lundi 30 septembre 2024

 

Bonjour ! Je pense à partir, je sais pas trop où Paris m’attire toujours mais j’attend j’ai un engagement à remplir. Je vais probablement attendre au printemps prochain. Je pense aussi à quelques jours à New-York. Je reproche aux amis de radoter mais y’a pas plus grand radoteux que moi. Je sais pas mais je crois que les actualités ont jamais autant parlé des enfants. J’essais d’être sérieux. Dans le parc en face y’a une voiture de police stationnée. Ce matin je suis allé chez le médecin je continue mes exercices semble que j’ai rien de grave… Aujourd’hui j’ai marché c’étais pas si mal. Je pense à l’intelligence artificielle c’est contre ça que j’écris, afin de garder une touche humaine dans l’écriture. Aujourd’hui j’ai pas beaucoup mangé j’avais pas faim, je viens d’ouvrir une San Pellegrino à l’orange, c’est bon. Ce que j’écris aujourd’hui c’est superficiel je vais essayer avec plus de profondeur mais c’est difficile de nommer quand on est pas trop malheureux comme si le malheur se prêtais mieux au jeu. Je devrais écrire avec plus de justesse sans pour autant me laisser emporter dans le délire schizophrénique, la psychose brûlante. Je ne me ruinerai plus la vie. S’agit d’avoir de la gratitude, j’ai qu’à me rappelé où j’étais y’a plus de trente ans c’était affreux… Je pense à une lectrice qui a maintenant plus de dix ans de sobriété je la félicite. Ouais! C’est l’automne je crois que c’est la saison pour élaguer les arbres, lentement il va faire frais. Plusieurs vont récolter les légumes murs dans leurs potager, parlez moi d’un sandwich aux tomates. Et y’a l’autre qui chantais « Mange ton blé d’inde ! Mange ton blé d’Inde! »  Tout à coup j’ai les bleu, un profond désarroi bien que j’hésite à l’écrire je sais pas trop pourquoi. Il est bien seul le monsieur toujours a essayé d’écrire de la bonne  façon avec justesse ce qu’il ressent. Parfois il faut s’écoutez y’a pas meilleur juge que soi sur son vécu. Je sais pas quand vous lisez ? Le matin ? Je pense à mon lecteur mystérieux. Ça me fait toujours plaisirs de savoir qu’il y a des lecteurs et des lectrices. Lentement je me calme la journée commence, y’a de la circulation automobiles. Je vais déjeuner, j’ai pas envie de pleurer. C’est comme ça pas trop désordonné. Je termine ici, bonne journée ! Voilà !

01/10/2024


dimanche 29 septembre 2024


 

Bonjour ! Ce soir le soleil se couche orange gras. Demain déjà un autre lundi, le temps passe j’ai toujours un voyage en tête mais j’attend d’avoir plus récupéré. Ce matin je suis allé au supermarché j’ai eu de la difficulté à me rendre. L’ami m’a dis qu’un pas de plus vers l’avant c’est un pas de moins vers la mort, demain je rencontre la gériatre j’aimerais beaucoup trouver une solution. J’ai regardé YouTube plusieurs émissions Paname sur des quartiers parisiens. Hier on a enterré les cendres de la matriarche… Je me concentre et je tente la belle et longue phrase qui permet de se rétablir en l’écrivant, quand même faire beau c’est pas le but quoi que je crois que l’écriture est thérapeutique. Toujours le souvenir de dimanche soir ennuyeux a attendre le lendemain matin pour aller puncher et déprimer encore, je dirais que mes week-ends on jamais remplis leurs promesses. Je pense à ma lectrice privilégiée, j’espère qu’elle apprécie ce que j’écris. J’ai jamais eu les moyens d’apprendre, toujours tout fait tout seul avec les défauts que ça occasionne. J’étais content hier de voir mes neveux et nièces, c’est bien qu’il y ais un autre poupon. Si vous me lisez je vous salut. Ce soir je suis quand même triste comme un vieux fou. Je pense que ce seras pas long je vais aller prendre l’avion. J’ai pas encore décidé de ma destination mais j’attend d’être inspiré. Y’a toujours l’idée d’essayer de survivre à cette folie à cette schizophrénie… être positif c’est ce qu’il y a de plus difficile. Dans ma tête ça se bouscule de tout les bords, je devrais peut-être me rendre au bord de la mer ? Et d’une autre façon à New-York si y’ a quelqu’un qui veux venir avec moi faites moi signe. Mais je serai pas trop enthousiaste j’ai toujours de la difficulté à marcher, je sais pas si le médecin va trouver une solution. Je veux partir mais j’ai des engagements je crois que je vais attendre au prochain printemps, tout à coup la tristesse est là demandez moi pas pourquoi, je me souviens plus avec qui je parlais de solitude comment avec l’âge elle était devenue moins intense. Lentement je termine et j’attends vos commentaires ce seront mes derniers mots pour aujourd’hui. J’y arrive, j’y arrive ! J’espère que vous avez bien dormis moi j’arrête là. Bonne journée !

30/09/2024

samedi 28 septembre 2024

 

Bonjour ! Belle cérémonie ce matin toute empreinte de simplicité. Maman a réussis à nous réunir encore une fois ! Je sais vous croyez pas que je suis poète et je le crois pas plus que vous mais j’écris quand même. Hier on a diner au restaurant, la famille y était maman aurait été heureuse. Cette nuit j’écris sans savoir ce que ça prend pour être poète où en tout cas écrivain. Je sais pas, je sais plus, j’ai jamais su tout ça ça reste des tentatives. Je pense à ma lectrice privilégié qui y crois pas, j’aimerais ça qu’elle joue le jeu. Hier y’a un gentil cousin qui m’a ramené chez moi je lui dis merci. J’ai le cœur gros, on a tout fait reste que le temps… On a écouté une chanson de Paul Daraîche par Isabelle Boulay c’était émouvant. Des fois il faut que je me ramène, si j’écris c’est parce que j’aime ça. La regrettée Marcelle m’avait raconté qu’une fois les voix s’étaient tue qu’elle s’était sentis bien pour ceux qui l’ont connus c’est pas rien. J’ai de la peine en grand chigneux que je suis, il ne me reste plus qu’a demander aux anges de veiller sur moi. Je voudrais bien faire autre chose que m’arracher le cœur, me briser l’âme dans des propos insipides. Dites moi quoi faire si vous jugez que mes écritures sont inutiles étrangement ça me garde dans la réalité. Pas longtemps avant qu’elle parte la matriarche m’avait demandé un livre que j’ai publié, je lui en ai posté un, j’espère qu’elle vas en parler au ciel. Vue de loin comme ça un gars qui gribouille c’est pas autre chose qu’un malade mental ça fait partie de la stigmatisation, y’a des années que je me bat contre ça… Pardonnez moi tout le monde, je fais ce que je peux j’ai pas étudié c’est quand même pas une raison pour laisser le champ de bataille. Je crois pas commencer a faire des casse-têtes. Aujourd’hui c’est dimanche j’espère que la matriarche va veiller sur moi. Je préfère écrire que me bercer faites moi signe si vous aimez ce que j’écris, je doute toujours… Je crois que pour écrire et publier du moins ne pas être un inconnu ça prend un bon nombres de qualités que j’ai pas, on m’a pas sortis du panier. J’aurai encore écris j’espère que vous avez aimer. Bonne journée !

29/09/2024

 


 

Bonjour !  Demain on va commémorez maman. Après on mange au restaurant. Je suis pas allé très loin aujourd’hui… Passé un test covid il étais négatif, tant mieux. Je pense que ce soir cette écriture me mèneras à rien. J’écris lentement et suis toujours et encore dans mes rêves de Paris Je sais pas si je pourrais vivre à Paris, j’ai eu toute la difficulté du monde pour vivre à Montréal qui a pas les traits de Paris, seul  là bas ça fait quoi ? Bon ! Rasé, douché, parfumé ça fait du bien. Je me suis couché tôt je voulais prendre le temps de vous écrire. Je regarde la série Serge à Paris c’est bien, plus tard ce matin je vais regarder La Grande Librairie. C’est samedi cette nuit plusieurs s’en sont donné à cœur joie, moi je suis plus de cet âge. J’ai déjà pris tout ce que la nuit avait à offrir. Ce matin je suis calme, j’ai hâte de voir toute la gang malheureusement il commence a manquer du monde, quand j’allais à Terrebonne c’étais pour voir maman, elle n’est plus là… Longtemps la nuit j’étais ivre je titubais en marchant sans savoir où j’allais dormir. Je pense aux amis du théâtre Aphasique je sais pas si ils seront partie encore longtemps, en tout cas je les salut. J’ai très hâte de partir encore une fois, j’ai lu quelque chose sur la nostalgie des départs, l’état d’esprit où on est avant de partir à l’aérogare. En même temps j’ai toujours été étonné par la ville, un moment c’étais la place Jacques Cartier dans le vieux Montréal ensuite c’étais le carré Saint-Louis sur Saint-Denis y’en a d’autre où on pouvais se procurer des substances interdites. Aujourd’hui vaux mieux pas toucher à ça c’est des tue monde. Je crois que l’automne est arrivé, je pense aux toxicomanes sur la rue, maigres des plaies plein le corps ils s’injectent sans se cacher. J’aimerais bien avoir une solution à tout ça ces nouvelles substances assassines. Je suis toujours étonné et heureux d’entendre comment c’est silencieux la nuit dans l’édifice. J’ai remarqué que quand on reste calme les choses s’arrangent. Encore une fois malgré tout je vous aurai écris… J’ y arrive quelques mots encore, j’ai hâte, je le répète de voir tout ce monde. C’est pas les meilleures circonstances mais maman valait bien ça. Voilà! Bonne journée !

28/09/2024


jeudi 26 septembre 2024


 

Bonjour! Grosse journée où j’ai partagé mon vécu à travers la schizophrénie. Je crois que parfois les gens croient que je suis bipolaire moi je m’en tiens à mon diagnostic de schizophrénie avec comorbidité. Cette maladie là permet pas qu’on doute ça peux me couter la vie. J’ai raconté cinq fois mon histoire je crois que ça a plut qu’ils en ont appris un peu plus, c’est ma façon à moi de combattre la stigmatisation. Ça se passais au collège d’enseignement général et professionnel André Laurendeau, notre belle jeunesse était là… Y’avait quelques commentaires sur notre présence du genre « on est rendu là ». Moi je suis toujours entouré de personnes qui souffrent de maladie mentale. J’en ai pas souvent conscience pour moi c’est tout le monde. Au collège les étudiants travaillent, je crois que c’est une belle et bonne chose qu’on a fait aujourd’hui les collègues semblaient heureux. Là où j’ai de la difficulté c’est de parler travail, j’y crois pas, j’y crois plus je suis trop vieux. Parfois je crois que le mode de vie urbain m’a rendu malade, les rues sales de Montréal… N’empêche je vais encore partir aller voir ailleurs… La ville tic toxique. Je vous ai pas dis j’étais avec des étudiants et des étudiantes en travail social, c’est agréable de « travailler » avec eux. Demain y’a une cérémonie au cimetière de Terrebonne on dis un au revoir à Maman et on va méditer un peu sur la pierre funéraire. Aujourd’hui ça me faisait drôle d’être au CEGEP quelques souvenirs des flashs des court moments que j’ai passé là. Je pense à ce sympathique et aimable enseignant du cours discours poétique que j’ai pas réussis mais où le même prof a confirmé ma voix  et ma voie de poète… J’ai mangé quelques gaufrettes, je suis loin de la décadence du gros rouge qui tache, les biscuits ça fait surtout pensés aux Madeleines de Proust. Réunion Zoom ce matin je serai là c’est un comité sur le rétablissement. Je pensais qu’un jour je cesserais de délirer sur certaines de mes activités, faut croire que ça m’a marqué j’en parle encore… J’ai sommeil je vais essayer de terminer avant d’aller dormir. C’est vraiment l’automne, dans les cantons de l’est les arbres sont colorés. J’étais heureux de vous écrire maintenant je me tais sans surprise, J’y suis quand même encore arrivé, voilà, merci, bonne journée !

27/09/2024

 

mercredi 25 septembre 2024


 

Bonjour ! Ce soir j’ai mangé du poulet Au Coq avec les voisins pour mon anniversaire. J’arrive pas à me souvenir de mes rêves. Je fuyais je ne sais où, qui, où quoi, ais démarré le climatiseur je prends un café, ai écouté l’émission  Macadam sur les quartiers centraux de Paris. Cet après-midi je participe à une bibliothèque humaine. Je vais essayer de faire voir de l’intérieur la schizophrénie. Je sais pas si je devrais apporter des copies des livres que j’ai publiés… J’ai toujours le désir de partir. Je me suis couché tôt, mon café s’est refroidis. Dans deux jours on va rencontré la fratrie, ça va être émouvant maman seras pas là autrement qu’en esprit. Je trouve pas, je trouve plus quoi vous raconter, samedi on va manger au restaurant. Je peux pas m’empêcher de vous écrire que je trouve qu’il y a beaucoup de monde de partis. Paris, Rome, Florence voilà trois villes que j’aimerais visiter, souvenir de rêve qui me reviens on me volait.  C’est l’anniversaire de mon bro aujourd’hui, le temps passe trop vite, on lui en souhaite un bon. Je me souviens la matriarche disait qu’elle dormait trop elle racontais qu’elle allait rester assez longtemps endormis, elle parlait de la mort et de la petite mort qu’est le sommeil. La peur de la mort en voilà une qui se rajoute de toute façon on ne peut rien y faire. J’espère réussir a passer mon message cet après-midi un pas de plus contre la stigmatisation. Y’a un voisin qui me demandait pourquoi j’habitais ici depuis si longtemps, il semble pas se rendre compte comment la nuit c’est tranquille comment ont peux dormir. Quand même je devrai partir encore parce que la vie est dans les départs même ceux qu’on a raté. Encore quelques mots, cet après-midi je dirai la maladie et le rétablissement, j’espère que ces jeunes auront pas trop d’idée arrêtée. Je suis content de cette initiative du professeur de travail social, un schizophrène en vrai ! Pas plus dangereux qu’un autre, c’est ce qui se passe dans la psychose que je devrai transposer, pas facile… Ce soir j’ai presque terminé, j’ai hâte de commencer ma journée plusieurs mots encore pour vous rappeler qu’il ne faut jamais arrêter d’espérer, le mieux est toujours à venir. J’ai pas envie de terminer avec une formule toute faite. Voilà ce seras ça pour aujourd’hui. Bonne journée !

26/09/2024

mardi 24 septembre 2024

 

Bonjour ! La journée est finie à la radio un artiste nous dis de garder espoir. Souvenir d’années difficiles où j’étais désespéré et battus où je n’arrivais à rien. Samedi s’en viens avec la commémoration familiale. Je pense être déprimé j’arrive plus a regarder la télévision. https://youtu.be/FOVzyY52ki4  Je m’ennuis de Paris, de la Contrescarpe, de l’accordéon musette et sa musique dans le métro ce sera pas avant le printemps prochain. Comme toujours je regarde Paris à la télé. Ce soir ici ça ressemble beaucoup à l’automne. Je suis triste de ne plus pouvoir parler avec maman… Montréal on devrais y rester confiné pourtant… Souvenir de cette grande angoisse quand j’ai quitté la maison paternelle c’était invivable, je savais pas, plus, comment vivre tellement pénible. J’ai parfois peur de devenir anxieux maladif. Je vous ai assez parler de Paris, je vais essayer comme souvent de vous traduire mon monde intérieur ce grand sentiment qui parfois ressemble à de la détresse, le désarroi c’est pas très viril, heureusement avec le temps ça s’est alléger, les jours sont devenus moins sombres. Je pense à Charlie au nouveau bébé de ma nièce et mon neveu, je crois que pour eux c’est que du bonheur. J’ai toujours le souvenir de la regrettée matriarche qui se promène dans le trailer du tracteur chez ma nièce c’était amusant de la voir. Je sais pas si je vais arriver a écrire mon étât d’âme, une façon de faire pour qu’on se paye ma gueule d’une manière cynique. À l’époque je lisais Pilote et Charlie Mensuel je sais pas ce que les jeunes ont lu… Paris ça viens un peu de ces revues c’est là qu’étais la rédaction ça essaimait a travers la francophonie. Un beau courant une belle époque, ça allégeais un poids, on s’y voyais ridicule. Côté culture d’une façon on avait l’américaine qui occupait une bonne part de notre univers ensuite y’avait la française toujours très rare et pour le reste la québécoise, je schématise à l’époque ils parlaient d’un melting pot. J’aime quand même le cinéma espagnols et le sud-américains parfois je regarde du cinéma engagés. Sans parler des sous cultures LGBTQ, ils prônent la différence pour mieux vivre ensemble disont que c’est la culture d’un aspect sociologique.. La France est quand même assez grande et forte pour avancer la sienne n’empêche parfois une dépeint sur l’autre, traduit et formatise ça y est. Bonne journée!

25/09/2024