mercredi 28 juillet 2021

Charme


 

Bonsoir ! Bonjour ! Je trouve pas entre la librairie et le denturologue. Je peux pas être plus intime, ce soir dehors c’est de toute beauté . Un formateur du centre d’apprentissage santé et rétablissement Recovery College m’a demandé de répondre à quelques questions pour sa thèse de maitrise semble qu’il avait besoin d’un expert sur la schizophrénie. Je peux dire qu’avec mon vécu j’en suis un par l’expérience . Le mois d’août arrive je suis encore confiné malgré tout je veux pas prendre de chance. Je pense à cet africain qui s’était procuré des œuvres avec l’argent de son poste de sous ministre. Il a été jugé en France ils vont revendre tout ça et rendre ça au peuple Béninois en fait c’est des objets de luxe. Je trouve pas la nationalité du nabab, je sais pas si ils ont pensé à payer des vaccins avec le montant des ventes … Je continue mes lectures, un excellent roman polar précédemment j’en ai lu deux québécois mais ils sont pas de taille avec le français, on y revois Paris essais de recomposer les images des arrondissements si bien décris. Je crois pas partir bientôt trop d’histoires de passes de vaccins toute les mesures … Je sais pas pourquoi j’écris pour deux douzaines de lecteurs, c’est un travail personnel toujours mon journal du confinement, mon senti parfois faut prendre le temps de dire et d’écrire sans trop y mettre d’orgueil. J’essais de vous imaginer devant votre écran lisant ma prose et vous marrant. J’ai brisé ma routine j’essais d’en mettre une autre en place, c’est difficile même si je sais qu’après on dors mieux. J’ai été content d’apercevoir mon lecteur, lit il encore?, professeur de design à la retraite, nos discussions me manquent. Le temps passe on s’assagit on en a beaucoup moins à dire, on écoute plus … Bientôt je serai vraiment à la retraite dans mon univers de santé mentale … Y’a pas d’association de retraité de la schizophrénie, souvent le schizophrène c’est l’autre celui qui s’est donné la mort on nomme notre maladie de tout les noms mais pas celui là, du déni ? Ils partiront toujours

Laissant les rimes avec amour

La maladie au jour

Ils en on fait le tour

Le pourtour

La vie velour

Dans le détour

Avant le retour

De la douleur la cour

Voilà ! J’ai pas pu m’en empêcher quelques vers disgracieux. J’ai plus l’âge de me demander si l’essence précède l’existence,  je sais pas si ça a du sens écrire comme ça c’est presque une agonie, la vie finie, pourtant j’y prend plaisir … Voilà c’est la nuit, je crois que les vacances se terminent bientôt, quelques mots encore, la finale est difficile. J’espère que vous avez apprécié j’essais d’y écrire un peu de beauté. Je finis comme je commence. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Ça y est c’est l’épilogue !!! À la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!! À bientôt !!! Ciao, Arrivederci !!!

Bernard

 

mardi 27 juillet 2021

Bruce à Broadway


 

Bonjour ! Bonsoir ! Aujourd’hui j’ai regardé un show très touchant de Bruce Springsteen live à Broadway. Il y raconte son enfance au New-Jersey entre l’église catholique et quand il allait chercher son père au bar. Moi j’ai pensé à mon enfance à Montréal-Nord et au bar de l’army navy où je livrais le journal. Je pense au père de Bruce qui disait faire du nursing de beer le dimanche je sais pas comment traduire. Springsteen jouait un peu partout dans le New-Jersey, il dis même avoir inventé la façon de voir cette ville. C’est un très grand artiste dédié à son art, il a jamais été prolétaire mais il a bien observé l’Amérique où  il vie. Moi j’ai inventé le goulag occidental, le quotidien d’un quartier, les gars qui passent en cherchant leurs hits de dope. Je pense que Bruce essais de nous insuffler une foi en Dieu, c’est pas mauvais dans Hochelaga-Maisonneuve on y crois plus on y crois pas. Le show est très sobre des monologues du piano de la guitare de l’harmonica et sa femme qui l’accompagne un court moment. J’ai bien aimé quand il parle de son père avec ses différents boulots tellement différent du mien. J’étais ému de l’entendre raconter ses débuts en tournée, c’est un vieux pro. Le quartier de son enfance était peuplé de Springsteen de sa famille des Irlandais qui se retrouvait à l’église le dimanche on se reconnais un peu tous là-dedans. Il parlait de se retrouver dans un rock’n’roll bar pendant toutes ses années de spectacles il à du en voir des bars. Moi je ne veux et je ne peux plus y aller je serais trop près de mes démons, ce show là c’est ce que l’Amérique a de mieux parfois j’écoute sa dernière production que mon lecteur collectionneur de voitures de Deux-Montagnes m’a procuré. Dans le show je crois qu’il parle d’Our Lady, Notre Dame je crois qu’il est très croyant. Je pouvais vraiment pas vous écrire autre chose j’étais tellement touché j’en ai pleuré un bon moment, il est de la race qui devienne des légendes. Je ne joue plus de guitare je me concentre sur l’écriture. Si j’étais orgueilleux je voudrais marquer le siècle avec mon écriture hochelagaine, une marque dans l’arrêt de la défonce et les mots qui murmurent que c’est bon. Quand même la littérature c’est affaire de bourgeois pas de locataire du goulag. J’essais de m’appliquer d’écrire de mon mieux, la bonne sœur croyais que Saulnier ça venais directement de France j’ai du lui expliquer qu’on étais là depuis quelques générations. Bon! On a beau parfois détester l’América mais ils produisent de grands artistes avec un son original. Bruce au début était déjà entouré d’amis excellents musiciens n’empêche il avait le talent. J’irai peut-être faire un pèlerinage au New-Jersey. Voilà j’ai fait quelques emprunts à Springsteen je termine là. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!! À bientôt !!!

Bernard

lundi 26 juillet 2021

Mât


 

Bonsoir ! Bonjour! Aujourd’hui je n’ai dormis que d’un sommeil mât si ça se peut, rien de très brillant comme rêve. Les rêves c’est toujours incompréhensible on y croise des visages qu’on a pas vus depuis des années, on est heureux d’avoir rêvé. Les gars avaient des bottes de travail ils disaient que c’étais des bénéfices marginaux trouvé dans un local à la job. J’ai cherché j’ai jamais trouvé après des années je me dis que c’était un mensonge. De toute façon c’étais pas du travail honnête on y faisait pas grand-chose fallait juste être là. C’étais dans le labyrinthe un ancien pavillon maintenant démolis à la Cité du Havre de Terre des Hommes. On s’y rendais tôt le matin dans une camionnette on traversais la ville et on revenais tard le soir parfois on croisais quelques sénégalais qui nous disaient qu’on travaillait pas fort et on mangeais les burgers dégueulasse de chez DiLallo. Moi parfois je me trouvais un livre et un coin et je lisait, le patron m’encourageait.  C’étais la gang du parc et de la taverne du Central. Je les aimais pas beaucoup mais je trouvais pas plus payant pour bosser. C’est après ce travail que j’ai commencer à décompenser, le patron voulait faire construire un appartement pour que j’habite avec lui moi je trouvais plus l’idée si bonne je voulais pas quitter la maison du regretté patriarche. La schizophrénie s’est manifesté là je ne travaillais plus. Je me souviens d’avoir fait le pique assiette dans un vernissage au Musée d’Art Contemporain de l’époque on s’était présenté comme des employés de la direction on avait bien mangé et je crois qu’il y avait du vin. Tout ça me rend pas nostalgique je suis heureux que ça sois terminé, certain parlaient de se syndiquer ça a pas fonctionné. Le patron était gay je l’ai réalisé longtemps après dans une frayeur, une peur homosexuelle. Souvenirs aussi des électriciens qui se payaient ma gueule, ils m’appelaient le palmier à cause de mes cheveux, j’ai longtemps été troublé, je le reste encore avec ces souvenirs. Pendant les réceptions on nous cachait dans la salle des machines de l’édifice on étais pas montrable, là aussi les gars m’avaient mentis en me disant que le premier ministre était venus en hélicoptère je l’ai jamais vus. Après tout ça je suis devenus bouleversé avec aucun endroit où allé. Le patriarche croyait qu’une voiture allait me rétablir. J’avais pas de femmes dans ma vie, je suis devenus chômeur chronique. Parfois on sortais du travail pour aller prendre une bière dans le vieux Montréal. On nous avait donné des livres labellé au musée d’art contemporain. C’est une partie de ma vie, je ne pouvait fuir. C’est pas la faute de personne j’étais qu’un petit bum. Voilà! C’est l’épilogue la conclusion, c’est jamais facile, comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Abandonnez pas on y arrive quelques mots encore à la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!! À bientôt !!! Ciao !!!

Bernard

 

dimanche 25 juillet 2021

Sorte


 

Bonsoir ! Bonjour ! Cet après-midi j’ai dormis et j’ai beaucoup rêvé. À un homme entre autre qui m’a déjà engagé pour monter une maison de pièces. Dans les fourrées je tirais avec un câble sur des poulies les pièces pour monter la toiture. Ça m’avais donner un peu d’argent pour manger, je vivais dans une mauvaise cave d’où un copain m’a sortie pour que j’habite chez lui. Je sais pas si j’avais plus d’argent parce que j’étais malade où si j’étais malade pour avoir plus d’argent de toute façon je tenais pas en place. Y’a longtemps de tout ça. Ça fait plus de trente ans, reste plus qu’une semaine et on arrive au mois d’août. J’aime beaucoup sur youtube les émissions en 4D où on se balade dans Paris, aujourd’hui je pleurais de pas pouvoir y aller ça va prendre un moment pour le petit déjeuner sur la terrasse. Me suis ouvert une Sanpellegrino aranciata ça désaltère. Ce soir je sais pas quoi vous raconter je me rabat sur mon senti qui est assez neutre. L’ami aimerais que je parte en voyage dans le bas du fleuve avec lui, une couple de jours j’y louerais une chambre d’hôtel, je sais pas ça me rappelle de mauvais souvenirs. J’ai déjà passée une journée à faire du stop à l’île Verte, il faisait beau mais j’avais peur de coucher dehors, j’ai rebroussé chemin pour revenir quelques jours plus tard dans la camionnette d’un copain. Le temps est long sur le bord du chemin on s’y sent très seul je ne voyage plus de cette façon. Je réserve l’hôtel et je prends l’avion ensuite je prends la navette entre l’aéroport et l’hôtel on est pas tous Jack Kerouac. Les voyages en voiture c’est pas mal mais y coucher c’est déprimant, je ne dors bien que dans un lit. De toute façon c’est des trips de babacool, de granolas avec de mauvaises voitures même à Paris je coucherais pas dans un dortoir, j’ai hate de voir combien vont couter les voyages après la pandémie. Je me sens plus en sécurité quand je sais à quel hôtel je vais coucher. Je suis tombé en amour avec Paris ça fait deux fois que j’y vais et j’espère y retourner. Je crois vous avoir déjà raconté tout ça, les vieux amis sont disparus je peux partir et revenir de toute façon je sais pas où ils sont, je raconte à la famille. Je sais pas si il y a encore des gens qui démarrent des communes faut être jeune et fou. J’écrirais pas dans un collectif, seul y’a que comme ça que j’y arrive. Souvenir de ce gars qui m’avait sacré une volé dans l’ascenseur pendant que les autres rigolaient. Je suis tout mêlé mais j’y arriverai, je sais pas si vous aimez ça. Je vous donne mon goddam best, c’est la conclusion. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!! À bientôt !!!

Bernard

 

 

 


samedi 24 juillet 2021

Halluciné

 

Bonsoir ! Bonjour ! Il gobais toute sorte de cochonnerie en croyant voir des arc-en-ciel. Il est devenu fou, psychotique c’étais la seule forme d’hallucination, de pertes de réalité, qu’il ais vécu. Je me souviens plus de la forme que prenait la psychose, des voix ici et là, une espèce de couronne douloureuse autour de la tête, la tension impalpable après la consommation. Je me souviens avoir dis à des jeunes filles qu’en consommant je verrais multicolore. Elles plus sages s’étaient payé ma tête. Je raconte ça c’étais ma part de rêveur je croyais voir le monde autrement. Je ne l’ais vue que dans la psychose. J’écoutais mon corps geindre à partir du moment où j’ai réalisé ça j’ai commencé à me rétablir … Je sais pas, je sais vraiment pas pourquoi je consommais comme ça, je voulais faire mon smart ça m’a couté cher en santé mentale pauvre fou ! Peu importe le médicament qu’on me donnais je le prenais. Je vous écris ça pour briser le tabou juste pour combattre la stigmatisation ça fait des années que je consomme pas et je ne m’en porte que mieux, juste dire que c’est possible. Je sais que plusieurs gardent ça pour eux, la bière c’étais pas suffisant je frôlait toujours la mort. Les femmes avec qui je vivais savaient que j’avais un mode de vie dangereux. Rendu ici c’est toujours mon journal du confinement ma tentative de dire mon senti ordinaire. Aujourd’hui je suis triste, je suis quand même allé lire dans le parc , le temps est superbe. Je sais pas comment exprimer mon épuisement général, je suis à jeun mais à boutte… Je souhaite de bonne vacance à mon lecteur collectionneur de voitures de deux montagnes.  C’est le week-end ça veux pas dire grand-chose quand t’est à la retraite.  Parfois arrive un moment triste c’est difficile de se situer dans le rapport aux autres, c’est pas que j’ai mal mais j’arrive pas à évoquer, y’en a surement d’entre vous qui savez. En ce moment y’a un parfum de je ne sais quoi c’est réconfortant, C’est pas de la grande littérature que j’écris, je suis loin des combats de gars saouls quoi que c’est pas la profondeur. J’irai pas au bar y’a personne avec qui discuter ce serais juste bon à me déprimer. Je pense aux médias et aux illusions, la fuite dans l’imaginaire … À soère je me trouve poche. Je me torture pas, toujours dans la folie solitaire a chercher introspectif. Ouais! Les mots faut que ce sois les bons, la peur, l’angoisse c’est comme si je ne connaissais que ça … Au fond je ne suis qu’humain, que ça humain avec tous ses défauts toutes ses qualités et je ne fais que me répéter. Je crois que mes maladies sont très urbaines qu’il n’y a qu’à la ville qu’on en souffre et qu’il n’y a qu’a la ville qu’on se rétablis. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine j’espère !!!

Bernard


vendredi 23 juillet 2021

Famille


 

Bonjour ! Bonsoir ! Je dis merci au cousin lecteur pour la photo de famille. C’étais la fête du cinquante ans de mariage de notre grand-père que de souvenirs. Je commençais déjà à être triste, l’avenir s’annonçait étrange mais pour plusieurs une belle vie arrivait j’avais déjà commencé à me noyer dans l’alcool, pépère donnait pas sa place là dedans. Parfois j’en entends parler fort je peux pas m’empêcher de pensés au parrain. Le patriarche levait jamais le ton, c’est pas là que j’ai appris à gueuler. J’essais de me rappeler, l’ami photographe était tombé amoureux d’une cousine, je pense que c’étais le patriarche qui avait organisé la fête, pas longtemps après je sombrait dans la folie, le mal solitaire … Cette fête là, une messe entre autre c’étais toute la famille du grand-père, ça se passait à Montréal- Nord dans la paroisse Sainte-Gertrude je crois. Pépère était fier, j’ai grandis avec ce monde là, plus tard la maladie mentale m’a envahie. Personne connaissait ce dont je souffrais, la schizophrénie c’est étrange ça prendras beaucoup de temps avant que je me rétablisse. Faut se rappeler de ces moments là plusieurs personnes sont maintenant regretté. Je me souviens que pépère chantais et le regretté parrain jouais de l’accordéon. Je pouvais pas m’empêcher de trouver un côté ringard à tout ça aujourd’hui je le regrette. Je les aimais quand même beaucoup mes grands-parents maternel, j’approche de l’âge où ils sont partis, au moment de la photo il restait encore beaucoup de bon temps à vivre. Tout ça me fait pensés, ce que j’ai vécu, ce que je vivrai au Race de monde de Victor Lévi Beaulieu. J’étais Jos et son Boubla… Je crois que j’étais de la première génération urbaine, là ville on connaissait que ça oubliez le bois, j’étais un pauvre gueu. Maintenant la fête ce seras bientôt pour d’autre, je souhaite que la super-maman qui est bien marié feras pour que ça dure aussi longtemps. J’espère que je blesse personne avec mes écritures d’aujourd’hui on a tous nos souvenirs douloureux. Quand même j’ai assisté à pas mal de noce, y’a que moi qui s’est trouvé personne pour se marier. Je crois qu’en vieillissant la solitude me pèse moins. Je me souviens d’un cousin qui allait avec sa douce veillé chez pépère, il étais plus raisonnable que moi. Peut-être que je me trompe mais pépère étais cook dans un campe dans le bois, en ville il travaillait à la shop. C’est loin tout ça je suivais pas l’exemple j’étais trop fou. J’ai été un long moment sans prier, je suis descendu dans les bas fonds, j’y suis revenus et ça va mieux. Je remercie tout les regrettés disparus. Je veux juste dire que je suis revenus à la prière. Parfois je réalise pas l’âge que j’ai pour les plus jeunes je suis un bonhomme un mon’onk. Voilà! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! C’est l’épilogue la conclusion à la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!!

Bernard

 

jeudi 22 juillet 2021

Suite

 

Bonsoir ! Bonjour ! J’arrête pas de pensés au voyage c’est une vrai obsession … Jeudi déjà presque une semaine de vacance de passée. Je sais pas pour vous mais moi j’ai vécu des moments malheureux heureusement ils sont disparus. Je suis pas en bon terme avec mon lecteur chauffeur d’autobus de la couronne nord mais ça va revenir. Je pense à m’acheter un vélo électrique que je rangerais dans un garde meuble mais je le ferai pas, j’ai pas envie de me faire frapper par un camion. Ce matin mon senti était du côté d’un hôtel trois étoile de  Montmartre, c’est quand même pas trop cher … Je dois être conscient que je suis pas le seul d’humeur pas égale. Au loin j’entends une sorte de musique acouphène. Me semble que j’aimerais me promener dans des rues inconnues de Paris, j’aimerais aussi y aller en bonne compagnie, je vous écris ça et j’ai peur qu’on envahisse mon logement … Mais je crois que le temps dois passer avant que je parte. J’ai pas toujours fait la différence entre Montparnasse et Montmartre c’est pour me retrouver que j’irais y marcher. Ouais! Je suis vacciné, je vais quand même porter le masque maintenir une distance de deux mètres avec les autres, me laver les mains et évitez les rassemblements quand tout ça seras de l’histoire ancienne je partirai. Je comprends pas ceux qui disent que le port du masque brime leur liberté, si pour toi te saouler à tout les soirs dans le fond d’un bar c’est perdre ta liberté ça vaux pas grand-chose. Mais oui ! Pour ceux qui ont pas de vacances ce soir c’est la paye, ils en feront pas plus au tarif des loyers, ils vont s’asseoir devant la télé et rêver … Je vous écris ça en me demandant quoi faire de ma grosse tête ? Aller m’asseoir sur une terrasse de la rue Saint-Denis à Paris à Montréal je connais que la St-Sulpice et je suis barré. La complainte de la butte https://www.youtube.com/watch?v=t2QIINvYs8E c’est quand même une belle chanson touchante à faire pleurer. Je me promène dans ma tête je respecte pas la géographie. Je regardais la photo de noce de ma tante, j’aurais aimé faire des épousailles et partir en voyage maintenant je voyage seul. Souvenir de ce bistro montréalais qui servais des jambons beurre plutôt que de dire un sandwich au jambon … J’ai toutes ces images haute définition de Paris sans la tête, lors de mon séjour je sortais pas la nuit j’allais plus en boîte comme ils disent. Mais j’aimais bien marcher tôt dans Paris, il est cinq heure Paris s’éveille https://www.youtube.com/watch?v=3WcCg6rm3uM  enfin c’est ce que je perçois de ma province. Bon! Maintenant s’agit de terminer de torcher une conclusion un épilogue, je reste colonisé autant qu’in québécois peut l’être, pour moi Paris ça reste la métropole. Voilà! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! On y est je termine à la prochaine je l’espère !!! Ciao !!!

Bernard