dimanche 12 mars 2023

 

Bonsoir ! Bonjour ! Aujourd’hui Je devrais avoir des nouvelles de l’hôtel à Porto. J’ai hâte de partir le printemps arrive, au final j’aurai visité quelques pays. Pendant ce voyage je me promets de marcher. Prendre un café sur une terrasse, vivre en vacances, je pense qu’il va y avoir beaucoup de touristes comme moi. On me dis que je vais faire bon voyage d’habitude ça se réalise.. Ce matin j’ai un comité concomitance et cet après-midi une répétition théâtre, Je vais jouer avec un vrai comédien malheureusement je connais pas mon texte, je vais le lire… Cette nuit j’ai pas d’à propos. J’ai de la difficulté à vous écrire, une chose est certaine là-bas je mangerai pas de tripes. Dans le guide je vois qu’il y a beaucoup d’hôtel à Porto et à Lisbonne. Je vais essayer de faire comme le prof m’avait dit, prendre tout mon temps, je vais prendre un cahier de notes avec moi. J’y pense souvent à ce cours de discours poétique que j’avais pris au cégep je pense que ça a confirmé mon désir d’écrire. Où et comment? Vous le voyez présentement j’ai beaucoup aimé le travail d’édition. Je pense au professeur à cet enseignant sympathique. Je suis gêné de me présenter à la répétition sans savoir mon texte enfin on verras. Souvenir de quelqu’un qui a fait une carrière au Soleil de Québec. Je pense aussi à ce cher ami qui publiait des textes au journal Le Mouton Noir du Bas-du-Fleuve. Pendant ce temps là j’écrivais dans le journal santé mentale Le Ruisseau qui est devenus Mentalité c’était à ma mesure. Aujourd’hui y’a le journal de rue l’Itinéraire je leurs avait envoyé un texte il a jamais été publié. De là mon blog de là mon autoédition on peux  pas me refuser c’est moi qui gère. L’écriture ce sont des moments d’expression et de paix comme la lecture d’ailleurs je suis très reconnaissant envers ces auteurs ces autrices qui m’ont laissé entrer dans leurs univers. Cette nuit je vous donne ça, c’est un peu de l’ordre de l’intime on m’a dis que c’était impossible de mettre de l’âme dans la fibre informatique pourtant on arrive bien a faire chanter une guitare. « While my guitar gently weep » Voilà c’est là-dessus que ça se termine. C’est la chute comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère !!!

13/03/2023


samedi 11 mars 2023


 

Bonsoir! Bonjour! Cette nuit c’est l’heure avancée je crois on va dormir une heure de moins. J’ai dormis toute la soirée je suis bien réveillé. J’ai peur de me perdre au Portugal, je vais lâcher un peu le guide et me garder des surprises comme m’a conseillé une lectrice. Le dimanche matin j’aime bien regarder l’émission La grande librairie à TV5. Des auteurs des livres c’est intéressant pour s’y choisir une lecture entendre les auteurs autrices parler de leurs œuvres. Il me reste une confirmation d’hôtel à Porto et tout devrais être O.K. J’ai hâte de me voir sur mon petit balcon à Lisbonne. J’aime bien aussi voler vers l’Europe dans l’avion faut se laisser faire on s’assois et on profite des distractions, cinéma, musique et repas. En plus je m’amène de la lecture. Je disais à la femme de ménage que j’aimais voyager elle m’a répondu je sais je sais. Encore un peu moins de trois mois avant de partir, être ailleurs voir autre chose voilà le plaisir merci aux gens qui m’ont donné ce goût du voyage. J’en connais qui tournent ça au ridicule mais eux ne partent jamais…  Des vacances tout simplement des vacances voir autre chose que mon goulag. J’ai lu quelque part qu’écrire ça peut être une maladie, quand même une belle maladie… La machine je l’aime bien elle permet de faire ce que vous avez sous les yeux, y’a plusieurs chroniqueurs retraités qui ont fait leurs choux gras pendant des années de l’écriture et qui crient à sa mort, après eux le déluge quoi ! Cynisme, négativisme je pense pas que la fin du monde ce seras demain quand même vaux mieux aller voir maintenant avant de n’être plus capable. Je pense aussi aux écolos qui ont fait le tour de la planète et qui maintenant disent faut pas prendre l’avion ça pollue trop bein voèyons! Voilà j’approche de la fin de ce texte pour ce soir il vous manque une heure pour dormir profitez en pour lire. J’ai hâte de voir les azulejos les faïences portugaises. Le Tage, le Douro deux grands fleuves… Ça aussi ces évocations de voyage c’est un peu maladif. Quand je pense au voyage je sors de mon vingt quatre heures aujourd’hui c’est bien. C’est la chute l’épilogue comme toujours à ma manière je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Au revoir !!! À la prochaine je l’espère !!!

12/03/2023

 

Bonjour! Bonsoir! Samedi et je veux pas vous abandonner. Je lis mon guide du Portugal ce que je comprend des vieilles villes que sont Porto et Lisbonne c’est que dans les musées y’a beaucoup d’objets liturgiques. Je vais essayer de me perdre et peut-être trainer avenue Libertad à Lisbonne. Dans la vieille ville les touristes on défait les petites rues jadis tranquille. Je vais essayer d’être discret. J’attend ma réservation d’hôtel à Porto, je devrais la recevoir bientôt. Je me tourne vers mon monde intérieur maintenant, je sent plus que je ressent cette sensation de départ, je suis pas encore là. La consommation d’alcool dans mon rétablissement c’est vraiment drastique pas une goutte j’en ai trop vue se laisser aller pour finir en prison où à l’hôpital. Viens de manger un chausson, j’ai mis de la musique. J’ai de la difficulté a faire le travail intérieur qui mène à la poésie… La douleur ne se laisse pas nommer, baptiser elle règne dans le plus profond de mon âme, je ne peux la dire cette blessure adolescente, un grand vide dans la cage thoracique, ça cogne mais la douleur est prisonnière, captive. Voilà j’ai dormis beaucoup rêvé, me prépare un café. Quand je dors j’ai pas mal, souvenir de ces épisodes psychotiques intenses à part la dope je me suis toujours demandé ce qui avait causé ça, les débuts de l’alcoolisme de la toxicomanie ? Des abus sexuels dont je me souviens pas ? Je les ai pas demandé ces maladies cette nuit je me confie parfois j’ai l’impression de pas avoir le droit de vivre. Y’a toujours le sentiment que pour les autre c’est beaucoup mieux qu’ils seront meilleur quoi que je fasse. Je me fait remettre à ma place de moins que rien pourtant … Je vous confie ça je sais pas comment vous allez le recevoir, le droit de vivre, la rage de vivre sans laisser de place aux idées mortifères, sans me baisser, sans m’abaisser, je pardonne quand même à qui que ce sois. Voilà cette nuit c’est confidence je crois que ce que je fait est intéressant parlez en à vos amis. Je sais quand même que pour plusieurs ça demande un effort de lire… Quelques mots encore, je vous ai écris je suis apaisé. C’est la chute l’épilogue comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Au revoir !!! À la prochaine je l’espère !!!

11/03/2023


jeudi 9 mars 2023

 

Bonjour! Bonsoir ! Cette nuit tout est presque prêt pour mon voyage au Portugal. Je suis content. C’est vendredi les gars sont encore à la taverne, jour de paye oblige. J’ai rêvé que j’étais en voiture avec des amis sur une route au bord de l’eau je crois qu’on allais à l’aéroport, je leur racontais que je détestais une personne connus y’a longtemps, y’avait un prof et un pusher. C’est la nuit les gens normaux dorment les autres veillent en prenant un verre, je pense au café campus il y a longtemps sur la montagne j’y buvais toute la nuit je dansais et j’écoutais la musique le disc-jockey était bon y’a eu plusieurs chums de brosse. Tout ça je vous l’ai déjà raconté je crois pas vous avoir raconté mon passage dans une ressource alternative en santé mentale, Solidarité Psychiatrie j’étais vraiment fou c’est souvent de là que partais mes bringues alcooliques parfois j’organisais des soupers communautaires les gens avaient vraiment faim. Je m’ennuis pas de cette époque toute en psychose c’était une espèce de commune déjantée, c’est terrible tout le temps que j’ai perdus là. Je regrette pas d’en être sortis. C’est pas des années dont je suis fier. Et je buvais, je buvais bientôt j’espère entamé ma trentième année de « sobriété » tout ça c’est un jour à la fois. Je vous raconte pas tout y’a rien d’édifiant j’ai blessé des gens… Maintenant je vie mieux sans alcool, parfois j’ai peur de rechuter mais un ami m’a dis que c’était une bonne peur. Fallait être inconscient partir la nuit pour chercher de la dope dans des endroits pas fréquentables… Je pense à tout ces artistes maintenant abstinents c’est bien. Je suis encore dans mon thème de prédilection. J’était un bum, un grand bum maintenant je me rétablis. Voilà pour cette nuit, je dors pas longtemps, la solitude me pèse pas je préfère ça on m’a dis « tu ne seras plus jamais seul » j’y crois. J’ai une autre folie c’est de me croire dans un vieux documentaire de l’Office National du Film avec une bande sonore des années quatre vingt. J’arrive à la fin de ce journal « intime » c’est la chute, la finale, l’épilogue comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Au revoir !!! À bientôt !!! Encore une fois j’y suis arrivé !!! À la prochaine je l’espère !!! Ciao !!!

10/03/2023


mercredi 8 mars 2023

 

Bonsoir! Bonjour ! Je fornique aux mots c’est comme l’étau l’écho sans os. Souvenir vieillot vieille bande d’oulipo il est trop tôt pour advenir faire dépôt. Voilà voilà le beau l’inénarrable défaut à vaux l’eau partir partir au bon tripot à la fois vert à la fois sot s’entendre dire salaud la même histoire le même enclos ne pas savoir laisser sa peau attendre la gloire à tire d’eau chassé chassé plus tôt et se permettre le jeu de mots bobo bobo vieille blessure de parano le foi le pal en entrepôt y’a pas d’excuse qu’un trou d’eau. Laisser moi faire moi le suppôt que personne blaire qui a tout faux pourtant mes pairs pourtant mon trop a besoin d’air a besoin de peau mystère mystère le fil de fer le fond de veau c’est tout d’un trait j’essais d’ être vrai j’essais d’être pro et les lumières sont pas cadeau juste un éclair sur le trop. Et on embarque dans les dicos sur la musique disco le même thème nono c’est le chaos l’espoir en berne la vache en clos on voudrais bien la poésie mais c’est trop gris c’est trop idiot, attend attend mon frère j’ai d’autre  mots tu est prospère  je suis barjo il reste l’air il reste l’eau c’est un éclair c’est pas de trop comment faire pour les défauts. Voilà la mer voilà le troupeau de vaches de mer de vaches d’eau, j’attend la paire j’attend les crocs la morsure serre la morsure blow même mon père n’a pas eu chaud dans le frigidaire le congélo. Je me suis lancé bientôt fiché faute avouée non sens décuplé,  toujours l’hiver toujours la snow la vrai pas de toxico, faut pas s’en faire tout est dirlo à l’épicerie comme au boulot, voilà la serre le mal de dos après la guerre après le pot. J’aurai fait ça au beaux jours les plus bas y’a rien a faire je le répète c’est idiot cherchez pas le sens c’est la licence l’essence. Écrire ! Écrire ! Quand on a rien a dire au pire on joue on tourne comme une roue, ça y est presque c’est pas une fresque juste de la typo plaqué mauresque c’est pas trop tôt. Voilà! C’est la chute l’épilogue on reprend la vieille formule finale en vous remerciant d’avoir lu jusque-là !!! Au revoir !!! À bientôt !!! À la prochaine j’espère !!!

09/03/2023


 

Bonsoir! Bonjour! Je vais essayer de pas écrire de non-sens en m’excusant pour cause de « poésie ». La nuit est déjà bien avancée mes billets d’avion sont achetés. Je crois que je vais avoir une chambre avec balcon. Ça va passer vite avant le départ, j’ai hâte d’être dans l’avion j’ai choisi mes sièges. Je me gave de tout ce que je peux sur le Portugal, sur Porto, sur Lisbonne j’ai demandé qu’on m’achète un billet de train rapide entre Porto et Lisbonne.  Encore trois mois avant de partir, j’ai hâte de voir les fameuses faïences portugaises, me balader dans les rues et les ruelles, visiter quelques musées et me rendre sur de jolis point de vue. Enfin je vous en écrirai pas trop de peur d’une malchance. Ce seras des vacances, aujourd’hui c’est la journée de la femme on leur dois tout mais on leur laisse pas de place. Je pense aux femmes en Iran en Irak quel gâchis des barbares… La matriarche pour moi à quatre vingt douze ans est un exemple de femme j’aime bien ses conseils remplis de sagesse. Quoi dire qui ne sois pas misogyne ? Changement de sujet, hier j’ai téléphoné à Québec la paperasse pour l’impôt s’en viens. Je devrais pas vous écrire ça c’est confidentiel. J’ai mis de la musique c’est l’avantage d’être seul et insomniaque, une copine à l’époque voulait pas que j’écoute de la musique la nuit… Toute les nuits je dois me renouveler trouver un angle d’écriture. C’est l’hiver toujours j’aime bien les photos des snowbirds, ma seule expérience du sud  c’est Cuba. Je croyais que ce serais torride au contraire c’était un peu frais, j’oublie de vous mentionner la Guadeloupe où il faisait assez chaud pour se baigner dans la mer, trainer sur les plages… Voilà! Pour mes voyages d’hiver. Je ne vous écrirai pas de supercheries ne vous cacherai rien dans une tentative d’être authentique, j’ai une odeur de sueur de vieux matou. Parfois j’ai l’impression qu’il y en a qui confondent le coiffeur et le dentiste à l’époque coiffeur et arracheur de dents c’étais le même métier de là le sentiment de peur pour une coupe de cheveux une coiffure. Figaro c’est quand même quelque chose de bien manier le ciseau. Voilà pour aujourd’hui. Je termine en tentant une nouvelle façon pour vous remercier de votre intérêt de lire jusque-là !!! À la prochaine avec toute mon espérance.

08/03/2023


lundi 6 mars 2023

 

Bonjour! Bonsoir! Hier me suis fait couper les cheveux chez un barbier miséreux, ça payait pas de mine comme on dis quand même une coupe ça me change la gueule. L’amie agent de voyage est revenue elle va m’appeler ce matin. Cette nuit je suis pas mélancolique. Je vous écris mon journal intime quand vous m’en parlez en personne je suis égaré je retiens pas tout ce que j’écris… Le mois de mars est tranquille pas de formation, je vous écris toujours dans la sobriété. La semaine prochaine je vais rencontrer le comédien professionnel avec qui je joue je vais faire de mon mieux et là je plonge dans les entrailles émotives cet état sulfureux proche du malaise sur lequel j’arrive pas toujours a mettre des mots. Nommer la bête ce n’est pas nécessairement l’abattre juste s’en défaire un peu se tenir loin de ses griffes de ses crocs qui lacèrent l’âme la font crier au mal. Je serai jamais libéré de cette douleur, je devrai respirer et juste tendre à la liberté… Je suis content d’avoir mon passeport de pas être sous mandat du gouverneur général. Je dois être prudent, j’aime pas beaucoup les éloges à la drogues, elles fait poser des gestes meurtriers. Je lis de grands romanciers mais j’arrive pas à leurs chevilles, souvenir du barman qui m’appelait Bernie Taupin du nom du parolier d’Elton John ça a peut être joué dans mon désir d’écrire, j’ai toujours admiré cet artiste britannique… Ma job principale aujourd’hui c’est de rester sobre ensuite le mieux peut advenir… Ce matin on va peut être régler des détails du voyages semble que la langue portugaise c’est difficile ce seras une aventure. Je vous ai pas raconté., j’arrive à mieux marcher je suis heureux je suis revenus. Je touche du bois. Je viens de prendre une douche, ça me fait pensés aux hôtels que j’aime bien. Je suis content d’avoir trouvé une crème a barbe qui ressemble à celle que j’ai acheté en France. Je suis parfumé c’est agréable. J’ai hâte d’être à l’aéroport Trudeau hier j’ai parlé voyage avec une amie, la préparation ça fait aussi partie du voyage. Quelques mots encore, le bonheur c’est aussi de ne plus avoir a me noyer dans les drogues et l’alcool. Voilà! C’est la chute l’épilogue comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Au revoir !!! À bientôt !!! À la prochaine je l’espère !!!

07/03/2023