mercredi 5 décembre 2012

Here is something for you and me

Bonsoir! Bonjour! Je me réveille lentement devant mon écran, la somnolence fait que je souffre moins. Je pense à Luc Vigneault le pairs aidant de Québec, que je salut si il me lis encore. Coment vous dire cette lourde souffrance des voix dénigrantes. Les groupes de douze étapes me disent que je ne serai plus jamais seul, effectivement les voix m'accompagnent souvent à des moments innoportuns. Il pleut sur le goulag, je suis vraiment au milieu de la nuit, trop stimulé pour dormir... Hier j'étais en périphérie du goulag coin Mont-Royal et Papineau. Je me croyais dans la cour aux miracles pas aux McDonald, il étais plein de gens qui attendaient je crois que le temps passe... Des vieilles dames qui ramassent avant les employés, un control freak qui cruise la serveuse, la préposée, je ne sais comment dire... C'est assez terrible de ressentir la solitude de ces pauvres gens... Je crois que c'est pas la première fois que j'écris sur ce McDonald. C'est le peuple qui fréquente cet endroit, le petit peuple du journal de Montréal qui a une opinion sur tout et est bien pressé de la partager, on peux pas déjeûner en paix... La journée qui s'en vient est flambant neuve comme le chante les géniaux Avec pas de casque... Je crois que plus tard ce matin je vais passés à la caisse faire un dépôt... Je bois mon café noir, vous vous en foutez pour une fois que mon je narcissique disparait, n'empêche au goulag ils sont beaucoup a chercher une chambre pour la nuit mais le motel Alfred est pas ici... Je saigne du nez, dans l'imprimante y'a une feuille déjà imprimé, je soupçonne les gens de l'alarme incendie de l'avoir mis là... Ils ont fait l'inspection du système dans le goulag on veux pas nous voir rôtir comme des petits poulets... Je suis pas psychotique mais j'ai le cerveau bien hypothèqué, j'attend vos réactions je sais pas comment mettre fin à cette vie de vrai fou... Psychotique, névrosé, schizophrénique que de mots pour décrire l'univers du faux, de l'illusion maladive dans l'exil au goulag. Je m'agite, je m'agite!!! De ma nuit j'attend le jour, au levant je dormirai en présence de la folle du logis qui enfonce sont clou dans mon âme déchirée. C'est de la très mauvaise poésie, rien pour saouler de mots une âme en peine... Je suis un pauvre malheureux, venez me chercher!!! Venez me chercher!!! Sortez moi de ce goulag maléfique et diabolique, de ces émotions hallucinées qui peuplent mon studio de très réel fantômes. Lentement les bus sortent du garage, s'en vont à leurs routes matinales, vous ne me croiserez pas je suis trop fou pour le métro-boulot-dodo. De toute façon... Je m'en garde un peu pour la suivante. Je ne sais si je suis trop attaché au goulag, on devrais me nommer ambassadeur du goulag centre-sud mais je parlerais pas de prospérité quoi que les nouveaux riches y achètent des condos et que j'ai même vue une jeune fille faire du jogging autour du parc, gentrification? Finalement merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!! Schizzy Berny

lundi 3 décembre 2012

Here is something for you and me

Bonjour! Bonsoir! On pense très fort à une lectrice puéricultrice de l'Outaouais... Viens un moment ou il faut l'avouer on a plus rien a dire. Je vire la chose sur tout les bords et c'est le vide, c'est ce qui fait le plus peur le vide du goulag... Un vide apparenté à la mort bien que dans le goulag il ne passe plus de corbillard pour se souvenir y'a cette sculpture aux morts du SIDA dans le quartier adjacent. Je cherche comme toujours à vous décrire mon étât d'âme. Lundi matin pour plusieur c'est la rentrée au boulot, hier dans le goulag sur Ontario j'ai vus que les autorités ont construit des logements sociaux, des millions de dollars pour un univers glauque de commérages. Il est quatre heure treize c'est le temps de faire des mauvais coups tout le monde dort et ceux qui ne dorment pas repassent leurs vie en revue et se demandent comment ils sont arrivés au goulag. C'est un moment pénible, une phase maniaque, l'envie d'exprimer la difficulté, la vie difficile... Plus dure seras la chute, on peux pas passer sa vie au sommet à moins d'être un homme d'affaire aguéris. Je suis sous le béton et l'asphalte du goulag, le sang dont on a construit un quartier, la façon de concentré la pauvreté au même endroit, on y traine sa misère comme sa vermine et ses coquerelles. J'entend parler dehors, hier soir quelqu'un déguerpissais en catimini pour essayer de trouver je ne sais quoi loin du goulag... J'ai regardé par la fenêtre la police a arrêté une voiture... Alcool au volant?... Ça aussi c'est trainer sa misère... J'entend le type discuter il a un accent du maghreb et il est sobre. Je m'entend respirer, la chaise craque, la radio est fermée, je ferai pas de joke scatologique je suis déjà trop anal... Allez voir ce que ça veux dire?... Les épreuves parait que ça renforcis la foi, la police du goulag est toujours devant, ils claquent les portes des voitures, on a beau prier quand on a la police sur le dos... Le gars attend assis dans sa voiture, il en a une de la police derrière et une autre en face devant... J'ai peur d'écrire ça les policiers vont peut être me harceler à mon tour... Finalement il est partis, la police aussi. Hier je "réfléchissais" à ma façon d'être à comment je me reconnais pas dans monsieur et madame tout le monde, je sais c'est un défaut, la masse, le peuple a toujours raison en tout cas assez pour vous envoyer en prison. "Excellent citoyen! Pas trop trop mais pas loin" c'est le poète qui parle... Mon époque poétique elle est derrière moi, la poésie c'est pas la gloire et le papier c'est d'avoir voulu être et avoir essayé de changer. Tout a coup un délicieux parfum, ça m'indique que ce que j'écris c'est bien, vous en penserez ce vous voulez... J'ai pas envie de vous laisser là avec ça, ce seras bientôt le matin, je délirerai comme un pas fin... C'est pas fort... Je pense toujours à cet écrivain de l'école de l'humour, y'a rien a faire je suis pas drôle comment on dis? Chacun son métier et les vaches seront bien gardées? Vous voyez bien je suis incapable d'écrire une joke payante, je reviens toujours à la scatologie. Bein oui! Tout ça c'est de la marde dirait Lisa Leblanc. Je crois que je vais terminer là dessus. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!! Crooky Berny

samedi 1 décembre 2012

Here is something for you and me

Bonjour! Bonsoir! Je suis toujours dans mes explorations intérieures. Ça deviens de plus en plus difficile de vous décrire mon étât c'est pourquoi je me tourne vers cet autre étât qu'est le goulag. La nuit y est toujours pareille. Les voitures passent sur la catherine. J'espère que j'ai pas offusqué ma lectrice de l'Outaouais en la traitant de dévote dans un post précédent. Je vais ouvrir la radio sur Rédio-Kénada, c'est du jazz, ça ma rappelle les nuits au 2080 rue Clark. Je me suis toujours posés la question pourquoi l'alcool et le jazz, la musique. C'est une affaire de soul? De saoul? Aujourd'hui je crois que je vais m'acheter des livres. Je pense à l'odeur de la bibliothèque à l'école secondaire, à comment j'y trouvais refuge pour mieux m'évader... Hier je me suis fait dire par une travailleuse sociale que je suis intelligent, l'intelligence c'est pas tout c'est ce qu'on en fait... Hier j'ai regardé un documentaire sur Hitler, sa monté dans l'allemagne en crise. Ce pays a passé par tout les régimes aujourd'hui l'allemagne dirigé par une femme est la locomotive de l'Europe. J'ai remarqué que dans notre langage on a encore des mots, des éléments fasciste. On coupe au plus court y allant de considération générale un peu nazi. Le goulag c'est du fascisme national bolchévique. Il est plus question de lutte des classes dans le goulag mais de ségrégation dans un ghetto, on s'y distingue par le condo... Pour revenir à l'âme, on m'a assigné en première ligne pour ma santé mentale, depuis le temps je peux dire que je suis stable, la loi exige que je sois suivis par un médecin et une travailleuse sociale... Je cherche le qualificatif pour âme y'a plusieurs mots mais aucuns avec l'étymologie d'âme, je remplace par esprit d'ou on peux tirer spirituel, si vous voulez rire cherchez pas trop dans ma spiritualité. J'ai pas le sens de l'humour comme on dis c'est pas drôle... Me suis habillé c'est pas facile d'être inspiré, aujourd'hui le goulag seras à une température plus clémente... Ouais!!! Y'a le changement la transformation qui ne peux être qu'intérieure, toutes ces malédictions qu'il faut accepter malgré je ne sais quoi... Je vous ai pas parlé de la pizzeria au métro Berri, on est très mal servis par une bande de maghrébins incapables, hier j'ai demandé deux pointes toutes garnies on m'a servis deux pointes pepperoni fromage. Ils se paient ma gueule et ensuite on va dire que c'est moi le raciste... Le métro Berri c'est adjacent au goulag ça donne sur le coeur du goulag interlope, on y tiens tout les menus traffics... Je suis pas de ceux qui veulent épurer le goulag mais plutôt l'éduquer mais on peux pas forcer les gens, la misère, la petite misère est tenace... Dans le goulag on cherche la proie facile, l'affection d'un visage connus pour le dépouiller et se geler de toutes les façons. Je me perd, contrit... J'ai peur j'entend une voix bien réelle sur Rédio-Kénada c'est notre P.M. tout en business. La tête me tourne, des vertiges... On parle de sièges sociaux à la radio, moi je m'en tiens au siège de toilette, ils ont tous leurs opinions sur ce qu'il faut faire économiquement, mais y'a pas de vérité autant de façon de faire qu'il y a de gens d'affaires. Bon je pense que je vais arrêter ici. Faire les nouvelles avec les nouvelles c'est vraiment de seconde mains et pas très utile. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!! Busy Berny

jeudi 29 novembre 2012

Here is something for you and me

Bonjour! Bonsoir! Je subis encore les effets du décalage, il a neigé sut le goulag. Le réel nous rattrape vite y'a pas a faire de poésie pourtant... Ceci est une sorte de pollution. J'en rajoute sur l'information quotidienne mais vous pouvez choisir que cette lecture et laisser tomber le reste. Je me dois d'être intéressant. J'ai une longue peine au goulag j'en sors parfois grâce à des bienfaiteurs. J'entend tousser ça passe au travers des murs. J'ai une réunion ce matin avec les partenaires du goulag, une phrase dans la tête "la nuit tout les chats sont gris". Je pense à mon père au reste du buffet qu'il ramenait après avoir fêté à l'usine. Bientôt ce seras la fête de l'espoir de la lumière. Je veux vous broder quelque chose de magique mais j'y arrive pas... J'en ai vécu de ces époques de tumulte personnel. Je me rappelle ce triste temps ou je me cherchais une job comme des dizaines de milliers d'autre, l'entrevue avec le juïf qui me demande si je suis un artiste et ou je répond oui pour me faire renvoyer illico. Le fil du couteau que je trainais partout c'était idiot... J'ai nettoyé mes lunettes pour mieux vous voir, j'essais de vous imaginer devant votre écran... Je me réveille lentement... À l'école primaire on rentrait à la maison le midi pour dîner ma mère écoutais les joyeux troubadours et y'avait ce délicieux parfum de soupe. Déjà la j'étais dans ma bulle j'ai aucune conscience de mes frères et soeurs ils devaient faire la sieste, ils étaient tout petit et ne fréquentais pas encore l'école, en deuxième année y'avait que ma soeur ainée un peu dévôte qui allait tout les matins à l'église, moi j'étais en première année j'avais des troubles avec les maudites réglettes mais je me rachetais avec la médaille d'honneur... Tout ça c'était bien avant de savoir que je passerais vingt ans réfugiés au goulag, que j'en ferais mon nid... Y'a rien de particulier dans ce que je vous raconte des millions d'enfants ont eu cette vie là maintenant inutile de vous dire que je suis adulte vous le savez mais parfois le goulag pèse lourd j'arrive plus a me forger des souvenirs, y'a que l'éloignement et la maladie qui remontent parfois la nuit je m'ennuie. J'ai souvenir aussi de cette lourde angoisse j'y reviens souvent ça me paralysait me faisait peur. Je voulais pas rester à l'usine, tout plutôt que ça. Je vous l'ai déjà raconté je crois... Ce seras ça pour ce matin, le goulag semble pas vouloir se réveiller, dans le parc y'a un mince tapis de neige... Merci d'avoir lu juqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!! Snowy Berny

mardi 27 novembre 2012

Here is something for you and me

Bonsoir! Bonjour! Week end au goulag, c'est le silence, je prend une gorgée de café. Y'a longtemps que vous n'avez pas vu l'exilé en chair et en os. Cette nuit le propos est le même toujours mon monde intérieur. On a un de nos lecteurs retraités de la STM qui est passé sous le bistouri, on lui souhaite prompt rétablissement. Je viens de prendre mon petit déjeûner, les idées ne collent pas à ma matière grise. J'ai de la difficulté a me situer dans le temps, je croyais que c'étais le week-end... Ouais!!! Me suis recouché, ai dormis maintenant j'ai les yeux qui clignent. Parais qu'une âme ça pèse vingt et un grammes, ce matin je sent la mienne comme un kilo de plomb, elle est perdue au ncentre de mon corps et essais de remonter dans la pensée, le royaume du cerveau. J'essais de parler avec mon coeur mais c'est pas encore l'äme, les émotions y'en a pas tant que ça... Lentement le goulag se réveille, les gens y passent pour se rendre au boulot, c'est une grande migration quotidienne. Une âme lourde, lourde par son abscense cette façon de n'avoir rien a dire. Je sent que vous accrochez pas vous préférez quand je parle de mes bisbilles personnelles mais elle est là ma personne dans cette âme pesante qui habite mon corps qui a son tour se sent lourd, lourd à ne plus tenir debout... Si je me fait hara-kiri est ce que je vais libérer cette âme de ce corps malhabile... Que sont les malaises de la conscience? Ou est situé le remord? La peur? La haine? L'amour? La bienveillance? Là je pense aux vertues théologales dans le catéchisme, je pense que c'est La Foi, l'Espérance, la Charité ça plairait à monsieur le curé. Je les ai toutes mais par intermitences parfois elles disparaissent pour laisser la place au yable aux hallucinations et au mal... C'est une possession dans ce temps là je crois avoir besoin d'un exorcisme mais y'a plus personne qui pratique ça la prochaine fois je me tournerai vers un sorcier vaudou, je sais pas si y'en a dans le goulag mais je sais très bien qu'il est habité par plusieurs possédés qui parlent seul en fouillant dans les poubelles et les bacs de recyclage. Je sais ce sont des malades et eux aussi ont l'âme lourde ont a tout essayé mais en tout premier lieux on devrait leurs donner un chez eux c'est la charité je crois et je prie pour eux. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!! Souly Berny

samedi 24 novembre 2012

Here is something for you and me

Bonjour! Bonsoir! Depuis ma visite en Italie je suis redevenu un bouffeur de salami et c'est pas donné ces saucissons. En ce moment la bouche ressent tout le piquant de ces viandes aromatiques. Je pense au gras trans dans cette charcuterie y'a de quoi vous bloquer les plus saines artères mais c'est tellement bon... Dans le goulag on a pas de boucherie ni d'épicerie fine on s'approvisionne au supermarché, le quartier italien est loin pour les biscottis... Y'a plus de feuilles dans les arbres du goulag. J'espère que vous avez compris que mon goulag il est surtout intérieur que l'exil est la solitude et la pauvreté d'un petit quartier coincé entre deux ou trois grandes rues... Le goulag commence tout de même a se gentrifier on ravale les façades de certains édifices qui de commercial deviennent résidentiel et moi dans tout ça comment je me sent mon sentiment intérieur... J'ai remarqué que vous aimez beaucoup quand mes écrits donnent prise à la controverse, à ma peur fondamentale des autres à mes folles idées de persécutions. Je m'excuse pas je suis comme ça j'oublie parfois de vérifier et je reste longtemps dans mon délire, mes amis sont pas malfaisant quoi que lorsque je me fait dire que je suis infirme... Le goulag c'est de l'ordre de la psychose avec toutes ces voix d'ailleurs ce sentiment d'être une merde et la douleur, la perte de contact avec la réalité pour encore plonger dans l'irréel, les hallucinations. Je sais qu'il y a des gens qui comprennent ça de l'extérieur, moi je vie ça de l'intérieur je devrais dire je vivais ça de l'intérieur y'a longtemps que ça ne m'est pas arrivé... Je délire toujours la même chose j'ai pas envie de vous parler de mes samedis à la taverne avec les boys et la bière qui coulait à flot, on se saoulait le dedans de pathétique comme chantait le chanteur. Dehors c'est gris il est tombé quelque flocons je suis assis devant mon clavier et j'écoute de la musique pop des années quatre vingt c'est loin tout ça... Les samedis de novembre c'est l'époque de l'overtime pour avoir un surplus dans le temps des fêtes se payer des gâteries... Pendant ce temps là dans le goulag on marche avec aucun endroit où aller, on dérive dans le désespoir cherchant quelque chose qui mettras un baume sur notre itinérance... So you bet? Votre voisin seul dans son appartement accueille des sans abris, il va se faire évincer les appartements seront les lieux de tout les traffics, votre voisin croira qu'il est vivant, les problèmes seront sont lot, petite vie petite misère... Quand on observe dans le goulag c'est ce qu'on vois, souvent une vieille connaissance essairas de vous soutirer un vingt toute occupé de son importance en retournant ses appels sur son ipod à crédit... Faut voir c'est qu'une partie du goulag, y'a des gens honnêtes et chaleureux mais eux vous saluent sans rien demander, ils sont à leurs affaires sans se ronger les sens sur le pourquoi des malheurs du goulag. Je vous laisse en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!! Snowy Berny

jeudi 22 novembre 2012

Here is something for you and me

Bonjout! Bonsoir ! Bienvenue dans le goulag, j'espère que vous avez pas froid aux yeux, le goulag c'est le coeur de l'horrible, on pense à un ami qui couche à l'old brewery mission et qui a des difficultées a se reloger. Comme toujours il est tôt j'ai de la difficultée a écrire, a m'exprimer, je pense aux jolies italiennes de Trieste qui nous ont si bien accueillis avec un mini-bus et la visite de quelques coopératives dédiées à l'intégration sociale. J'ai vu beaucoup de mes pairs à Trieste soit au restaurant coopératif soit dans la clinique médico psychiatrique... Hier j'ai reçu une lettre qui me place en première ligne pour les soins psychiatrique avec un médecin généraliste il doit avoir mon dossier... Votre humble serviteur s'est fait photographier à la station de radio communautaire du goulag, on va encore voir ma grosse face!!! Pour ma lectrice secrétaire de L'Outaouais, oui j'y étais vraiment à Milan mai j'ai de la difficultée à le croire... J'ai pogné un rush de paparmane rose... C'est d'une saveur forte et sucrée, malgré tout le goulag ne dors jamais y'a toujours des voitures et des hobos, ce matin c'est l'émission de radio qui démystifie la folie mais je crois que malgré tout elle stigmatise on y dévoile notre maladie, on peux nous reconnaitre à la voix mais faut pas trop s'en faire, les gens portent pas nécessairement attention à ça... Je pense au vieux psychiatre rencontré à Trieste qui avait toujours, et c'est pour le mieux, les valeurs de la révolution française, liberté, égalité, fraternité ça devrais toujours être ça qui nous guide. Je pense à Bassaglia au cheval bleu, l'internet c'est mon cheval bleu mon moyen de communiquer avec l'extérieur... Hier j'ai renconté un "spécialiste" du film Mon oncle Antoine et aussi de la musique de Ennio Morricone, il se dis ostracisé pour des raisons politiques, ça fait des années qu'il tiens ce discours là, il s'est pas encore exilé au goulag certains de mes amis sont toujours près de l'itinérance, ils se font évincer de leurs logements pour n'avoir payer qu'une partie du loyer. On y vie au goulag, on y vie, le projet chez soi aide les itinérants a se loger, parfois ils se logent mal dans des loyers infestés de vermines bye! Bye! la santé mentale. Toujours a sucer des menthes roses... Il devrais neiger ce week-end doit on se réjouir ou pleurer. J'aime beaucoup quand le goulag deviens blanc et que l'hiver assourdis le bruit de l'extérieur... Cette semaine votre humble serviteur s'est tapé une boîte de gâteaux Mae West, de la vrai gourmandise, une folie pour le sucre... Je crois que ce seras tout! Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!! Candy Berny