
lundi 28 octobre 2013
dimanche 27 octobre 2013
Hère is something for you and me
Bonjour! Bonsoir! Je suis là ce matin en direct du métro Papineau. Je veux pas perdre la main avec mon pad donc je vous écris. Y'a un petit passage ou on me cite dans le dernier magazine Actualités. Je suis presque sous le pont Jacques-Cartier, la nuit c'était un repère de dealer. Je crois qu'ils ont fait le ménage. Les gens sont typiques des habitants de ville marie comment vous dire sans stigmatiser. On dis parfois que c'est pas écris dans leurs fronts mais on vois la différence. Je crois qu'ils se sont fait voler l'écran géant au café. Je pense aux mères que je connais, aux grand-mères aussi, sans parler de la matriarche avec qui j'ai beaucoup de plaisir à discuter, longue vie à toutes ces belles dames.. L'autobus me souhaite bonne journée c'est la quarante cinq Papineau peut être que mon lecteur retraité de la S.T.M.. la connais. Dehors on photographie la sculpture sur la place, on a aussi rénové le bar de danseurs nus, je me demande si les conservateurs ont financés ça? Je vous laisse là dessus. Le wild side est moins wild le dimanche matin. Je vous remercis d'avoir lu jusqu'ici. À la prochaine j'espère!!!
Shorty Berny
samedi 26 octobre 2013
Here is something for you and me
Bonsoir! Bonjour! Le froid s'installe lentement sur
le goulag. J'ai rangé le climatiseur il est deux heure quarante sept. J'écris
n'importe quoi pour remplir la page. Je dors debout c'esr le silence la fenêtre
est fermée. Je pense à cette blonde que j'avais qui dormais la fenêtre ouverte
même l'hiver, j'ai gelé là quatre ans. Mon exil est un exil intérieur vous le
savez, le goulag je le fantasme à la façon nord-américaine. Je mange tout de
même pas des pelures de patates. On a tout le confort moderne le tout à l'égoût.
Je crois pas que dans le goulag il reste des maisons sur la terre batue. Une
journaliste, là je retourne un peu dans l'actualité, j'écrivais donc une
journaliste a écris que j'étais écrivain à mes heures, mais à quelles heures? On
entend rien dans le goulag c'est la fin du mois plusieurs ont empruntés au
shylock pour anasthésier la douleur d'être pauvre et malades en exil. Chez ceux
là on veux s'enretourner d'ou c'est qu'on viens. Maritime, Bas-du-fleuve,
Gaspésie, Côte Nord, Lac Saint Jean et Abitibi Témiscamingue voilà d'ou viennent
les exilés qui habitent maintenant le goulag pas de cour. C'est ce qui me fait
le plus mal dans l'exil, dans mon exil ma région c'est mon âme et je veux la
retrouver pour y travailler, l'améliorer. Tout à coup je pense à mes deux
lecteurs exilés il y a longtemps dans l'outaouais. Ils se sont fait une vie dans
l'exil et profitent maintenant d'une retraite bien méritée. C'est convenus ce
que j'écris là mais c'est comme ça. Dans le goulag on atteins pas le seuil
minimum de littératie qui est de 49%, on arrive pas a communiquer et moi qui
veux faire de la littérature pour des gens qui ne savent pas lire. Cette nuit je
finis par me réveiller je sur vie à la solitude sentimentale j'écris ça et je
pense à Goethe... Je suis dans l'erreur le romantique c'est le Julien Sorel de
Stendhal. Mais on s'en fout la douleur est moins grande.. J'ai pas envie de me
rendre dans le wild side les honnêtes citoyens restent chez eux la nuit. J'ai
plus ces serrements à la poitrines l'angoisse est partie mais ça s'agite dans
mon cerveau. J'aime beaucoup vous écrire comme ça la nuit, je vous imagine vous
aussi dans vos insomnies poursuivant la lecture d'un roman dans le silence de
vos maisons de vos appartements. Je me trouve privilégié d'avoir un toît sur la
tête même si c'est dans le goulag urbain occidental. Je sais vous croyez pas que
je suis un vrai écrivain mais ce sont les cris que j'ai dans la tête que je mets
en mots. J'écris c'est la seule façon de devenir, d'être écrivain même si ça
emmène pas le pain, c'est toujours ça qui permet d'espérer... Un mot pour mon
lecteur collectionneur d'autos de la belle époque, j'aime bien sa dernière
acquisition quand est-ce qu'il m'amène faire un tour, j'ai la permission de
sortir du goulag même si je suis partout en exil. Je termine là dessus en vous
remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
Frisky Berny
jeudi 24 octobre 2013
Here is something for you and me
Bonjour! Bonsoir! Voilà un texte paranoïaque, cette
semaine en sortant du métro un grand type me précédais. Il semblait nerveux à la
sortie il a attendu pour prendre la même direction que moi quelque pas plus loin
il s'est arrêté comme si il savait ou j'allait, il m'a laissé passer et est
revenu sur ses pas. Cet après midi en faisant le ménage j'ai trouvé sur la pile
de journaux un sac d'emballage de noël pour une bouteille quelqu'un est entré
chez moi pour placer ça là et me rappeler mon abstinence d'alcool... La
journaliste du magazine L'Actualité a pas encore publier son texte sur la
maladie mentale, vous devinez déjà oui c'est de ma faute, elle a fait une
enquête je crois et a décidé que j'étais pas crédible... Paranoïa, angoisse,
anxiété voilà mon lot... La journaliste n'apprécie peut être pas ce blog, cet
après midi je suis sortis et j'ai pas croisé de policiers c'est déjà ça de pris.
C'est ça aussi le goulag la peur, la peur d'un homme mais oui je suis un homme
avec une maladie mentale. Je suis mon traitement et je commet pas de crime c'est
vivre et laisser vivre et je sais très bien qu'il est interdit aux étrangers
d'entré dans mon petit royaume... C'est court merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la
prochaine j'espère!!!
paranoy Berny
lundi 21 octobre 2013
Here is something for you and me
Bonsoir! Bonjour! J'ai jamais eu autant de hit pour
un post, une journaliste qui raconte en résumé mon histoire.La machine est peut
être dérêglée, dans le goulag on est pas habitué que quelqun s'intéresse à nous.
Cette nuit ça râle dans le goulag,on entend les voisins prendre une douche, les
portes grinces, le goulag c'est aussi comme le Hôtel California des Eagles on y
entre et c'est impossible d'en sortir. "Such a lovely place", l'exil est
impossible. J'entend les sirènes des urgences qui s'approchent j'espère ne pas
crever dans un transport par ambulance.J'a l'âme en paix pourtant ça bardasse à
l'intérieur. Je pense à tout ces gens que j'ai lésés dans ma vie je demande
pardon.Je pense à Faust, aux horreurs, l'exil c'est l'exil de moi je dois
revenir à mon âme parce qu'elle est là la vraie libertée. La libertée intérieure
paradoxalement attachée au goulag. Dehors cette nuit ça parle. Je crois que les
itinérants vont commencer à avoir froid et devront se trouver un abri. Dans les
semaines qui viennent de passées j'étais tellement angoissé j'en avais des
douleurs à l'estomac. Ça va avec le stress et l'âge de votre humble
serviteur.Pour revenir à mon âme c'est possible de la vendre au diable comme
Dorian Gray mais ce que les gens savent moins c'est qu'il est possible de la
racheter. Dieu est plus fort que le diable et si on demande avec humilité on est
exaucé. J'entend le groupe rock Black Sabbath que j'aimais tant dans mon
adolescence, c'était iconoclaste. Je sais aujourd'hui que le mal ne se présente
pas sous formes musicale. C'est plutôt les vilenies quotidiennes de chacun. Rien
n'empêche que mon exil dans le goulag, je le prend parfois comme une punition
pourtant l'enfer j'y étais y'a pas longtemps, le goulag c'est une sorte de
purgatoire qui me purge de mes "idées révolutionnaires occidentales". Je vais me
faire un café. La liberté intérieure et le mal, la liberté c'est la conscience
de ne pas être droit et d'essayer de se redresser, c'est une question morale
l'idée que faire le bien peux nous sortir de la névrose. Ai mangé un yogour
crème caramel, soudain c'est le silence. Comme vous voyez cette nuit je cherche
quoi vous écrire. Je ne dors pas pourtant ce matin je dois sortir tôt.L'autobus
de nuit qui passe elle ramasse les oiseaux de nuit qui rentrent à la maison,
ceux qui croient ne jamais pouvoir racheter leurs âmes, non ce n'est pas le
fantôme du paradis ni la romance. L'enfer c'est de ne s'exprimer qu'en sacrant
en évoquant les objets sacrés mais à un moment ça deviens une prière même si on
y crois pas. Dites moi avez vous continuellement un soliloque entre les deux
oreilles? Moi si et j'essais de le ratraper pour le mettre en forme de texte.
Vous vous demandez surement ou je vais? Ça fait une couple de fois que je vous
demande ça. Je vais vers la liberté, la liberté d'écrire sans trop de chi chi.
Écrire pour moi c'est partir en même temps que je vous donne mon monde que je
n'arrive pas a qualifier, mon monde virtuel? Rituel? Soudain j'entend un matou
miauler et je vous quitte en me laissant emporter par la nuit. Merci d'avoir lu
jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
Nightly Berny
samedi 19 octobre 2013
Here is something for you and me
Bonjour! Bonsoir! Je me doute que vous êtes pas
accroché à votre ordinateur en attendant mon prochain post.Tôt ce matin il fait
froid dans le goulag, c'est l'automne pour vrai. C'est le silence on entend que
les voitures qui passent. Hier je me demandais ce qu'étais devenue le
psychiatrie critique, l'alternative, ça semble dépassé... Si je me souviens bien
les méthodes alternatives sont basées sur la parole et le geste, on s'exprime
pour pas que ça imprime. Hier dans une conférence on a évoqué Michel Foucault et
la naussance de l'asile, les léproseries. Je sais que pour certain l'immeuble ou
j'habite est un immeuble de lesbiennes. Des bobards!!! C'est un endroit ou
plusieur personnes sont en exil d'eux même, doublement solitaire par la maladie
et la vie... Je pense à mon premier exil le lac Saint-Jean, j'étais qu'un enfant
mais je me souviens très bien de l'immense Lac... Mon âme a mal dans cette terre
d'accueil qu'est le goulag occidental, j'écoute ce que me dis la petite voix,
elle me dis que c'est ça la schizophrénie, la petite voix... Je mélange
conscience et voix. J'aimerais bien qu'un psychanalyste interprête mon
inconscient, c'est vrai que dans mes écritures y'a une large part d'inconscient.
Faut pas confondre inconscient et irresponsable. Je pense à une lectrice
retraitée de l'enseignement qui vend son chalet je l'achèterais mais j'ai pas
les moyens. Y'a aussi ce lecteur au pseudonyme d'Oliver Twist tiré de l'oeuvre
de Charles Dickens on peux pas être plus romanesque. L'âme l'exil faut pas que
j'oublie que le goulag est dans une ville du nord mais que tout ça se passe
entre mes deux oreilles, l'exil, le goulag une vision de l'esprit...Le goulag
c'est aussi la psychose, la maladie mentale que je m'imposais avec une façon de
vivre dissolue dans une maison de chambre ou j'entendais les chambreurs m'uriner
sur la tête, l'antichambre de la mort... Je prie pour éviter de retourner là.
J'attend la sortie d'un magazine ou j'ai donné une entrevue à une journaliste,
de l'orgueil... Ce samedi le goulag dors, il attend l'hiver,déjà... Je termine
encore une fois en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine
j'espère!!!
Fally Berny
mardi 15 octobre 2013
Here is something for you and me
Bonsoir! Bonjour! Je sais pas pour vous mais c'est
octobre chaud dans le goulag. Je m'excuse auprès de ma lectrice de
Deux-Montagnes, j'ai bien écris le texte qu'elle citais. Ce soir le goulag est
calme, j'ai tellement chaud je crois être malade, vous en faites pas ça
ressemble à l'andropause, on parle plus vraiment de ça de nos jours, ce serait
bien moi ça attraper une maladie disparue. L'éclairage du parc en face est
éteins. J'essais de voir ou j'en suis avec mon âme, cette semaine quelqu'un m'a
dis que je parlais jamais de ce que je ressentais. C'est faux je le fait ici, je
cherche... Comment écrire? Si vous saviez tout ce brouhaha dans ma tête. Je
pense à un autre exil loin du goulag. J'ai cinquante sept ans il est tard pour
bâtir mais pas trop tard pour pâtir. Les camions qui passent dans le goulag
hurlent d'autres font frapper la porte de leurs boîtes de transport. Vous voyez
je connais pas le vocabulaire des camionneurs qui empoisonnent les habitants du
goulag. J'ai enlevé mes chaussures et je suis en bedaine, je ferais pas une
bonne publicité pour les machines a épiler, les bêtises de la télé qui coutent
chère a livrer. Je suis gros et je crève pas de faim. Je voulais vous parler de
son excellence l'épouse du gouverneur générale que j'ai rencontré à Rideau Hall
et qui m'a fait un bon hug c'étais sympathique. Elle m'a même baptisé Georges je
lui ressemble à ce Georges. Elle voulait savoir comment je vivais la
stigmatisation. Je lui ai parlé du travail de comment on valorise l'argent
plutôt que la job. Quand j'étais jeune sky was the limit et maintenant j'aime
bien ma vie "d'artiste". Stigmates et oui je porte ma croix. Je crois que c'est
celle là dont on ne veux plus entendre parler, mes excuses c'est un petit
passage à l'actualité. Mon âme est tranquille mais quand cesse l'exil? Quand
peut on dire ce territoire est le mien. Je le partage avec mes semblables
déracinés et réchauffé par le bitûme. Je pense à la conscience à comment c'est
difficile de voir la portée de ce qu'on dis de ce qu'on fait c'est peut être une
illusion les choses ne vont pas si loin. Je pense à la chanson de Ruteboeuf "Que
sont mes amis devenus, que j'avais de si près tenus et tant aimé" Ouais!!! Je
fait dur après Léo l'anarchiste. Le pire c'est quand j'éternue en cherchant à
vous entretenir comme dans entertainer ou "A wonderful piece of conversation".
La capitale fédérale déteins sur moi, un tout petit peu d'english. L'autre me
dirais reviens en, reviens en mais je peux pas revenir de mon exil langagier.
Ceci c'est pour mon lecteur conférencier, cherche pas à comprendre ce que
j'écris c'est une sorte de pot-au-feu, je brasse et je mélange et le navet reste
un navet. Je crois que j'en ai assez fait pour cette nuit. Je vous laisse donc
en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine
j'espère!!!
Skiddy Berny
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