mardi 30 juin 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Viens de regarder une émission sur la Provence, un pays remplis de trésor même LeCorbusier passait l'été dans une cabane... Moi je suis toujours dans le goulag occidental et je vous écris. Partez pas en peur vous vous débarasserez pas de moi comme ça. J'essais comme toujours de voir ce qui monte en moi, ce que je ressent. Je passe du cahier à l'ordi, dehors il pleut, hier je suis sortis du goulag occidental pour aller voir un film chez les anglais de l'avenue Du Parc. Ai rencontré un gars qui m'a dis être venu au monde à Manchester, il avait jamais mis les pieds à Londres mais peut être qu'il y a un Manchester au Canada quoi qu'il m'a dis être allés à l'école avec John Lennon et Paul McCartney. Je garde des beaux souvenirs de Londres, la grande promenade le long de la Tamise, les déjeuners, je me souviens plus comment ils les appellent, continental? Je pense au thé de quatre heure offert par la directrice pour me dégrossir un peu je crois, c'est ça aussi la culture les sandwichs au concombre. Je vous écris là dessus parce que j'ai toujours envie de partir je ne sais ou, dans le bois? Dans un pays exotique, j'attend que le destin se manifeste. Je me nourris d'images. Ai démarré le climatiseur quoi que le journaliste de Rédio-Kénéda appelle ça un climatisateur, je sais pas... Dans l'émission dont je vous parlais au début y'avait la maison de Madame Grey et son mobilier, ça ressemblait beaucoup à du LeCorbusier. Peut être que mon lecteur designer à la retraite pourrait me dire de quelle école s'est, c'est pas Grey c'est Gray et c'est de l'art déco si beau, si beau... Ça intéresse plus personne l'art déco, on préfère les lofts et les grands condos vides pour dire qu'on a de l'espace à ne pas savoir quoi en faire... Ça coûte cher! Comme espace je peux pas faire autrement que de penser à l'immense hall du Tate Museum, c'est magnifique a en donner le vertige. Moi je vie dans les livres et les babioles, je passe beaucoup de temps a faire ce que vous lisez maintenant. Ma table est remplis de paperasse et j'arrive toujours pas a faire le ménage. J'ai peur de jeter des choses et d'en avoir besoin le lendemain. Je salut ma lectrice intervenante et lui demande d'être indulgente. On est tu post-modern ou ad mortem? Je vous laisse sur ces niaiseries en vous remerciant d'avoir lu jusque là!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

dimanche 28 juin 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Me revoici avec mon blog dans le bruit ambiant de la réseautique. J'ai regardé la télé une émission qui nous invite a nous taire. Comme souvent les snobs bourgeois veulent faire une chasse-gardée de l'expression "littéraire". Avec la terreur c'est bientôt ça, confiné chez soi informé par la télé on a peur. Je suis toujours dans le goulag occidental et le je c'est moi Bernard. Je veux pas être anonyme. Je trippe quand même toujours sur les avions, en France ils attendent la canicule, ici c'est encore frais et humide. Me suis préparé un café, le climatiseur s'est arrêté c'étais surtout pour l'humidité. C'est des niaiseries que je vous raconte ce soir toujours étonné de voir la bedaine du très sportif Marcel Aubut qui courre avec un flambeau. J'aimerais être loin du goulag occidental, je crois que je vous raconterais une autre histoire. Je me souviens de ces artistes qui cherchaient la connection, a être branché dans un réseau d'influence. Moi j'en ai pas de réseau, j'ai pas beaucoup de talent c'est toujours le problème de la métaphore, Bernard écris et les autres suivent. Je voulais écrire les chiens suivent mais les lecteurs sont pas des canidés.Ce soir quand j'aurai finis j'espère avoir plusieures pages vues. Hé oui c'est l'été! Et on a pas a se les gelés. La température ressemble à celle de Milan l'hiver y'a quelques années, il pleuvait mais c'étais pas froid. Je m'arrache des peaux que j'ai dans le front c'est dégueulasse. J'ai remis à plus tard mon voyage à Cuba.La télé est fermé, le goulag occidental est gris chez moi à l'intérieur c'est la même température que l'hiver avec le chauffage. A t'on déjà vu aussi insignifiant et incapable d'humour et de poésie. Quand au vrai livre je crois pas qu'il va voir le jour. J'ai pas d'éditeur et le blog est plus écologique, je me demande si James Joyce écrirais sur la toile, tiendrais un blog? Tiendrais c'est pas une très belle conjugaison voilà ce que ça fait de refuser d'étudier, d'être à l'école. Parfois je me dis pourquoi mettre autant de temps là dessus? Je parle en terme d'années, Joyce a mis dix sept ans pour son Ulysse, Victor Lévy Beaulieu fait toujours oeuvre imposante après des dizaines d'années. Mais j'ai pas leurs envergures. Quoi que ce que j'écris c'est à mon échelle et personne veux jeter un regard critique sur ce que j'écris. Dehors j'entend un gars crier bandé!!! Je reviens à l'écrivain qui depuis longtemps dois passé par les médias, presse traditionnelle, radio, télé et même un peu le web, j'ai rien de toutes ces machines. Je suis seul et n'ai que vous lecteurs de blog. Je continus je vous le dois bien. Merci d'avoir lu jusque là!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

vendredi 26 juin 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Je vous écris ça en laissant la télé ouverte. Je suis sur TV5. Je rêve toujours de l'europe, la télé c'est un peu ma fenêtre sur le monde. Les terroristes nous terrorisent pourtant ça m'empêche pas de chercher un endroit pour passé des vacances loin du goulag occidental. Bein oui! Les gay vont avoir droit au mariage partout aux États-Unis. Je sais pas quoi pensé de ça. Je me rappelle qu'a une certaine époque les gay militaient pour un mode de vie différent, le mariage je crois que c'est un peu rentré dans le rang. On parlait de différence avec un certain orgueil. Finalement je suis bein mêlé dans mes valeurs entre les gays, les musulman intégriste, les catholiques ça me tiraille. J'essais dans tout ça de me faire une spiritualité. Les salauds ont frappé la Tunisie un pays qui vie principalement du tourisme. On se demande quand est-ce que ça va se terminer cette guerre terroriste. Je vois pas poindre la fin. Il faut accepter les différences le monde n'est pas uniforme pourtant cetains voudraient qu'on soit tous pareil. J'essais de réfléchir... À la télé ils font le bilan des morts du ramadan des dernières années.Si vous avez une idée d'un endroit ou je peux passer quelques jours de vacances faites le moi savoir. Je pense à la famille de Cantley comment le chef de famille fait de beaux feux, moi j'aime ça les feux de camps le soir avec un tisonnier et on se réchauffe de cette chaleur sèche avant d'aller se coucher. Aujourd'hui j'ai mangé une baguette avec de la longe de porc. Viens de voir l'oeuvre d'un grand artiste du Dauphiné que j'avais oublié le facteur Cheval et son magnifique château...Cette nuit y'a une odeur dans le goulag occidental, je sais pas si c'est la moufette ou quelqu'un qui fume du pot. C'est la nuit il est une heure trente sept , je viens de me gaver des belles images de TV5 pendant toute la soirée. J'ai bien aimé le fort d'Haout transformé en gîte sur une île bretonne. Je relaxe quand je regarde ces émissions. Je vais dire comme le petit garçon du magnifique film d'André Melançon, La guerre des tuques, "La guerre, la guerre mais c'est pas une raison pour se faire mal!" Voilà et je termine avec les paroles d'une chanson du groupe Beau Dommage "A s't'heure j"ai jamais peur de m'endormir tout mes cauchemars passent à six heure à la télévision". Je vous laisse en vous remerciant de votre attention. Merci d'avoir lu jusque là!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

jeudi 25 juin 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Ce matin je sais pas trop quoi vous raconter. Je suis comme les enfants quand ils arrivent au milieu des vacances scolaires, je m'ennuis. J'ai lu quelque part qu'il fallait savoir s'ennuyer. C'est grand soleil sur le goulag occidental. J'aimerais bien être poète et pondre des poèmes truffé de mots savants Je pense au reportage vu hier sur les femmes qui marient des cubains. Elles sont parfois déçu, les gars se marient juste pour immigrer au Québec. Je sais pas ce qu'ils en est pour les cubaines... J'irais bien me promener sur les rambardes de La Havane.  Dans le parc en face les enfants jouent sous la supervision des monitrices, joué pour les enfants c'est du travail là aussi ils apprennent toutes sortes de choses. Partir je veux toujours partir on m'a dis que le deal pour Cuba c'étais trop cher faut que j'attende à la dernière minute. Je vais économiser. Je devrais allé jouer dans le sable à la plage du regretté maire Doré. C'est vraiment vide ce matin, je suis pas supposé écrire ça, le goulag occidental est vivant la vie y est moins dure l'été, le vingt cinq juin on est vraiment l'été. J'ai monté le climatiseur,pense aux jeunes filles en bikini... J'aimerais bien quitter le goulag occidental pour quelques jours. Il y a beaucoup de circulation vous le savez. J'y arrive pas ce matin a vous écrire une chronique qui a du sens a me mettre en scène dans ces mots trouvé pour exprimer l'été. Le devant de l'édifice est fleuris les hémérocalles vont bientôt éclore. Dehors j'en vois qui jouent au dur à vélo, c'est idiot ils vont se faire écraser par une voiture. Je voulais réserver pour un voyage mais on m'a dis d'attendre il est trop tôt. J'essais, quand j'écris, de pas faire de mal. Je pense au chroniqueur Foglia qui il y a plusieure années avait mis la marque yogourt Liberté sur la mappe. Je sais même pas pourquoi j'écris ça, les gay doivent pas trouver que j'ai une bonne plume enfin j'écris pareil. Je crois que j'ai de jeunes lecteurs qui s'en vont à Myrtle Beach, j'ai vu la recette de shortcake. Ici bientôt ce seras la saison des fraises pour les bleuets c'est plus tard. J'ai jamais été un grand cueuilleur, ni chasseur, pas même pècheur, je sais pas comment j'aurais survécu dans la préhistoire, y'avait pas de sardines en boîtes. Survivre en ville dans le goulag occidental c'est moins compliqué que dans les steppes a chasser l'écureuil. J'affute mon clavier comme une vieille lame je vous reviendrai peut être avec quelques chose de plus incisif. Merci d'avoir lu jusque là!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

mardi 23 juin 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Plusieurs d'entre vous sont a fêter la Saint-Jean, le rituel de la fête nationale. D'autres en profitent pour aller pêcher la truite mouchetée sur la côte nord comme le faisait mon père de son vivant. Moi je reste tranquille chez moi avec le temps je crois pas qu'on devienne un pays en chantant. C'est bien la musique c'est parfois exaltant mais les envolées lyriques retombent souvent à plat on se dis ce seras pour la prochaine fois et moi je veux pas me faire mener par les péquistes et les bloquistes je préfère Québec Solidaire. Je crois que je l'ai déjà écris. Si vous saviez comme j'aimerais savoir écrire créer une émotion littéraire et faire pleurer ou rire littéralement. Ce soir c'est ensoleillé y'a longtemps qu'a ce temps de l'année y'a fait beau. Baptiste on l'a décapité c'est un peu ce que le fédéral veux faire avec nous, mais c'est peut être moi qui a pas de tête. Comme écris politique c'est pas terrible, ils se sont toujours dis que l'autre génération ferait l'indépendance. Je vais avoir cinquante neuf ans et j'en vois pas l'ombre d'une marmotte. Faudrait que l'indépendance se soit autre chose que du folklore, autre chose qu'un député qui donne des poignées de mains, autre chose qu'une vision de poète mais quelque chose qui met plus de pain et de beurre sur la table quelque chose qui permet de réaliser des rêves, d'avoir moins mal parce qu'on habite le pays que l'on se donne, un pays d'échange de dialogue en français malgré tout. Ouais! Je deviens sentimental, chez moi y'a une odeur de mouffette on se croirais dans la forêt du goulag occidental. Je pense à la version française de la chanson Yesterday qui s'intitulais je croyais.. Non! Non! J'irai pas voir de show je suis agoraphobe dans une foule je me sent bien quand je suis sur le stage en avant. La nation va brasser sa bière artisanale à soir, un peuple de buveur de bière quoi que je connais pas d'allemand. Les petits moutons sont tous au même endroit et moi j'essais de créer plutôt que de faire remplir ma besace de beaux discours. Ouais! Je pense que j'en ai assez écris pour ce soir. Je vous laisse ici et vous remercie d'avoir lu jusque là!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

dimanche 21 juin 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Ce soir je vais essayer d'être original sinon rafraichissant comme disent les amis. Je rêve de repartir en voyage pas pour fuir et là je pense à l'humoriste André Sauvé qui disait "Tu met une citrouille dans l'avion c'est une citrouille qui va revenir" je veux bien mais c'est pas interdit de se détendre de voir du pays. Lui il est tombé dans les voyages moi je suis tombé dans l'alcool et la drogue, c'est mauditement plus difficile je crois. Je me fait un café. Je suis paralysé,je manque d'inspiration. C'est l'été, j'aimerais écrire quelque chose de significatif mais c'est trop demandé à un insignifiant. Voilà! Je me dénigre comme souvent, quand on est de la plèbe on peux pas demander de grande chose juste un quotidien ordinaire et populaire, on bois au même abreuvoir que tout le monde. J'attend un peu avant d'écrire aujourd'hui ça va être plus long que d'habitude avec ma tête de pioche. C'est ça je pioche, je pioche je sort pas d'or que des mots qui valent pas grand chose. J'ai un copain qui veux mettre de la poésie dans les soins de santé mentale, y'en a mais ça fait mal, la psychose est douloureuse mais pas nécessairement créatrice. Vous voyez c'est toujours les mèmes thèmes dans le goulag occidental. Je vous écrirais bien sur l'urbanité sur celles qui font les trottoirs mais je les fréquentes pas. Moi ce que je vois ce sont des couples gay qui s'embrassent et se tiennent par la main ça en est devenus banal. Là je pense à une jolie jeune fille avec qui j'ai eu une conversation à Roissy-Charles De Gaulle. J'ai pas eu le temps de lui dire au revoir elle est partis très vite. Je crois qu'elle travaillait à la sécurité de l'aéroport. La semaine passée c'étais la foire aéronautique du Bourget, on a vu beaucoup d'avions à la télé ça donnait envie de monter et de partir je ne sais sur qu'elles ailes. Tiens le soleil est revenus, je souhaite une joyeuse fête des pères à tout ceux qui vont me lire. Je voulais vous parler de la shop où mon père travaillait, ils usinaient des pièces d'avions, mais mon père est partis et ses frères aussi. Dans le bureau y'avait qu'une décoration une photo d'avion. J'ai un lecteur qui travaille dans les moteurs Rolls-Royce. Je le salut ici j'aime bien quand il place des photos d'avions sur Facebook. Moi avant de prendre l'avion aussi fréquemment depuis une couple d'années, je croyais pas que j'aimerais autant ça. Là je pense aux classes sociales a comment ont est supposé grimper de génération en générations. Moi je suis pas grimpé je suis descendus mais je m'y suis quand même trouvé. Ce que vous lisez là en est un exemple.Y'a longtemps déjà j'étais rongé par la folie, je faisait tout et n'importe quoi pour ne pas être seul pourtant aujourd'hui premier jour annuel du yoga je médite pas fort mais j'espère que ça iras. Le yoga c'est un peu la poésie du mantra et l'exercise physique. J'essais parfois. Je respire par le nez. Je pense à l'hôtesse de l'air du parolier Luc Plamondon, quand ça tournais à la radio j'avais jamais pris l'avion. C'est vrai qu'elles sont jolies les hôtesses de l'air. Tout un job se promener dans les allées d'un avion à je ne sais combien de milles pieds dans les airs. Je reviens à la folie vous en avez un exemple ici c'est une folie ordinaire rédigée. Je termine en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

samedi 20 juin 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Debout au milieu de la nuit de vendredi à samedi.Comme toujours le goulag occidental est calme.Y'a que le casino qui est encore ouvert mais qu'est ce qu'on fait quand on y a dilapider sa fortune? On traverse le pont de la Concorde à pieds ou le pont Jacques-Cartier,une longue marche dénigrante ou on se traite de moins que rien. Des idées de suïcide nous passent par la tête, on vas aller voir pour une dernière fois le shylock, mon numéro, ma combine ça ne peux être que la bonne, c'est la dernière fois on partiras les poches pleines en attendant on vas essayer un gratteux. Vous inquiètez pas, c'est pas moi, je suis pas gambler, le hasard feras jamais ma fortune. J'ai démarré le climatiseur. J'essais d'écouter ce qui se passe en moi, je respire fort mon souffle sile. Je pense à me raser. La climatisation indique vingt deux degrés.Je bave mon café sur ma poitrine. J'ai un trou dans mon sous-vêtements nous voilà dans l'intime domestique... Dehors il fait pas tout a fait noir les lampadaires éclairent... Les grillages empêchenr de se jeter au bas du pont et même là on est pas sur de réussir on peut en sortir handicapé, diminué c'est encore pire de pas réussir sa sortie en attendant je me me parle, mon lecteur collectionneur de voitures de Deux-Montagnes sait que je suis capable de me parler. Le psy lui disait "ça se raisonne" s'agit de pas avoir de raisonnement fallacieux. Dehors une patrouille de police passe, sirène et gyrophare. Toujours le même questionnement, devient on écrivain a écrire un blog. Les poètes les écrivailleux on a pas besoin de ça on préfère les avocats et les comptables faut faire nos frais comme on dis. "C'est tu pour ça que les gensses honnêtes qui suivent la loi le nez dans le cul"-Richard Desjardins. Une odeur de frites vinaigrés, quand la nuit de beuverie se termine souvent on a faim... En entrant dans ce qui nous reste de chez soi on fait le bilan monétaire on fouille nos poches pour savoir si on a encore assez d'argent pour commander a manger. Je cherche une façon de créer originale. J'en ai pas trouvé d'autre que l'écriture sur ce grand babillard. Je crois que certains poètes veulent garder les mots pour eux seul, le langage pour eux c'est une chasse-gardée et je reviens toujours aux innombrables analphabètes, gambler, analphabètes et tout les défauts du monde voilà ou me mène mon insomnie.Je vous conseille pas de parier un petit deux sur moi. Je suis hors-compétition. Voilà je termine là dessus en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici à la prochaine j'espère!!!
 

Bernard