Bonjour !
Bonsoir ! Motadit je rêve encore de voyage et j’ose pas mettre les pieds dehors
ici. Je regarde des vidéos haute définition de marche dans Paris c’est comme si
j’y étais, le sentiment d’être à l’étranger. Je crois que bientôt on va pouvoir
s’y rendre. Cette fois ci si je m’y rend ce seras pour un bon moment. J’irai
peut-être voir les boutiques de haute couture où de prêt à porter sur les
Champs-Élisée. Quand même je suis pas un grand magazineux. Je niaiserais plus à
prendre un café sur une terrasse à regarder les gens passé, me semble qu’écrire
là-bas ce serait différent … Lentement le ciel s’éclaircis, ce matin j’ai téléphoné
à la matriarche. Y’a toute sorte d’image de Paris qui me passent par la tête,
je me souviens du marché Vaugirard et Convention. Y’a aussi l’avion que j’ai
hâte de prendre, j’espère que cette fois ci y’auras pas de préposé à l’embarquement
qui va me traiter de pédé. J’espère qu’il y auras pas d’autre vagues de Covid
dix neuf ça fait bien de l’espoir tout ça quasiment des vœux pieux . Ces temps
ci je suis « jammé » sur Paris peut être parce que je peut pas y
aller. J’ai la chanson de Steve Faulkner dans la tête, un cow-boy à Paris faut
pas mélanger y’a aussi une bande dessinée de Lucky Luke du même intitulé. Je
suis remplis de sentiment mitigé en pensant à la poupée Johnny West de mon
enfance. Ils disaient tous qu’a m’amuser avec des poupées je deviendrais gay,
je crois pas … Je pense que je suis devenu bêta a regarder la série Mademoiselle
de Paris à la télé c’est comme ça que j’ai commencé à rêver… Je retourne à mon
monde intérieur à comment parfois je suis brisé, une blessure dont je ne
connais pas la cause. J’ai plus besoin nouveau retraité de chercher à m’intégrer
j’ai déjà mon réseau. Mon âme comme une gare où les wagons de l’émotion se séparent
se brisent sur la track et marquent douloureusement la plaie réfléchie opaque.
Je reste là confus en pensant à demain, je ne sais pas apprentis poète … Je
devrai partir personne viendras me chercher fugitif sous le couvert de la nuit…
Ça fait longtemps que j’attends le cœur à l’envers sans bon sens puisqu’il s’agit
de vivre à mort écartelé par l’évidence de l’impuissance aux dictats
sanguinaire. Je m’acharne à écrire et le chauffeur de taxi m’offre la course
gratuite je ne sais pas pourquoi. Voilà où j’en suis dans cette course folle d’écriture
me reste qu’a apprendre … Ils savaient ont appris un métier et ont vécu, ils
ont eu peur d’écrire qu’on en sache trop sur eux, ils disaient garder ça pour
leurs vieux jours ils en ont rien fait, sont resté muet. Les jours passent sans
résultat que ce que vous lisez là. Je termine comme toujours je vous remercie d’avoir
lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère !!! Ciao !!!
Bernard