lundi 30 janvier 2012

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Quatre heure vingt cinq, Renée Martel qui chante à Rédio-Kénada. Encore une semaine d'hiver qui commence. On pense déjà aux vacances. À la radio ils parlent de la Finlande d'Helsinsky... Cette nuit j'ai pas chauffé... J'espère qu'on va me téléphoner pour la mise en ligne d'un texte sur le site de l'institut de santé mentale. Je pense au scandale, à comment la littérature s'en nourrie. J'ai aucun endroit ou aller sauf droit devant. J'essais d'explorer mes émotions du matin, parfois la vie m'ennuis mais je résiste, l'idée c'est pas de se rendre intéressant mais de s'exprimer... Tout ça sonne faux entre le moment ou on vie quelque chose et ou on l'écris y'a un univers. Lundi et n'avoir jamais assez d'amour être immature... Je vous envois le mien d'amour en écoutant l'émission radio du matin. Je pense à mon lecteur chinois par procuration qui m'a rendus visite hier, je lui souhaite du bonheur. Bientôt sur Rédio-Kénada ils vont jouer l'hymne national. Je suis très beau au garde à vous en bobette Fruit of the Loom... Me suis fait un café et j'ai pris mon petit déjeûner, quand j'entend l'animateur radio je réalise comment je suis fatigant sur la radio communautaire... J'ai fait mon lit, c'est de la folie, c'est pas intéressant mais tant qu'a se nourrir de ceux par qui le scandale arrive... On souhaite bon retour à nos lecteurs de l'Outaouais qui reviennent du Mexique. J'espère qu'ils ont gardé du sable dans leurs sandales. Je sais le scandale vous aimez ça, je me cherche des menteries heureuses à vous raconter. Cette semaine j'ai perdus un tupperware tout comme si les sbires de la reine étaient entré chez moi pour dérober un vulgaire contenant de plastique et vide en plus... C'est toujours la même histoire je veux de l'amour, j'invente en pensant aux humoristes mais je suis pas drôle... Les actualités vous avez vos journeaux vos radio pour en parler moi je m'abstiens... Quand même j'aime bien le matin je pense à la chanson de Dutronc, Paris s'éveille, mais moi je suis à Montréal y'a que les camelots qui ne dorment pas à cette heure, soudain jai un flash-back que j'arrive pas a décrire... Musique pop japonaise c'est excellent, je sais pas ce qu'elle chante mais on sens une mélancolie. BON! Je termine. Je vous remercie d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Daily Berny

vendredi 27 janvier 2012

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Fait pas très beau, c'est ce qu'on dis quand on a rien a dire. Je suis un peu au bout de mon rouleau. Je prend conscience que mes expériences sur le rétablissement ont déjà été faites mais avec d'autres moyens. La maladie mentale c'est déjà une vieille histoire, une vieille difficultée... Je vais dire comme l'autre "arrête de râler" mais parfois je sent le poids des jours, le poids du désoeuvrement du journalier que j'étais. Cette incapacité à me revaloriser par un boulot digne de ce nom. Pourtant écrire c'est honnête quand on cherche pas la fiction à tout prix. Gris, gris le temps est gris sans ennuis bien à l'abri. Je réfléchis à ce que je vous écris cette fois ci c'est le jour pas la nuit... Je pense à la madame pipi qui vend des capotes et des peignes pourtant elle est disparue maintenant on urine par terre et on ne se peigne plus, c'est dégueu... Les conteurs toujours une gentille histoire pour vous réjouïr. Je suis pas conteur, je vous écris ma vie sur la rue Ste-Catherine à Montréal P.Q. Les gens rentrent à la maison la semaine est finie, la bagnole, la musique, les glaces teintées... La fumée sort de la cheminée du garage de la S.T.M. ça commence a faire plusieur hivers que je l'écris cette phrase... J'écoute de la musique folk comme un bloke de l'ouest. Je me sent comme un déporté des plaines, un exilé de Régina... Cet après midi le centre-sud vous a de ces airs de goulag le bien nommé. " I want to get lost in your rock'n'roll and drift away". Un drifter c'est ce que j'ai toujours été, je me suis toujours laissé dériver incapable de tenir la barre, un gars des plaines c'est pas fort en bateau... Maintenant je navigue aidé d'une Force Supérieure, j'essais d'y aller avec le courant mais j'en veux à Harper de vouloir mettre la retraite à soixante sept ans. Encore heureux si je me rend là Y'a des chiens dans le parc en face C'est une bonne raison pour sortir Neil Young à la radio. J'ai mal c'était une époque je sais pas si Michel Rivard l'a aussi bien mise en chanson... Des camions de sel, de calcium comme si j'en avais jamais vu. J'arrête je délire... Je deviens vieux et nostalgique pourtant les hommes sont restés des hommes mais j'y avais cru à ce bouleversement de l'ère du Verseau... C'étais Hair maintenant c'est air et la couche d'ozone... Quand je serai de retour du goulag, je vous raconterai les nuits froides et sans lune, les engelures et les loups de la psychose urbaine... Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!


Snowy Berny

mardi 24 janvier 2012

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Je manque d'inspiration, j'ai mangé de la pizza et des ailes de poulet, de quoi vous faire l'artère grasse... Je me disperse pas mal entre mes cahiers et le blog... Je pense à la boss du FMI madame Lagarde, que je trouve d'une très grande beauté. Tiens! Je vais me faire un café, y'a plusieure odeurs qui me passent dans le nez... Lentement l'eau bouille et moi je crois que j'ai une labyrinthite, la tête me tourne, quand on mange mal c'est ce qui arrive. J'ai envie de vous parler de mes croix, celles que j'ai en moi et celles suspendues à mes murs, ce sont un peu des croix de tempérances qui font balance avec mes croix ivres intérieures, croix ivres ou exaltées c'est un peu la même chose. Des croix qui se nourissent de la folle frénésie du monde urbain. J'ai des croix mais j'ai pas de crucifié, crucifié qui par ailleurs fut achevé avec une lance et à qui on avait offert du vinaigre a boire. Moi je ne bois plus j'ai le vin triste même à l'église. J'essais de trouver quelles sont mes croix, je suis reconnaissant j'en ai pas tellement, la maladie mentale peut être? Mais cette maladie m'amène a rencontrer quantités de gens intéressant, créateurs pour la plupart et combatif devant l'adversité. Je pense à mes futurs textes sur le site de l'institut de santé mentale, je sais pas si je vais avoir le souffle et la verve... C'est assez étonnant de se rendre compte parfois qu'on a rien a dire et qu'on téléphone juste pour entendre une voix connue, une voix qui nous dit qu'on est pas mort même si la routine nous bouffe au quotidien et on se demande ou s'en est allé tout ce temps. Construire ne serait-ce qu'un blog, le mettre à jour voilà le défi, essayez de vous entretenir et de vous entertainer comme dans entertainment. Vous donner quelques pensées en spectacle et là je sais pas pourquoi je pense à Deleuze et à ses rhizômes auquel je n'ai jamais rien compris... Des racines éparses peut être, des racines qui prennent prise dans la toile ou les territoires sont abolis. Je fait mon smatte, un tubercule... Je prend racine depuis longtemps rue Ste-Catherine et les voitures labourent mon air mais dans mon studio je pousse en surface... N'empêche je pense déjà au printemps et a faire pousser des carottes en pensant à la maraîchère de Rosemont une de mes lectrices. Bon! Je sais que c'est pas fort mais je vous remercie d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Veggy Berny

samedi 21 janvier 2012

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! La fin de semaine qui commence, c'est ce qu'on appelle commencer par la fin, c'est souvent dans ces moments là que l'impression de vivre est plus vivace, les loisirs prennent la place, on se cherche une galerie a visiter, un sport a pratiquer, un film a voir. Il est trois heure quarante huit, c'est la nuit ou peut être le matin tôt. On a un lecteur de Terrebonne a féliciter pour l'excellente décision qu'il a pris. Je l'encourage dans ce sens. Ça semble mystérieux mais vous lui en parlerez c'est important que ça vienne de sa bouche. Ici c'est frette et blanc, la vaiselle est pas faite ça cogne sur la passerelle autour y'a plein de bicyclettes attachées et abandonnées... Je lis une histoire d'abattoir du début du vingtième siècle. Je me sent coupable de mon confort, je sais pas pourquoi je vais pas abattre les boeufs, les cochons ou les poulets. Je suis pas végétarien je devrais prendre mes responsabilités. Au minimum je pourrais être commis-boucher, mais je suis trop bouché... La tripe la tripe ça vout fait un de ses dégâts, les animaux qui ont une gastro avant d'être abattus. Je vois les énormes quartiers suspendus à des crochets parfois y'a un désespéré qui s'y pend , malheureux de travailler dans le sang. J'ai souvenir de ma mère qui écorchais les lièvres c'était une drole de scène. Je regardais pas longtemps y'a aussi ce chasseur qui essayait de m'expliquer comment on arrangeais un caribou, comment il fallait que ça se fasse vite les organes a dépecées. Je sais pas si dans mes lecteurs y'en a qui tendent des collets, le bois les pistes de lièvres parfois ça me manque... Une perdrix aussi... Mais quoi! Je ferai pas de charcuterie aujourd'hui, je me souviens d'une excellente boucherie dans Lanaudière à Saint-Félix-de-Valois . Ils vous ont de ses excellent produits du terroir comme disent les gens raffinés, le cochon c'est bon et puis surtout le chorizo et le jambon. Ça donne l'envie de faire ripaille d'en beurrer épais. La viande ça coute cher et je sais qu'on dépense beaucoup de fourrage pour engraisser les animaux. Je pense au steak haché de McDonald qui détruis les forêts d'Amazonie, je crois que c'est pour l'Amérique du sud à Montréal ils achètent du produit local mais je vous dirais qu'il y a des snack-bars ou on mange d'excellent burger maison. Au super marché ils colorent la viande hâchée d'un beau rouge réjouissant, la viande nature c'est déprimant. Je crois qu'on retrouve du fer dans la viande mais à ce compte là autant manger des graminées. J'aime bien le steak de temps en temps. Je pense à Gaétan Hart le boxeur et au film de Falardeau, Le Steak, Hart y disait boxer pour se payer un steak c'est là qu'on vois que c'est une affaire de sang.Mais la viande c'est une question de foi ou d'abats. En bon citadin j'abattrai rien et je termine. Je vous remercie d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!


Meaty Berny

mardi 17 janvier 2012

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Aujourd'hui on est passé de la neige au verglas à la pluie. J'ai recommencé a m'intéresser aux malheurs de l'humanité... Comme souvent ça démarre lentement en pensant faire de la littérature avant d'être broyé par une souffleuse dans un banc de neige... Je pense encore, si je me souviens bien, à Flaubert et a son désir d'écrire un roman sur rien, c'est difficile, on a tous malgré tout un petit quelque chose... Y'a pas de journée fériée avant un bon bout de temps mais je crois que les enfants ont des classes de neige. Tiens je vais vous raconter ma soirée mon ce soir, je lis en écoutant une station de musique folk très canadian ou y'a même une version de l'hymne national à la guitare, c'est tranquille dans l'édifice, le téléphone sonne pas souvent mais je vais laisser ça à la chanson de Breen Leboeuf... J'ai vraiment pas le blues... Souvent quand j'ai rien a dire je tombe dans la scatologie maudite marde... Je sais bien l'autre écran vous en demande beaucoup avec toutes ces émissions, moi je regarde parfois, si j'avais le talent je deviendrais scripteur. La télé est toujours bien ancré dans le vécu des gens. J'ai toujours pensé qu'on étais occupé a regarder la vie des autres plutôt que de vivre la sienne. Je pense pas qu'avec mes écrits je devienne la risée... À moins que ça ne soit déjà fait, riez tant mieux!!! Mais je vous remercie comme ils font à la télévision de me laisser entré chez vous. C'est certain que c'est plus facile de s'éfouairer devant la télé que d'écrire un texte en essayant de bien conjuguer les verbes... Je pense à mon lecteur fossoyeur, que je salut ici, lui qui connait la grammaire comme personne. J'espère qu'il tondras, le verbe tondre au futur c'est pas très beau mais enfin vous comprendrez qu'il ne peux pas tondre maintenant, au dessus quand je serai mangé par les vers... Mais oui à toute les fois que vous me lisez c'est comme si je m'invitais chez vous toujours heureux que pour vous ce soit pas du spam, pas du Pam du spam en français ils écrivent du pourriel. J'ai pas le sens de l'humour, je sais bien qu'un one liner qui punch c'est payant. Mais j'ai pas ce talent là et dans l'humour comme ailleur ça se mange la laine sur le dos. Je préfère qu'on me tricotte des chaussettes. Je regarde dehors c'est du verglas j'espère qu'il y auras pas de panne d'électricité... À la radio spread your wings and fly away, non je m'envolerai pas, je plane, je plane... Bon! Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Icy Berny

dimanche 15 janvier 2012

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Pendant que nos lecteurs globe-Trotteur prennent la chaleur du Mexique, ici on se gèle les couilles... On félicite notre lecteur de Deux Montagnes pour l'acquisition d'une magnifique bête. Je laisse là la troisième personne et vous écris à la première. Bientôt si les choses vont bien je serai agent culturel de l'institut de santé mentale Hyppolite Lafontaine. Vous allez me dire que c'est ça? Premièrement il s'agit de changer la vision du commun des mortels sur l'institut, en faire un endroit de soins et de cultures. Mon rôle seras celui de faire connaitre des oeuvres et de faire savoir comment il est important d'explorer les oeuvres de plusieurs artistes. Je peux vous donner des exemples, des noms, Claude Gauvreau, Jacques Ferron et l'éternel Nelligan des figures connues, à l'international on peux nommer Antonin Artaud et Salvatore Dali avec sa méthode de paranoïa critique. Je veux aussi me donner comme défi de faire connaitre des oeuvres méconnues mais néanmoins importantes en essayant de donner le désir de voir, d'entendre, de lire. Pour moi c'est un travail d'Hercule je ne sais pas si j'y arriverai mais je vais essayer. Je m'attarderai pas seulement sur ce qu'on appelle le "grand" art mais aussi l'art populaire. J'essairai aussi de faire connaitre avec sérieux les oeuvres de mes pairs qui ont séjournés à HLHL. Je crois que c'est important l'expression d'une sensibilité mérite toujours qu'on s'y arrête souvent c'est l'unique moyen pour la personne qui souffre d'alléger cette souffrance de faire savoir qu'elle vie des moments difficiles, comment dire? S'agit pas seulement d'expressionnisme mais aussi du désir de construire quelques choses de produire malgré les qu'en dira-t-on... Ma tâche seras celle là aussi je crois, donner de la valeur à l'institut et aux oeuvres qu'on y produis qu'on y produiras, rendre les murs de HLHL plus accueillant et essayer de déstigmatiser le nom de l'institut, les gens qui y séjournent qui y travaillent. Là je pense à mon lecteur professeur d'histoire de l'art et vrai critique parmis les critiques, j'aurai peut-être besoin de son aide et réclame d'avance son indulgence. Je sais pas pourquoi je pense à la maison d'Arthur Villeneuve à Chicoutimi, aux murales à Montréal, à la murale du deuxième étages au pavillon Bédard à HLHL, y'a quelque chose qui relie ça en dehors de la beauté de la naïveté, un goût de montrer de dire et surtout de créer ... Bein non! Vous me verrez pas avec mon portuna comme écrirais le docteur Ferron, je suis pas docteur mais je vais essayer de prendre le pouls des oeuvres des créateurs de les faire vivre pour vous. Ce que j'écris là c'est un peu une introduction à ma présence sur le site de HLHL. Je vous remercie d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Artsy Berny

mardi 10 janvier 2012

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! C'est dégueu, je fait de l'eczéma sur les doigts... Cette semaine grâce à mon beauf je me suis mis a penser au professeur Choron dans le magazine Hara-Kiri et de son fameux "qu'ils crèvent" désinvolte. Ça me manque beaucoup ce genre d'humour, les cons de terroristes y sont surement pour quelques chose. Bon! Maintenant on est dans le vrai hiver quoi que cette année y'a pas beaucoup de neige dans la région de Montréal pour nos amis français disont que Montréal c'est pas le meilleur endroit pour faire de la motoneige. J'ai toujours méprisé ce "sport" je préférais le ski de fond, plus écologique. Je dis rien, je dis rien je lis présentement le dernier Victor Lévy Beaulieu avec son langage d'une truculente verdeur, le langage de chez nous magnifié cent fois, on diras après que les québécois on peux de mots s'tie! Pour écrire comme lui. Non cette année c'est pas encore la grosse estie d'hiver sale... Au Québec quand on a rien a dire on parle du climat c'est aussi une façon d'aborder l'autre qui implique pas grand chose, une entrée en matière... Aujourd'hui je vais marcher je crois cherchant dans le centre-ville un visage avenant, un sourire affectueux que je ne trouverai que chez les commis de boutiques en tout genres qui accueillent le client croyant y faire de bonnes affaires. J'ai toute la difficulté du monde a me renouveler c'est vrai qu'écrire c'est toujours du recyclage, des idées de seconde main. Je m'étouffe avec mes mots, je tousse, je crache mais c'est jamais nouveau, contrairement à ce que ma newsletter laisses a penser. Les sociologues ne voient jamais de nouveautés, les poètes non plus ils râbachent le passée en espérant à long termes, c'est pas des diseuses de bonnes aventures... Je suis dans le silence, je joue au cistercien qui sonne les mâtines, la vie est dure... Je prie, je prie, je vous prie je ne sais pourquoi de me laisser une chance, quoi que la pitié c'est jamais bon. Je brode des mots dans ma cellule de fou. J'essais de rajouter à l'ordinaire, tout y passe j'ai des chocs d'électricité statique, je me traîne les pieds sur la moquette. Je répond au téléphone et je m'électrocute les lèvres quelle saloperie... J'attend le matin, la lumière du jour... J'ai mis la radio ils parlent d'Haïti, c'est fou la vitesse ou on se sent coupable, l'information, l'information est-ce bien nécessaire? Qu'est-ce que je peux faire? Écrire dans mon créole à moi... C'est justement ce que la Croix-Rouge fait elle donne de l'information aux Haïtiens ignorants. La radio c'est de la vie comme si on se sentait plus vivant, on me parle, on nous parle mais parfois je crois qu'on nous dis quoi penser. N'hésitez pas à vous inscrire comme membre du blog, je vous donnerai de la guenille à mâcher. En politique, en plotilique, ça défroque d'un parti pour adhérer à un autre, ça change quoi? Rien!!! Je ne m'encanaille plus sur la main, j'étais un bum d'opérette, pour les amis français la main c'est l'artère centrale qui sépare l'est de l'ouest à Montréal. Ce matin c'est la rentrée scolaire, on en a rien a faire.... Je crois que je vais terminer là-dessus. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!


Early Berny