dimanche 18 juillet 2021

Simple

 


Bonsoir ! Bonjour ! Ce soir on s’assois et on se berce avec une pensée pour les Belges et les Allemands sinistrés. Le monde ne tourne pas rond, ne tourne plus rond si jamais ça a existé. Je ne partirai pas c’est pas des conditions gagnantes tout ça. J’ai pas beaucoup apprécié les anti-pass français qui ont utilisés l’étoile, ils devraient avoir honte de se comparer aux victimes de la Shoa. J’en dis pas plus … Ce soir chez moi y’a une odeur de pizza. Hier je pensais m’acheter une jolie guitare Gretsch mais c’est le guitariste qui joue pas la guitare y’en a même qui jouent sur un manche de pelle avec des cordes des virtuoses, la Gretsch c’est quand même un bel objet qu’on apprécie en vieillissant on est loin des Gibson SG où Les Paul sans parler des Fender Stratocaster et Télécaster qui ont marqué l’univers du rock. La Gretsch c’est un peu la guitare de grand-père, la guitare du blues et du jazz plus raffiné. Quand j’assistais à des concerts des shows c’étais autant pour voir les guitares que les entendre. Les guitaristes solo je les appelait les lead guitars. J’entend le flux de notes que les maitres jouaient, j’ai pas eu la patience d’apprendre le solfège de commencer par la flute et d’apprendre d’autre instrument faut croire que j’avais pas le talent. Je connais quelques accords de blues appris en regardant de meilleur jouer mais je ne joue plus, je ne gratte plus … Je pense à un camarade excellent guitariste qui s’est blessé les doigts de désespoir maintenant le malheureux peux plus jouer. J’accordais ma guitare en sol mais je préférais gueuler accompagné …. Et j’en ai écouté de la musique des accords barrés de rock’n’roll à la taverne on discutais des mérites d’un son d’une tonalité sur l’autre de la virtuosité des guitaristes, parfois même on disait qu’une guitare parlait ça s’appelait des guitars heros, L’invasion anglaise, la british invasion qui a redonné en Amérique ses lettres de noblesse au blues maintenant tout ça fait le tour de la planète, les amateurs de blues sont légion… Le blues c’était aussi dans sa forme la plus pure du jazz, pure et sophistiqué je dirais contrairement au blues du delta le berceau. Parfois je m’apaisait en jouant quelques accords et en chantant les mots bleu des histoires d’hommes et de femmes perdues … La ville c’est un peu la mère du blues, chacune à son groove son son, un peu d’harmonica dans tout ça j’ai plus de souffle. Je reviens à la chaise berçante du début comment je me laissait faire en écoutant cette musique, y’en a eu toute sorte même à la trompette « Kind of blue ». Je sais pas si ça parais mais ce soir je l’avais le blues, j’entend une guitare pleurer je trouve plus les accords je peux plus jouer. Je termine comme ça bleu, comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère

Bernard


samedi 17 juillet 2021

Dérèglement


 

Bonsoir ! Bonjour ! C’est triste de voir tous ces ravages causés par ces dérèglements climatiques. Je me demande quoi faire, je pense toujours que je serai le prochain a y passé … La terre se meurt pendant ce temps là monsieur fait de la poésie ! Je pense aux enfants de mes neveux et nièces ce qu’on va leurs laisser, parfois j’arrive à faire abstraction de tout ça on avance on y va. Une chanson de vacances https://www.youtube.com/watch?v=BTcngB5W4kk Blue jeans sur la plage interprété par notre ami Lucien Francoeur et Aut’chose  j’aime beaucoup quand il énumère les plages, j’ai pas connus ça j’étais trop jeune nous c’étais le camping plus tard c’étais Plattsburgh https://www.youtube.com/watch?v=XxUGQOSuVhY  Old Orchard et Cape Cod. Avec la démocratisation des vols d’avions les plages pas toujours propre autour de Montréal étaient délaissé pour d’autres plus exotiques on allait à la mer … Quand même j’ai jamais appris à nager chez le patriarche y’avait une piscine hors terre où on pouvait profiter de l’été… La mer j’ai connus ça tard, un voyage en Gaspésie où on avait faillis m’empoisonner parce que je racontais des niaiseries. J’avais vomis le fond de mon corps dans la voiture de mon copain. J’aimais bien m’asseoir au bord de la mer et regarder l’horizon à l’infini. À une époque la musique est devenus moins kitch, plus urbaine même si parfois on y parlait de retour à la terre on voulait absolument être « peace and love » jusqu’au moment où on rencontrais des gens violents. Pas d’étude pas de métier je devais gagner ma vie, je prenais ce qui passait … Je pense aux snowbirds et à leurs enfants qui fréquentaient Virginia beach j’y suis jamais allé ça semble bien comme destination. Je crois que la super maman s’ennuis de ça, sa cousine aussi. Je voudrais voir la mer https://www.youtube.com/watch?v=vSEblvHKdpk une belle chanson que j’avais répété et essayer de chanter j’en avais été incapable, la jeune femme qui nous avait montré étais très fâché de voir que je pouvais pas chanter en représentation. Quand on s’arrête comme ça a y penser la mer c’est un thème universel. Longtemps j’ai eu comme mer le Lac Saint-Jean on voyait quand même l’autre rive. Je suis jamais retourné en Gaspésie … J’ai aussi bien aimé les plages de Guadeloupe les Antilles, le bleu de cette mer. https://www.youtube.com/watch?v=oERtDPguIDM  voilà une autre belle chanson malgré ce que disait le chanteur d’Abitibi Rivard c’est bien. Je pense et je sais pas pourquoi au poète qui déjà à trente ans avait son œuvre derrière lui.  Je vais laisser parlé les trois, la mère, la mer, et la maire j’aime bien les entendre parler et chanter elles me disent de continuer mais pour ce soir j’ai presque terminé, je termine avec la mer https://www.youtube.com/watch?v=fztkUuunI7g de Charles Trenet j’en aurai pas raté une … Voilà c’est la conclusion l’épilogue. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! On y est on y est à la prochaine je l’espère !!!

Bernard


vendredi 16 juillet 2021

Vif


 

Bonsoir ! Bonjour ! Ce soir je suis vide, j’essais d’y aller avec le vif de l’inspiration. Parfois j’oublie la méthode pour ne pas consommer heureusement j’y vais un jour à la fois. Les vacances de la construction commençait ce midi. J’ai peur de pas vivre assez longtemps pour profiter de la pension, souvenir de jeunesse je m’étais fait défriser c’étais d’un ridicule, on m’avait brûlé le cuir chevelu … Ça fait plus de cinquante ans et je m’en souviens encore, le barbier était un cousin de la matriarche je crois. Ce matin j’ai parlé feu de camp, comment j’aime ça, avec l’intervenante. Les chalets sont surement tous loué, les campings tous occupé y’a surement beaucoup de circulation qui sort de Montréal. Je pense aux itinérants qui campaient le long de la rue Notre-Dame c’étais pas une si mauvaise idée surtout quand il fait très chaud dans un studio sans climatiseur. Je sais pas si on vaccine les itinérants y’en a qui veulent rien savoir comme on dis. Je serais incapable de dormir dehors sur un banc de parc et pas plus dans un refuge. Une petite anecdote, je sais pas ce que j’ai fait de ce qui restais d’un rouleau de papier de toilette comme si quelqu’un l’avais pris pourtant je suis pas sortis et je crois pas qu’on serait entré chez moi, ça m’angoisse à ce compte là ça couterais cher pour qu’on me persécute mais je crois qu’il y a de ça dans les gens qui vivent dehors. Dehors avec le moins de chose possible, un sac-à-dos et pas d’adresse autre que celle où on envoie le chèque pour acheter quelques bouteilles d’alcool. Vous allez me dire tu ne parle que de ça mais je ne vois que ça, le voisin est hospitalisé intoxiqué et il semble ne pas avoir terminé. C’est toujours mon journal du confinement aussitôt que ce seras possible et sans trop de problème je voyagerai faut dire y’a pas que la pandémie y’a aussi les désastres naturels. Vendredi soir de vacances avant de partir on vas aller manger sur la terrasse d’un restaurant. Je crois que les restaurateurs sont content. Je vais essayer d’y aller avec mon senti, je suis content d’être ici j’ai qu’à me rappeler la maison de chambres, le centre de crise ça m’a aidé, je dis merci mais c’est finis. Je vieillis et Montréal change on envahis mon bout de rue. Je sais pas quand ils vont bâtir des habitations à loyer modique, je sais qu’il en reste mais c’est des sous-sols c’est difficile d’y vivre. Je reviens aux terrasses y’a longtemps que je n’y vais plus trop de bruit et trop cher. J’ai perdue la manie de me faire voir. Le night life c’est finis, je dors la nuit. Voilà j’ai presque finis au bout je trouve toujours, j’entend quelqu’un siffler je crois que c’est dans ma tête. C’est la conclusion l’épilogue, comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère !!!

Bernard

jeudi 15 juillet 2021

Art brut

 

Bonjour ! Bonsoir ! Comme dans la chanson « j’aurais voulus être un artiste » maintenant que ça été utilisé on peut plus rien en faire n’empêche je regarde les grandes vedettes rock, Sting, Bono, Springsteen et je suis ému je pleure. Mon talent, my crafted on dirais en anglais c’est d’écrire, toujours « travailler» faire un texte, écrire quelque chose avec de l’émotion. Je sais pas si je peux aborder comme une grande chanson, écrire c’est un métier, j’ai du vivre avant d’y venir. J’aimais beaucoup m’accompagner à la guitare et improviser des chansons pour les enfants … J’ai peur, j’ai peur je voudrais être ailleurs c’est mon malheur quelque soit l’heure des vers parfois c’est la douleur à la lecture à la frayeur. C’est trop simple ça peu pas être bon, une journée pour écrire ça en tournant en rond. J’essaye de l’arracher hors de moi l’émotion. J’écris comme je crierais à pleins poumons, comme le gars qui cherche son savon en prison. Je fais pas beaucoup de différence entre le brut et mon pompier, d’un piano c’est pas le clavier … Les larmes comme la pluie les armes et l’ennuie le gendarme et l’ennemi venus de Parme et détruit. Pourquoi ces sentiments ces émotions cet érotisme et cet argent tout le temps tout le temps la tête au vent le désir d’être grand pourtant … Je veux vous avoir vous autres aux bas mots aux écriteaux aux écrits sots. Il est trop tard pour être poète ma parole est muette à mon âge c’est la disette, la difficulté d’écrire ce qui fait vibrer… J’en aurai joué du violon avec un marteau sans cordon, laissez moi faire comme le colon … Le pire c’est que j’arrive pas à dire, l’écrivain disait rien écrire de compréhensible il a cessé et est rentré dans ses terres son caseload de travailleur social. J’écris mieux que je chante et je rêve à l’Irlande, je suis pas génial on l’entend trop le génie pour que ce sois le vrai, le génie c’est rare mais dites moi dites moi où il est le mistral qu’il m’accompagne en cavale dans ces jours viral où je cherche la murale  occidentale… Je pense à des deux femmes qui discutaient une était fauché et l’autre disait plutôt que de faire une demande d’aide sociale « commande toé un chèque ! » drôle de façon de parler. C’est difficile de vous écrire ça pour que vous compreniez comme si le bureau de la sécurité du revenu était un commerce. Bon c’est de l’enfantillage tout ça, de l’expression populaire, je sais pas si ça se peut on meurt comme on a écris, mal, au bout de son souffle. Mais non je suis pas et je serai pas une rock star, juste un écrivain mineur et encore … Je vous laisse là-dessus j’aimerais que ce sois fort, avec une odeur exotique. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!!

Bernard


mercredi 14 juillet 2021

Zec la croche

 

Bonjour ! Bonsoir ! Je lis un roman qui se passe dans le bois à la pêche pas loin de la rivière Saint-Maurice et du réservoir Gouin si je comprends bien. Y’a des amérindiens qui prennent le train  et descendent en faisant arrêter le train pas loin de leurs campement. J’ai pas finis de le lire mais je crois que mon lecteur technicien à la Rolls Royce aimerais ça c’est un grand amateur de pêche. Moi j’aime ça ça me dépayse me donne envie de passé quelques jours dans un campe dans le bois. Ouais! S’asseoir dans une chaloupe et lancé sa ligne où trôler en espérant que ça morde. Ça s’intitule Zec La croche, s’asseoir sur la galerie en attendant d’arranger sa truite et de la faire cuire sur un feu de camp pour souper. Je marcherais pas beaucoup dans le bois de peur de me perdre pourtant je vous écris ça et c’est le bonheur, la matriarche connais ça le bois. Malheureusement il est trop tard pour réservé et j’ai pas d’équipement de pêche pourtant c’est bien d’écouter les oiseaux les grenouilles les crickets et les crapeaux, je me baignerais aussi dans l’eau froide du lac et je fendrais des bûches pour le feu de camp du soir faire un peu de boucane pour chasser les mouches noires et juste regarder les bûches qui s’embrasent, avec mon canif je pourrais gosser une branche pour faire cuire des saucisses où des mashmallows. J’oublierais pas de bien fermer les déchets pour pas que les ours et les ratons-laveurs les mangent la nuit. Juste du silence et les huards. Je crois qu’on pourrais pêcher de la grise et de la mouchetée je sais pas pour l’achigan et le doré peut-être de l’arc-en-ciel. Je me vois le matin faire des toasts sur le grille-pain ancienne mode pour ensuite avant de sortir me badigeonner au Muskol. Parfois quand il fait trop beau trop chaud ça mord pas, je pourrais peut-être prendre un guide pour qu’il m’emmène dans un bon spot  mais je veux juste apprécier la solitude. Dans les sous-bois je pourrais apercevoir une où deux perdrix et proche du sapinage des traces de lièvres. C’est la saison de la pêche on braconneras pas et si ça mord trop on les rejetteras à l’eau. Juste regarder le feu c’est relaxant, s’amuser à le monter à le partir pour qu’il brûle bien et après cuire sur la braise c’est bien aussi. Ce sont toutes des choses que j’ai fait que j’oublierai jamais. Les plus aventureux feront peut-être du portage pour changer de lac parfois ça mord pas. C’est ce que je connais de la pêche sportive, du bois. Après des journées dehors on dors bien, parfois la pluie résonne sur le toit de tôle du campe ça nous berce ça nous endors. Je dédie ce texte à mon lecteur technicien à la Rolls Royce. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!!  J’espère que vous avez aimer ça !!! À la prochaine

Bernard


mardi 13 juillet 2021

Brisure

 

Bonsoir ! Bonjour ! Je laisse filer le temps, quelques heures de visionnement télé aux actualités le discours est toujours le même covid, covid et covid. La distraction je la trouve dans la lecture beaucoup de difficulté a m’inventer des aventures ça reste mon journal du confinement mes pensées de la pandémie. Je désire plus explorer le goulag plus ça change plus c’est pareil. La construction elle est toute sur les terrains vagues de mon quartier sous le pont Jacques-Cartier. Je me laisse avaler par la publicité, demain c’est la fête nationale des français ça risque d’être différent ils vont parader devant quelques milliers de personnes avant la pandémie c’étais des centaines de milliers. J’essais de fredonner l’hymne national canadien j’en suis incapable je m’en souviens pas plus que la Marseillaise. Plus le temps passe avec mon état de santé je crois pas que je pourrai encore voyager de toute façon la maladie seras toujours virulente. Je sais pas pourquoi je pense au disparus Christian Mistral très jeune pour mourir et partir avec sa mauvaise réputation ses livres m’ont accompagné un moment mais c’était un violent, il a pas voulus rentrer dans le rang je crois que je comprend … Il étais pas sympathique. Je le croisais parfois mais on fréquentais pas les mêmes bars, la même gang je crois qu’il m’aurais donné deux trois tapes sur la gueule, l’infirmière à l’hôpital m’avait conseillé de lui écrire elle savait pas quel genre de gars c’étais … Ici y’avait un certain temps un concierge gaspésien il prenais un coup pour écrire à sa mère en Gaspésie, ça fait longtemps je me souviens plus pourquoi il est partis je crois qu’il avait le syndrome d’immuno déficience acquise, on en parle plus de cette maladie elle est toujours là. Comme si elle étais passée dans le cour normal des choses. Je pense à tous ces gens qui couchaient l’un et l’une avec l’autre une génération de désespéré. Je suis chanceux dans mon ancienne vie dissolue j’ai pas été infecté. C’étais la fin des années quatre vingt on ne pensait qu’au plaisir même si après y’avait que de la douleur et de la solitude les orgies ça ne fait qu’un temps Brel disait « il faut bien que le corps exulte ».  Y’a longtemps que je ne vie plus la nuit, je calme mon angoisse je prie et je parle aux amis … Je raconte toujours la même histoire c’est ce qui reviens dans ma tête. J’arrive pas à faire le tri, à inventer, mon monde il est plutôt finis écrire c’est pas faire du cinéma. Je devrais arrêter tant qu’à répéter tout ça, le goulag se construis et moi je vieillis et me débâtis. J’ai mal vu j’ai mal dis pourtant tout est fini c’est l’agonie. Voilà c’est l’épilogue la conclusion, je crois que l’œuvre tourne en rond, comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Abandonnez pas quelques mots encore, à la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!! Ciao

Bernard

 

 


lundi 12 juillet 2021

Nombre


 

 Bonsoir ! Bonjour ! Ce matin j’ai fait une sortie, j’ai marché quatre stations de métro. Je suis revenus et j’ai terminé la lecture d’un polar pour ensuite me plonger dans le visionnement d’une balade à Saint-Germain-des-Prés au mois de juin dernier et je me suis mis â rêver y’avait même le parfum des rues et des bistros de Paris. J’ai aussi regardé soixante quatre minutes le monde en français et le discours du président Macron sur le bulletin de France deux. J’aime la France mais il est trop tôt pour m’y rendre, je rêve, je rêve, je rêve …

 

Je recommence ici je cherche un sujet parfois les mots sont pas suffisant. J’ai essayé de parler au voisin il m’a répondu dans un charabia incompréhensible. Je crois qu’il fait comme beaucoup d’autre quand il va mieux il cesse la médication et retombe la chaleur l’aide pas non plus ce qu’il vie c’est très difficile une psychose dans la solitude et la sueur. Il est complètement déconnecté il comprend rien quand je lui parle. Je crois qu’il s’adresse à ses voix à ses fantômes si c’étais un poète on dirais qu’il explore avec son langage c’est peut-être ça la …

 

 Je cherche la musique me traine la trique et pic sic ric y’avait l’oncle Aymeric je vous raconte ça pique au sol ça tique au bol et le sol et le sol pergélis c’est dull et la folle qui jouait en sol s’arrange pour que je la garde molle la crème rolle la béchamel qui gèle entre deux pelles de canicules et de virgules pustule pustule pustule ça brûle je recule pour pas qu’on m’encule et c’est sidule sans savoir le pouvoir libératoire une sorte de poésie qui dis nennie ça vaux pas un penny et lenny lenny lenny …

 

Bon! Le calme est revenu faut dire que délirer comme ça doit être épuisant, j’essaye de construire quelque chose, ça va mal dans les Antilles le meurtre du président Haïtien et la révolte à Cuba pendant ce temps là ici on se débat avec la Covid dix neuf. Ils parlent d’un troisième vaccin à l’automne. Lundi soir j’ai commencé la lecture d’un autre polar je dirais domestique ça se passe ici dans le nord canadien. Je vous en écrirai plus quand j’aurai terminé, c’est une autrice comme ils disent maintenant c’est certainement un polar différent je vais le lire longtemps.

 

Voilà ! J’ai essayé de bâtir autrement je vais illustrer ça avec une photo de La Havane et une autre de la Guadeloupe faut dire que ces temps ci c’est torride au pays. Je suis partis de la France pour arriver dans les îles. Je pense que la semaine prochaine c’est les vacances de la construction  y vas y avoir du monde à la plage et beaucoup de campeurs. Je termine c’est la conclusion j’ai pas beaucoup de façon toujours pareille. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là  !!! À la prochaine je l’espère !!! Ciao !!!

Bernard