qui me lisez. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

mardi 17 février 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Je pense à la réforme du système de santé, à comment le privé se frotte les mains. Est-ce qu'on devras payer pour soigner une blessure, une maladie, un accouchement me semble que mon père, tout nos pères et mères avaient règlé ça avec l'assurance maladie. Avec la réforme Barette y'auras moins de personnel ce qui selon moi veux dire plus d'attente et à l'extrème consultation et soins dans le privé. Je sais pas ce qu'ils vont faire de ceux qui comme moi souffrent d'une maladie mentale, y'a une grosse régression dans le nom d'hôpital à institut pour finir installation. Je trouve que ça fait très concentrationnaire. Je pense aussi à la méthode de gestion Lean qui viens de chez Toyota et qui est mise en place dans le réseau de la santé et des services sociaux, bein voèyon! On est pas des autos, la santé c'est pas de la mécanique. C'est vrai que je suis un ignare mais je trouve que c'est pas les bons qui payent. Y'a des sociétés privées qui devraient être plus taxé ce que je trouve étrange c'est qu'on les subventionne à coups de millions, comment dire on déshabille Jacques pour habiller Jean et encore Jacques c'est un tout nu comme moi, il perd ses culottes. Je pense aux petites madames qui ont voté pour Couillard parce que c'est un médecin et comme elles disent il parait bien, bien rasé bien peigné tout propre le monsieur sans parler de ses acolytes Bolduc et Barette médecins aussi de la a pensé que le gouvernement c'est une clinique qui nous soigne avec la politique... Je crois que c'est toujours les plus pauvres qui payent, ils payent de leurs santés quand ils attendent des heures et des heures pour voir un médecin et ça se transforme en jours, plusieurs jours quand ils doivent consulter un spécialiste. Quand je réfléchis ça me fait pensé à un vieux monsieur de ma connaissance qui disait faut se tenir loin de ça les höpitaux ça rend malade. J'aimerais bien que les médecins fassent des visites à domicile, ils le font bien en France pourquoi pas ici? Je vous souhaite pas d'avoir une maladie mentale vous risquez de devenir itinérant avec personne pour vous soigner et vous serez convaincu de n'être pas malade que c'est la société qui vous a amené là et vous n'aurez pas tout à fait tort. Enfin! C'est juste ce que je pense ça vaux ce que ça vaux y'a pas de solutions simples mais je me demande ce qu'ils vont faire de tout ces gens qui vont perdre leurs emplois, une perte d'emploi c'est malheureusement souvent une porte d'entrée dans la maladie mentale. Je vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

lundi 16 février 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Viens de lire les actualités, pas grand chose de neuf et surtout rien a dire. La semaine passé certaines personnes remettaient en question l'utilisation de la première personne du singulier... Mais comment voulez vous que je vous écrive et là je cherche un moyen de revenir à la deuxième personne. Tu en a assez de mon blog tu a qu'a pas le lire. Vous voyez ce que ça donne. Je m'enfargerai pas dans les fleurs du tapis après tout c'est moi qui écris et parfois c'est près de l'autofiction. Ce matin mon corps crie.C'est le matin tôt y'a pas de traffic automobile à quatre heure quarante trois tout est arrêté c'est le meilleur temps pour faire des mauvais coups sans jamais oublier que le goulag occidental est sous surveillance caméra vingt quatre heures sur vingt quatre. J'ai pas envie de faire un mauvais coup, j'ai la respiration bruyante. Je pense au cuir de cochon sans savoir si ça existe... Dimanche prochain y'a un tournoi de bowling, après des années a trouver ça ridicule voilà qu'on s'y met, c'est bien, c'est distrayant, ça permet de rencontrer du monde. Je sais pas ou ils en sont en Ukraine ce matin, j'espère qu'ils respectent le cessez le feu. Non! Non! Non! Je suis pas Victor Hugo ni VLB, j'essais de me reprendre pour l'époque ou j'écrivais pas. Si je regarde ça c'est un moment plutôt cour dans ma vie. J'arrive pas a vous faire rire, je suis pas un humoriste. Je préfèrerais que vous soyez ému, vous en faites pas je suis pas un échappé de l'asile dans le goulag occidental on nous laisse en liberté on peux se les geler ou et comme on veux. Ouais! C'est lundi matin,on rentre à l'ouvrage, je détestais ce moment là prendre le premier métro pour commencer a travailler très tôt maintenant je me lève de bonne heure parce que je suis libre de le faire, du moins je le crois, et je vous écris. Tout à l'heure je vais sortir pour une réunion de mon groupe d'entraide ça devrais être des moments enrichissants. La journée qui commence c'est toujours tranquille. Je me souviens de ces nuits passées a bambôcher, en me rendant au travail je dormais dans les voitures du métro. Je croyais jamais que je me sortirais de ça maintenant les journées sont trop courtes les trajets sont moins longs. Vous voyez j'écris presque toujours dans le même format le défi c'est de durer dans le temps. Y'a pas vraiment de critique qui commente ma prose qui m'aiderais a advenir, comme disait le poète, au monde. Je termine en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

dimanche 15 février 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Ce matin dans LaPresse+ on annonce la disparition du blog!!! Je sais pas quoi dire, peut être que c'est comme la T.V. et les livres ils sont pas disparus depuis l'apparition d'internet... Ce matin c'est grand soleil. Je veux juste vous dire comment je me sent. J'espère qu'en Ukraine le cessez le feu est en vigueur. J'ai mal de voir tout ce sang de civils. Fait froid en Ukraine... Terrorisme à Copenhague, ça coupe les désirs de voyage même ici à Halifax on a contré des meurtriers. Je devrais revenir sur ce que je sent, ce que je ressent, la peur oui! Semble qu'écrire un blog c'est une valeur diminué. Dites le moi si vous trouvez que ça vaux rien. J'ai mal je suis jamais à ma place, les journalistes ont toujours le dernier mot, ils m'interdisent d'écrire. Y'a qu'eux qui peuvent s'exprimer évidemment qu'ils diront pas qu'ils se gavent de Mae West pendant la rédaction de leur papier. O.K. d'accord je suis pas un vrai écrivain mais à part écrire je sais pas faire grand chose. L'entretien ménager je l'ai déjà fait ça m'ennuyait, j'ai abandonné. Je l'abandonne pas le blog qu'on en pense ce qu'on veux. Je sais tout ça va avoir une fin mais comment? Ça circule dans les escaliers de l'édifice, ce matin je m'ennuis pas trop. Je regarde les autobus passés, je me rappelle du bonhomme à la maison de chambre qui déplorais qu'il n'y ais pas plus de circulation devant, un chauffeur de taxi qui aimais regarder les voitures passées. J'écris très mal, dehors dans le goulag occidental des enfants parlent. Je remplis mon mal intérieur en mangeant, mais non j'irai pas chez les outre-mangeurs. Je brûle mes calories. Je vous vois à l'autre bout devant votre écran vous lisez ceci et vous croyez que j'en fait une maladie. Peut être, je suis un écrivain du dimanche et ne suis pas "à la recherche du temps perdus" que j'ai jamais lu parce que justement je voulais pas perdre mon temps a lire la bible gay. C'est ici que ça me fait mal j'écris ce que je pense et je suis pas un Imam djihadiste. Ça m'étonne toujours comment il faut accueillir l'autre avec ses différences et qu'à la moindre des miennes on me disqualifie dans la sphère publique. Je sais pas trop ce que je dis. J'ai l'impression d"être à part mais je suis pas seul. J'ai pas beaucoup de lecteurs, trices. Ce que j'écris je le tiens pas d'autorité, j'ai jamais étudié. Je suis juste allé a l'université de la vie mon diplôme ès Art je l'ai pas. C'est juste les commentaires d'un ti-jos connaissant qui répète et répète, qui crie sur tout les toîts. Je cesse de crier, j'arrête en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

vendredi 13 février 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Bonne Saint-Valentin! Moi j'ai pas de Valentine j'écris donc à toutes celles que j'aime et à tout ceux aussi. L'amour quoi dire de l'amour, sans ça on est rien. Je crois que J-C. disait c'est facile d'aimer ceux qui sont aimables mais la difficulté c'est d'aimer ceux qui le sont pas.J'en connais pas qui le sont pas. Je pense à vous tous quand j'écris. Aux jeunes couples comme au vieux que je félicite d'avoir duré malgré les malgrés. J'oublie pas qu'il faut commencer par s'aimer un peu avant d'aimer les autres. Moi j'ai beaucoup d'amour maternel, fraternel et aussi de ma soeur, toute la famille je les aime tous. Je vous aime tous aussi ceux qui lisent ceci comme on dis c'est de l'amour debout. Comme j'ai pas de valentine je me suis fait un cadeau de Saint-Valentin, du rôti de porc ça va être bon pour mon coeur. J'espère que parmis vous y'a pas trop de végan... Moi les végan je les trouve drôle ils mangent pas de viande et de produit laitier mais ils fument du pot à s'en rendre fou, sans parler des autres drogues. J'aime bien qu'on bichonne la viande, du boeuf et du porc dans de beaux grands pacages, le poulet aussi comme celui de la famille dans la publicité.Ma chronique de Saint-Valentin fait boucher aujourd'hui, on vous parleras pas du massacre de la Saint-Valentin un classique policier. C'est difficile d'écrire sur l'amour que l'on porte à ses proches en général, ses beaux-frères comme ses belles-soeurs mettre des mots sur l'amour c'est tout un contrat, les sourires, les voix c'est déjà un cadeau. Juste la présence savoir qu'ils sont là pas trop loin et heureux. Aujourd'hui c'est une belle journée froide et ensoleillé d'hiver.J'arrive pas a le dire en personne quand je vous vois, je vous aime! C'est un peu répétitif mais on se le fait jamais assez dire. Faut pas nécessairement souffrir pour aimer, dans les années soixante dix j'aimais bien le "peace and love" on étais les enfants de l'amour et je crois que nous le somme toujours. Je sais pas si l'accord de Minsk va être respecté la paix pour un peuple et ses enfants qui en ont bien besoin."All you need is love" Lennon-McCartney, l'amour c'est beau mais souvent on sait pas comment donner ça. Juste écouter je crois que c'est bien, si jamais vous voulez parler mon oreille est là tout ouïe. Je réussis pas a rendre ça personnel, je pense à mon beauf retraité de l'Outaouais que j'aime beaucoup. Je m'excuse pour les autres que j'embrasse et termine là dessus en vous donnant un gros bec et vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

jeudi 12 février 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Jeudi matin et le monde va toujours aussi mal Il est huit heure vingt je viens de me lever, de sortir du lit. J'ai lu les actualités rien d'encourageant. Il a neigé sur le goulag occidental. J'essais de me mettre à l'écoute de mon sentis. Je suis encore endormis. Février c'est vraiment l'hiver. Hier j'ai vu une publicité de Chanel avec comme musique l'interprétation de All along de watchtower par Jimi Hendrix, ça viens de loin mais c'est génial. Il neige encore, j'attend un colis dans la poste. Lentement je me réveille ça me fait plaisir de vous écrire. Je pense à ce test passé il y a longtemps au centre d'emploi on me voyait facteur d'orgue. Je croyait que Casavant allait fermer, ils ont jamais été si actif.Y'a mes amis de l'institut qui avec la réforme vont peut-être perdre leurs emplois j'espère que non. Ça prend beaucoup de monde pour s'occuper de santé mentale sinon on va retrouver beaucoup de malades à la rue. La pleine citoyenneté c'est bien, l'institut qui va vers le patient aussi mais encore faut il qu'il en fasse la demande. Au présent je sais pas ce que cette réforme va faire dans ma vie. Y'a longtemps que j'ai été hospitalisé, je me rétablis, pas de psychoses mais parfois des voix. Je pense à mes collègues hospitalisé d'avoir trop consommé. Je sais pas si ce que j'écris on peut appeler ça de la littérature c'est probablement comme dans le temps avec la bande-dessinée de la para-littérature. Hier soir j'ai regardé la série dix neuf deux. J'ai trouvé ça dur ça m'a fait mal et on dis bien que la réalité dépasse la fiction, je reste paranoïaque... "Cette voix que j'ai, cette voix je vous la donne"-Gilbert Langevin le regretté poète de LaDorée au Lac-Saint-Jean. Pour moi la voix est tranquille le matin je donne tout ce qui se passe dans ma tête comme une prière à Dieu. Le monde peux continuer sans moi, je suis pas indispensable. J'ai qu'a respirer par le nez. Comme souvent je sais pas ou je m'en vais. Ce matin la photo que je vais placer c'est Jeanne D'Arc qui entend des voix qui lui disent de boutter? Botter? les anglais hors de France. Ça nous prendrais une Jeanne D'Arc dans un parti provincial ça aiderais a faire l'indépendance. Je crois pas que PKP entend des voix... J'y crois plus beaucoup à la cause quelle place on va faire aux assistés dans ce nouveaux pays? Après des années de malheur je pense juste a rester tranquille pays ou pas, j'aimerais pas que le Québec devienne une Ukraine. Je termine là dessus en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

mercredi 11 février 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Mercredi matin, j'essais de vous écrire quelque chose qui a du sens. J'attend l'émission littéraire avec Jean Barbe et compagnie... La lecture toujours, l'écriture toujours, rien n'empêche que je me sent lourd. Me prépare un café pendant qu'un barbu a bicyclette passe devant chez moi, il ressemble à un itinérant sur deux roues faut dire qu'ici y'en a beaucoup. Je vieillis, je déprime et le temps passe. J'ai commandé une clé usb ma connection est pas assez rapide pour déposer sur le nuage. Dehors le parc est tout blanc,je sais pas. je sais pas, je sais pas pourquoi je suis si fatigué. Vidé j'ai essayé de vous faire mon blog avec ma tablette j'ai abandonné, tout à coup j'entend des corneilles. Je suis toujours pressé de vous écrire pourtant y'a rien d'urgent. J'ai mal ça vous intéresse pas de savoir ça. Les corneilles croassent pour annoncer je ne sais quoi. Viens de voir un camion au sigle de Powermatic, une shop ou j'ai travaillé dans le temps. Je croyais que ça n'existais plus. À l'époque de mon début vingtaine j'étais heureux je sentais pas la douleur. Un jour tout s'est mis a débouler, la peur m'a emporté, je ne pensais qu'a me cacher. Je suis devenu fou et angoissé y'avait que la bière pour me calmer et encore ça a pas duré. Je préférais être en mauvaise compagnie que seul, niaiser au bistro c'étais mon lot. Y'a un événement sur la toile c'est de la poésie sale, je me demande pourquoi à un certain age la poésie se dois d'être sale, la poésie c'est pas un train ni un pipe-line de pétrole quoi que parfois ça pollue ce qu'on a entre les deux oreilles, quand on a quelque chose. Moi j'ai brûlé plusieures neurones sans parler des synapses, trop sniffé de savon. C'est utile ce que j'écris là? Écrire malgré et envers tout, écrire même si ça semble inutile, si ça mène à rien. Juste se faire un chemin dans la grisaille des désoeuvrés, faire acte de présence envers vous qui me suivez. Paranoïa quand il est question de se faire suivre pourtant je ne sais pas ou je vais. Et encore j'ai mal je veux un amour unanime, sans bon sens mais je connais la haine. Mon écriture en est une de Ti-Jos Connaissant m'a dire comme l'autre t'a pas voulus aller à l'école endure maintenant, y'a quand même des drames chez les gens scolarisés. C'est étrange j'ai eu toute la difficulté du monde a vous écrire ceci mais je me sent mieux. C'est pas vraiment réussis mais comme toujours j'attend vos commentaires, Ils se font rare. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard