lundi 30 avril 2012

Here is something for you and me

Bonjour! Bonsoir! Une autre semaine qui commence. Je me lance dans ce blog comme si ma vie en dépendait. J'ai constaté le mépris envers tout les blogueurs, pour les médias traditionnels faut être big... Moi, je suis content d'avoir quelques lecteurs c'est mieux que pas du tout. Je suis assis devant mon clavier, mon écran et je pense à vérifier mon compte de banque, ils ont effectivement déposés. J'ai une saveur de hot-dogs au tofu dans la bouche c'est mauvais. Je ne sais plus quel écrivain disait qu'écrire c'était une petite névrose banale, qu'il ne croyait pas à ses bienfaits. Moi je crois que c'est libérateur, que ça allège la lourdeur du goulag... Ce matin j'ai une réunion, je suis debout tôt au petit matin. Je peux pas vous écrire que j'ai mal ce serait mentir. C'est difficile de me renouveler, je suis pas humoriste je cherche pas un gag. J'essais de sentir l'ère du temps. Voilà! J'ai petit déjeûner, de plus en plus de difficulté a vous présenter mon monde intime. Le matin ça s'agite moins dans mon ciboulot... Karposy est dans la marde on allègue que sa campagne précédente a été financée par la Libye de Khadafi, Karposy, Khadafi, ka ka fait là? Les matins se répètent l'un semblable à l'autre... Non, y'a une différence les étudiants font la grève. Je suis de tout coeur avec eux. L'animateur du matin à Rédio-Kénada fait son éditorial... Ce matin mon goulag est tranquille. J'ai le petit doigt de la main gauche qui démange... Me demande ce que ça ferait si je me prenais un agent... Au Québec les agents littéraire ça n'existe pas... Je pense à la revue lettre Québécoise pour les écrivains profs au collégial... Je me demande ce qu'Hubert Aquin écrirais sur la grève. Comment ça s'appelle le liquide blanc qui sort quand on a gratté une démangeaison, du pu? Éric Charden est décédé, c'est pour les vieux ringards tout ça "le monde est gris, le monde est bleu". J'ai ouvert le rideau, le jour se lève... Lentement y'a de la circulation automobile, des camions aussi. À l'horizon du goulag y'a une barre rose... Je me répète la vrai littérature on trouve ça dans les livres, ce blog c'est du guignol, du marriole... J'ai de la difficulté a écrire... Je filtre trop ce que je veux écrire. Je devrais vous envoyer ça en vrac vous ferez le tri. En vrac c'est toujours moins cher et c'est pas emballé. Pas de petite boucle sur le paquet et sans cordelette c'est pas un rôti. Des peanuts, des peanuts voilà comment ça compte, les peanuts à Jimmy Carter... Cashew, peanuts, noix, amandes, on se fait les dents. De nos jours on mentionne la ville de Terrebonne quand on fait la circulation, y'a trente cinq ans c'est tout juste si on savait ou c'étais. Ça aussi c'est pas une joli phrase. Terrebonne, à peine si on avait les transports en commun, les autobus des horaires de fou. Terrebonne c'est la banlieue du goulag, de beaux petits bungalows ou on souffrait dans le sous-sol... Moi j'ai migré dans le goulag pour survivre, avant j'étais itinérant maintenant je suis installé depuis longtemps. Je veux pas recommencer ailleurs Je reviens sur le collégial, le peux de temps que j'ai fréquenté, j'ai rencontré un néo-nazi, c'est pas fort pour moi ce gars avait pas sa place au collège. Je termine là-dessus. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!! Lonely Berny

vendredi 27 avril 2012

Here is something for you and me

Bojour! Bonsoir! On est encore dans la crise étudiante. Les casseurs s'en donnent à coeur joie, la police dis que ce sont des experts des foules, des criminels qui en plus d'être vandales détruisent la légitimité d'une cause. Je sais pas trop de quoi vous parler... Hier j'étais à une conférence sur l'approche collaborative en santé mentale mais pour collaborer encore faut il avoir calmé sa révolte, reconnus sa maladie. Le CHUM se propose d'apprendre aux patients comment participer aux soins. Moi je crois qu'il y a un moment pour tout, on feras pas un docteur d'un ignorant de quelqu'un qui ne sait pas comment fonctionne son corps. Sans parler de l'insondable cerveau sur lequel on en sait si peu. Vous semblez être beaucoup moins a me lire et vous aimez quand je glisse cette saloperie de mot cocaïne, la dope, la dope, la dope on se sent si intelligent quand on en prend mais c'est faux on est que de pauvres peaux. J'ai de la difficulté a rebâtir mon estime, c'est pas pour rien. Je vous fait des confidences j'ai lohgtemps abusé des substances, cherchez pas trop ou je veux en venir... J'ai déjeûner, ai fait mon lit, j'essais d'écouter ce que disent mon corps et mon esprit quand la douleur est absentes je n'ai rien a dire. Je compatis avec les manifestants,,, "A lot of talking a few of them know" je peux pas dire que ma vie roule a vide. Je m'implique dans différentes causes. Le dernier poète maudit disait qu'il n'y en avait plus de cause, il se trompais les causes c'est pas ce qui manque, ce qui manque ce sont les militants... Je pense à Woodstock à Alvin Lee de Ten years after qui chante "I'm going home" c'est un peu ça aujourd'hui sous la pluie on a envie de rentrer à la maison, de se faire un bouillon de s'asseoir avec un bon livre et de tout oublier de cette désolante journée. " La morale des grands a perdue son emprise, elle ne vaux qu'au yeux de ceux qui nous divisent" -A-M.Gélinas... C'est pas la révolution, je ne change que de l'intérieur voilà la difficultée. J'écoute Rédio-Kénada, la revue de presse on passe sur les morts d'une façon banale mais il faut que la vie continue. Bon! Je suis pas a l'atelier de production, j'ai pas a faire mon quota de pièces, d'opérations, y'a personne qui va me reprocher de n'avoir pas écris assez de mots. Hé oui!!! Vous avez le droit de dire que ce sont des niaiseries. Il est six heure le jour est arrivé, le goulag se réveille, lentement ils sortent du lit pour se raser et prendre une douche, on pense à la journée qui s'en viens dis peut-être une prière et allons-y!!! Je termine là dessus et vous remecie d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!! Kindly Berny

mardi 24 avril 2012

Here is something for you and me

Bonjour! Bonsoir! J'ai mis la radio sur cité rock matante... C'est étrange j'hésitais a écrire ce soir peut être parce que les étudiants négocient et qu'un certain calme est revenus. Au mois de mai y'a les journées santé mentale... Santé mentale c'est pas nécessairement la folie c'est la souffrance toute intérieure. Je sais à une époque on disait "fait les soufferts" en dérision... La vie est si fragile, une belle chanson... Je racontais à un copain qu'un jour je retournerai en France, la France c'est le pays de mes ancêtres, la France c'est un peu ma mère, bien que je sois pas polyglotte, je trouve que le français est une belle langue, une langue qui mérite un effort pour bien l'utiliser. En français y'a pas grand chose qui vaux une bonne discussion, arguments contre arguments mais avec du respect, le respect du à ses amis. Badinage, souvent je crois que je suis un intello mais c'est du badinage, des propos qui ne portent pas à conséquence. Je suis au café du commerce quoi pas aux hautes études commerciales. Connaissez vous Emmett Grogan? C'est un écrivain qui pour donner a manger à ses semblables discutait "le bout de gras", belle expression qui dis bien ce quelle veux dire pour la soupe. J'hésite a vous parler des "diggers" un groupe très actifs dans la communauté hippies des années soixante Grogan en étais le chef de file anonyme. Vous pouvez lire ça dans son roman "Ringolevio" que j'adore, un grand roman méconnus. Parfois pour être français je pense aux "Illusions perdues" de Balzac, à mon âge on a plus les mêmes ambitions littéraires. J'ai laissé passer pourtant j'écris toujours, je ne sais pourquoi... Je manque d'humilité, je suis toujours a préparer mon discours de refus du prix nobel de littérature. Je refuse le prix mais je prend l'argent. Je deviendrai pas riches a écrire si c'étais le cas ça se saurait, ça c'est très laid comme français. Vous voyez maintenant à quel genre d'ignorant vous avez affaire. J'ai remarqué que je raisonnait à l'envers, je vois toujours le négatif avant le positif, courrir pour moi c'est se faire chier pas s'occuper de son système cardio-vasculaire, dites moi comment ça marche? Je change ma façon de penser ou je passe à l'action? Vous pressez pas j'ai déjà la réponse... J'ai réussis a vous écrire ça en écoutant les chansons mielleuses, à l'époque on disait des chansons bubble gum à contrario de rock. C'est assez pour ce soir! Je vous remercie d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!! Slowly Berny

dimanche 22 avril 2012

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Trop couch potatoe pour marcher à la journée de la terre. J'en bave et je vais crever plutôt que marcher. Mon amie la terre elle m'a oubliée dans un coin perdus du goulag... Quand même je reçois des courriels racistes sur des politiques qu'ils vont prendre en Hollande... Je vous le réécris je suis misanthrope, j'aime pas les foules mais je suis de tout coeur avec ceux qui marchent, je pense à la chanson des Séguin "les enfants d'un siècle fou". On en commence un autre siècle et c'est pas ce qu'il y a de plus joli. Mais oui cet après-midi plutôt que d'échanger avec mon prochain je regarde le hockey, c'est malsain. Ouais! comment dire? La CLASSE manifeste aussi. J'ai de la misère a voir clair dans tout ça mais quand ils parlent de nos enfants je pense à Éloi à Antoine à Alexia à Théo... Si y'a pas de terre y'a pas de rétablissement, si y'a pas de rétablissement y'a pas de terre. Je suis un tarlais à moins que ce sois un tarla... J'écris quand même sans papier, sans filet, comme un monstre je joue avec une plaque brune que j'ai sur la tempe. Je suis vide cet après midi j'ai pas entendu les cloches sonnées, c'est comme si on voulais se refaire les dimanches d'antan, la grand messe place des spectacles à Montréal. Je suis contre tout les rituels mais je prie quand même c'est paradoxal... Le bonhomme est fou, dehors c'est gris et je lui dis quand même merci à Gaïa de m'avoir permis de me rendre jusque là. C'est l'éclosion des feuilles dans les arbres. Mais non je suis pas dans les centaines de milliers de personnes qui manifestent. Je suis pas contre eux on peux pas être contre la vertue, tout ce que j'ai en tête c'est des idées de vieil anarchiste qui veux pas se faire mener par personne. Les travailleurs sociaux qui sont je crois un grand nombre dans cette manifestation traitent les gens comme moi, je suis un "malade mental" et les mentaux ils aiment pas beaucoup quand ça grouille, quand on stimule leurs matières grise, ils aiment le calme, prisonnier de la peur et de la maladie. De toute façon j'étais seul pour y aller j'avais pas de compagnie, y'a rien de plus triste qu'un solitaire dans la foule. La bonne femme de gauche avec sa casquette Nike...elle ne magazine pas chez Whal-Mart. L'écologie c,est aussi faire des choix responsables aujourd'hui j'ai pas dépensé d'énergie, pas usé mes semelles de souliers qui vont me faire une autre semaine, enfin vous voyez que je vais pas bien. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!


Slowly Berny

vendredi 20 avril 2012

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! On manifeste à deux pas du goulag aujourd'hui, Charest fait dans l'humour dérisoire... Je sais pas si on a vraiment besoin des sociologues du Black box, casser des vitrines c'est insignifiant mais je comprend la frustration, c'est pas le grand soir, la police est forte et bien équipées. Les casseurs ils brisent aussi la sympathie de la population. Le grand Nord c'est le vrai goulag ou on veux envoyer les diplomés, ça me fait rire quand ils disent qu'ils vont s'asseoir et travailler, on bâtis pas grand chose assis. Je sais pas... si je cotise chez les libéraux ils vont me trouver une job dans les mines? C'est pas joli les images télé, on parle de mouvement radicaux... La S.Q. est là pour protéger Charest de toute façon vous pouvez voir tout ça à la télé. Je sais pas qui vas écrire "Si tu savais comme on s'ennuie dans le grand nord". Je pense qu'il y a une vision de la démocratie, la violence chez les manifestants ne permet pas la négociation ce serait un dénis de démocratie. Veux veux pas y'a une majorité de personnes qui a voté libéral... Moi je suis plutôt de l'option Québec-Solidaire, pour le monde avec le monde. Je dis ça... je sais pas trop, je suis plutôt misanthrope, je vous l'ai déjà écris... Je pense aux courses de camions en Abitibi c'est idiot mais remplis de monde... Dans le goulag les camions passent à la journée longue en nous empoisonnant les poumons. Je me prépare un spaghatt... Mes lecteurs de Gatineau ont d'irréductibles manifestants. Ici la police passe son temps a déclarer les manifestations illégales... J'aime pas beaucoup comme disait le regretté Michel Chartrand le "human interest" c'est certain que manifester c'est pas bon pour la business. La S.Q. loue ses camions chez Jean Légaré un fleuron du Goulag... Je sais pas c'est combien sa contribution au partis. C'est drôle la misère, manifestation, criminalité, itinérance, drogue c'est toujours dans le goulag du bas de la ville. C'est comme fido qui va faire son petit besoin dans le parc et après retourne tranquillement chez lui, dans la banlieue. Les habitants du goulag ont est pas respecté on est la lie de la société. Je suis tellement mêlé je viens d'apprendre que c'est la fête du pot dans l'ouest du Kénada, bein oui! Qu'ils en fument du weed et qu'ils nous câlissent la paix. La question c'est si on faisait les choses de façon civilisé ça donnerais des résultats? Une certaine innocuité? Quand je vois les images des policiers anti-émeute de la S.Q. et le mauvais humour de Charest. Je me sent comme sous la pire des dictatures. Tiens tout à coup je pense à Mai soixante huit en France, à comment ça avais fait naitre l'espoir, sous les pavés la plage, il est interdit d'interdire des slogans sur lesquels ont vécu bien des gens. J'ai mangé mon spaghatt et tant que les gens pourront manger des poutines chez Lafleur, je pense à mon lecteur de Terrebonne, il n'y auras pas de changement, ventre plein n'a pas de rage... Une sage de Mascouche m'a parlé de l'augmentation de prix des médicaments et de comment nos octogénairées aimés était obligé d'encaisser, on sort pas dans la rue à quatre vingt ans... C'est global mais les plus faibles restent toujours sans revendications sans mots et parfois respectent la démocratie bien que d'autre dénigrent la politique. C'est tout pour aujourd'hui. Je vous remercie d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Frenzy Berny

mercredi 18 avril 2012

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! L'été a été court... Je vous reviens cette nuit. Vous vous en doutez je dors mal pourtant j'ai pas de problème de conscience. J'ai un problème avec mon écriture j'essais de faire beau plutôt que vrai. Cette nuit à Rédio-Kénada ils parlent de littérature érotique, trop intello la fille lis on a envie de rire. Y'a rien a faire d'autre que de vous écrire la nuit. Lentement je hennis comme un cheval, je vais finir dans un box à l'écurie. Je me rappelle ces nuits au Quartier libre assis sur un fauteuil défoncé, la tête dans la boucane, le nez dans la poudre et cette fausse impression d'intensité trop givré pour rentrer dans ce qui me restais de chez moi je couchais sur le trottoir... Hier un ami photographe de cette époque m'a téléphoné c'est malheureux ses photos sont trop bucoliques. Je pense au regretté Alain Bashung... La musique, la musique produit parfois de la mélancolie malsaine, des souvenirs rock'n'roll pourtant je suis un nerd ou si vous préférez un macramé. J'étais pas un vrai rocker juste un souffrant à lunette. J'avais des bouquins avec des photos de motards des années soixante, je les croyais libre mais ils étaient totalement aliénés à leurs machines. Vous voulez savoir pourquoi je me lève si tôt? Je lis mal mon cadran plutôt que de lire 2h30 je lis 3hrs. C'est triste j'ai pas de style d'écriture, j'aime pas les gens je déteste l'humanité comme un adolescent gâté. Au Québec pour écrire faut aimer les gens, foutaise! Elfriede Jelinek aime pas les gens mais elle écris de la grande littérature. Détester les gens ça permet d'en inventer des aimables... Quand je regarde les nouvelles je trouve que le monde a pas de bon sens. Y'a des jours ou j'ai envie de tout laisser là, de m'étendre et de mourrir pourtant la mort c'est pas simple. Falardeau dirais "les êtres humain c'est tough en tabarnak". Gerry Boulet qui chante "qui te soigneras? Qui te guériras?". Je guérirai jamais, quand a me faire soigner les hôpitaux sont pleins et c'est pas là que ma neurasthénie va se résorber. La vrai vie, la grosse vie sale elle est finie. Maintenant j'écoute de la musique indienne et je me fouille dans le nombril. Y'a différentes déclinaisons sur lesquelles je me joue dans le nombril. Ça reviens souvent dans ce que j'écris, un problème d'ego... Vous souvenez vous de la chanson My sweet Lord de Georges Harrisson, je voudrais bien le voir, je voudrais bien être avec lui pas Georges mais Lord. C'est musical cette nuit j'ai toute ces musiques là dans la tête. Je termine là dessus et vous remercie d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Slowly Berny

lundi 16 avril 2012

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Fait beau! Fait chaud! Un parfum de fin du monde comme chante le chanteur. Y'a une camionnette devant l'édifice. On lui a donné une contravention bientôt ils vont la towingner comme disait la fille, c'est trop simple de dire remorquer. Le ciel est gris le temps est lourd déjà... La fenêtre est ouverte, un gars est passé en gueulant, j'ai rien compris. Les étudiants ont mis de la pression dans le métro... Je pense au porc frais, j'en suis un, je pense à Yvon Deschamps a comment ne pas le blesser c'est un grand et vieux monologuiste... Dans le goulag aujourd'hui on a un répit, même les révolutionnaires sont en culottes courtes, je cherche la garde nationale on en a pas, pas de nation a garder. Stoned cold fever sur la céramique de la salle de bain, la tête dans la bolle... Devant il y a une femme qui ressemble au guitariste du regretté groupe Offenbach, pour mes amis français juste signaler qu'il ne s'agit pas de Jacques Offenbach le compositeur mais d'un vieux groupe rock québequois éponyme. Vous pouvez chercher et entendre sur You Tube. Bon! Je sais pas comment on place ça éponyme mais j'espère que vous avez compris. J'écris pour... remplir?... vider?... dire un étât de folie expressionniste... Bon voilà qu'on me demande pour qui je travaille, pour moi simplement pour moi... Je m'égare, j'essais de traduire mes pensées les plus intimes sans verser dans la banale sexualité...La rue Ste-Catherine c'est bruyant et poussièreux, quand je serai mort j'aimerais bien qu'on mélange mes cendres à la poussière du goulag centre-sud. Vous allez me dire "ménage tes transports" pourtant ça grouille pas tellement dans mon for intérieur. Un ami viens de me téléphoner pour me dire qu'il a fait son testament. Je crois que je suis une estie de tarte. Voilà! J'y suis dans l'intime dévalorisant, dénigrant. Un pauvre cave voilà ce que je suis. Vous pouvez m'indiquer une façon simple de remonter cette estime? De toute façon les gens lisent pas du moins pas autre chose que la boîte de céréale le matin. Ils ont trop de soucis et j'en suis le moindre. Je, ce Je avec un j majuscule narcissique... Vous savez pas de quoi je parle c'est parce que vous êtes moins égocentrique que moi, ce Je fait mal... dans tout les sens. Vous pouvez rire, le rire c'est l'humilité et laissez moi vous dire que je ne ris pas souvent. Ça a ni queue ni tête, si au moins j'avais une cour comme les cols bleu mais j'ai que ma case comme celle de l'oncle Tom, ma case dans le goulag la fenêtre donnant sur le garage de la STM maintenant vous savez ou j'habite mais je crois l'avoir déjà écris dans un autre blog. Je termine et vous remercie d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Fuzzy Berny