Here is something for you and me

Bonjour! Bonsoir! Minuit trente, il pleut, j'écoute la radio, les fenêtres sont grandes ouvertes. Dans les actualités européennes une histoire de terroristes à Boston. J'ai beau critiquer l'amérique j'aime bien le mode de vie américain. Je fait pas d'insomnie je me suis couché tôt... Viens un moment ou j'ai plus rien a dire, reclus dans mon goulag intime, c'est quoi un eurosceptique c'est parent avec un antiseptique? C'est étourdissant toutes ces nouvelles. Je crois que je vais m'acheter un livre, j'attend vos suggestions de lecture... Quand j'ai pas mal j'ai de la difficulté a exprimer mes sentiments intérieur, je sais qu'il y a de mes lecteurs qui n'aiment pas la poésie, n'aiment pas les coeurs qui saignent... C'est très difficile la poésie certains disent que depuis Baudelaire c'est finis, va pour le vieux monde mais dans le nouveau monde francophone on a eux nos grands poètes que je ne nommerai pas. Moi je suis un poète d'hôpital, un poète fou sans envergure, je ne vais plus lire dans les bouis-bouis du bas de la ville, on s'occupe de manger avant de poétiser... On a tout dis sur l'ivresse sur le dérèglement des sens, l'alcool c'est à la fois le génie à la fois la déchéance. Je pense à ce poète tout heureux qu'on ais publié l'intégrale de son oeuvre, y'a un poète inconnu comme y'a un soldat inconnu mais non on ne vie pas a faire des vers on en meurt. Moi je me désole de pas avoir de mots savants, neurasthénique tiens ça me va bien mais ça sonne comme un mot de l'autre siècle comme hystérique d'ailleurs. J'aimerais être chinois, me semble que chinois je serais ébahi par mon arrivé dans la classe moyenne mais je suis pas chinois, je suis pas dans la classe moyenne. Les chinois fous on les soigne à l'haldol? À la radio Miles Davis en voilà un génie et tout à coup j'ai une crampe dans le cerveau... Je deviens avare de mots, je veux tous les garder pour moi et m'étouffer avec... Un morceau jazz avec beaucoup de reverb. Vous inquiètez pas le morceau c'est pas une arme à feu. C'est le vingtième anniversaire de la mort de Miles Davis, de la musique espagnole le concerto d'Aranguez... Et je n'entend que la fin du monde pense à ceux qui resteront, à la façon que j'ai de m'empêcher de vivre. Si vous passez chez moi vous risquez de me confondre avec la poussière du bas de la ville, si je bouge pas je serai vite ensevelis. Hell de hell! comme disait un personnage du Race de monde de VLB, Hell de hell!! Je m'arrache le coeur je vomis mes tripes et tout ça sans douleur. Pourtant quand je vais dehors je me sent connus et persécuté. J'ai qu'a entendre siffler... Je viens d'apprendre que Miles Davis se faisait payer en argent comptant ça devais faire une jolie somme. Me suit fait un café, je sent quand même la fatigue. Demain les parias de la sécurité du revenu seront heureux c'est le dépôt, je dis le dépôt parce qu'il y a de moins en moins de prestataire qui reçoivent un chèque... J'ai de la difficulté avec ceux qui filent à la caisse en taxi mais enfin je vais les laisser vivre, une balade en voiture parfois ça apaise et on a pas mis sa cravate et ses beaux vêtements pour rien. Enfin ça fait longtemps qu'on ne bois plus d'absinthe, les paradis artificiels sont de plus en plus toxique et y'a plus de génie dans la dope on en meurt, les brèves de comptoir sont de plus en plus ennuyeuses, la musique m'empêche de les entendre. Finalement votre potâche vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!


Skiddy Berny

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Bonjour! Bonsoir! Gros travaux chez moi, fenestration neuve... Le temps est superbe, dehors le chariot élévateur ronronne. De plus en plus je cherche a vous plaire par mes écritures pourtant... Ça s'agite dehors et je cherche la nouveauté mais y'a rien de nouveau dans la corruption, la guerre et la politique. Nous sommes bien imparfait, le temps file je veillis en accordant un peu d'importance à ma vie intérieure. Cet après midi je suis de l'autre côté du chantier vous savez j'ai longtemps fait ça helper dans l'installation de portes et fenêtres. Maintenant je regarde les menuisiers travailler. La poussière entre par les fenêtres grandes ouvertes. Ouais!!! Je vous ai pas parlé de mon côlon qui me démange c'est moins noble que les tribulations de l'âme. J'arrive a rester calme mai je veux faire trop beau avec le blog .Je pense à la prière de St-François, comprendre plutôt qu'être compris... Je veux pas que ce soit une longue plainte. Je suis pas un faux-prêtres, je suis qu'un pauvre bonhomme qui prie pour se rétablir. Je sent rien aujourd'hui on dirais que ce que j'écris est à des kilomètres de moi. Ça gueule dehors la circulation est intense, on brise de la vitre et moi je suis devant mon écran a chercher la présence de l'esprit. Vous comment allez vous dans ce septembre qui s'en va et cet automne qui arrive. Y'a un menuisier qui siffle bizarre je pense aux Lacordaire cette société de tempérance, un vacataire en vacance ça se peux tu? Bon vous suivez pas moi non plus, "mon âme est morte, ou vis-je ou vais je? " Je trouve pas les accents sur les ou mais j'espère que vous comprenez. Je hurle je hurle à mort avec ce court texte. Faites vous en pas je crie aux loups mais y'en a pas. Voilà quelque chose de nouveau, j'ai reçu l'appel d'un conseiller financier, un gars à l'accent français, il savait vraiment pas a qui s'adresser, j'ai pas un rond qui m'adore et y'a longtemps que j'ai plus de crédit, c'étais surement un voleur de grand chemin... C'est lourd j'écris c'est lourd pas c'est l'ours qui s'en va dans sa tanière comme on va tous faire dans les temps froid. Là ce sont les scies qui mènent du vacarme. Dans le parc en face y'a un couple de jeune qui fument de la dope, ils se tuent parce qu'ils n'ont rien, rien qu'un esprit torturé et angoissé qui ne veux rien savoir des vieilles badernes comme moé. Finalement je vais vous dire ce qu'il y a de plus fatigant, c'est bruyant, mais bruyant et ça n'a rien de séduisant. Je me croyais sourd mais je crois que dans quelques années je n'entendrai plus rien pas même le meilleur des systéme de son. Bon! Je vous laisse là dessus en espérant que ça vous a plu. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!


Mixy Berny

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Bonjour! Bonsoir! Je sais pas ou je vais cette semaine. Je pense à la manifestation contre la collusion, au marathon ce dimanche dans les rues de Montréal... Du tango à la radio, l'Argentine et ses gauchos dans la musique de bordel. Mélancolie quand tu me tiens. Les bordels de Montréal que j'ai fréquenté n'avaient pas la classe du tango, les ladies of the evening bâclaient parfois l'ouvrage on entendait moins de bandonéon que de guitare électrique. Je me souviens du red light à Montréal, il est disparus sinon il s'étire le long de la rue Saint-Laurent au nord de Sherbrooke. Les bars ferment on se cherche un lieu pour écluser encore un peu, un Quartier libre qui fait fi des horaires et qui étire la nuit jusqu'au petit matin. On y bois du mauvais alcool dans des tasses sans parler des autres substances trouvées dans les toilettes. Je me ruine, épave, y'a toujours un taxi qui veille pas loin mais on ne peux plus me ramener j'ai pas d'endroit pour crècher, la nuit s'étire et s'étire, j'ai pas sommeil je suis quand même épuisé. Je vais prendre un médicament pour me calmer, la psychose me guette ça me prend un verre. Je marche je marche et titube cherche un porche à l'écart pour m'étendre sur le sol et essayer de dormir. Je sent la bouse et la fumée, j'ai peur pourtant on ne peux plus me voler me reste plus un rond, j'essais de m'aquoquiner avec une vague connaissance sur le même beat que moi des fois qu'il me payerais un drink. Il me fait plutôt tester sa dope, me voilà junkie regaillardis. Je lui colle aux baskets, on entre dans un ancien resto on s'assois à une table quequ'un sort une bouteille de la cuisine, on bois au goulot, l'alcool a maintenant plus de goût. La dope me garde éveillé dehors les gens s'en vont travailler pendant que moi... Cette mort la nuit n'a rien de réjouissant, une autre peur de se retrouver seul, de sentir ce manque voilà pourquoi on recule l'échéance de la sécheresse, saoul mort je titube une fille me demande si je sort ce soir. J'ai plus un rond ça aurais fait un endroit ou m'allonger j'essais de la convaincre de me faire crédit. Je veux monter avec elle, elle m'envoie promener. Le désespoir m'attaque lentement, je ne sais pourquoi j'ai encore répéter cette nuit de misère, je voulais patcher la blessure mais elle est rester béante et je n'ai réussis qu'a augmenter la douleur, la folie... À trop fréquenter l'enfer on se brûle, le diable a racheter mon âme, ce qu'il en reste en tout cas, il me promet l'éternité je n'en veux pas, cette nuit je préfère le néant...

Nighty Berny

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Bonjour! Bonsoir! J'ai pas envie d'aller me coucher. Je m'ennuis de vos commentaires. Je suis une épave du blog, a living wreck. J'écoute les critiques de livres à la radio. Cet après midi je vais répondre aux questions de deux étudiants de Brébeuf. Ils veulent en savoir plus sur la maladie mentale Je suis assez fébrile demain je participe à la conférence sur l'approche collaborative. Les Canadiens ont perdus leur première partie cette année mais ils ont montré de belles choses dirait le commentateur. Le gars le plus hot ces jours ci c'est Jacques Duchesneau, je ferai pas de jokes sur la pègre. Si ça continue comme ça y'auras pléthore, vous avouerez qu'il fallait le placer celui là, donc pléthore de partis politique. J'ai un slogan "un parti un vote" ça va être minoritaire pas a peu près. Sur un plan plus intime bein j'ai les couilles en feu c'est tu l'andropause, on m'a dis que l'andropause c'est une baisse de testostérone après gorge chaude, gosses chaude... À mon age suis je une personne agée? Semble que l'internet est pas très bon pour faire réfléchir, moi c'est ça que je veux faire, je veux que mes lecteurs réfléchissent, je veux créer une brèche dans toute l'information que vous recevez... Le stade Vidéotron de Québec, encore de la construction, Labeaume va surement être maire longtemps. Je suis pas dans la poésie aujourd'hui, je préférerais l'oublis à l'ennuis. C'est encore la nuit, des enfants jouent aux gangsters dehors ils ont vu trop de vidéo Hip-Hop, trop de rap... À la radio ils parlent des vergers, les pommiers, la dernière fois que je suis allés aux pommes j'ai fait quarante deux piastres c'est pas que je voulais pas travailler mais le pommiculteur m'a pris en grippe. J'ai eu peur de l'enfant avec son fusil à plomb. Je sais bien que le matin on a encore la tête chez morphée, on pense aux rêves ou aux cauchemars qu'on a fait souvent c'est comme dans la chanson "tout mes cauchemars passent à six heure à la télévision". Une autre chanson "Avec le temps" tout s'en va mais je veux pas partir, je veux rester avec vous présent avec mon pauvre blog. Je dors pas beaucoup je passe des nuits blanches j'aime les nuits tranquilles à quatre heure du matin c'est la trève, y'en a qui vont se coucher d'autre se réveillent, le quartier est désert même la police dort... C'est les soixantes quinze ans de Rédio-Kénada, je pense à Pop-Citrouille à toute ces émissions pour adolescent et à la radio l'émission de Chantal Joly et Jean-François Dorée en après midi. J'aimais bien écouter leurs empoignades amicales... Chantal Joly je suis de tout coeur avec elle, la maladie la maltraite c'est triste... Ouais! Y'a de la concurence des milliards de blog, c'est l'heure de l'hymne national à la radio. Un souvenir tout à coup je voulais faire de la radio à CIBL, le gars que j'ai rencontré je lui ai dis que je trouvais sa radio narcissique, vous pensez bien qu'il m'a revirré de bord c'est ce qui s'appelle mettre un pied dans la bouche...Bon! Là les actualités sont commencés à la radio. Je dupliquerai pas. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Happy Berny

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Bonjour! Bonsoir! Petit matin frais. Je sais pas trop ce qu'il en est de l'actualité, on parle d'une guerre entre les clans sicilien et calabrais. Je peux pas m'empêcher de pensés aux infrastructure et aux investissements que ça demande, Selon Charest au royaume du Québec c'est plus propre que propre, la collusion il connait pas... Moi cette semaine je vais parler de rétablissement, de pleine citoyenneté et de stigmates quand j'écris ça j'ai l'air d'un monstre. Je dois toujours me souvenir de la marde ou j'étais. Je pense aux portiers devant les clubs de la rue Ste-Catherine, anyway j'ai pas à m'humilier. Je regardais les émissions de pêche sportive dimanche et j'ai eu un grand goût de plein air, de nature je pensais à mes vacances à Kamouraska avec ma douce... Mon lecteur gestionnaire est sur la Côte d'Azur le chanceux on lui souhaite du bon temps moi je vais me contenter de la Côte-des- Neiges c'est exotique aussi... Des fois mes idées c'est comme une paire de bas au lavage j'en perd toujours un après faut que je matche ça avec ceux qui restent dans le tiroir en espérant qu'ils soient pas troués. Je suis pas un fan du reprisage quoiqu'hier j'ai réparé une poche de pantalon y'avait un trou c'est plus critique qu'une chaussette, on peux perdre de l'argent et Dieu sait que j'en ai pas de trop. Je regarde l'ordre et l'horaire des présentations sur l'approche collaborative cette semaine, si vous êtes dans le coin venez faire un tour c'est à onze heure trente jeudi au pavillon Bédard de HLHL. J'ai pas déjeûner j'ai pas faim, la ville lentement s'éveille on entend les camions. Ce matin j'étire je suis pas très inspiriré et j'ai pas envie d'écrire sur Stauss-Kahn, je viens de regarder le fil de nouvelles de Rédio-Kénada y'a eu un hold-up dans un bar de Pointe-St-Charles, un quartier chaud pour mes lecteurs qui ne connaissent pas Montréal, un vol de peanuts tout le monde crève de faim dans ces bars de quartier... La lumière arrive lentement, lundi et au boulot... Je me rappelle mes années de galère ces sensations fébriles et la fatigue que causait le toxique, c'est débiles elles sont loins ces nuits à bambôcher dehors. Je me suis rangé pour cause de mort, mais oui j'en serais mort et j'ai plutôt connus une renaissance, essayez pas de comprendre vous y arriverez pas, spirituum sanctum... Je suis quand même resté fou mais d'une, je crois, belle folie, j'ai moins d'ennuis je crois vous l'avoir déjà écris... Ça y est il fait jour que la volonté de Dieu soit faîte... Pas le Dieu vengeur de Saramago que mon lecteur designer de l'Outaouais m'a fait connaître mais un Dieu tout en douceur qui nous accepte humain et vers qui on peux se tourner quand ça va mal. Maintenant les mouettes crient, je vais acheter des beignes, mais non c'est pas des claques sur la gueule comme pourrais le croire nos amis français, mais des pâtisseries pour mes amis de la réunion de ce matin. Je vous en raconte peu. Je cherche une façon sensible de terminer on est pas au Festival de l'humour pas besoin de rire c'est pas drôle mais au moins ça coûte pas une cenne et y'a pas d'interruption commerciale. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!!! À la prochaine j'espère!!!


Slowly Berny

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Bonjour! Bonsoir! Je vous en écris un noir, à l'heure du souper... Je me souviens des soupers en famille à dix sept heure trente, moi ici je mange quand j'ai faim mais je cuisine pas souvent. Maman nous faisait à souper, papa travaillait tard le soir, on avait qu'à s'asseoir et a manger mais on s'agaçais en se faisant de grand yeux rond. Y'avait toujours soupe plat principal et dessert avec du lait en abondance. Parfois pendant le souper le téléphone sonnait on se tiraillait pour répondre souvent un mauvais numéro pour le chiropraticien. J'adorais les desserts de maman c'était il y a longtemps. Quoi dire de ces soupers tumultueux, je mangeais vite, je mange toujours vite je ne sais pourquoi, après le repas je me rendais au célèbre parc des canards que plusieurs adolescents perdus connaissent. On s'engouffrais dans les kiosques en attendant que d'autre arrivent, parfois quand on avais quelques sous un café au El Rancho. Je me souviens plus de quoi on parlais, musique je crois, Frank Zappa, mais avant plus tôt dans l'adolescence, la pool room, les premières cigarettes et les petites filles... J'ai jamais trainé dehors avec mes frères, petit gars l'hiver on faisait des forts dans la neige, on jouais au hockey dans la rue, la police nous avertissais, l'été j'ai "joué" au baseball dans une ligue pee-wee, j'étais pas très bon, je me rappelle de la crise que j'avais fait pour avoir un vrai gant de cuir. J'étais incapable d'attraper la balle je la voyais pas. Ce que j'aimais c'étais courrir dans les pratiques avec le grand Richard qui frappait la balle. Ça nous mène loin du souper parfois on célébrais l'anniversaire d'un de nous. On étais six ça faisait beaucoup. Je me rappelle plus quand et ou j'ai décroché de tout ça, quinze ans et je me croyais vieux, y'avait aussi les danses du vendredi soir parfois on cachait une bouteille et on se saoulais. Mais oui parfois après le souper je m'enfuyais chez un copain qui avait la télé couleur, je regardais Star Trek étendu sur le tapis dans son salon. Mais non j'amenais pas mes frères j'avais l'intuïtion que ce serait pas bon. J'ai l'impression d'écrire toujours la même histoire c'est la mienne et aujourd'hui je suis bien seul. J'ai quelques regrets mais enfin c'est pas la destination qui compte c'est le voyage. Aujourd'hui je sais ce que c'est un bum même si je n'accolerais cette épithète à personne. C'est bien peu de souvenirs pour une enfance tumultueuse, je vous épargne les cabanes dans les arbres les longues marches sur le côteau, les copains avec des motos, mes chicanes de cartes avec Robert qui me crachait dessus et qui venais d'arriver dans le quartier. La glace qui brise sous moi dans l'étang qui mène à l'école. Ouais! La thématique reste la même mais j'écris d'une façon différente. On refait pas ses souvenirs ce sont toujours les mêmes. C'est pas impotant. Je vous remerci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!


Teeny Berny

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Bonjour! Bonsoir! Encore un lundi... Si jamais y'a quelqu'un qui veux aller voir le football américain aux États-Unis qu'il me fasse signe. Hier j'en ai fait une maladie du football j'ai regardé trois matchs. Ce matin les ouvriers travaillent sur la façade de l'édifice ou j'habite. Je suis nerveux je fait de l'eczéma. J'ose pas vous raconter mes problèmes intimes. Le matin j'ai moins mal mais quand la nuit arrive avec mes douleurs existentielles c'est pénibles. Je me questionne et ne veux pas fuir vers des réponses faciles et toutes faites. Je sais pas si ça se peu ou si ça se dis mais mon Oedipe me travaille. J'ai des ennuis a tuer mais je ne sais lesquels prenez pas ça au propre mais au figuré. Parfois je crois que je vais en finir avec ma vie pourtant elle est bien c'est la douleur qui me tue. Je vais essayer de changer de tonalité pour ma complainte . Vous commencez a me connaitre, on ne se refait pas... J'ai un lecteur qui est partis à Juan-les-pins sur la Côte d'Azur on lui souhaite bon voyage, y'a des endroits pire dans le monde... François Legault veux avoir mon opinion mais moi j'ai des opinions de Gérard... De Gérard de gauche plus de santé plus d'éducation plus de culture et laisser faire les ponts... Ça vaux rien, ça vaux rien même le lundi matin je suis envahis par les mots des autres qui sont plus importants que les miens même une chanson en portugais a plus de poids que ce que je peux écrire. Je batifole dans l'expression. La niaiserie voilà ce à quoi je suis condamné pourtant vous n'avez pas à me pardonner c'est moi qui dois faire ça, le pardon c'est excellent pour la santé mentale. Ce que je vous ai jamais dis c'est que j'aime écrire ce blog, j'aime l'expression mais je suis perdus dans la mer de vos informations entre vos courriels personnels, les média sociaux, la télé et la radio et je ne compte pas les livres que vous lisez bref une goutte dans la mer... Le lundi je regarde la semaine qui se présente, j'ai peur de sortir le matin, peur de briser cette fausse sérénité de la matinée, je regarde le bus passé, y'a du monde, je crois que j'ai rêvé à des coupoles de T.V. c'est pas esthétique... Vous voyez pas que j'ai pris mon petit déjeûner, le beurre d'arachide ça inspire pas. pas plus que Claude Dubois à la radio. Je me sent dans un lounge tout est feutré. Je sais pas si vous êtes comme moi mais Richard Desjardins je le trouve moins bon, il tire toujours sur la même corde je vais me pendre avec... Bon! Quand vous lirez ça si vous n'êtes pas au travail, ouvrez vous une petite bière et méditez!!! Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!


Brewie Berny