jeudi 30 avril 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Belle et douce soirée, le soleil se couche, la nuit approche et je laisse la fenêtre ouverte. Ce soir on est bien dans le goulag occidental. Je salut l'ami professeur d'histoire de l'art avec qui j'ai eu la chance de petit déjeûner au Miami un restaurant kitch du quartier. Le soleil est encore haut, la lumière c'est l'espoir. Je me sent bizarre suis incapable de parler à la matriarche. Je vous écris en jetant un coup d'oeil dehors, de temps à autre une moto bruyante passe. Je pense aux terrasses de la rue Saint-Denis à comment je m'y rendais la vie difficile incapable, là j'emploi un mot détestable, d'intégrer un groupe, j'étais toujours à part avec l'alcool. Ça toujours été Jekyll and Hyde... Je cherche en respirant par le nez, parfois je devrais réciter un mantra en pensant au Népal à Katmandou, ici rien ne bouge. Les voitures klaxonnent pour rien. Demain c'est la fête des travailleurs, y'a longtemps que j'en fait plus partie, la travailleuse sociale Guadeloupéenne disait que j'ai un double statut ce qui est pas faux. Dans le goulag occidental personne vas hisser le drapeau rouge, le grand soir c'est pas maintenant. Le premier ministre a rencontré les dirigeants syndicaux,  c'est pour la façade pour sauver les apparences, ils ont rien réglé là tout le monde le sait. Le salaire minimun a augmenté et même en travaillant quarante heure on est toujours dans la pauvreté, pauvre! C'est la survie sans s'amuser sans loisirs, à manger du macaroni au fromage, toujours dans le trou financier. Je le sais j'ai essayé de travailler à de petits salaires. Je voyais pas l'avenir et je buvais ma paye. Quand même je suis le seul responsable de mes échecs sur le marché du travail et ailleurs. Lentement le temps passe, cet après midi on a sonné chez moi. J'ai pas répondu.Je pense encore aux avions à un départ je ne sais où. Y'a de nouvelles mesures pour les prestataires on a plus le droit de voyager plus de deux semaines consécutives. Si je résume en somme faudrait travailler à se désâmer à petits salaires rentré chez soi épuisé, n'être plus capable de faire autre chose que s'abrutir devant les pubs télé faire ça a l'année longue dans le désespoir... "les pauvres sont toujours malades!"- Plume Latraverse, dix neuf heure quarante sept le soleil disparait pendant que le balai brosse passe. Je vous laisse là dessus en vous souhaitant du bonheur a jardiner. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

mercredi 29 avril 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Vivre dans la nuit c'est de même que je veux faire ça.-Nuance ou Nuage, je me souviens plus du nom du groupe qui chantait ça. Hé oui c'est la nuit il fait doux j'ai laissé la fenêtre ouverte. Dehors c'est tranquille y'a pas de circulation automobile.Foglia est à sa retraite, je sais pas quoi en penser. Je me souviens d'André Rufiange c'est vieux, dans la même page du journal de Montréal y'avait une chronique pour tout ceux qui voulaient voir leurs noms dans le journal.Je sais pas trop, comme souvent, quoi vous écrire. Je me souviens de mes nuits alcoolique le monde était d'une laideur, moi je puais l'alcool et le tabac et je couchais dans les entrées de commerce incapable de rentré chez moi trop saoul pour marcher et pas un sous pour prendre le taxi. Maintenant tout ça c'est finis, je réussis a dormir du sommeil du juste. Je pense à Tabra qui conseille aux jeunes de pas faire comme lui, son foi le dévore et les jeunes c'est plutôt "live fast, die fast" mais la mort on sait jamais quand elle va passée. La révolte adolescente c'est bien mais pour un bonhomme près de la soixantaine comme moi ça pas de sens. Faut accepter, là je me rend bien compte que je vous emmène dans un sentier moral et on aime pas beaucoup ça se faire faire la morale. Quoi que j'en ai connus qui prêchais l'alimentation naturiste, végétarienne je sais pas trop mais qui en manquais pas une pour se saouler. Ils sont vegan mais se shootent. J'étais saoul et je marchais dans les ruelles désertes la nuit je cherchais une porte ouverte après les heures pour boire du scotch dans une tasse... J'ai arrêté tout ça quand j'ai avoué que l'alcool m'avait battue. Maintenant je sort plus la nuit, je dors ou je vous écris de mes nuits d'insomnies. Ouais!!! Les ruelles j'y cherchais une romance violente à la Bukowsky laissez moi vous dire que se faire tapper sur la gueule c'est pas très très romantique. J'ai changé de modèle masculin ça m'aide, les hommes qui m'inspirent à l'image du père sont inspiré, sportif et cultivé. Ça aussi c'est étrange d'avoir besoin d'un modèle quand on est presque sexagénaire. Cette nuit je trouve ça agréable de vous écrire, c'est le printemps, bientôt le vert, l'espoir, la renaissance... J'espère être en mesure de quitter pour un bout de temps le goulag occidental cet été. Tout à coup j'entend la voix de mon lecteur de Deux-Montagnes que je salut ici en terminant. Je vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

lundi 27 avril 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Ce soir c'est gris dans le goulag occidental... Je sais j'ai fait une erreur en nommant mon blog goulag mais c'est pour rigoler de toute façon je suis pas dans la richissime Westmount. Ici on peux encore trouver un abri pas cher. Terrible séïsme à Katmandou, les téléjourneaux nous ont montré ça, mes pensées sont avec toutes les familles touchées, ça fait un autre pays à reconstruire des monuments a refaire. J'ai pensés aller offrir mes services mais je crois que je serais une nuisance plus qu'une aide, j'ai donc aidé un itinérant d'ici. Moi qui veux encore partir en voyage ça me fait un peu peur. Je pense à mon lecteur de Mascouche chauffeur d'autobus, j'aimerais bien me rendre en Thaïlande avec lui, il connais bien ce pays. Ici on attend quand même le soleil, la chaleur... Je me suis levé de ma chaise ai presque perdu l'équilibre pourtant la terre ne tremble pas, c'est mentalement que je suis déséquilibré. Je pense aussi à Saint-André-de-Kamouraska un beau pays sur la rive du fleuve. J'aimerais aussi avoir un chalet et me faire un feu en soirée dans la nature. M'amuser avec le tisonnier. Bientôt tout va devenir vert mais avant il faut que ça bourgeonne. Je vous réécrirai pas La Flore Laurentienne de Marie Victorin, avec un nom pareil on croirais que c'est une femme mais c'est un religieux. Je me souviens après souper dans mon adolescence je sortais de la maison pour aller bummer au parc des canards. On fumait et buvait en cachette et plus vieux on faisait du parc un lieux de rencontre pour se rendre à la taverne. C'est il y a très longtemps maintenant je préfère rester chez moi et éviter de faire de mauvaises rencontres. Y'avait quelques guitaristes dans le parc on aimait bien les écouter jouer les dernières chansons à la mode, Georges Moustaki, Led Zeppelin Stairway to heaven, Cat Stevens, América, les Eagles et beaucoup d'autre... Ces gars là savaient quoi faire de leurs dix doigts. Des souvenirs, des souvenirs souffrant aussi incapable d'avoir, de m'entendre avec une copine. Je crois que je les comprenais pas. Soudain j'entend un avion qui passe au dessus du goulag occidental, j'aime bien revenir et atterrir à Dorval, à l'aéroport Pierre-Éliot-Trudeau. Avec la vie que j'ai menée c'est rien pour être dans le jet set c'étais beaucoup plus l'auto-stop, le pouce que l'avion. Ce soir j'ai qu'a marcher et revenir en autobus, mais non! Mais non! L'ami retraité de Repentigny je fuirai pas, les choses se règlent un jour à la fois. C'est tout pour ce soir merci d'avoir lu jusqu'ici, à la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

samedi 25 avril 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Pour débuter des souhaits de prompt rétablissement à la matriarche. Là je vous parle de la partie d'hier qui a semé le doute chez les partisans, on peux pas gagner on compte pas de buts à part ça je sais pas comment vous dire mon malaise.Je reprend mon souffle pour mettre les points et les virgules à la bonne place.Je crois que les cols bleu ouvrent le point d'eau dans le parc. Ce matin une maman m'a bousculé sur le trottoir. C'est des niaiseries tout ça, j'arriverai jamais à rien avec l'écriture. Les gens veulent des histoires j'en raconte pas c'est juste la rubrique de mes événements cervicaux, l'avancée dans les rues du goulag occidental.Ils ont préparé le parc pour les matchs de soccer.Ça va lentement l'écriture aujourd'hui, je pense comme souvent à la moppe à la serpillière, j'ai pas pu, j'ai pas su rester là et encore y'en avait d'autre pour critiquer pour chialer. C'est étonnant comment on veux pas me "kalisser" la paix. Je suis un pauvre fou, je suis un "nègre blanc, aigre doux" -Stephen Faulkner. Je me pose la question de l'humilité, ça se dis pas qu'on est humble pourtant j'ai rien pour être orgueilleux, prétentieux. Je me prépare un café. Je pense aux enfants, j'écris pas pour eux... Je sais pas si vous vous souvenez des Dingodossiers de Gottlib, une des bandes dessinées les plus comiques que j'ai jamais lu. Maintenant je veux faire écrivain sérieux. Je devrais plutôt me cacher, je pense donc partir vers des pays inconnus, des lieux nouveaux et eux qui ça eux? Ceux qui me persécutent dans le territoire du goulag occidental, je les laisse derrière quand même je suis trop vieux pour commencer une autre vie. Je capote quand même sur les avions, j'aime beaucoup être assis dans un long vol... Je crois que les cols bleu plombiers ont terminé leurs journées. L'eau coule dans le parc... Je pense aussi aux camelots du magazine l'itinéraire, y'en a je me demande ou ils prennent leurs bonne humeur, j'aimerais qu'ils m'en donnent un peu. Il ne me reste que trois lignes a vous écrire j'essais de garder le même format. Je sais pas vers ou je vais partir mais une chose est sure je vais y aller.New-York? Espagne? Italie? On dis souvent que c'est pas la destination c'est le voyage qui est important surtout que j'ai pas d'amis américains pas plus Outre-mer. L'eau est bonne a boire dans le parc les passants s'abreuvent et vous abreuvez vous de ma prose cet après-midi c'est comme ça que je finis. Je vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

jeudi 23 avril 2015

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Je vous écris de la nuit,lentement j'essais de trouver quelque chose d'intéressant a vous faire lire. La défaite du Canadien 1 à 0 ? J'ai de la difficulté a vous parler de mon quotidien.J'ai fait des démarches pour qu'on me rembourse mon titre de transport.Faut passé par le médecin. Ce matin je prend conscience que mon propos est toujours le même. Non! Non! Je vous parlerai pas de PKP.Je vous ai abandonné en cour de route. J'ai dormis toute la nuit.Le goulag occidental est tranquille ce matin.Je fait des phrases pour remplir. J'écris n'importe quoi on m'invite à des évènements littéraires mais c'est à Paris, un peu loin.J'ai peur qu'une dangereuse crapule qu'un psycopathe entre en contact avec moi. Me suis fait un café,il est tard dans la matinée c'est comme si je n'avais plus de souvenirs. Les journées passées à la bibliothèque de l'école. La lecture des Martine de ma soeur à la maison, les miniatures d'avions de voitures a coller,tout ça c'est déjà loin.Ce matin je suis aussi vide que dans la nuit, je pense à quand je sautais des clôtures avec Michel mon ami d'enfance...Je suis triste je sais pas pourquoi, triste et nostalgique en pensant au Montréal-Nord de mon enfance c'étais pas un repaire de gang. VLB y habitais aussi et c'est sur une de ses rues que le FLQ avait caché Pierre Laporte. Montréal-Nord c'était aussi une terre d'accueil pour les italiens, les gens des régions, le bas du fleuve, le Lac Saint-Jean qui venait se faire une vie en ville loin de la province. Il est presque midi y'a pas de courrier.Je sais pas pourquoi j'ai une urgence d'écrire.Ai pris une douche. J'entend mon frère crier Meman! Quand il en avait assez que je joue avec lui. Ce midi c'est nuageux comme à Londres. Le goulag occidental c'est la capitale de la pauvreté, de l'itinérance, les trottoirs sont peuplés de gens qui ne savent que faire ou aller plusieurs se disent qu'ils vont s'en sortir seul, c'est impossible.Plutôt que de prendre mon temps je vous écris ça à la va-vite pourtant... Le gars de Terrebonne m'appelait le gars de la ville, c'est vrai que j'ai passé plus de temps au goulag occidental de Montréal que dans la banlieue. C'est la relève pour le chauffeur d'autobus. Je me suis parfumé je déteste pas avoir un bon parfum.Ça a ni queue ni tête ce que je vous écris. Je me rappelle je portais des souliers avec des fers ma mère m'avait envoyé faire une course, j'ai couru et j'ai glissé je me suis violemment cogné la tête sur le trottoir, j'ai mêlé la salade et le choux je crois que c'est là que je suis devenus fou. C'est tout pour aujourd'hui, j'attend vos commentaires, merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Bernard

mardi 21 avril 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Le temps se radouçis, la fenêtre est ouverte... Étrangement je me sent ailleurs, je viens de regarder l'émission Port d'attaches sur Athènes en Grèce. Ça donne envie d'y aller je crois que mes lecteurs de Terrebonne vont y aller cet automne. Je sais pas trop quoi vous écrire je pense encore à cette ruelle de Pointe-à-Pître en Guadeloupe. Le goulag occidental c'est aussi un port mais la mer est loin. C'est difficile de rester dans cet espèce de confort qui rend muet.Lentement le soleil se couche pendant qu'un homme chante dehors.Ce soir j'avais hate de vous écrire, de vous dire ces déjà vu... Je pense à mon lecteur chauffeur d'autobus sur la rive nord dans Laurentide-Lanaudière, je connais pas mal ce coin de pays à l'époque on prenait la route et on allait boire une bière à Saint-Donat à Rawdon à Chertsey. Parfois l'été on allait se baigner dans le parc du Mont-Tremblant à l'entrée Pimbina mais tout ça vous montre pas mon étât intérieur, le calme qui arrive avec la nuit et ces matins ou je me lève désoeuvré désemparé. Je sais pas si vous aimez toujours me lire, que je vous dise que j'ai un bouton dans le cou, que ça m'inquiète mais comme toujours c'est rien ça va disparaitre. Le parc est éclairé mais désert, un gars fouille dans les bacs il cherche des bouteilles et des canettes vides. J'ai mis de l'alcool à friction sur le bouton... Je vais avoir le début de mai très occupé c'est la Semaine nationale de la santé mentale... Parfois je me perd dans les pages web, dans les sites internets, cette semaine le site Facebook de Reprendre Pouvoir a reçu un like tout en arabe c'est inquiètant. J'ai toujours peur de l'étranger quel qu'il soit. J'entend les sirènes, l'autobus et j'ai plus beaucoup d'inspiration, je suis taré et la source de mon inspiration est tarie.C'est triste, vouloir écrire et n'avoir rien qui vaille la peine d'un mot. Ça me fait mal ça quand j'ai pas d'inspiration, quand la douleur est muette prise dans le silence pourtant ça marche toujours dans ma tête. Je fait le tri, le choix et quand je vous écris c'est le défi du silence... Des bêtises, des bêtises et c'est rien que la nuit qui commence... Ce soir je vous étirerai pas ça longtemps, j'espère que vous allez avoir du plaisir a me lire, merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

dimanche 19 avril 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Les russes semblent intéressé par mon goulag occidental. Je vous écris ça en attendant la partie éliminatoires Montréal-Ottawa. Je me sent mal, je sais pas ce que j'ai. J'ai pris un café, trente huit minutes avant que le match commence. Dans le goulag russe je sais pas si ils jouent des matchs de la KLH. C'est ensoleillé dans le goulag occidental. Demain lundi une autre semaine qui commence , ouais! J'ai rien a écrire, je suis assis devant la télé ça sent le sapin ça viens d'un livre que j'ai sortis de ma bibliothèque. J'écoute l'avant match et j'ai une pensée pour René LeCavalier, Gilles Tremblay, Richard Garneau et celui qui nous reste Claude Quenneville. J'ai ouvert la porte, la présentation du match est un peu artificielle on a pas l'historique de la Soirée du Hockey. Je connais un peu le hockey, je me souviens du grand Garry qui me disait de passer le puck, la bière et le vestiaire. Je vous écris ça comme si c'était interdit, comme si j'avais pas le droit de mentionner la partie de ce soir. Publicité de Harley, j'en achète pas j'ai pas envie de me tuer. Petite toune rock "Vive le Canadien de Montréal" et "Go Habs Go!!!". Fait plus frais dans le studio je me calme, je suis plus énervé que les joueurs. Parenteau est mis de côté on appelle ça avoir de la profondeur. St-Hubert, je me sent comme un petit poulet et y'en a d'autre qui mangent des ailes. C'est un petit peu fatigant ce brouhaha avant le match. L'annonceur crois que c'est un match de boxe. À Ottawa c'est bilingue un des rares endroit ou on met ça en pratique. Une grosse police qui chante l'hymne national dans les deux langues. Moé ça me dis qu'on va perdre!!! Les voisines représentent vraiment la population d'assistées sociales et ses clichés. Chris Neil d'Ottawa méchant beau sourire!!!  Ouais!!! Ça m'énerve a toujours donner le premier but on va se brûler. De lont en large!!! On a gagné!!! Le lont, c'est un des commentateurs qui l'a prononcé comme ça. Bon! Peut être que vous allez lire ça lundi matin, c'est toujours mieux de commencer la semaine quand le canadien gagne, y'avait de l'émotion! Pas trop de controverse, du jeu robuste, cette année Montréal est hockey. J"ai fermé la télé en pensant aux visualisations de Wiese, quand tu gagne des millions t'a affaire a savoir ce que tu fait sur la glace, on est pas dans la ligue de la brasserie des Boys. J'arrête ça la. Je me lève tôt demain. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard