lundi 27 février 2012

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Il neige encore, la fatigue de mars s'installe, l'hiver dure. Je pense à ceux qui sont partis... J'écoute de la musique folk on a beau dire Montréal c'est au nord, pas au nord du nord mais encore, waltzing mathilda une vieille chanson de soldats. Ce soir j'ai envie de vous écrire de la poésie mais j'en suis incapable, pense au pays à ces gueules de politiciens que je vois à la télé je veux pas me faire diriger par ces gens là pas plus ceux de droite, du centre que de gauche c'est toute la même engeance. Moi je suis à gauche de la gauche un anarchiste utopique... Bon! Les hémoroïdes c'est pas très poétique mais tant qu'a se sentir trou-du-cul. La difficultée c'est d'évoquer, de pas avoir la langage cru d'un routier, je ne parle plus, j'ai enlevé mes prothèses dentaires. Une odeur de curry, me suis fait une tartine au beurre d'arachides. Quand j'ai rien a dire je deviens souvent scatologique. The Band à la radio, le groupe canadien qui accompagnais Bob Dylan. Je devrais revoir ça le film The Last Waltz.. Je pense à ces édifices avec plusieures salles de cinéma. Mon complexe va pas dans les complexes de cinéma c'est trop complexe. Je vous donne mon goddam best, ce soir ça bloque, thèse antithèse synthèse. Je suis trop imbécile pour développer comme ça et y'en a d'autre qui parlent de l'air du temps de cette façon. Je vous parlerai peut être des étudiants contre la grève... On félicite nos lectrices puéricultrices pour le règlement dans les CPE. Les universitaires parfois, moi j'y suis pas allé à l'université ça parait, les dés sont pipés ils fabriquent des drops-out comme on fabriquais de la chair à canon, des poilus à la première guerre. Tout ça c'est pour dire que j'ai jamais su ou étais ma place. Poète par dépit c'est pas fort. A working class hero is something to be et encore je suis pas un honnête travailleur. J'ai une tête faite de folies une tête de fou. Je porte ma croix un jour à la fois. Nous autres les prolétaires on demande juste une caisse de bière pis de la pizza de temps en temps, un toît aussi pour profiter de tout ça. J'écris des niaiseries. Cette nuit rédio-kénada nous sort P.E.Trudeau et ses fils, dont un qui récite un poème de Victor Hugo. Ouais! Je sais pas trop quoi vous écrire il est deux heure, les actualités la nuit c'est comme si personne dormait. Moi je dors mal j'avais prévu me réveiller cette nuit pour vous écrire mon blog. Je veux vous en donner pour votre argent, y'a des joueurs de hockey qui déménagent comme si on devrais se préoccuper de ces gros gras millionnaires. Tiens! Je vous ai pas raconter qu'il y a un fumeur de haschich dans l'édifice parfois dans le corridor y'a cette odeur âcre douce. Je dois laisser monter ce que je veux vous écrire on est pas au festival de l'humour... J'aime beaucoup le dernier c.d. de la disciple de Sapho Ariane Moffat surtout la pièce qui parle de son corps. ça s'intitule Mon corps c'est excellent. J'ai jamais écris autant pour ne rien dire. Mes lecteurs fidèles me pardonneront, je peux pas toujours être en étât de grâce. Je crois que je vais terminer là dessus. Je veux pas abuser de votre temps. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Kiddy Berny

P.S. Parait qu'écrire un blog c'est pas de la littérature c'est de la foutaise. Ça demande le même effort que n'importe quelle autre forme d'écriture.

vendredi 24 février 2012

Here is something for you and me


http://www.hlhl.qc.ca/hopital/sante-mentale/art-et-sante-mentale/in-treatment.html

Bonjour! Bonsoir! Peux être que vous finissez de pelleter votre entrée, ça vaux beaucoup mieux que de regarder perdre le Canadien. Je fait exception ça m'enrage ils nous prennent pour des nonos!!! J'ai mis de la musique canadian folk, c'est une tempête de neige dans le goulag centre sud. J'ai une adresse d'entrée de jeux dans le blog j'aimerais avoir vos commentaires. Votre serviteur est devenu chroniqueur culturel mais j'ai pas de primeur si y'en a qui savent comment en avoir faites moi signe. Puisque je suis dans l'actualité autant y aller à fond avec les étudiants de l'université du Québec en Outaouais qui sont contre la grève, je peux pas les voir autrement que comme des partisans de la CAQ de Legault, c'est des étudiants de droite, elle s'en va ou notre belle jeunesse!!!? Ils vont tous devenir des bouffeurs de whimpies agréés... Moi je milite pour la libération du flocon de neige, une neige blanche et libre qui nous feras vivre de grand soir dans les vents d'hiver. Un flocon qui voyage, qui partage son unicité avec la foule de ses congénères et deviens un tout un tas qui transporte les masses dans les villes comme à la campagne, libérez le flocon!!! Qu'il ne se cache plus la face notre flocon dentelée, qu'il se laisse caresser par les skis, les traineaux, les charrues et permet aux déneigeurs de vivre décemment. Je crois que je vais me présenter comme président de l'union des flocons de neige de l'univers. Chacun auras sa part même en Chine on libéreras le flocon et ensuite le Tibet. Bon! Bon! C'est pas drôle j'attend l'appel, oups! J'attend la pelle. Je vous fait ça court ce soir. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Snowy Berny

mercredi 22 février 2012

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Je vous écris du milieu de la nuit, l'ordi ronronne voilà ma prose encore une fois. Je regarde dehors il ne neige pas. J'ai les mains qui démangent, c'est de l'eczéma. Je pense à la pleine citoyenneté dans le rétablissement à comment faire fi de la maladie. Ce chemin que j'ai emprunté c'est parce que j'étais malade comment je me suis brisé pour l'amour de mes amis. Lentement je me rétablis avec un peu d'esprit est apparue une accalmie. Je sait bien que dans l'actualité y'a des choses plus intéressantes que ma petite personne. Je n'est pas un autre c'est moi, tout moi. Je suis réveillé très réveillé, les muses de la nuit me poursuivent pour que j'essais de dire. Dire! Un éditeur français a dis que l'écriture c'est pas de l'expression mais qu'est-ce que c'est? Je suis probablement l'idiot congénital qui comprend rien, on ne s'exprime pas mais quoi!!!? J'aimerais savoir les platitudes que ce monsieur a pondu, mais oui on ne s'exprime pas on pond et on caquette comme une poule sur la grenaille littéraire. Je crois que je vais cesser de lire ça raconte trop, on s'exprime trop ils ont pas le génie de travailler le style et la forme, je dis ça c'est de la bêtise. Les écrivains ça n'existe plus on a que des marchands de romans construit comme au dix neuvième siècle, y'a rien de mal ça vend et bientôt l'académie. Pendant ce temps là je me gratte les testicules. Je vous laisse quelques minutes pour faire bouillir de l'eau pour le café. Malheureusement j'ai pas de visions comme les grand poêtes, je peux pas vous écrire des anti-psaumes... Voilà j'ai mon café, je pense à cet ami qui a un bec-de-lièvre ça fait des années que je l'ai pas vus, il habite en banlieue sur la couronne nord et j'y vais jamais. Je crois que j'ai un lecteur mouleur qui travaille dans une avionnerie je le salut ici. J'aime bien les avions ça me fait rêver me donne le désir de partir mais pas en Tunisie comme ce gay que je croise parfois. Les pays du maghreb c'est beau mais instable. Mon texte aujourd'hui c'est un bébé mort-né on entend même pas le cri et le cordon ombilical sert à rien. Mon nombril, mon nombril sans placenta, l'écriture a crevé les eaux mais je suis pas assez fort pour survivre à l'air ambiant, le texte il est pas prématuré il est juste mort à la naissance. J'accouche de rien...Dolly Parton à la radio, I will always love you, c'est ce que je dis à ma douce qui j'espère va me lire. Je mange des bonbons à la menthe, pourquoi je vous raconte ça? Je sais pas pourquoi je suce des bonbons... Je pourrais écrire candy's suck mais c'est pas ça j'aime les bonbons. De la musique brésilienne comme au carnaval de Rio... "si tu vas à Rio n'oublie pas de monter en haut". Je me répète j'ai déjà écris ça sur un autre post. Cette nuit je vois des étoiles entre les mots, elles filent, elles filent laissant traîner les mots. Bon voilà c'est un texte nébuleux... C'est pas finis tant que c'est pas finis disait le coach. Ils se passe rien, dehors y'a pas de circulation dans quinze minutes c'est la fermeture des bars, le last call, il y en a qui vont sortir saoul sans savoir ou coucher, ils vont attendre l'ouverture du métro pour aller s'étendre sur le sol au chaud... Le vrai désespoir la nuit c'est de n'avoir plus rien a boire pour endormir, geler, cette douleur indicible....Et moi je sais pas quoi faire avec le code, je sais très bien qu'ils viennent chercher de l'information, "Twenty first century schizoïd man" Je vous remercie d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Nightly Berny

lundi 20 février 2012

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Lundi trois heure trente sept. J'ai pris un café mangé un yogourt. C'est la nuit, une émission sur l'histoire des noirs à Rédio-Kénada. Je suis somnolent. Ai finalement retrouvé le début de ce texte. Je pense à Verlaine et ses vents mauvais, à une chanson aussi. J'enfle...saloperie de metamphétamine, ce fou qui a tué le bon samaritain qui l'hébergeais. Tout le monde est sur ses gardes on a peur de l'autre, la schizophrénie a encore frappé, un mort avant de bouger. Je pense à la virilité ça aucun rapport avec ce qui précède. J'avais un voisin gay qui recueillais de jeunes garçons, il y avait souvent des problèmes chez lui, la police passait souvent... J'ai une blessure dans l'oreille je la soigne avec un bâtonnet de coton. Ce matin j'ai une réunion du groupe d'entraide, il y a une personne à qui les réunions sont contre indiquées, je devrai présenter la question et en discuter. Y'a des gens qui n'arrivent pas a gérer l'intensité, nous ne sommes qu'une étape dans le rétablissement. Comme toujours c'est décousu j'aurais besoin de petites mains comme on les appelles dans la confection vestimentaire. C'est pas de la dentelle... La ville dort encore, la neige a fondue c'est un étrange février. J'ai plus de lait je bois mon café noir, je veux pas vous inventer d'histoire c'est que moi avec moi, la nuit qui bat, hier au hockey on a perdu la course aux séries est difficiles. Sur la toile on ne dois rien dire que sa mère n'aimerais pas. Je cherche encore a savoir si ce que j'écris c'est de la littérature, y'a pas un éditeur papier qui oserait m'éditer et je médite faute d'être éditer. La table est remplie de kleenex utilisés, des papiers mouchoirs souillés, j'ai un gros nez et tout ça c'est des niaiseries y'a des choses plus importantes dans la vie mais quoi? Y'a de nos lecteurs de l'Outaouais qui déménagent, on leurs souhaite la meilleure des chances et bravo pour la grande cour pour les enfants. Je rajoute à la pléthore d'informations qui nous sollicitent. Je me gratte avec toujours la première personne du singulier. Je suis pas si singulier plutôt pôtache. Je sais pas si ma lectrice puéricultrice est en grève, si oui on lui la souhaite courte. Je crois que j'ai terminé pour aujourd'hui. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Nighty Berny

vendredi 17 février 2012

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Quatre heure du matin, j'écoute les actualités Garry Carter est décédé, ça me rappelle les expos et le parc Jarry... J'étais mauvais joueur mais excellent fan, à la radio Nuance et Vivre dans la nuit. On l'entend bon an mal an une fois par année celle là. Une chanson qui viens de l'Outaouais je salue donc mes lecteurs de cette région pour cette grande oeuvre... Vivre dans la nuit j'ai connus ça le bar qui ferme à trois heure, les visages que tu distingue à peine et le désir que la nuit ne s'arrête pas, les after hours un genre de speakeasy ou tout le monde délire noyé dans l'alcool payé le prix fort. C'est pas vivre mais mort dans la nuit, en nourrisant sa toxicomanie coulant comme une épave, a living wreck... Tout ça c'est de n'être jamais à sa place toujours dans des junks sales et louches, on sait pas qui vole qui, le jour arrive et nous prend épuisé sous tension, impossible de dormir à moins d'avoir des médicaments. La vie de junkie c'est pas la vie de mon père, ça longtemps été la mienne mais j'en suis sortis. Ils s'en trouvent certains qui vont juger mais je demande plutôt de pardonner. Je fait amende honorable. Y'avait une porte pour sortir de tout ça et je l'ai pris, maintenant ça va mieux, j'ai rien a caché, j'ai tout raconté et on m'a pardonné. Pour paraphraser la chanson maintenant mes blues passent dans la porte, je suis un homme sobre et libre. Je pense aux stygmates de psychiatrisés comment c'est difficile d'être sur le même pied autant y aller à fond et se couvrir du manteau de la maladie pour être bien pour être mieux. Je veux surtout pas être une victime à tout les jours je fait des choix qui ne concernent que moi, victime, persécuté je tiens ça loin de moi. Des histoires comme la mienne y'en a des milliers, ce matin c'est pas très inspiré, la nuit je m'ennuis, j'attend la lumière du jour et je me réjouï de pouvoir vivre une autre belle journée. Je vous remercie d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Slowly Berny

mardi 14 février 2012

Here is something for you and me


Bonsoir! Bonjour! Je suis en grave crise d'expression... À la télé j'ai vu la France sous la neige, ici il fait à peine zéro. Le goulag est doux, mon exil psychique a des sursauts maladifs. J'ai envie de pleurer, je suis fatigué de cette folie douloureuse. J'aimerais être un peu sensé et pas mettre les mains dans le guêpier. Je sais plus on monte plus la chute est dure... Je tomberai pas je suis déjà écrasé comme une crêpe tournée cent fois. C'est terrible cette absence de mot cette impossibiltée de nommer ce qui me fait souffrir, cette incapacité a vivre certaines émotions sans distortions. Mais non! C'est pas une chanson c'est une plainte un long cri de douleur parce qu'as's't'heure, justement cette heure qui fout le camp vite remplacée par une autre qu'on ne vois pas venir et qu'il y a la fin et je ne suis que ça un pauvre blogueur dépendant de sa machine comme l'homme dans les cavernes de Lascaux. Je grave le virtuel, je peint l'écran de symboles alphabétiques. Oui cyberdépendant pourtant je ne cherche pas a me matcher, dans le parc en face ils promènent les chiens on parle pas de caninodépendance... Quoi dire encore? Ça fait mal une douleur sourde un malaise d'être qui essais de me faire tout abandonner, j'ai de la misère a croire que tout est perdu. Vous ne vous en faites pas, moi si, j'aspirais a quelque chose de bien je ne suis devenus qu'un pauvre type qui cherche l'approbation et l'amour, c'est quoi ça? Fuck la romance!!! Aujourd'hui on m'a demandé ce qu'étais un narcissique, j'ai pas su quoi répondre, il étais pas question que je me noie dans la mare, à toute les fois que je vous écris c'est de moi qu'il s'agit mon sujet le moi narcissique, je me vois dans ce que j'écris et c'est de la folie, de la folie de civilisé, de la folie acceptable pas de la folie regrettable. J'aimerais bien qu'elle disparaisse cette douleur au fond de mon âme, dire et dire pour panser mon mal pour suturer la plaie. C'est pas rigolo aujourd'hui, comment ça s'appelle une angoisse existentielle? Je vous en veux pas les angoissés on les aime pas beaucoup ce sont des gens a faire des saloperies... Mais non, mais non... Ce soir combien somme nous a bloguer, a étaler nos étâts d'âme sur la toile, la toile ça fait pensés à la peinture. Bon j'arrête de vous faire ch...!!! Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Anxiety Berny

dimanche 12 février 2012

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! On écoute de la belle musique des familles, dehors c'est le vrai février, froid et sec. J'aimerais beaucoup vous toucher aujourd'hui, je suis pas dans le désarroi, je crois toujours que la souffrance est un moteur pourtant j'ai pas mal. Y'a une chanteuse pop qui est décédée, Dieu ais son âme... J'ai pas regardé la nouvelle en détail... La mort on en parle toujours sans savoir, personne n'est venu nous raconter comment c'est l'autre bord, parfois on se fait des idées bien infantiles du paradis. Moi j'ai cessé de vouloir mourrir ça viendras bien assez vite. J'ai lavé mon manteau d'hiver comme Raphaël Nadal avec des balles de tennis voilà que je tombe dans la niaiserie heureusement je suis pas neurochirurgien, y'a pas de vie en jeu. À moins que vous soyez désespéré et que lire ceci soit votre dernier recours. Si ça va mal contactez moi j'ai de bonnes oreilles, parler ça peut faire des miracles. La crotte sur le coeur que vous avez partagez là. Je sais tout ceci est bien moral on dis souvent ce qui ne s'exprime pas s'imprime, là je pense à ce psychanalyste qui ne crois pas aux vertues curatives de l'écriture comme disait ma douce, il prêche pour sa paroisse pour lui écrire si c'étais suffisant on aurais plus besoin d'analyste mais de toute façon on guéris jamais, on s'apaise, on se calme, on accepte, l'écriture aide a faire tout ça et encore mieux quand on a des lecteurs. Une fois dans sa vie il faut faire l'inventaire et le raconter à sa confidente, son confident, ça allège, ça enlève un poids, on est bien peu de choses, l'univers continu de tourner même si on a avoué toutes nos bêtises. Quand même il me reste un peu d'orgueuil, je vais pas vous raconter mes gaffes sexuelle ici c'est matière à rigolade mais entre initiés. Quand on va mal faut se demander si c'est grave, souvent je dirais même la plupart du temps ça l'est pas la vie suis son cours. Je sais bien que vous pouvez tous continuer a vivre sans ce blog, ici y'a rien d'indispensable, c'est de la fantaisie, du superflu, un clin d'oeil que je vous fait, on croirais entendre le célèbre Boubou, Jacques Boulanger à son émission télé du midi. C'étais y'a longtemps à l'époque des midis perdus dans l'éther et les absinthes... Bon! Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Coffee Berny