lundi 8 août 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Je reviens ce soir, ai regardé un film avec l’amie, une sorte de comédie musicale, c’était pas mauvais… Dehors une voiture passe la musique au fond. Je vais essayer de me fouiller dans les tripes et vous écrire ça comme un crachat de congestion. Y’a longtemps que je ne suis plus inspiré, j’ai écrit tout ce qu’un pauvre bougre du bas de la ville, du goulag occidental, peux écrire. Je vous écrirais bien à propos de l’amie… Y’a un doux parfum ce soir chez moi. J’ai une pensée pour le bébé de ma nièce qui arrive bientôt. J’ose plus vraiment écrire d’une façon qui grafigne, qui égratigne. Ce soir j’ai bien aimé être assis sur le sofa avec l’amie, mon bras caressé par ses doux cheveux… C’est pas une chronique de finance je vous écrirai pas sur mes cartes de crédits. J’étais chez l’amie dans Hochelaga on entendait les gens gueuler comme dans un bon quartier populaire… Y’a des activistes qui veulent pas que ça se gentrifie, peut-être oui mais les gens devraient apprendre à vivre… Je pense que ce sont les anarchistes du Black Block, c’est vrai qu’il vaux mieux ne pas déménager quand on a un loyer pas cher. Je pense à L.F. Céline et son discours sur le petit commerce… J’aime beaucoup serré l’amie dans mes bras. Je saute d’un propos à l’autre… Je suis perdus mais perdus! Quand bien même je vous dirais que j’ai mal à la tête, ça passeras pas… Souvenir d’un bracelet en or trouvé sur le trottoir, bien des années plus tard ma mère se l’ai fait voler… Un écrivain ça écris avec une introduction un développement et une finale. Y’a rien de ça dans ce que j’écris c’est un délire sans fin, comment dire, comment écrire une préface le début est déjà loin. Ça vous dis pas mon état d’esprit, ce soir j’en arrache je suis fatigué… J’ai comme une odeur d’alcool dans le nez. Je m’inventerai pas des malaises, j’ai quelques petits problèmes mais qui n’en a pas. Ça fait pas de la poésie tout ça, je vais m’y mettre bientôt et vous écrire des vers sans savoir si je vais y arriver. C’est pas en écrivant des phrases pareilles qu’on arrive à la poésie… Je sais pas pourquoi j’écris autant ce désir de poésie, je voudrais écrire des poèmes de fin du monde et de résurrection, d’épiphanie aussi, les rois n’ont rendus visite qu’au messie, les mages dirais-je… C’est un peu tôt dans l’année pour mentionner ça quoi que j’aimerais bien rendre visite au Sauveur. La religion ça fait pas de la bonne poésie quoi que la bible et son cantique des cantiques. Le regretté Gérald Godin avait écrit ses cantouques. Moi je manque d’imagination, pauvre fou que je suis. Quelques mots encore… Je cherche où elle peut être cette conclusion, j’essais d’imaginer sans pour autant en avoir dans le nez. J’arrête donc ça en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! À bientôt!!!

Bernard

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Ce matin j’ai prélevé des échantillons pour le médecin. Il faut que je les ramènes à l’hôpital. Hier on m’a fait une très belle fête. J’étais heureux, je remercie ici tout le monde… Je les ai vraiment mes soixante balais, je croyais pas me rendre là… Il est deux heures douze le matin… J’ai pété la languette d’un des tests je sais pas si ça va quand même être bon, je prends ça comme si c’était une grave opération chirurgicale ratée… Hier j’ai été très ému de tous ces souhaits… Je pue, je prends une douche, voilà c’est fait douché et parfumé. Je cherche, dans ma tête ça se précipite, on pense au bébé de la nièce qui devrais arriver bientôt, hier les trois frères et la matriarche étaient là, manquait que la sœur occupé avec sa grande famille. Je vous écris ça et je me recouche, j’ai plus de sonnerie qui annonce les courriels. Dites à Antoine qu’il va recevoir d’autre lecture bientôt. Bon c’est fait! Je suis allé porter mes prélèvements à l’hôpital et là je prends mon café dans la magnifique tasse que j’ai eu en cadeau. Hier à la gare je me suis fait engueuler en anglais par une folle je sais pas pourquoi ni ce qu’elle voulait quand j’ai voulu l’approcher elle s’est sauvé… Je suis calme ce midi, j’avais commencé à vous rédiger ça dans la nuit, je suis retourné au lit et je me suis endormis, je reprends ce midi… J’essais de faire pour le mieux, le goulag occidental est chaud et ensoleillé. Comment vous écrire que je suis pas en extase, y’a un ami qui dis que je suis un génie pourtant je travaille pas à la NASA . « T’attend ton train »-Dyonisos https://www.youtube.com/watch?v=Bc4S4p0VKZo y’en a surement pas beaucoup qui se souvienne de ça. Je m’étais fait assommer à un de leur show au parc Ahuntsic. J’ai jamais vu le show j’aurais pu mourir… C’est quand même beau temps pour les itinérants bien que la rue c’est fatigant. Je pense que si j’étais rendu là je me chercherais déjà un abri pour l’hiver, ce matin dans l’autobus j’ai croisé un écrivain qui semble avoir des problèmes neurologiques, je pense que c’est le genre de problème qu’on a quand on cesse la médication, c’est comme si il avait la danse de Saint-Guy… Mon amie la danseuse viens de me téléphoner elle va me rappeler après sa baignade… Je suis, à bien y pensé, content qu’elle soit dans ma vie. Je demande à ma force spirituelle de ne pas consommer aujourd’hui, je crois pas retourner dans ces univers c’est trop sordides, encore! Toujours mon thème de prédilection, j’arrête ça là. C’est étrange c’est comme si j’étais presser de terminer pourtant mon plaisir c’est de rédiger. Je pense à toute sorte de choses, le bistro Détour, le Cirque du Soleil, le théâtre. J’arrête avant qu’il… Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! On essairas de trouver. À bientôt!!! Au revoir!!!

Bernard

samedi 6 août 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Le soleil se couche lentement, ai mangé une énorme pizza, j’ai plus faim… N’ai plus de souvenirs une vie c’est court, je pourrais vous parler de mes soirées autour de la table de pool à la Brasserie Cervoise, plus tard c’était au bar latino La Playa, deux endroits qui n’existent plus. J’ai appris qu’on avait repris le bistro les Bobards ça devrais démarrer cet hiver… Ce soir je veux être poétique j’y arrive pas, souvent les mots sont rares. J’ai dans la bouche un goût de sel. J’ai un ami qui me surnomme Salieri c’est bien pour Saulnier… Y’avait aussi ces soirées passées aux vingt-quatre vingt à écouter du jazz, parfois je crois qu’on veut me tuer pour avoir laissé mon portefeuille dans un bar du vieux Montréal et être partis sans payer. J’étais tellement idiot et j’avais tellement soif d’alcool. Voilà Johnny https://www.youtube.com/watch?v=S5dfBTj1RhU l’hôtel des cœurs brisés à son âge faut le faire… Je cherche encore, je crois que l’amie danseuse a lu mes textes précédents et que ça ne lui a pas plu, elle répond pas au téléphone. J’ai une mélodie dans la tête je crois que c’est une chanson de Stephen Faulkner je retrouve pas les paroles. Je l’aurai fait j’aurai écris, bientôt le voyage à Washington… Je pense aux hôtels de passe cheap où on ne reste qu’un moment. Mon hôtel de Washington c’est un trois étoiles c’est pas mal. Je sais pas vraiment quoi vous écrire ce soir dans le goulag occidental ce sont les feux d’artifices, j’écris ça je suis pas certain y’a pas de circulation ni de passants et les autobus semblent pas être détournée. J’écris encore le nom de mon hôtel pour m’en souvenir, Comfort Inn Pentagon, voilà! J’ai pas envie de commencer à niaiser avec des appels téléphoniques à l’amie danseuse, c’est l’été. J’aimerais écrire et me laisser aller pourtant je ne sais pourquoi j’ai une tension… Les vacances de la construction c’est bien les deux dernières de juillet? Ça se termine donc dimanche, on est déjà dans la première semaine d’août, en fait je crois que c’est terminé depuis une semaine. Vous voyez ce soir je suis perdu, demain je deviens sexagénaire. La rentrée scolaire pour les jeunes c’est le vingt-neuf août, il leurs reste donc vingt-deux jours de congé… J’essais encore de rejoindre l’amie danseuse, je voulais pas recommencer cette manière de faire, c’est pas une façon de vivre, ça me fait mal… Qu’en diras tu? Je m’étais dit ne plus recommencer ça, je crois que je vous l’ai écrit précédemment mais je l’écris encore pour que ça m’entre bien dans la tête. Je sais j’ai pas la fine plume des grands écrivains, le français c’est difficile en Amérique du nord quoi que ça s’apprend en lisant les grands auteurs, je pense à Paul Valéry que j’ai vaguement lu… Je devrai le lire plus sérieusement pour en parler. Je termine donc en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!

Bernard

vendredi 5 août 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! On a battu un record, il fait très chaud. Cet après-midi je suis allé à l’hôpital pour des relevés sanguins. J’ai pas attendus longtemps et c’était climatisé. J’écoute ce que dis mon âme. « Elle chante au milieu des bois la source et je me demande s’il faut croire en cette légende d’une fille qu’on y trouva »- Henri Dijan https://www.youtube.com/watch?v=QveiL3wdLHQ  Une chanson grave… J’attends le téléphone de l’amie, chez moi c’est frais. J’écoute ai j’ai pas encore trouvé le mot… Je crois pas en avoir besoin si je le trouve pas. Me souviens d’un studio sur Basile-Patenaude dans Rosemont, c’était invivable chaud et humide et on me reprochait de pas rester chez moi, je crevais… Je recommence a chercher le mot, faut pas, c’est pas utile… Je pense au polonais qui avant d’être malade avait des armes à feu , c’est juste pour écrire que parfois n’importe qui est armé… Je suis épuisé, assis devant l’écran je cherche toujours, c’est de la folie. Ce soir ça me dis de continuer, d’écrire même si ça semble niais… Je m’égare entre la plage, la forêt et ces mots pour dire je ne sais quoi… Pour l’instant tout va bien c’est le début de soirée, la gérante de l’édifice a trouvé un chien, un petit terrier abandonné je crois qu’elle a appelé la SPCA pour qu’on s’en occupe. En fait c’est pas la gérante, c’est l’intervenante qui nous aide au quotidien. J’arrive pas à laisser le mot de côté je crois que c’est vernaculaire mais j’en suis pas certain… Je cherche un qualificatif pour la langue que tout le monde parle. C’est fatigant de chercher et de pas trouver… Je laisse ça là c’est pas important. C’est bien vernaculaire un mot à chasser les poux, que j’utilise jamais sinon pour faire mon smatte. Bon je décolle je me censure pas j’essais de faire comme mes maitres les grands poètes décédés, je pense à plusieurs et ceux qui restent je ne les lis pas, la poésie parfois est dans le silence et moi je suis bavard, je me présente comme Bernard grande gueule… Voilà, je les comptes mes mots pourtant ils sont pas rare j’en suis le plénipotentière mais je sais pas ce que ça veux dire je crois que c’est plein pouvoir. Je sais pas ce que je dis c’est pas grave mais faite pas ce que je fait c’est ennuyeux. J’ai pas de rythme. Je veux pas bâcler ce texte, parfois ça ressemble à ça mais j’y pense un bon moment avant d’écrire mes niaiseries. Je ne dis pas je l’écris, pense encore au Balcon Vert à ce copain avec qui j’étais la dernière fois que j’y suis passé, j’y avais écrit un poème dans leur cahier et le copain l’avait illustré. Ce soir c’est pas fameux ce que je vous écris. Il est temps que je termine. Je vous laisse juge de tout ça. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! À bientôt!!!

Bernard

jeudi 4 août 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! L’amie viens de partir, j’arrête pas de faire des gaffes, aussi bien dans ce blog que quand je lui parle. Moi la danse je connais pas ça, encore moins quand c’est pour saisir une démarche de création… Me suis ouvert un Gatorade… Je crois que j’ai marché sur des œufs en posant des questions à l’amie danseuse. Quand on a affaire à des créatrices faut faire attention. Aujourd’hui j’ai fait installer un nouveau modem et un nouveau service de câble télé. J’ai deux guides sur Washington je les regarde un peu… Ai fait un hug à l’amie quand elle est partie. Je sais pas où j’en suis dans mes sentiments pour elle, ont va laisser ça comme ça… Ai regardé une émission sur l’Alsace et la Lorraine quel beaux pays. Ce soir je sais pas pourquoi je trouve que ça pue, la chaleur? Je pense aux formalistes, je sais pas trop ce que c’est, tout est dans la forme? Pas le fond? Moi ma forme elle est toute simple un peu plus près de l’expressionisme, je m’exprime et je suis déjà dépassé par toutes ces belles idées. Je suis pas un peintre j’écris, on m’auras laissé là dans l’écriture de ce qui ne va pas, l’amie s’estime beaucoup c’est bien. Moi, l’estime de moi apparait et disparait comme un petit oiseau effrayé par un chat. Quelle image! C’est pas fort quelques mots et je reviens aux serins, la nuit est déjà bien avancé, ce soir à la télé j’ai vu les Beatles en concert sur le toit de leurs studio, je crois que c’était pour l’album Let It Be ça a fait les beaux jours, si il y en eut, de mon adolescence. Je me sent peiné tout à coup, je sais pas comment vous l’écrire ma passion, les mots que je ne sais pas me mettre en bouche mais que j’essais d’écrire sans être foudroyé d’innocence. Et ça reviens l’autodénigrement, le pauvre cave que je suis. Je sais j’ai pas besoin de l’écrire d’autre le feront pour moi. Voilà tout à coup y’a une odeur de parfum c’est bien… Je pense aux vegan sur la route à Saint-Esprit ça feras pas de bons clients pour les poulets d’Angèle. Je cherche un mot, c’est pas vernaculaire, j’arrive pas à le trouver, ce soir je donne ma langue au chat je cherche trop je trouverai pas. Voilà! Je saute au Pentagone que j’espère voir bientôt, le mot me trotte dans la tête j’en deviens fou… Je trouve ça grave de pas être capable de trouver un mot, je pense que je commence a avoir cette maladie de la mémoire, L’Alzheimer, le meilleur moyen de trouver c’est d’arrêté de chercher, c’est bizarre je me souviens juste de la personne et avec qui j’étais la dernière fois que j’ai utilisé ce mot et c’est pas un bon souvenir… J’arrête ça là je le rattraperai ce mot. Je vous laisse en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!

Bernard

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Hier je suis allé chez le médecin. J’ai rien de grave une visite de routine… Aujourd’hui j’attends le technicien de Bell. J’ai envie ce matin de vous composer quelque chose de très beau mais suffit pas d’avoir le désir encore faut-il avoir le talent. J’aimerais vous transporter dans les rues torrides du goulag occidental, sur l’asphalte et le ciment qui suintent la chaleur. Souvent quand on veut faire beau on y arrive pas c’est plus splash thrash cette semaine dans Hochelaga les gens étaient tous sur leurs balcons pour se rafraichir de la chaleur de l’appartement. C’est le quatre aôut et déjà le chèque est dépensé, souvenir de madame Harel qui dis que Hochelaga à été plus propre que ça, à l’époque c’était un quartier ouvrier avec quatre où cinq usines qui faisaient vivre les familles. Maintenant c’est la pauvreté qui loge pas loin du stade… On fait carrière, on en est à la troisième génération, de l’assistance sociale sinon c’est une autre carrière de malade mental… Dans les années cinquante on était encore fier, fier de travailler et de gagner son pain, les enfants jouaient dans la ruelle, ce qu’on disait moins c’était les parents internés à l’université de l’est c’est comme ça que les plus cyniques appelaient Saint-Jean-de-Dieu. J’aurai vu les murs de l’institut, je suis passé dans les locaux vides de l’ancienne direction. C’est triste y’a plus de vie dans ces bureaux, après avoir vidé les corridors des patients ont vide maintenant les bureaux. Ce qui restait de vie c’était là, ça grouillait maintenant quand on y passe tout est mort… Je sais pas trop quoi pensé les malades ont veux pas les voir à l’institut et pas plus dans Hochelaga-Maisonneuve quand on parle c’est à la deuxième personne du pluriel, vous autres les b.s. qui avez tout gratis!!! C’est ce que les gens croient qu’on paye rien, c’est un peu vrai on a pas les moyens… J’aurai vécu cette époque trouble sans être capable de garder un emploi. Je suis brûlé. Dans ma famille lointaine y’en a qui trouvent étrange que je travaille pas puisque je vie à Montréal et qu’on a qu’à se baisser pour ramasser l’or… Cette nuit la rue va grouiller de monde c’est bientôt l’heure du last-call, les vrais vont sortir avec une bouteille qu’ils vont boire dans le parc même si c’est interdit, l’alcool est interdit et le parc est fermé depuis minuit. Tout à coup je pense à la stigmatisation, j’aime bien dire que c’est pas écris dans mon front la schizophrénie mais je me traine quand même les pieds… « phénoménale Philomène »-Richard Desjardins. Là tout à coup je pense à la musique country et western du prolétaire, c’est surtout à Saint-Tite que les Cow-boys vont cuver leurs bières, let’s go pour une danse en ligne, là je vous mentionne quelque chose de vraiment intime mon amour de la musique country. Je termine donc en fredonnant ce remerciement d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!

Bernard

mercredi 3 août 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Je suis pas capable de rester deux minutes tranquilles, Bell a réussis à me vendre son service de télévision. J’espère que j’aurai pas de troubles, je prie le Bon Dieu que tout fonctionne. On me demande deux barres de tension j’en ai trois j’espère que c’est suffisant. Bon! Je vous écris pas à propos de mes problèmes technique. Je compte sur le technicien. Aujourd’hui j’ai pensé à l’amie danseuse aphasique, je crois que je vais mettre fin à notre relation. Je peux pas l’aider, c’est une belle femme mais j’ai toute les misères du monde à la comprendre… En ce moment je compte le nombre de prises que j’utilise… Ça me fait mal changer de service, je suis certain que les choses iront pas bien! Je vais essayer de me diriger vers mon senti, je vais demander à ma puissance supérieure que tout aille bien. Aujourd’hui je suis heureux d’avoir un climatiseur, je laisse ça là un moment… J’ai un ami qui a le service que j’ai commandé et tout va bien, ça me rassure. Moi je suis du genre à déranger toute la terre pour des problèmes de la sorte… J’écoute le brouhaha dans ma tête… Faut que je me prépare pour mon voyage à Washington. Je vais être au Comfort Inn Pentagon city, en cas d’urgence, ça me fait peur de vous écrire ça, je veux pas donner de mauvaises idées à personne… Hier des gens avec un accent ont téléphoné pour avoir mon adresse ça aussi je confie ça à Dieu.  Parfois j’ai des phrases passe partout, des paroles de chansons, je crois qu’on parle de vers d’oreille. Je me sent comme une grosse vache dans le champ, une grosse vache qui meugle en regardant passé le train… Voilà j’ai toujours cette difficulté à écrire sans me dénigrer au moins une fois par blog. Je sais pas pourquoi je fais ça c’est pas utile, je me remonte pas. Je pense au magnifique jardin japonais du jardin Botanique, je crois que c’est une chose que je devrais faire plus souvent aller m’asseoir là et méditer quoi que le zen japonais c’est pas facile. « Respire par le nez! Respire par le nez! » que je me dis, ça me ralentis j’y vois pas plus clair mais c’est moins grave. Tout à coup je suis comme vide, j’ai de la peine pour l’amie mes relations avec les femmes sont toujours difficile. Je sais vous, vous écririez pas ça dans votre blog… Celui là commence dans les avatars techniques pour presque se terminer dans les émotions sentimentales. Je suis pas un karaté kid, le sport où l’art martial devrais faire partie des jeux olympiques de deux mille vingt… Je connais beaucoup de gars qui sont passé par les dojos de Montréal, y’avait de grand maître. De grand san, en français on dirais monsieur. Je pense que je suis dus pour un revisionnement du film Karaté Kid. Je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine!!!

Bernard