vendredi 9 juillet 2021

Vérification

 

Bonsoir ! Bonjour ! La chaleur reviens, j’ai terminé de visionner la série Yellowstone, une sorte de parrain western. Lentement le ciel semble s’éclaircir. Je viens de lire un article sur une mini-camionnette russe pas chère malheureusement elle est pas disponible ici, elle étais transformé en camper, souvenir de cet « ami » qui voulais me vendre sa fourgonnette Volkswagen, elle étais pas en ordre je l’ai pas acheté. Ça fait longtemps j’habitais encore chez le patriarche et je trainais les rues. J’aime bien être abstinent d’alcool ça m’évite des problèmes. Je suis plus beaucoup angoissé chez moi le silence me tue pas. Je lis présentement un polar québécois c’est pas mal. Je pense a acheter un roman qui donne bien l’ambiance de Paris selon la critique, ça va nourrir ma francophilie … J’en connais qui sont heureux la semaine de travail se termine et ils vont pouvoir prendre un verre au bistro. C’est étrange je regarde dans le parc en face y’a des gens et ça m’angoisse dans ces moments là je crois que si je parle seul ça en est la cause, les étrangers … Toujours d’un bar à l’autre jamais à ma place, souvenir d’une petite bagarre avec un gars qui m’avait arrosé avec sa bière c’étais pas allé très loin on s’était juste poussé, je vous parle pas des fois où je me suis fait assommer. Mon bar préféré était devenus infréquentable on m’avait barré, j’étais jusqu’à ce moment là un bon client pas longtemps après il a cessé ses activités. Je vous raconte toujours la même histoire c’est pas dans les visites aux galeries d’art où au musée qu’il se passe beaucoup de chose quoi qu’il faut être sensible ému par certaines œuvres ça fait moins mal qu’un coup de poing sur la gueule mais on pleure quand même devant la beauté. Je dis pleurer mais y’a des œuvres provocantes comme ce quartier de bœuf qui vous fait fermer les yeux. Je pense aussi à Rocky qui s’entraine dans la boucherie et l’abattoir. C’est du cinéma moi j’essaye toujours de vous faire lire et vivre une émotion c’est difficile. C’est toujours de s’arracher le cœur vous le savez, cracher le morceau, faire passer la douleur. Ces jours ci je suis ému en regardant des téléséries. À mon âge les bistros ça sert à rien plus personne veut discuter avec moi, les brèves de comptoir on les connais toutes. Quand j’allais au bistro j’y allais tôt et j’attendais qu’ un « copain » se présente on en éclusais une où deux et on voulait changer le monde.  Aujourd’hui j’ai survécu je sais qu’il y a des endroits où les gens me détestaient il étais temps que j’arrête. Je termine là-dessus l’émotion elle est là ça me fout les boules dans la poitrine. Je m’apaise lentement en essayant de pas me dénigrer. Voilà !!! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Continuez c’est l’épilogue, à la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!!

Bernard


jeudi 8 juillet 2021

Âgé



Bonsoir ! Bonjour ! J’ai abandonné la lecture de L’OBS. Je préfère lire deux polars québécois pour le moment dont un qui se passe dans la campagne de Lanaudière pas loin de Saint-Gabriel-de-Brandon où j’ai déjà passé un été. Si je me souviens j’ai des cousins qui y sont en affaire et qui habitent là. Je veux aussi lire un roman qui évoque bien Paris disait la critique dans LaPresse+ , en fait moi j’habitais à Saint-Charles-de-Mandeville le long de la rivière Mastigouche en suivant la route le long de la rivière et en passant dans le parc on se retrouvais à Berthier. On s’amusais à descendre la rivière on aurait pu se noyer, je sais pas nager… C’étais l’été du golf d’Oka, le soldat et Lasagne pendant ce temps là je lisais une histoire du Lac-Saint-Jean et l’importance du fromage pour la Couronne. Y’a aussi toujours eu l’industrie forestière, le patriarche avait une photo du temps où ils travaillaient encore avec des chevaux. Je sais pas si à cette époque l’industrie forestière, la drave était forte dans Lanaudière, j’ai une photo d’un draveur qui a perdus la vie emporté par les billots dans une glissoire … C’est dire comment le bois était fort il donnait du travail à beaucoup de monde dans la province. Souvenir aussi des pitounes le long de la Saint-Maurice quand on montais au Lac Saint-Jean en voiture toute la famille avec le patriarche. Les eaux noire de cette rivière était assez épeurante, l’écume dans les rapides. Je pense aussi à la rivière Mistassini à Dolbeau le moulin pas loin, j’ai pas connus ce monde là, j’y suis juste passé dans mon enfance. J’ai toujours aimé regarder le paysage en voiture, dans l’Outaouais le long de la rivière du même nom je crois que le moulin est à Thurso … Faut dire y’a beaucoup de villes qui sont nées au bord des rivières, les anciennes routes les longeait aussi. Le chant du draveur https://www.youtube.com/watch?v=kVKdbL---Wg y’avait un cousin de la matriarche qui la chantait en s’accompagnant à la guitare il avait beaucoup de talent. La drave c’est finis tout ce qu’on entend maintenant c’est des histoires de truckeurs, on glisse plus sur les rivières on mange du bitume. Y’a tout mon rapport avec l’eau avec le fleuve, j’ai travaillé un peu au port pas vraiment débardeur. Y’a surement de la littérature sur le bois, la forêt et les canadiens français. Les américains ont des histoires de cow-boys je vois pas pourquoi on aurais pas des histoires de draveurs je pense à la chasse galerie … Voilà je suis plus dans le courant des rivières, je me ferai pas assommé par un billot, dans le temps ils défaisaient les embâcles à la dynamite… Je sais pas pourquoi je raconte ça vous avez tout vu. J’ai presque terminé c’est l’épilogue comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Abandonnez pas !!! Abandonnez pas !!!  À la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!! À bientôt !!!

Bernard 

Bonsoir ! Bonjour ! J’ai abandonné la lecture de L’OBS. Je préfère lire deux polars québécois pour le moment dont un qui se passe dans la campagne de Lanaudière pas loin de Saint-Gabriel-de-Brandon où j’ai déjà passé un été. Si je me souviens j’ai des cousins qui y sont en affaire et qui habitent là. Je veux aussi lire un roman qui évoque bien Paris disait la critique dans LaPresse+ , en fait moi j’habitais à Saint-Charles-de-Mandeville le long de la rivière Mastigouche en suivant la route le long de la rivière et en passant dans le parc on se retrouvais à Berthier. On s’amusais à descendre la rivière on aurait pu se noyer, je sais pas nager… C’étais l’été du golf d’Oka, le soldat et Lasagne pendant ce temps là je lisais une histoire du Lac-Saint-Jean et l’importance du fromage pour la Couronne. Y’a aussi toujours eu l’industrie forestière, le patriarche avait une photo du temps où ils travaillaient encore avec des chevaux. Je sais pas si à cette époque l’industrie forestière, la drave était forte dans Lanaudière, j’ai une photo d’un draveur qui a perdus la vie emporté par les billots dans une glissoire … C’est dire comment le bois était fort il donnait du travail à beaucoup de monde dans la province. Souvenir aussi des pitounes le long de la Saint-Maurice quand on montais au Lac Saint-Jean en voiture toute la famille avec le patriarche. Les eaux noire de cette rivière était assez épeurante, l’écume dans les rapides. Je pense aussi à la rivière Mistassini à Dolbeau le moulin pas loin, j’ai pas connus ce monde là, j’y suis juste passé dans mon enfance. J’ai toujours aimé regarder le paysage en voiture, dans l’Outaouais le long de la rivière du même nom je crois que le moulin est à Thurso … Faut dire y’a beaucoup de villes qui sont nées au bord des rivières, les anciennes routes les longeait aussi. Le chant du draveur https://www.youtube.com/watch?v=kVKdbL---Wg y’avait un cousin de la matriarche qui la chantait en s’accompagnant à la guitare il avait beaucoup de talent. La drave c’est finis tout ce qu’on entend maintenant c’est des histoires de truckeurs, on glisse plus sur les rivières on mange du bitume. Y’a tout mon rapport avec l’eau avec le fleuve, j’ai travaillé un peu au port pas vraiment débardeur. Y’a surement de la littérature sur le bois, la forêt et les canadiens français. Les américains ont des histoires de cow-boys je vois pas pourquoi on aurais pas des histoires de draveurs je pense à la chasse galerie … Voilà je suis plus dans le courant des rivières, je me ferai pas assommé par un billot, dans le temps ils défaisaient les embâcles à la dynamite… Je sais pas pourquoi je raconte ça vous avez tout vu. J’ai presque terminé c’est l’épilogue comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Abandonnez pas !!! Abandonnez pas !!!  À la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!! À bientôt !!!

Bernard

mercredi 7 juillet 2021

Repos


 

Bonjour ! Bonsoir ! J’ai finalement reçu le bouquin que j’avais commandé. Terminé ma lecture intégrale de l’OBS de la semaine y’a des articles sur les voitures hybrides et électriques ça peux peut être vous intéresser. Malheureusement il faut payer pour une lecture sur le réseau. J’aime bien lire ça ça me fait voyager. J’ai pris du repos et j’ai encore beaucoup rêvé je me souviens plus à qui où à quoi. Souvenir d’une époque où y’avait un recueil qui s’intitulait « Qui fait quoi » c’étais pour tout ce qui grenouillait dans le cinéma et l’audio-visuel à cette époque j’avais encore des ambitions cinématographiques. Ce soir y’a un match je veux écrire trop vite, je prends pas le temps de réfléchir. Dans l’OBS ils parlaient d’un livre sur Proust qui développait sur différentes formes d’écriture, des écrits de jeunesse. Le temps passe bientôt j’aurai un an de plus et les rabais qui vont avec le vieil âge. Il fait frais. Je visionne j’écris je lis et les semaines passent, je veux pas faire mon ti-jos connaissant, je suis toujours curieux, je vous l’ai probablement déjà écris celle là. Proust! Je met la barre trop haute, je continus quand même. J’ai trois polars à lire c’est pas trop compliqué un norvégien et deux québécois.  Demain je vais chercher le nouvel OBS, j’essaye de lire les critiques de nouveaux livres, de nouvelles littérature, et le lire ça me donne un peu une idée de la forme que devrais prendre ce que j’écris. On m’a déjà suggéré de plagier c’est pas une bonne idée le plaisir il est dans l’invention, la composition, je devrais peut-être me trouver un n… ce mot interdit. C’est pas une bonne idée j’écris moi-même aussi mal que vous voyez. J’aimerais bien que ce soir l’équipe locale gagne son match. Je pense à Jean Genet à sa pornographie aux dessins aussi pornographiques de Cocteau que j’avais vus au Musée des Beaux Arts de Montréal y’avait un avertissement pour les âmes sensibles aujourd’hui c’est une façon qui m’intéresse moins. Quoi que je cherche la différence entre les magasines et les dessins c’est peut être une question de sensibilité mais Genet c’est quand même dur là où vous croyez pour faire une mauvaise métaphore. Pourtant y’a de grands talents dans les toilettes d’ateliers. Un soir on efface et le lendemain tout est a recommencer. Ce thème là il est toujours à renouveler, c’est le Kama Sutra. C’est certains qu’on passe pas du graffiti au grand art, je vous écris ça et je sens une tension une sorte de crampe, la pornographie c’est la perte de l’innocence, la difficulté sensuelle et la douleur achevée… Tout ces appareils génitaux exposés à qui ça fait plaisir ? Vaux mieux garder ça pour soi si on a pas de génie. Le temps fait son œuvre on est moins vert. Voilà ! Je termine là-dessus, comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! C’est l’épilogue la conclusion à la prochaine je l’espère !!!

Bernard

mardi 6 juillet 2021

Chercheur

 

Bonsoir ! Bonjour ! Ce soir je me suis préparé un bon souper, comme à mon habitude j’ai regardé différentes émissions d’information française. Je lis aussi l’OBS en rêvant de voyage en fait je rêve de la France. Je dois faire attention je veux pas être déçu quand j’y retournerai. J’ai beaucoup aimé les commentaires de mes lectrices sur mon dernier texte. Parfois j’ai ce que j’appellerai des fulgurances c’est fertile. Cet après-midi j’ai fait la sieste et j’ai rêvé d’un copain que je ne vois plus. Je crois qu’il était blessé. Les jours passent rapidement, je pense à la pension de vieillesse que je recevrai bientôt, j’espère rester vivant pour en profiter un peu, je continuerai d’être actif au Centre d’apprentissage santé et rétablissement Recovery College et je ferai encore du théâtre si on me demande. En ce moment même si ça parait étrange je suis en vacance. Hier l’équipe de hockey locale a gagné son match. J’aime bien Jean-Charles dans l’émission précédente, poésie un peu cheap mais rafraichissante, on m’a déjà dis que ce que je faisait était rafraichissant … J’ai perdus une tasse ça m’angoisse comme si on était entré chez moi pour me la voler, elle est surement dans l’évier. J’attend un livre, un polar que mon lecteur pêcheur et technicien à la Rolls-Royce aimerais sans doute ça s’intitule Zec Lac-Croche. Je sais pas pourquoi j’ai le « Ne me quitte pas » du regretté Jacques Brel en tête, les belles chansons on s’en souviens toujours. Je retourne plus de trente ans en arrière comment j’étais malhonnête et je blessais les gens … Je vous écris ça et ça me fait mal, j’étais abrutis. J’ai retrouvé la tasse en m’ébouillantant les mains dans l’eau de l’évier, ça fait mal mais c’est propre. J’aime beaucoup vous écrire comme ça accompagné du ronronnement du climatiseur, une sorte de silence. Je veux tant écrire et que ça brille pourtant c’est terne sans éclat, il n’y a que moi qui dis ça je vous laisse juge. Ce soir j’ai pas grand-chose c’est pas fort après je vais essayer de terminer une lecture, je reviens à la France que je trouve « exotique » et riche d’histoire. J’aurais aimé que Louis XIV ne perde pas la guerre si je me souviens bien, quoi que si Montcalm avait gagné ? C’est toujours mon journal du confinement comme souvent j’essaye d’y mettre du senti. Je reviens aux arts ménager j’ai lavé la vaisselle c’est pas avec ça que je vais vous briser le cœur. J’hallucine d’énormes crevettes pourtant je suis loin du marché de la mer. Je viens d’écouter une excellente version d’une toune de Fleetwood Mac. Voilà ce soir je termine comme ça, quelques pages de plus pour mon journal, je crois que j’ai des lecteurs et lectrices fidèles. J’espère que vous aimez ça j’attends vos commentaires. Comme toujours je vous laisse en vous remerciant d’avoir lu jusque-là … On y est presque à la prochaine je l’espère !!! Ciao !!!

Bernard


lundi 5 juillet 2021

La fin du monde


 

Bonjour ! Bonsoir ! Que faisiez vous pendant la fin du monde ? J’écrivais monsieur j’écrivais et vous ? Je comptais monsieur je comptais et vous ? Je cherchais à manger monsieur je cherchais à manger et vous ? Je pleurais monsieur je pleurais et vous ? Je criais monsieur je criais et vous ? Je parlais monsieur je parlais et vous ? Je crevais monsieur je crevais et vous ? Je saignais monsieur je saignais et vous ? Je chômais monsieur je chômais et vous ? Je m’enfermais monsieur je m’enfermais et vous ? Je jouais monsieur je jouais et vous ? Je complotais monsieur je complotais et vous ? Je dormais monsieur je dormais et vous ? Je fuyais monsieur je fuyais et vous ? Je baisais monsieur je baisais et vous ? J’attendais monsieur j’attendais et vous ? Je vomissais monsieur je vomissais et vous ? Je déprimais monsieur je déprimais et vous ?  Je me chaussais monsieur je me chaussais et vous ? Je négociais monsieur je négociais et vous ? Je toussais monsieur je toussais et vous ? Je fumais monsieur je fumais et vous ? Je me grattais monsieur je me grattais et vous ? Je marchais monsieur je marchais et vous? Je priais monsieur je priais et vous ? Je m’embêtais monsieur je m’embêtais et vous ? Je souffrais monsieur je souffrais et vous ? Je buvais monsieur je buvais et vous ? Je psalmodiais monsieur je psalmodiais et vous ? Je me mutilais monsieur je me mutilais et vous ? Je consultais monsieur je consultais et vous ? Je m’exaltais monsieur je m’exaltais et vous ? J’agonisais monsieur j’agonisais et vous ? Je bouillais monsieur je bouillais et vous ? J’angoissais monsieur j’angoissais et vous ? Je m’habillais monsieur je m’habillais et vous ? Je succombais monsieur je succombais et vous ? Je tentais monsieur je tentais et vous ? Je paradais monsieur je paradais et vous ? Je discourrais monsieur je discourais et vous ? Je m’éloignais monsieur je m’éloignais et vous ? Je me salissais monsieur je me salissais et vous ? Je frémissais monsieur je frémissais et vous ? Je jouissais monsieur je jouissais et vous ? Je lisais monsieur je lisais et vous ? Je raisonnais monsieur je raisonnais et vous ? Je me piquais monsieur je me piquais et vous ? Je détruisais monsieur je détruisais et vous ? Je descendais monsieur je descendais et vous ? J’y allais monsieur j’y allais et vous ? Je trimais monsieur je trimais et vous ? Je cognais monsieur je cognais et vous ? Je m’évadais monsieur je m’évadais et vous ? Je saluais monsieur je saluais et vous ? Je terminais monsieur je terminais, c’est la fin des temps l’apocalypse la fin du monde  je me défait et je décède, la mort pour tous tout le temps ça dureras pas cent mille ans j’aurai tué le temps c’est pas la meilleure façon mais comment. Merci comme tout le temps.

Bernard

dimanche 4 juillet 2021

Morceau

 

Bonsoir ! Bonjour ! Me suis gavé de télévision surtout française. J’ai aussi lu l’OBS, l’ami dis que je suis francophile c’est vrai et pourquoi pas. J’ai hâte à mon prochain voyage en France, j’aime bien l’émission D’Umani qui parviens de la Corse si le bon Dieu veux j’irai, là et en Provence… Ce soir c’est plein soleil, dimanche à la retraite ça fait pas une grosse différence encore un mois pour les soixante cinq ans. Je vais continuer a respecter les règles. Ça reste quand même mon journal du confinement… Je crois que pendant les vacances ça vas être dispendieux de voyager au Québec, les chambres d’hôtel seront probablement toutes réservées. Je vais attendre encore une couple d’années avant de partir. Un morceau de bravoure quoi que dans le milieu interlope criminel un morceau c’est une arme à feu de poing. Lâ côte Nord, Charlevoix, la Gaspésie, le bas du fleuve je sais que c’est très beau mais j’en garde de mauvais souvenirs de maladie mentale quoi que la dernière fois à Kamouraska c’étais bien j’étais pas seul… Ce soir j’écris pour moi, égoïstement même si je sais pas quoi. J’écoute ce qu’ils appellent de la musique Americana c’est tiré de différentes sources… J’ai longtemps été paralysé à l’idée d’aller dans le bois en pensant au film Delivrance. Je pense au bonhomme à la télé, il étais en Colombie Britannique et disait avoir pris conscience des flammes en sortant du Boston bar, bon! J’y vais à ma façon habituelle avec mon senti, je pourrais écrire un journal de l’Amérique et de l’alcool y’en a partout sans parler des drogues anti-douleur. Le soleil se couche encore quelques semaines et ce seras les vacances de la construction. Aujourd’hui c’est la fête des Américains, save their souls,  je vous ai tout raconté je trouve rien d’original, c’est toujours plus long à écrire qu’à lire… La marche des jeunes https://www.youtube.com/watch?v=AIrG7e_eumI je savais pas que c’étais de Charles Trenet je la dédie au cousin qui la chantait, ça va avec mon « amour » de la France bientôt le quatorze juillet ce seras la fête nationale de la France. Je me souviens d’un chanteur populaire qui disait que c’est une fête de bôf … Je sais plus le sommeil ma gagne, je pense aux partis politique de droite ça fait beaucoup de co-sanguin , les mélanges c’est toujours mieux. La nuit est tombée, la journée presque terminée. On s’est pas mal promenée dans le texte de ce soir, on voyage comme on peux…. Là j’écoute Bruce Springsteen, Letter to  you, c’est toujours touchant, je pense que c’est de la grande musique pop ce que l’Amérique fait de mieux https://www.youtube.com/watch?v=AQyLEz0qy-g  Voilà! Quelques mots encore avec difficulté, ce matin à la télé ils parlaient de la « condamnation » aux écrans pourtant c’est là-dessus que paraissent mes mots à leurs yeux ça me disqualifie comme poète. C’est la conclusion comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère !!!

Bernard


samedi 3 juillet 2021

lunaire

 

Bonsoir ! Bonjour ! Je vous écris de la nuit y’a qu’un quartier de lune et c’est nuageux. Le dernier match de l’équipe locale risque d’être demain. J’écoute le magnifique Gordon Lightfoot ça me rappelle la belle époque de CKGM la station de radio, y’a beaucoup de nostalgie dans cette musique., les thématiques sont très canadiennes … Y’avait toutes ces radios, j’essayait de rester à la mode en écoutant et en achetant les derniers succès les derniers hits…. Je pense à cette jeune fille qui habitais le quartier comment j’aurais aimé qu’elle sois ma petite amie … Je restais seul, et je suis toujours resté seul je me vendais des semblants d’amour ça fonctionnais jamais, je pense que j’étais pas un bon gars un bum de banlieue… Lightfoot des chansons romantiques sur l’itinérance les grands trains de l’ouest canadiens que les gars jumpaient. Ça me rappelle le survenant et le Colorado. Je me souviens plus à quoi je rêvais, je pense à tout ces gars avec qui je mangeais une soupe à la Labre House c’étais dans Griffintown. Je veux pas me diriger vers la même thématique que d’habitude, hier c’étais les cinquante ans du décès de Jim Morrisson le chanteur et poète c’étais et ça reste l’idole des toxicomanes c’est un peu idiot ils ont pas tous son génie. Voilà que j’y reviens malgré moi, je pense que c’est la solitude qui fait ça je peux pas vous raconter des histoires d’enfants. Je marchais tout les jours même quand il pleuvait c’étais long et pénible j’étais seul les amis étaient partis, je marchais je marchais désespéré et découragé, je trouvais pas de travail intéressant pas d’avenir et je suis rendus au soir de ma vie, je vous écris, toujours et toujours la même chose une habitude schizophrénique… Y’avait ces filles qui voulaient m’installer dans un appartement ouvert avec un poste comme à l’hôpital j’ai eu peur qu’elles me privent de ma liberté. J’aimais pas, j’ai jamais été capable d’aimer j’ai toujours été blesser. J’ai arrêté la sexualité ça fait trop mal c’est ce que je racontais à ces trois comédiennes la douleur la souffrance du sexe solitaire. En fait c’est ce qui fait de moi un homme qui essaie de dire sa sensibilité, la « poésie » c’est à mon tour d’en faire les grands poètes sont disparus, je compose en partant de ma vie une tentative de description … Cette nuit l’univers est fermé j’arrive pas à composer, je pense à cette préposée à l’embarquement qui m’a traité de tante de pédé je sais plus précisément c’étais pas flatteur. C’est stigmatisant une chose que je combat, Voilà! C’était encore mon journal du confinement j’ai pas besoin de vous l’écrire vous avez bien lu que c’étais mon senti. Une odeur de frites, je crois que c’est une chose que je vais bientôt faire me payer un burger et une frite. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là  !!! J’espère que vous avez apprécier à la prochaine je l’espère!!!

Bernard