Bonsoir!
Bonjour! J’en rajoute un autre j’espère que vous pourrez le lire j’ai changé
quelques réglages. J’ai vu que les précédents sont disponibles. Je suis heureux
on s’intéresse encore à un de mes textes d’il y a quelques années si ça passe
l’épreuve du temps c’est tant mieux… Je crois que les voyageurs reviennent
aujourd’hui… Cette nuit comme souvent j’entends des passants qui crient… Ai
mangé des céréales, ça intéresse personne… Mon lecteur de Deux-Montagnes me
dirait si ça se fait pas en quelques clics c’est bon à rien… Je vous écris
jusqu’à minuit et après je vais me coucher, il est tard… Non! Je me couche pas
tout de suite, j’ai réussis à faire ce que je voulais avec les photos de
cabanes de pêches bretonnes, moi elles me rappellent un roman de Philippe Dijan,
merci à ma lectrice voyageuse… Je me vois dans une cabane, j’attends le
poisson, je remonte le filet avec la marée, ça me prendrais quelqu’un pour me l’enseigner
cette pêche… Je sais pas comment elles se portent les cabanes par mauvais temps…
Je pense que vous pouvez me lire, Facebook sort mes textes… Je sais pas si y’a
des bretons qui s’appellent Saulnier? Ça fait huit jours que j’écris dans le
désert… Je pense que je vais faire une super grosse liste pour avoir votre
réaction… Trois heure du matin je reprends la rédaction… J’ai perdu les mots,
je trouve plus j’ai beau chercher j’ai pas le propos, autant cesser d’écrire…
Mais non je continue, y’a un camarade qui édite un de mes texte, ça fait
longtemps que je vous ai pas dis mon senti… Je pleure un peu sans trop savoir
pourquoi… Toujours la nuit j’ai pas beaucoup dormis, mes lecteurs de Gatineau
sont peut-être déjà dans l’avion. En ce moment je pense moins à partir, j’irai
pas vers la pauvreté extrême des Indes. Je regardais les publicités de La
Guadeloupe ce serait une belle destination pour cet hiver. Si le trois fait le
mois ça devrais être pas mal voilà que je tombe dans les banalités, je sais pas
pourquoi quand j’écris je pense à Roger Lemelin et à la famille Plouffe aux
cretons Taillefer aussi… C’est toujours la nuit, quelques mots pour vous dire
mon désespoir toujours le même celui d’être incapable d’affirmer que je suis un
« artiste ». Ils me font rire ceux qui l’affirment sans sourciller.
Disont que je vais faire comme si…https://www.bing.com/videos/search?q=TNM+Je+veux+de+l%27amour&view=detail&mid=A7B62E87A2FD82C21298A7B62E87A2FD82C21298&FORM=VIRECeux qui veulent savoir ce que je pense
peuvent visionner ce qui précède.Quand
au sport la difficulté c’est de marier les médicaments aux activités sportives
c’est très difficile, Voilà! Je vais bientôt terminer ce texte en essayant de vous
rédiger une chute pas trop malheureuse, quelques mots encore pendant que la
nuit passe et qu’on arrive au petit matin. Voilà c’est jeudi j’essaye de
rédiger une conclusion digne de ce nom. Comme toujours je vous remercie d’avoir
lu jusque-là!!! Quelques mots encore j’en finis pas. À la prochaine je l’espère!!!
Au revoir!!!
Bonjour!
Bonsoir! Après-midi tranquille, milieu de semaine. Parfois quand je suis pas
trop stimulé la schizophrénie me laisse tranquille. Les voyageurs de Gatineau
seront bientôt de retour, j’aimerais bien les rencontrer quand ils seront
reposés. Je pense à un ami avec qui j’ai plus de contact, je sais pas ce qu’il
devient. Je sais pas trop quoi vous écrire dans ce journal de mon senti. Y’a
encore du monde qui s’intéressent à mes textes. C’est bien, ça vieillis pas
trop. Lendemain de la paye, plusieurs sont passé tout droit et ont pas payé le
loyer en entier, ils ont bien bu bien mangé et maintenant ils se prennent la
tête… Je suis bien quand je débute le mois en remplissant mes devoirs… Je peux
dormir en paix, je refile plus mon argent au serveur pour de la bière… Je vais
essayer de pas boire aujourd’hui, je lisais dans un livre un entretien avec un
chercheur en santé mentale qui étais d’accord avec la démarche des Narcotiques
Anonymes, moi aussi je trouve ça très intéressant, je me rétablis… J’écrirai
pas beaucoup là-dessus, y’a des gens qui connaissent cette démarche et qui me
lisent. Adieu l’ivresse, j’en revenais jamais… J’aime bien être sobre et me
tenir loin du bar du coin… Y’a moyen d’écrire sans être aviné, pour être publié
c’est une autre histoire… Jeremercie l’ami…
Je me souviens de différentes éditions papier… Je sais pas si vous lisez ce
blog, moi je le nourris en espérant que c’est pas trop pourris… Écrire! Voilà l’idée,
vous dire ma santé… C’est un peu fou mais j’espère toujours que vous aimerez. Y’a
tout ceux qui sont prisonnier de l’alcool et qui espèrent arriver à quelques
choses… Je suis déjà vieux j’aurai mis en mots quelques réflexions, je veux pas
m’auto-stigmatiser, je ne fais que le possible… La semaine passée j’ai croisé
de vrais écrivains, j’ai pas discuter avec eux j’étais trop impressionné… Dans
tout ça J’ai de la difficulté à m’affirmer comme un artiste. J’arrêterai quand
même pas d’écrire tout de suite… J’essais de construire plutôt que de me démolir,je pense aux effets secondaires des
médicaments qui sont disparus, c’est bien pas trop de Parkinson… Comme tout le
temps je vous dis de pas hésiter à me commenter si vous lisez… Ce seras mes
mots pour aujourd’hui, eux ils savent ils ont appris sur les bancs de l’école,
moi j’essais tout seul. Il est tard pour les classes, c’est une autre de mes
thématiques, je vais peut-être repartir en voyage pour m’inspirer… Je pense à
cette fille de ministre toxicomane qui est partie en Asie et n’est jamais
revenue... Dimanche passé on me demandait comment je faisais pour voyager, j’ai
répondu que c’était très simple, j’ai aucune difficulté aux douanes, je suis
pas sous curatelle. Je sais pas pour quand le prochain départ. C’est la chute
qui arrive, la conclusion, quelques mots encore et comme toujours je vous
remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À
bientôt!!!
Bonsoir!
Bonjour! La soirée est pas encore terminée je suis déjà dans l’écriture…
Avant de me coucher j’avais déjà hâte de vous écrire… Je crois que les
voyageurs de Gatineau vont être de retour bientôt… Je me suis couché tôt cette
nuit… Demain mercredi je vois pas le temps qui passe, souvenir du patriarche
qui parlais de son frère. l’oncle, propriétaire de la shop, qui avait été
victime d’un accident cérébraux vasculaire mon lecteur technicien à la Rolls
Royce était devenus son chauffeur. Ce sont de vieux souvenirs pendant ce temps-là
je balayais dans cette même shop, j’ai encore mal de vous le raconter. J’avais
appris que le puissant c’était le propriétaire des machines, j’étais pas grand-chose
avec mon balai… La paye peu importe le montant me rendait pas heureux, je
souffrais en sueur en nettoyant le compound… C’est y’a longtemps à peu près
quarante ans… J’aurai survécu à ces mauvais moments… Je trainais mon balai en
discutant parfois avec l’un ou l’autre des machinistes. Je terminais toujours
de la même façon et au même endroit mon shift de nuit… Combien de fois je suis
partis de cette shop en disant qu’on ne m’y reprendrais plus, mais j’y
retournais toujours, trois ou quatre fois, j’étais dur de comprenure je voyais
pas que c’était pas ma place… S’te maudite place j’ai jamais su ou elle était,
ça a pris du temps pour que je m’accroche à l’écriture… Le malheur puisqu’il
faut bien le nommer, me poursuivais, jusqu’au moment ou la maladie m’a agressé,
j’étais perdus j’étais vidé. J’allais au bureau du patriarche qui m’envoyait
voir mes « gars », le psychiatre, à Saint-Jérôme… Il croyais qu’avec
une voiture j’irais mieux mais c’était pas le cas… J’avais toujours hâte de
partir de cette shop, de toute façon j’y faisait rien d’essentiel, ils avaient
pas besoin de moi. Mais non je suis pas devenus voleur de sacoche, juste
schizophrène aidé par l’environnement, cette nuit ça sent le parfum, je sais
pas ce qu’est devenus le gars qui me disait que ce serais mon avenir le vol…
Cette vie dans la shop j’en voulais pas, on m’a pas aidé à faire quelque chose
de plus valorisant que balayeur, j’ai jamais trouvé autre chose pour m’aider
que la lecture, balayeurrecycleur je
travaillaistoujours avec la merde. Je
vous raconte ça, je suis quand même responsable de ce que c’étais, y’a
longtemps je suis trop vieux et j’y retournerai pas, de toute façon l’oncle est
décédé, la shop est vendue… Parfois je me demande comment j’ai trouvé le moyen
de vivre dans cette galère… Huit heures par nuit cinq jours par semaine et ce
grand vide existentiel rien pour m’aider… C’est pas pour rien que je voulais
mourir… Je suis devenu fou comme d’autre deviennent ouvrier… Je sers d’exemple
au gars qui veulent pas entré dans le rang. Voilà! Ce seras ça pour cette nuit.
Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!!
Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!! Bye!!!
Bonjour!
Bonsoir! J’ai fait la sieste, aujourd’hui il pleut. Je me sens bien… J’ai des
sentiments des émotions rapportées de voyage… Je pense aux élections, pour qui
je vais voter. Hier j’ai parlé avec mon lecteur de Deux-Montagnes on se disait
qu’on en avait moins en avant que derrière. Je pense aux travailleurs des
partis politique, je sais pas pourquoi ils font ça, ils veulent pas tous
devenir premier ministre…J’écoute ce
que me dis mon discours intérieur, y’a l’entrevue que j’ai donné dimanche je
crois que c’est bien. J’ai précisé que c’était pour aider… Qu’il est possible
de se rétablir. Aujourd’hui les pauvres vont pouvoir manger ce qu’ils veulent…
La misère est quand même toujours là on essaye de vivre mais parfois on y
arrive pas, c’est octobre déjà le temps file si vite… Je sais je suis
doublement stigmatisé, par la maladie et par l’aide sociale, certains disent qu’on
a tout gratuit c’est pas vrai, on paye cher de notre santé mentale… Je vous ai
pas raconté que mon histoire est en première pages d’un livre intitulé Ma tête
mon amie mon ennemie, si vous voulez en savoir plus sur moi achetez le, vous
pouvez y lire différent parcours de santé mentale… Octobre ils parlent déjà de
neige, je me prépare un café… Je cherche comment dire qu’il faut avoir de l’humilité,
c’est assez difficile à traduire en mots… Beaucoup traduisent ça par l’humour,
je suis pas drôle trop orgueilleux. Toujours déçu de voir que mes écrits ne s’affichent
plus sur mon fil de presse Facebook… J’ai mon café, y’a des déprimés qui
travaillent et quand ils rentrent chez eux… Triste comme la pluie, j’espère qu’en
Bretagne il pleut pas trop, bientôt les voyageurs de Gatineau seront de retour.
J’ai toujours l’avion dans la tête. Sur les réseaux sociaux je tiens pas
particulièrement à être original… Cette semaine j’ai croisé mon ami directeur
adjoint on s’est rappelé notre voyage en Guadeloupe et notre participation à
différents comités et lieux de parole. Y’avait aussi monsieur Gaudé je crois,
un fonctionnaire français dont le discours concordait avec le nôtre, c’était
bien… Le temps passe… Cette semaine c’est tranquille, je vous écris de mon
repaire de vieux bonhomme. Y’a des événements culturels qui sont dispendieux…
Je préfère écrire… J’assiste plutôt à ceux que les amis animent… Le café m’a
réveillé, j’essais de m’encourager à vous écrire. Y’a toujours ce parfum… Je
crois que cette année je partirai pas à moins d’avoir de la compagnie, je suis
pas un grand fan de plages quoi que celles de la Guadeloupe étaient bien… Tout
ça c’est déjà des souvenirs… Je me rétablis, j’y arriverai jamais complètement…
C’est un peu décevant… J’ai presque terminé, j’espère que ça vous plait.
Quelques mots encore, cette semaine on me demandait combien ça faisait de pages
mille mots, quatre, en voilà deux pour aujourd’hui. C’est la chute comme
toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!!
Au revoir!!! À bientôt!!! Arrivederci!!! Ça y est!!!
Bonsoir!
Bonjour! Il est tôt dans la nuit, je dors très mal et préfère écrire, pour une
rare fois hier j’ai jeté de la bouffe, le foi de bœuf étais plus bon… Cette
nuit j’attends un dépôt, il est presque vingt-trois heures. Hier on se fiait
trop sur l’alerte que donne facebook plutôt que d’aller directement au
blog… Mon lecteur de Deux-Montagnes dis que c’est inutile d’essayer de
troubleshooter facebook, y’a trop de paramètres différent… Encore une fois je
ne rêve pas un avion arrive à Montréal, je l’entends… Je salue le nouveau
lecteur un artiste visuel… Je sais pas comment écrire avec bonheur… Je suis
réveillé, je dois pas attendre avant d’écrire de peur de m’endormir… Hier à la
radio ils parlaient des multiples visages que prenait l’art contemporain son
côté insaisissable, les diverses pratiques allantjusquà beurrer de son sang… La difficulté de
définir ce qu’est un artiste… La chanteuse « je suis un saule » comme
dans Saulnier « insaisissable, le plus désemparé des arbres » il
pleure quand il voie les oies s’envoler vers le sud… Dimanche on m’a mis en
boîte, canné pour la télé, cette nuit à partir de minuit on va confirmer mes
préjugés, les collègues prestataires n’hésiteront pas à étancher leurs
soifs… La difficulté c’est de ne pas répéter ce que j’écris ni même ce qu’un
autre a écris… Je me contredis tout de suite j’ai pris une douche me suis
parfumé… Et si c’étais un autre que moi qui écrivait tout ça… J’ai pas de
signature numérique… Semble qu’a l’institut y’a un nouvel adjoint à la
direction santé mentale et dépendance qui n’y connais rien… J’ai sommeil, j’écris
des bêtises… Hier soir mon lecteur de Deux-Montagnes m’a téléphoné, il m’a dis
combien ça coûte une loge au centre Bell c’est pas disable… J’ai dormis c’est
le milieu de la nuit. Mardi le premier octobre, la rue, le quartier latin sont
noir de monde on cherche encore un endroit pour cuver notre vin. Je réussissais
à oublier je voulais pas rentré j’étirais la nuit, je me rappelle ce grand bol
à salade sur le bar, on y jetais des billets de banque… Cette nuit j’ai le
senti endormis, j’ai dormis un peu, je suis encore dehors la nuit c’était ma
vie, maintenant je ne consomme plus je sais quel monde j’ai quitté heureusement
je suis pas mort je peux vous en parler… Je reviens à mon senti la nuit à mes
tentatives de prosodie… À la fin dans ma chambre je savais pas, je savais plus,
maintenant j’ai plus rien à me reprocher… Des nuits perdues dans l’odeur d’alcool
, c’est toujours mon sujet de prédilection… J’ai jamais vue des taches comme
nous, je fuyait les tracas et j’en créais d’autre… Voilà! Ça ressemblait à ça
ma nuit, toujours dans les souvenirs senti. Quelques mots encore pour pas être
en reste. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là, n’arrêtez pas c’est
la conclusion!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!!
Bonjour!
Bonsoir! Lundi après-midi de retour d’une réunion de mon groupe d’entraide, ça
en était une belle on a tous raconté notre passage dans la souffrance comment
on se rétablis… Parfois y’a de la révolte dans le rétablissement, moi j’y crois
pas, la révolte ça mène à la rechute… Ça m’étonne toujours d’entendre le
discours critique de personnes intelligentes… Moi y’a plein de choses que je
comprends pas… Mon introspection a ses limites, je veux pas retourner dans la
psychose. Je m’abandonne… Encore aujourd’hui je cherche… Le temps est frais, on
parle souvent de la température quand on a rien à dire… Je suis toujours étonné
de voir comment le temps passe si rapidement… Je prends de l’âge, je vieillis
on me laisse aller. Je me questionne sur toute cette violence, encore la
révolte que je crois pas nécessaire, souvent les violents sont des gens dont on
a abusé pendant l’enfance, ils ne tolèrent pas l’autorité… J’ai mangé une pomme
McIntosh, je racontais aux amis comment parfois quand j’écris les larmes me
montent aux yeux, sans que je sache trop pourquoi, j’ai le senti déglingué… Ça
été long avant que je puisse dire que je suis chez moi parfois j’ai encore ce
que j’appelle mon syndrome de l’envahisseur, on déplace les choses quand je
suis pas là… Ce sont des restes de schizophrénie… Je vous ai déjà écrit
là-dessus… J’ai quasiment scrappé ma vie… Quand même, je suis encore vivant
malgré tout, la saloperie de maladie je la vie par épisode… Tout à coup j’ai
les doigts qui sentent l’ail pourtant j’en met plus dans tous les plats comme
avant, j’aimaisla baguette et le beurre
à l’ail… Tous ces mots perdus dans une machine informatique, je sais pas si le
blog peut vous servir… Dehors la circulation est bruyante…Hier j’étais dans le
vieux Montréal, y’a longtemps que j’y avais mis les pieds, je fréquente pas l’accueil
Bonneau bien que je pourrais… J’arrive à manger, à me cuisiner des choses sans
trop demander… Je vous écris ça et après je passe à la cookerie, ce seras du
foi de bœuf… Dans cette fin d’après-midi j’ai sommeil, je me coucherai pas tard
ce soir… La brûlure que je me suis fait dans la paume de la main est presque
disparue, ça ne fait plus mal… Ha oui! Je vous ai pas dis qu’hier j’ai
rencontré le conférencier santé mentale de Québec… Pas dis grand-chose… On s’est
rappelé notre rencontre à Milan en Italie… Ce gars là il a plus de talent que
moi pour s’organiser, moi j’ai toujours peur de décompenser, ça m’empêche quand
même pas de voyager… Si vous voulez que je vous parle de rétablissement vous
pouvez toujours me demander… Je vous expliquerai comment j’arrive à vivre avec
la schizophrénie… Voilà! J’en suis presque rendus à la chute, c’est ce qu’il y
a de plus difficile je sais jamais comment terminer. Comme toujours je vous
remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À
bientôt!!!
Bonsoir!
Bonjour! Pour une rare fois dans mes habitudes je bois une tisane. Hier dans
l’après-midi me suis rendu dans le vieux Montréal, ai repéré les studios où
j’avais affaire pour ensuite marcher dans ce quartier bondé de monde… J’ai pris
quelques photos et j’ai flâné sur un banc, au tournage les gens étaient très
gentil. J’ai répondu du mieux que je pouvais à leurs questions… Mon collègue
était très sympathique, j’ai croisé Luc Vigneault le célèbre conférencier lui
ai serré la main il se souvenait de moi… J’entends un avion je crois qu’il s’en
va atterrir à Dorval. Le vieux Montréal étais plein de monde et me rappelait la
fin des années soixante-dix, les terrasses de restau et de brasseries bien
pleines. Ce vieux quartier est envahis par les touristes dans le temps dirais
le vieux que je suis devenus ont allais trainé place Jacques-Cartier… Je me
cherchais une copine mais je cherchais pas à la bonne place … Je me souviens
casquette de baseball et lunette de soleil dans le visage je regardais passé
les filles et un anglophone me le reprochait… et la vie a continué, j’ai
réussis ma schizophrénie, très malade j’ai consulté des psys sur les avis d’un
client du café Campus… Cette nuit je sais plus trop quoi vous raconter… Hier j’ai
répondu aux questions… Je dois pas trop parler sur ce blog de mes
histoires financières mon domaine c’est la poésie pas la finance… C’est réglé…
Ce matin je vais au groupe d’entraide, hier à l’enregistrement de l’entrevue,
le collègue est arrivé plus tôt que moi, plus anxieux je crois… Je crois qu’il
y a plusieurs personnes qui souffrent où qui on souffert qui rêvent d’aider une
fois rétablis, ils veulent se servir de leurs expériences, l’expérientiel qu’on
appelle ça chez les professionnels… On dis de moi que je suis un rat pourtant
je ne fais qu’une chose je combats la stigmatisation, je vends ma salade sur le
rétablissement. Je suis trop anxieux et trop vieux pour gagner ma vie comme du « monde ».
C’est toujours la même chose vous me voyez avec le stupide balai dans les mains
pour dire que je suis actif, je voudrais plutôt être stimulé
intellectuellement. N’empêche parfois j’ai envie d’arrêter tout ça… C’est l’automne,
plus frais, j’ai bien aimé m’asseoir sur un banc de parc hier et profiter des
derniers rayons de soleil qui chauffent encore… Malgré tout je reviens toujours
à la culpabilité, comment je voudrais être blanc comme neige dans ma vie d’avant
on m’appelait le pur, j’ai jamais compris pourquoi, on aurait bien aimé que j’anime
des soirées de poésie mais j’étais beaucoup trop saoul, beaucoup trop fou… Je
me suis toujours demandé pourquoi certains cercles littéraire étaient peuplés d’ivrogne,
pourquoi alcool rimait avec poésie… Voilà! C’est la chute, quelques mots encore
pour la conclusion. Je pensais pas être capable de vous écrire cette nuit. Mais
ça y est! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la
prochaine je l’espère!!!