dimanche 30 octobre 2011

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Comme un étrange je suis debout à six heure du matin un dimanche. Je pense aux Indignés à leurs tentatives de réinventer le monde. Ils sont bien peu y'a longtemps que le Québec est sortis dans la rue. J'ai vu la face des politiciens hier à la télé, y'a rien a faire je veux pas être mené par ces gens là. Je préfère l'anarchie et le partage. Ma façon de vivre est occidentale, les indignés avec leurs campement de tentes sur la place Victoria imitent ce que les chinois ont fait sur la place Tianamen. J'espère qu'on leurs enverras pas les chars. Je comprend qu'en plus d'être indignés ils sont excédés, Wall Steet les rend capables des pires actions mais ça se passe quand même bien ce sont des non-violents. Je pense à la liberté à ce que c'est, certainement pas de donner nos matières premières aux minières et encore je veux pas me faire mené par des activistes écolos qui vont décider ce qui est bon pour moi. Ni Dieu ni maître, je pense aux anarchistes espagnols à mon lecteur de Terrebonne qui s'est rendus à Barcelone. Sur un autre plan je jasait avec un psy qui disait qu'en psychiatrie c'est comme dans les autres spécialisations de la médecine une fois qu'on a consulté et si on est vraiment malade on vas avoir un suivis, c'est très rare qu'on parle de guérison mais l'anarchie est que c'est une maladie? Changer le monde c'est ce qu'il faut faire pourtant on vois la révolution qui nous ferais perdre nos pensions et encore la révolution mais pas du genre des khmers rouge pas plus que celle du printemps arabe... La pleine citoyenneté sur tout les plans ça veux pas dire des élections à répétitions mais faire valoir son expérience sur toute les tribunes. Mais y'a une difficulté dans le temps les manifestants disaient de ne pas faire confiance à quelqu'un de plus de vingt ans. L'indignation la révolte vous me direz qu'il vaux mieux accepter c'est ce que je crois quand même j'aime pas les gueules des indépendantistes. Le pays ils ont pas voulus le faire quand il étais temps maintenant soyont anarcho-socialiste à la grandeur du Kénada. J'habite dans un quartier que les bourgeois s'apprêtent a investir, on y bâtis des condos et on chasse l'itinérant comment dire la bourgeoise qui a des vues sur la façon d'habiter de remonter l'évaluation de son immobilier. Je crois que vous avez pas apprécié mon blog précédent mais ce sont des libertés que je prend en espérant provoquer une réflexion chez vous. J'espère que le feu de l'indignation va prendre dans les chaumières que les activistes de tout acabit vont brasser la cage et qu'enfin règneras la justice et l'égalité. Demain l'halloween déguisez vous pas en robineux c'est pas vraiment dans le ton et j'en connais qui sont habillés comme des cartes de mode. Finalement la vie c'est parfois comme un grand bal-masqué ou on sait pas avec qui on danse, on valse et on tourbillonne à s'en étourdir pour découvrir que le plancher se dérobe et qu'on perd la face. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!


Anarchy Berny

jeudi 27 octobre 2011

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Votre humble serviteur a fait deux lectures à HLHL comme souvent je détonnais avec ma lecture en fin de présentation. Au diner j'ai entendu quelques blagues sur Lacan, j'ai pas plus compris les blagues que Lacan... Mais je comprend à quoi carburent les politiciens et les artistes de show-bizz, les aplaudissements!!! Les aplaudissements! On en redemande même si dans ma tête ça dis que je suis idiot... Pourtant je crois que je fait de mon mieux, à l'impossible nul n'est tenus. Je suis content d'être de retour chez moi. Je pense aux indignés qui campent sur le square Victoria... Je vais allé me faire flamber avec une can de gaz juste... Mais non ça sert à rien, les morts ça sert toujours à rien on les enterre et allez ouste! Au suivant! C'est étonnant j'essais de me faire un moral et comme n'importe quel b.s. je commande une pizza. Je doute et je souffre ça fait pas de moi un grand écrivain, l'humilité, l'humilité... Enfin bientôt le mois des morts c'est macabre... Les deux grands moteurs Eros et Thanatos, les immortels y'a rien a en dire de Thanatos c'est une sorte de tyran qui impose sa loi sans partage, il nous tire tous vers lui et on se sauve en se jetant dans les bras d'Eros pourtant Thanatos gagne toujours, rien, rien, tu est poussière et tu retourneras poussière, amenez le balai... Bon ça l'air que j'ai un mauvais karma, je vais recommencer longtemps. J'en viens toujours trop vite à bout de ma vie. "Shut up you face!" Je veux me faire un café mais j'ai plus de lait et ça me tente pas de sortir. Je sais, je sais vous n'en avez rien a faire mais moi ça me rappelle quand j'étais petit et que ma mère m'envoyait à l'épicerie... J'ai croisé le chercheur avant de partir il m'a donné du citoyen gros comme le bras. Votre, encore une fois, humble serviteur est à la fine pointe du citoyen responsable qui aurais cru ça. Je fais un peu ma petite crise d'octobre à moi. Bon! On se mettras pas a crier à l'apocalypse, ça m'énarve, je trouve certains scientifiques aussi crédible que Nostradamus, tough luck!!! J'ai peur de regretter d'écrire tout ça et de vous le faire lire. Je suis pas très fort pour repèrer les gens méchants, je suis bonnasse... Je termine là dessus en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Heavenly Berny

lundi 24 octobre 2011

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Tout le monde est au boulot, moi j'essais de pondre une autre chronique. À la radio de Radio Kénada ils parlent du Tintin de Spilberg, semblent que les américains sont respectueux de l'oeuvre de Hergé. Je pense à ma ferveur pour les bandes dessinées, ferveur que j'ai perdue aux profit de la "vrai" littérature... Hier dans une galerie une artiste me parlait des manga japonais... Je regrette de pas avoir le temps. Je pense aux films de superhéros, l'animation, la transposition en "réel" mon préféré c'est Capitaine América dans la scène avec les danseuses en tournée pour l'armée Américaine. Spiderman est pas pire aussi côté psychologique. J'aime bien la vrai bande dessinée pas ce que c'est devenus des carrés avec des filles pulpeuses à poil. J'aimais le côté naïf de tout ça. Dans la littérature sérieuse on parle de para-littérature qui a pris naissance avec la tapisserie de Bayeux que mon lecteur designer presque à la retraite et quand il y seras on le prie de prendre contact avec son humble serviteur, je disais donc tapisserie début de la bande dessinée. Le pire c'est que je ne lis même plus les comics strip dans les journaux. Je suis devenus une sorte de Andy Capp que les lecteurs de b.d. les plus chevronnés connaissent surement, les prestations, le pub, les dards, la bobonne grincheuse et la sieste en après-midi voilà Andy.. Je pourrais vous faire une nomenclature de différents bédéïstes mais le propos est pas là, je pense aux superbes planches avec Corto Maltese, ça fait une excellente imtroduction à la lecture s'agit de commencez a lire peu importe ou ça nous mène. Dans mon enfance les gens avec des livres on disait que c'étais des maniaques c'est pas faux la manie de tourner des pages de se faire conter une histoire. La littérature comme un refuge, j'en ai tellement tournée de pages j'en tournerai encore comme si la vie était un grand livre sans fin que je lis avec parfois des avancées parfois des reculs mais ou j'apprend toujours quelques chose. Ce que je vous dis c'est que j'adore les livres et j'espère qu'ils ne disparaitront pas aux profits des e-books. J'ai de la difficulté a qualifier mon rapport avec le livre autant qu'avec la littérature je fait pas toujours la différence. Pour la b.d. je sais pas si en vieillissant la vision deviens moins bonne mais certains dessins semblent pas aussi artistique c'est vrai que la ligne claire c'est dur à battre quand même on peux passé de la b.d. à la vrai peinture c'est pas un univers fermé. Je sais pas trop ou je vais avec ça, la nostalgie, la nostalgie des rubriques-à-brac de Gottlib des planches centrales du pilotorama magnifiques, d'une enfance aux bandes dessinées de guerre italienne qui me rendaient si heureux. Les bons étaient meilleurs que meilleurs et la guerre était encore dans un cadre humain moins cruelle qu'aujourd'hui. Mais non je porte pas des verres fond de bouteille et oui je suis un nerd. Trente cinq cennes voilà ce que ça coutais un comic book, des rêves de petit garçon gardé jalousement. Plus tard on parleras du livre de comique de chômage par dérision. En terminant je vous souhaite une passion pour moi c'est les livres et la b.d. en est, une passion et du rêve y'en a jamais trop. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!


Bédy Berny

vendredi 21 octobre 2011

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Pas un mot sur Khadafi, sur tout ce sang c'est indécent... Aujourd'hui ça ressemble vraiment à l'automne, ça donne l'envie de s'emmitoufler chez soi de se faire une tisane et de regarder par la fenêtre le vent qui fait tomber les feuilles. Vendredi la fin de semaine qui arrive, de courts moments de liberté, y'a toujours les courses, la bouffe et le ménage mais il faut trouver le temps de relaxer, se faire cadeau d'un peu d'oisiveté... Je sais pas si y'a des gens qui font encore ça mais fut un temps pour moi ou je passait mes samedis matin à la taverne, ça parlais fort devant les verres de draft et autour de la table de pool. Les vieux habitués s'assoyaient sans dire un mot callait leurs bière et buvaient en silence. On règlait tout à la taverne, on empruntais de l'argent, trouvais de l'argent, gageaient et pour les plus chanceux on y trouvais parfois une petite job. D'autre fois on mangeaint des tapes sur la gueule des beignes comme diraient nos amis français rien de bien grave juste assez pour remonter la rue jusqu'à la brasserie, manger et boire encore parfois on étais trop pauvre on mangeaient des langues, des saucisses ou des oeufs dans le vinaigre, je vous dis pas l'odeur aux toilettes. Quand ils était assez tôt le waiter synthonisait American Bandstand sur la télé géante et si on étais déjà pas trop saoul on pouvais voir et entendre les derniers bands et les dernières musique à la mode. Je sais pas si vous avez remarqué dans tout les bars dans tout les débits de boisson y'a toujours une porte qu'on franchis jamais, une porte ou vont et viennent le gérant et les employés mais jamais un client. J'imagine que c'est là qu'ils faisaient les comptes ou remplissaient les frigidaires. Ouais! Ce seras pas long aujourd'hui! Si vous buvez toujours prenez en une à ma santé sinon je vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Brewy Berny

lundi 17 octobre 2011

Here is something for you and me


Bonsoir! Bonjour! Je vous écris de la profonde nuit en pensant au mouvement des indignés. J'a iu qu'il avait un probléme de toilette à Montréal, les restaurateurs près du site seront pas content, les protestataires sont vraiment dans la merde. Je suis d'accord avec le combat des indignés mais au Québec ça ressemble a une implication timide c'est vrai que la bourse elle est maintenant à Toronto. Hier j'étais à HLHL je regardais un livre sur le Togo et le Bénin ou on garde les malades mentaux enchainés à un arbre, dans une certaine échelle je crois que la libération de ces malades est très importantes. Vous allez me dire c'est du déjà entendus mais je répète sans me lasser que ce sont mes frères et soeurs qui sont là. On oublie souvent qu'à Montréal on est privilégié... Hier je me suis couché en pensant à ceux qui sont malades et passent toutes une vie sans le réaliser et dans le déni de la maladie ces gens prennent souvent des mots plus légers pour décrire leurs états comment dire qu'un burn out c'est toujours à leurs oreilles moins lourd qu'une dépression. C'est lourd aujourd'hui, j'ai quand même hate à la libération de tout les êtres humains qu'ils ne soient plus sous le joug des forces économiques rétrogrades, avec ce vocabulaire là on se crois chez Marx mais l'équité pour tout le monde c'est pas trop demandé, dictature, inondation, sécheresse, famine ici on est bien loin de ça pourtant leurs combats sont les notres comment disait le militant? Je ne cesserai pas tant que le moindre brin d'herbe ne seras pas libéré. Émision littéraire cette nuit à Rédio-Kénada, ils parlent d'écriture épistolaire un peu comme ce que je vous faire lire ici... J'ai envie de m'enfuir de prendre le train pour la Californie juste pour regarder le paysage de l'Amérique, ici on a pas l'équivalent du trans-sibérien express... Manger des horizons, manger des yeux les arbres et les cieux, passer la journée dans un wagon restaurant a se faire bercer par le cliquetis des rails. Partir pour un peu se fuir et vivre autre chose... Je pense à la jeune terre d'Amérique toujours en évolution, toujours à construire, une histoire qui n'est pas morte contrairement à ce que pensent certains, l'histoire se fait lentement un jour à la fois ça m'étonne que l'astrophysicien d'un âge vénérable se préoccupe des générations à venir, il étais ou avant ce beau dégât. Bulletin de nouvelles à la radio, on enchaîne on exécute comme si déjà la vie n'avait plus d'importance. C'est moins drôle mon blog c'est temps ci, j'ai perdu le fil si je l'ai jamais eu. Je pense à mon cahier à mon rôle d'Elvis des bas fonds, à ceux qui prêchent la fin du monde après en avoir profité sans retenu... Faudrait s'empêcher de vivre... J'aimerais récupérer toutes les bouteilles et les canettes au fond du fleuve. Ouais! Quand ils nous disent qu'on peux faire des milliers de bancs de parc en récupérant les contenants de plastique, on a tu vraiment besoin de tout ces bancs... Je comprend rien, je suis bouché... Bouché comme quoi? Je sais pas... Encore, le fleuve a un chenail et des bateaux qui le draguent, mesdames voulez vous devenir mon chenail? Ma voie maritime? Je me fait vieux, je dirais que mon avenir est derrièrre moi. J'en ai assez écris pour aujourd'hui. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Oldie Berny

samedi 15 octobre 2011

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Je sais pas si vous êtes comme moi le samedi matin? J'écoute l'émission de Joël LeBigot tout le monde rigole à cette émission on a de la difficulté a suivre. Des fois c'est insignifiant comme la meilleure baguette de pain au monde... Cette semaine j'ai écouté une émission télé qui traitais du web pour eux tout ce qui est blog, newsletter c'est du pourriel c'est comme pour bien des choses on devrais demandé la permission, le web devrait être réservé aux initiés. Je t'en fout moi, ça appartiens à personne c'est comme les indignés contre Wall Street y'a pas de leader, c'est ce qu'ils disent mais j'y crois pas, ça prend des responsables juste pour les toilettes de milliers de personnes. Veux veux pas je pense que malheureusement ça prend toujours un boss et là je pense aux anarchistes espagnol. J'aimerais bien savoir comment ils fonctionnaient, ils devaient discuter sec et drû. C'est le malheur selon moi avec les mouvements populaires, on discute beaucoup et de tout de la couleur des tasses en passant par le budget café. Mai soixante huit en France c'étais libertaire mais y'avais des chefs demandés à Cohn-Bendit c'est un peu gros parlé de chefs disont des meneurs. C'est con ce matin mon écriture ça ressemble à l'automne, frais et venteux avec les feuilles qui s'envolent mes mots s'envolent poussés par le courant de niaiseries... Je pense à la collusion au Québec y'en a une gang qui vont perdre leurs jobs si jamais y'a enquête, j'ai même entendu des bons mots à propos de l'antédiluvienne CECO... Tiens! Tiens! Je viens de répondre à un sondage sur Québecor et PKP comme je lis pas les journeaux et que j'écoute pas TVA, ils appellent ça la convergence dans la construction c'est la collusion, cherchez l'erreur? Dehors ça semble se dégager, votre humble serviteur comme souvent est tout mêlé, ce seras pas le meilleur texte que j'ai pondu. Je vous ai pas parlé de la paire de culotte que j'ai voulu m'acheter, des fois faut les mettres ses culottes, j'ai voulu les acheter mais y'avait les bas de culottes a faire, quand je suis passé les chercher elles étaient pas prêtes. J'ai demandé un remboursement en disant au commis que j'avais cru avoir un bon service mais que ce n'étais pas le cas. Ça intéresse personne ça mon magazinage. J'aimerais bien savoir ou Marx et Freud s'habillaient quoi que Vienne et St-Petersbourg c'est un peu loin pour le costard en solde. Comme souvent c'est une vrais salade ce que j'écris ça manque d'huile et d'ail mais j'espère que ça se digère bien. Avez vous vu le gros mafiosi des studio Mel's et on en feras du cinéma cette belle industrie du rêve payé avec l'argent du contribuable. Voilà on s'y met tous on dégoisse la grosse crotte qu'on a sur le coeur. Je me rappelle y'a quelques années un chroniqueur parlait de culture du délateur, tant qu'on y trouve son compte on se ferme la yeule et quand on a plus de contrat on y va de sa délation. En tout cas la mafia c'est bien organisé pour... On peux pas rien en dire de la mafia c'est trop bien caché. Je vous laisse là dessus, n'hésitez pas a me faire vos commentaires. Merci d'avoir lu jusqu'ici! À la prochaine j'espère!!!


Smoothie Berny

mardi 11 octobre 2011

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Ce soir je suis vide, à la radio The needle and the damage done de Neil Young, ça me rappelle ce monde de fin du monde, every junkie is like a setting sun... Hé oui aujourd'hui c'était ensoleillé, un temps pour jouer dehors. Je crois que je suis lâche j'ose pas affronter le monde du travail mais j'ai quand même décidé de faire de l'écriture ma vie, advienne que pourras je suis mon coeur. Je l'ai trop souvent trahis. Mon père disait dans la vie on ne fait pas toujours ce qu'on veux, mais je ne veux plux aller a l'encontre de mes désirs. Tout à coup je pense à la mort à sa façon impromptue d'arriver, c'est assez définitif la mort on en sait rien sauf peut être qu'on quitte ceux qu'on aime pour l'au delà quel qu'il soit. C'est macabre ce soir, je cherche la joie, le bonheur le fruit d'une bonne vie. Vous me direz ça n'existe pas mais j'y crois. J'ai décidé de vivre avec tout, le mal comme le bien dans une ville de l'amérique du nord, une ville qui hurle à mort son fait français, sa rue St-Laurent qui tranche les univers. Hochelaga Maisonneuve sa paupérisation québéquoise, son lumpen prolétariat mais maintenant vous me connaissez, vous connaissez mes thèmes de prédilections, je vous parlerai pas de prostitutions c'est trop rough... Les filles s'offrent aux plus payants de l'argent vite faite pour se détruire et recommencer... Je pense à toi qui siffle qui chante son angoisse quand tu m'aperçois, je te vois souvent t'ose pas me critiquer de vive voix, t'attend que je sois le premier a frappé mais je ne frapperai pas tu a tes droits et j'ai les miens. Appelle ça paranoïa comme tu voudras je reste dans ma résistance passive. Je m'oppose à la bêtise comme culture je suis contre comme on dis contre-culture qui n'existe plus, contre-culture qui s'est dévorée elle même, se mangeant les bras se mangeant les yeux les oreilles à coup d'hallucination toxique dans un désir, Oui! Oui! Dans un désir de révolte de mutation vers l'utopie, on en parle plus de celle là l'utopie, le politique est à l'abject... À la réalisation de grand projet qui comme toujours détruirons le patrimoine. La cause elle est toute entendue, économique qu'ils disent... C'étais quoi déjà que disait le poête Rimbaud et son dérèglement des sens. Je les ai dérèglé mes sens mais l'univers est resté cruel et sans scrupule faisant de la poétique une maladie casée dans le DSM IV. Y'en a plus de grande folie maternelle, matricielle et surtout n'en appellez pas à la poésie on riras de vous comme on rie de l'idiot du village. Je songe a fonder l'union des idiots de villages en ville on partagerais nos souffrances et demanderais une subvention pour les vivres au dépend des autres. On en veux tous des millions mais les rêves ça s'achète pas à coups de millions, les rêves c'est permis on marche vers sans jamais y arriver c'est ce qui fait la beauté. On rie plus ça se dis poète quand... Justement quand c'est nécessaire de rajouter du rêve avec le grand roller-coaster de la vie, les rêves sont parfois bien banal on se permet pas de rêver grand de rêver beau, on manque de courage en félicitant quand même les protestataires contre Wall-Street. Bon votre bouffon s'arrête là et vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Poésie Berny