dimanche 27 novembre 2022

 

Bonsoir ! Bonjour ! Cette écriture c’est peut-être trop intime pour que ce sois celle d’un chroniqueur pourtant… J’ai souvenir d’un grand retraité de LaPresse on le lis plus il serait surement pas d’accord avec les réseaux sociaux. Ce soir je sais pas où je m’en vais, je lis beaucoup et j’écris je répète au théâtre quelqu’un dis de nous que nous somme des chiens savants, c’est méchant. La nuit est là dimanche soir une autre semaine commence. Je vous écris parce que je vous aime. Je vais à contre-courant des hoax et des fake news. Je le dis souvent c’est mon journal aujourd’hui c’était télé, La grande librairie et lecture. J’aimerais bien vous faire des confidences mais je veux blesser personne, souvenir de ce gars au bar qui me traitait de tapette je l’ai jeté à terre le barman m’a dis de revenir le lendemain. À cette époque je buvais beaucoup. Je pense à tout ce monde avec qui je m’entendais pas. Ma vie c’est rien d’édifiant mon frère dis que ça m’honore d’être vingt neuf ans sans boire ni consommer quoi que ce sois. Ma vie s’est replacée je suis pas millionnaire mais j’ai un toit et je mange, je peux même voyager aller où je veux dans le monde. Je vous donnerais mon âme madame mon amour en flamme avant qu’on me condamne où me damne. Je voudrais bien vous toucher laisser tomber la première personne du singulier et savoir articuler et conjuguer faire tout ça sans blesser pour me faire pardonner. Y’a des soirs comme ça où j’écris mais si, mais si je veux donner à lire. Je sais bien que vous préférez les histoires les reportages moi j’ai que ce qu’il y a entre mes deux oreilles c’est le compte rendu de mes événements cervicaux. J’écoute ce que ça dis pas grand-chose, je pense à l’ami, un vieil ami qui m’a posté une lettre très touchante… Je crois que je vais bientôt prendre une pause à moins d’une inspiration soudaine. Voilà jour après jour je vous raconte ma vie j’ai quand même peur que vous m’agressiez, j’écris aussi aux inconnus pour un paranoïaque c’est difficile c’est mon état émotif. Je termine c’est toujours difficile ce long soliloque quelques mots encore comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Au revoir À bientôt !!! À la prochaine je l’espère !!! Ciao !!! Arrivederci !!!

27/11/2022


samedi 26 novembre 2022


 

Bonsoir! Bonjour! Ce soir d’un côté je suis heureux Le Rouge et Or de l’Université Laval à Québec a gagné la coupe Vanier et de l’autre côté je devrais me taire j’ai envie de pleurer un grand écrivain est décédé de ceux qui touchent profondément encore il était unique. C’est des hommes comme lui que j’admire et c’est ça qui m’inspire. J’écris en espérant devenir meilleur dans l’écriture et dans la vie. Le rétablissement c’est jamais gagné l’ami le sait avant je lui téléphonais du bar et il me faisait des bla-bla avec ses enfants. J’ai bien fait de garder son amitié aujourd’hui on se parle et c’est bien. Je suis pas très doué pour les phrases intenses les phrases qui réconfortent, je préfère écouter souvent c’est de ça qu’on a le plus besoin, dire les mots ça a ses limites. J’écoute et je donne des signes que j’espère encourageant , pourquoi? Ce sont des façons de faire très humaine et on a besoin de ça l’humanisme, l’humanité… J’ai vécu dans les gangs inhumaines et j’étais très malheureux, des gens sans sensibilité aujourd’hui je suis entouré de gens sensible qui partagent et se rétablissent, ils sont pas parfait moi aussi mais on est tous appeler à grandir. L’expérience voilà ce que le temps rapporte, les erreurs de jeunesse sont loin mais parfois on se trompe encore. Cet après-midi j’ai passé un bon moment comme pas souvent. Je pense à ma scolarité que j’ai échoué j’étais déjà dans la folie. J’ai hâte de voir ce qu’il y a à l’envers de l’hiver, c’est froid comme du fer. Introspection pour moi c’est une façon de se rétablir, regarder où on en est au plus profond de soi en prendre conscience en acceptant et faire de son mieux. Je sais c’est moralisateur mais j’arrive pas à l’exprimer autrement… J’écoute ce que ça me dis vous me parlez tous toutes, j’ai pas de réponse à vous offrir, je fais ce que je peux. La nuit est là parfois la solitude m’a trainé dans des endroits infréquentables j’ai appris après un long moment que c’étais pas pour moi. Je vous parle pas de tout ce temps tendus à l’hôpital, j’écoutais mais les voix étaient dans ma tête de ça aussi je me rétablis. Voilà c’est finis comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Au revoir À bientôt !!! À la prochaine je l’espère.

27/11/2022

vendredi 25 novembre 2022

 

Bonsoir! Bonjour ! Hier soir le journaliste économique a annoncé qu’on devrais recevoir les dollars provinciaux la semaine prochaine. Je sais plus tellement pourquoi je vous écris j’aime pas le contact avec les inconnus j’ai toujours peur quand on me contacte, je suis rarement assez inspiré pour écrire un bon poème. Je me suis fait un programme de lecture je commence par le dernier Gaudreault pour ensuite lire À la recherche du temps perdus de Marcel Proust, je suis vraiment décidé je vais y arriver. C’est samedi je m’étais couché très tôt la fenêtre ouverte, il faisait froid maintenant je chauffe. C’est la nuit on est maintenant samedi ces jours ci ma vie tourne autour de ce blog. J’écoute ce qu’ils appellent un magazine sur la radio d’état. Je dis rien d’essentiel avec tout ça j’arrive pas à la profondeur. Je pense au grand écrivain qui viens de décédé c’est assez difficile d’écrire après lui quand même j’essais juste d’avoir ma patte. Je crois qu’avec le temps je vais arriver à une écriture valable. Un « écrivain » de plus ça change pas grand-chose, je m’en allais vers l’auto-stigmatisation c’est inutile de faire de l’annonce. Vous appelez ça mes états d’âme je sais pas je crois pas ça passe beaucoup par ma tête. À Montréal c’est le salon du livre j’y vais pas j’ai toujours envie d’acheter tout les livres  y’en a trop. Émouvant voilà un mot qu’on utilise pas souvent, l’émotion c’est quelque chose que souvent on retiens, j’aimerais beaucoup que mes textes vous touchent. Je veux aborder le désir je voudrais l’avoir je voudrais le voir et vous faire plaisir, un sentiment envers vous tous qui me lisez ça me donne de l’espoir. Je suis pas très diffusé mais je compte sur vous pour en parler. Je suis bien conscient de tourner autour de rien juste de posé ces mots en essayant de me rendre à une espèce de prise de conscience. L’idée avec le traitement de texte c’est le bonheur de voir apparaitre les mots dans l’écran c’est jouissif sinon jouissant… Voilà je suis presque calmé y’a plus grand chose à dire si il y avait quelque chose. La nuit avance pendant que je termine. Ce seras mes mots pour cette nuit. Voilà!!! Comme toujours j’y vais à ma façon pour vous remercier d’avoir lu jusque-là !!! Au revoir !!! À bientôt !!! À la prochaine!!!

26/11/2022


 

Bonsoir! Comme souvent c’est l’insomnie à la recherche de la poésie ça rappelle le grand Marcel. Je suis dans le vide du lendemain de l’action de grâce américaine de la dinde et des soldes. Moi les seules soldes dont j’ai jamais profité ce sont les deux pour un dans les cinq à sept des bars miteux. Toujours étonné de voir les publicités de boisson forte en fait c’est du whisky Crown Royal que je parle on y vois pas tous les dommages que ça fait sans parler des séries américaines où on passe pas cinq minutes avant de prendre un verre de fort. Tout ça vous fait un drôle de foi… Cette nuit je pensais au regretté Dédé Fortin à la rue Saint-Laurent où on étais plus persona non grata. Ces lieux là je les ai autant fréquenté que la rue Saint-Denis et le bas de la ville parfois avec un copain on se ramassait dans un bar sans alcool du quartier gay ouvert après les heures, ont se faisait péter les tympans. Souvent j’avais peur que le copain m’abandonne là et reparte pour la lointaine banlieue nord où on habitais. L’alcoolisme c’est ça quand on commence à être bien dans un bar et qu’on veux pas quitter c’est le last-call. Je pense à Bukowsky au fond du bar une bagarre de temps à autre mais pour le reste il était tranquille. Moi les videurs venaient me voir pour me dire de rester tranquille que la castagne c’est eu qui s’occupaient de ça… Vous voyez le gars a changé mais pas les souvenirs, je creuse pour en trouver de nouveau mais ce sont toujours les mêmes qui remontent. Je me rappelle ce jeune homme qui disaient être allé trop loin, trop bas dans l’underground c’étais son bas fond décadent. Ouais! Ça allais très mal une fois psychotique avec la puanteur d’un corps qui avait couché dans un cendrier… J’étais vraiment irresponsable parfois je me rendais à l’hôpital pour mon injection d’antipsychotique retard c’était d’un débile mais d’un débile avancé j’étais une vrai poubelle. Je me rendais à l’urgence en ambulance je voulais mourir. Dans ces moments là je jurais plus que je parlais parfois on m’hospitalisais. Voilà c’est ce que j’avais a raconté pour cette nuit. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Au revpir !!! À bientôt !!! À la prochaine je l’espère !!! Bye !!!

25/11/2022


jeudi 24 novembre 2022

 

Bonsoir! Bonjour !  Jeudi soir la semaine tire à sa fin, comme souvent c’est jour de paye pour plusieurs. On compte et calcule notre petit rien c’est difficile sinon impossible de budgéter quand on vie d’une semaine à l’autre. Je gagnerai pas un prix de poésie avec ces textes pourtant le quotidien éclate la beauté du monde. Je reviens encore avec ces paroles du respecté enseignant qui me disait de prendre tout mon temps. Je sais pas comment vous placer de la poésie là dedans c’est trop mal amanché, cette semaine le voisin m’a donné de la sauce spaghetti qu’il avait préparé. J’en ai mangé elle était excellente comment dire c’était pas une petite sauce claire mais bien épaisse d’ingrédients… Mes snowbirds s’en vont bientôt, ils vont s’installer une nouvelle roulotte si c’est possible, la Floride a vécu les temps durs de la tempête plusieurs ont tout perdus. Tout à l’heure je pensais partir pour Cuba mais je crois pas j’aime pas beaucoup faire de la plage, de la chaise longue de toute façon je vous en ai déjà parlé. Je sais pas si ce serais possible d’avoir une chambre d’hôtel à La Havane. C’est toujours le journal de mes petits événements cérébraux, je peux même pas appeler ça la pensée. C’est pas en vous écrivant tout ça que je vais arriver au poème, la crème la scène de mes tentatives vilaines. C’est pas tout d’écrire de la poésie faut dire, exprimer quelque chose du plus profond de son âme, l’état d’un vocabulaire appris sur le tas, la marque je l’ai dans la face j’ai toujours vécu avec, elle est presque disparue… J’arrache la trace je tasse la race le rat limage le bas limaille voilà le bas qui blow le beau qui trop. Bon c’est pas comme ça je crois que ça s’appelle des allitérations  et je vie malgré tout il m’en reste moins devant j’essais de pas trop y pensés. Ce que j’écris c’est même pas digne d’un délire psychotique où je lisais le dictionnaire, je recherchais le sens des mots les analogies, je pense à la poétesse chanteuse qui m’avait suggéré  de me procurer un dictionnaire analogique. Je l’ai fait mais je m’en sers pas, je m’en sers plus « Casser les fils méchants de honte et de remord «  Voilà ce sont les mots de la poétesse. Je vous remercie, à la prochaine j’espère !!!

24/11/2022

 


mercredi 23 novembre 2022

 

Bonjour! Bonsoir! Le Canada a perdu son match de la coupe du monde contre la Belgique, ils vont en jouer d’autre… Cet après midi je suis triste sans trop savoir pourquoi peut être à cause de la défaite. La coupe au Qatar c’est pas une grande avancée pour les femmes. Ce soir c’est encore l’hiver je pense a repartir en voyage, j’ai mis de la musique en espérant que ça me soulage, j’ai comme un plomb dans l’estomac une lourdeur dans la poitrine. C’est le moment où y’a beaucoup de circulation automobile les gens rentrent à la maison d’autre s’en vont faire du sport. J’essaye de trouver les mots qui feraient de mon mal de la poésie, ce ventre qui contraint… J’y arrive jamais, je vous demande pas de réponse la solitude cogne désemparé c’est des tentatives de chasser cette affreuse malencontreuse neurasthénie. Souvenir de ces moments où muet j’endurais la psychose, j’étais plus défait qu’aujourd’hui je croyais qu’on devinerais mon malaise sans que je dise un mot. Pour faire de la poésie faut s’arracher le cœur et le haché pour qu’on le lise pourtant … Je vous écris mon réel. De la gratitude voilà ce qui me manque ne serait-ce que de pouvoir écrire. C’est dur ce soir je suis pas à Disneyland, j’ai pas de souffle, le respir de l’amour disparait souffle court de la dépendance affective. Y’a quand même des gens qui font de belles choses de leurs détresse. Je veux pas écrire de traité de psychologie. Ça fait longtemps et jusqu’ici j’aurai résisté, à la radio c’est du rock pour moi ça rime avec alcool je reste prudent je veux pas démolir tout mon rétablissement. Je suis pas assez désespéré pour écrire de la bonne poésie de toute façon je crois que les grands poètes ont tout dis. L’amour ça se construis moé chu débatis … Je suis bien seul pour écrire tout ça dire je ne sais quoi au bout des mots. Je suis sortis du cauchemar maintenant à moi de joué j’ai plus beaucoup de temps. Quand même je veux pas être un homme aigris, à tout les jours je vous écris pour montrer que je suis bien en vie, ce n’est que ça les filles disaient c’est juste des mots. Je termine comme toujours de la même façon en vous remerciant d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère !!! Ciao !!!

23/11/2022

 

 

 

 


mardi 22 novembre 2022

 

Bonjour! Bonsoir ! La musique pop des années quatre vingt dix, j’avais presque finis ma brosse. Elle avait été longue, des années… Décembre s’en viens le temps passe vite, je vieillis. Les poétesses du pronom personnel je leurs arrive pas à la cheville, j’en suis un sans papier à moins que vous n’imprimiez, la jalousie après la maladie voilà ce dont je souffre le plus. C’est un après midi d’hiver comme beaucoup, je me souviens de l’émission radiophonique Bouchées Doubles à Radio-Canada j’y ai découvert de grands artistes français c’étais y’a longtemps. Je chômais, chauffais le poêle à bois et écoutais la radio c’était un passage heureux de ma vie. Ça a pas durée la folie est venue me torturer y’avait plus personne qui pouvait m’aider, après plusieurs années je me suis posé pour me rétablir. Je suis entre le fleuve et la rue Sainte-Catherine je crois qu’à l’époque le port étais celui de la Vickers les gens d’Hochelaga y travaillaient si on pense au shop Angus ça faisait un gros centre industriel. C’est finis tout ça on chôme à Hochelaga, itinérants qui cherchent un lit mais ne trouvent qu’un refuge temporaire, gentrification voilà les gens en moyens qui reviennent c’est pas balancé y’a plus de classe moyenne. Ils marchent ont froid et mal aux pieds demandent de la monnaie pour se payer un verre et se réchauffer. Je serai tombé dans le dallot après qu’on m’est abattus, les millions c’étais pas pour moi sans talent pour les affaires avec une vision communautaire. Je pouvais pas psychotique m’inventer une belle et bonne vie, souvent on se ferme les yeux pour pas voir la misère… Avec les usines qui sont partis les lieux de la maladie mentale sont devenus plus petits rien n’empêche le stigmate est toujours bien vivant et fait des itinérants. Ouais! Le bas de la ville est plus ce qu’il était, Montréal s’est transformé parfois c’est difficile d’être aidé, les plus souffrants finissent par se suicidé… Je pense à un ancien voisin décédé au bout de son alcool. Je vous parle de ça et j’ai des souvenirs qui me font mal…Je savais pas mais y’a longtemps la Rolls Royce a appartenue à la Vickers… La ville en avale plusieurs et c’est la douleur. Je termine avec les quelques mots habituel je vous remercie d’avoir lu jusque-là. Au revoir !!! À bientôt !!! À la prochaine je l’espère.

22/11/2022