vendredi 2 juillet 2021

laconique


 

Bonjour ! Bonsoir ! Ouais, je serai pas laconique y’en a tellement à dire sur le bonheur pourtant les médias nous parlent que de malheur d’églises saccagées moi je suis catholique mais je pratique pas. Je devrais pas le dire, j’essaye quand même d’avoir de la spiritualité dans ma vie. Il en reste presque plus d’églises pas besoin de les saccager, je pense pas que ce sont les grands chefs autochtones qui font ça parfois dans les meilleures tribus y’a quelques jeunes têtes brûlées quand même je les comprends mais pourquoi ont-ils attendus ce moment là ça va prendre des siècles avant de réparer tout ça, faut tendre l’oreille et écouter l’expression de la douleur amérindienne c’est difficile de placer des mots sur ces disparitions, entendre mais encore faut il comprendre le langage des premières nations. J’ai de la tristesse pour eux mais c’est pas suffisant parfois je cherche a prier la force supérieure, la leur pas la mienne. Je crois qu’on a essayé de leurs enlevé la culture de l’esprit… Je devrais me taire j’y connais rien. En ce moment dans l’ouest y’a des villages qui brûlent des communautés qui souffrent, elles ont tout perdus j’ai jamais vécu des années si difficiles. Elles ont toutes mes sympathies je sais pas ce que je pourrais faire la côte ouest c’est loin. C’est toujours mon journal du confinement, l’argent n’achète pas le pardon, tristesse tristesse tristesse quoi dire de plus, dans le grand nord québécois ils ont déjà beaucoup de problèmes un visage pâle comme moi peux pas y faire grand-chose, c’est une autre culture que je devrais comprendre. Y’a toujours mon senti, souvenir d’un cour pendant un passage au Collège d’éducation générale et professionnel. Une jeune fille du nord du Québec avait pas compris mon humour à propos des souvenirs en forme de poupées amérindiennes made in china … Je l’avais blessé, je répéterai plus ça. Dans mon monde de santé mentale on trouve pas beaucoup de gens des premières nations, je crois qu’ils sont pour plusieurs dans l’itinérance. Je pense à ces beaux objets que sont les décrocheurs de rêves, y’a des gens qui disaient qu’on devrais être gouverné par les premières nations … Attention aux excès. Parfois dans la psychose je me sentais mis à l’écart comme un autochtone, différent parce que j’entendais le grand esprit. C’est tout ce que je connais à propos de cette culture. Je veux surtout pas être red neck… Ma prise de conscience amérindienne elle est strictement urbaine, le bois, la forêt la nature je connais pas ça. Ils pourraient m’en montrer beaucoup. Je sortirai pas tout les clichées, y’a de grands et de grandes artistes et professionnels amérindiens, j’essaye juste d’être correct d’avoir du respect. Voilà ce que j’avais à écrire quelques mots un peu simple, je termine à ma manière habituelle. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Encore un peu et on y est, À la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!! À bientôt !!! Ciao

Bernard

jeudi 1 juillet 2021

flammes


 

Bonsoir ! Bonjour ! Juillet déjà, j’avance lentement vers ma soixante cinquième années c’est au mois d’août. Ce soir j’ai mangé des sandwichs au saucisson de bologne, au baloney! Souvenir de cette époque dans ma jeunesse où je crevais de faim c’étais difficile, y’avait rien dans le frigidaire parfois la matriarche me donnait quelques conserves quelques boites en prenant de l’âge ça va mieux. Je respecte les banques alimentaires mon revenus me permet de bien manger. Dans le journal y’a un article sur le nouvel abri pour les itinérants à l’hôtel Dieu ça reste quand même un hôpital, on boucle la boucle je crois que certains voudront pas y mettre les pieds. Je me souviens avant la banque alimentaire fallait faire plusieurs paroisses avant qu’on nous donne de la bouffe. Je sais pas pourquoi je pense aux paumés des Foufounes Électriques le tout Montréal pseudo underground se retrouvait là, la musique au boutte. J’y suis pas allé souvent je voulais pas avoir de trouble de toute façon la bière était le même prix qu’ailleurs. Parfois je marchais d’un bar à l’autre, d’un bord à l’autre rue Saint-Laurent. Je me rappelle de James McDonald et de son band qui chantait dans une langue étrange dans un club. J’allais là parce qu’on me foutait la paix. À un moment c’était hot la rue Saint-Laurent mais en vieillissant c’est moins important. Parfois j’étais irrité par la façon de s’exprimer de certains aujourd’hui je réalise que ça leurs appartiens chacun a son expression … J’entends encore la musique rock qui jouait dans le bar que je fréquentais. J’arrivais tôt et je buvais jusqu’à plus soif vers vingt deux heure ça commençait à arriver, à s’épivarder sur la piste de danse, les femmes aimaient bien danser. Les employés je sais pas pourquoi me surnommait le paquet … Il reste plus rien de tout ça, je sais pas où vont ceux qui passent et boivent la nuit dehors… Deux nuits plus tard plus un rond et la maladie qui s’impose jusqu’à en mourir. Ça prend du temps c’est long avant de s’avouer alcoolique. Voilà je me débat encore dans la même thématique. J’ai quand même arrêté de fréquenter les bas-fond rue Saint-Laurent je vais à la librairie Gallimard y’a plus de grands esprits là que dans tout les bars de la rue. C’est long avant de mettre de l’ordre dans sa tête parfois j’y arrive pas, je recule. C’est terrible d’être resté aussi marqué par cette mauvaise façon de vivre, ça fait déjà plus de vingt-huit ans. Je sais vraiment pas comment terminer ce soir, je buvais à m’en rendre malade physiquement et psychiquement. J’étais brisé merci mon Dieu j’ai arrêté, c’était encore mon journal du confinement mon senti. Je termine avec une pensée pour mon bôf dont c’étais l’anniversaire. Voilà c’est la conclusion quelques mots encore n’abandonnez pas. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! C’est l’habitude encore à la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!! À bientôt !!! Ciao !!!

Bernard

 

mercredi 30 juin 2021

Match2

 

Bonsoir ! Bonjour ! Ce soir c’est le deuxième match de finale de l’équipe locale. La température se rafraichis j’en profite pour dire merci à ma lectrice privilégié pour ses commentaires. La télé est sur l’émission d’avant match. Ce matin je suis allé à Ville D’Anjou à mon retour dans l’autobus j’avais l’impression d’être en voyage en pays étranger. Je pense qu’il y avait beaucoup de femmes de ménage de filles au pair qui s’en allait travailler. Je termine l’OBS de la semaine, me suis acheté quelques romans. Semble qu’il faut encourager les jeunes garçons à lire parait que ça ouvre des portes, moi j’ai toujours aimé ça ça m’a pas mené très loin sinon écrire comme un travailleur retraité. Le drapeau est en berne moi j’ai jamais fêté cette journée. Ça aussi c’est une occasion, un congé pour aller à la pêche. Les spectateurs sont admis au centre Bell pour visionner le match… Je vais à mon senti, je me rafraichis j’ai les pieds nus, ce matin je suis allé chez Archambault passé devant la place Gamelin. Je crois qu’ils apprécient pas beaucoup les histoires de toxicomanes. À la télé ils disaient qu’on voyageais pas beaucoup dans les années quatre-vingt, moi j’étais trop occupé par la folie, la psychose mes allers retour je les faisait entre chez moi où que ce soit et l’hôpital. Parfois avec la pandémie, la canicule et tout les drames, j’ai une impression de fin du monde d’apocalypse ça me fait peur à me couper de toute communication. J’arrive pas à écrire crû vous raconter des histoires de Noël en plein mois de juillet, bientôt ce seras le Noël du campeur avec les mesures de confinement je crois pas que ça va fêter beaucoup. Si au moins je réussissais a avoir une écriture kitch, naïve c’est difficile. J’arrive pas à écrire comme un enfant de deuxième année. J’en ai trop dans la tête tout est mélangé mais ne sort pas brut. La poésie me ronge ma rage l’outrage, faites vous en pas ce seras pas pornographique, j’arriverais pas à scripter des publicités, semble que les cinéastes financent leurs films avec ça… De ce temps là c’est le Cirque du Soleil qui reviens à Las Vegas, j’ai des connaissances qui se vantait de travailler pour eux, des créatifs pourtant je vois ça comme une grosse shop. Y’avait un ami qui voulais qu’on écrive quelque chose ensemble mais il voulait pas partir de son senti, je crois que dans son enfance de pensionnaire on avait abusé de lui, moi je pars toujours de mes blessures. J’ai pas de souvenirs, je crois que c’est ce que ça fait les abus on se souviens pas, trop de temps est passé. Je sais pas si je devrais vous laisser lire ça, la schizophrénie y’a pas vraiment de réponse pour ça. Je me cherchais dans les bars mais je me trouvais jamais. Voilà! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!!

Bernard

 

 


mardi 29 juin 2021

Solidaire

 

Bonsoir ! Bonjour ! Ce soir il fait plus frais on est bien. Je suis solidaire de toutes les personnes agées qui trouvent pas à se mettre au frais. Je sais pas si à soixante quatre ans bientôt soixante cinq je dois me considérer comme une personne agée. Y’a une compagnie qui a achetée deux où trois cent avions des Airbus et des Boeing. Les départs vont être plus fréquent dans un an, j’ai hate. J’espère que tout va être rétablis. Je deviens joyeux quand je vois des avions à la télévision … Je m’ennuie de l’aéroport, j’irai bientôt. Dans deux mois j’arrive à ma pension de vieillesse. J’écris ça ici et je sais très bien qu’il y à des fraudeurs qui vont essayer d’en profiter. Y’a un gars à la télévision qui racontais que soixante cinq ans c’était trop vieux pour prendre sa pension qu’on décédais dans pas long, un où deux ans… J’espère vivre encore un bon moment ne serait ce que pour partir à nouveau. C’est toujours mon journal du confinement même si c’est permis de sortir je reste chez moi, j’y vais encore avec mon senti dans ce que j’écris y’a toujours l’espoir de sortir de l’ombre, je finirai un peu avant de mourir, je pense au « poètes vos papiers ! » de Léo Ferré, parfois je me demande à quoi ça rime cette écriture… Tout à l’heure y’avait un parfum de Pernod de pastis où de réglisse maintenant ça sent le steak grillé … Y’a personne qui a raconté les nuits des années quatre vingt dix j’étais que le public qui buvais et qu’on tournais en ridicule. Je suis content d’être sortie de ces nuits folles, ce soir je crois que les bars sont ouverts mais y’a personne avec qui discuter de toute façon j’entrais dans un pour aller dans un autre.  Je pense à ces ateliers d’écriture de la fédération des loisirs littéraires du Québec. Le mot loisir qui rime avec plaisir c’est pas toujours ça avec le blog je crois que j’amène ça à un autre niveau. Ça compte pas que j’écrive, les femmes disaient que tout le monde peut faire ça … Quoi que c’est sur la durée, ne pas abandonner tout de suite. Parfois je me dis que l’écriture c’est pour les efféminés pourtant y’a de grands écrivains virils n’empêche quelques un ont mis fin à leurs jours, je sais pas trop si c’est pour cette raison là  … Bon! Je vais m’arracher des mots de la tête et du cœur, dans mes virées nocturnes je me plaisait à dire que je travaillait dans la construction alors que c’étais pas vrai du tout j’étais journalier dans des maisons où on changeais les portes et les fenêtres, je ramassais les restes pour les mettre au chemin. Ma vie c’était trente six métiers trente six misères. Voilà ! C’est la conclusion l’épilogue, comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Encore un peu, à la prochaine je l’espère !!! Ciao

Bernard

 


lundi 28 juin 2021

Fifrelin


 

Bonjour ! Bonsoir ! Fait chaud ! Le Québec est au vert. Je vois les gens qui vont courir pour être en groupe. Moi je prends mon temps en milieu de semaine j’irai à la librairie, y’a trois titres que je veux me procurer. Cette semaine c’est l’anniversaire d’un grand artiste, multidisciplinaire je dirais, de ma famille. À ses côtés je ne suis qu’un fifrelin. Je deviens triste en essayant d’écrire de mon mieux, j’essais de vous «nourrir » de mes mots abandonnez pas. J’aimerais bien vous écrire mes passages en psychiatrie à l’hôpital, comment c’est long attendre la consultation avec le psychiatre pour sortir aussi vite d’avoir trop peur qu’on me garde là le reste de mes jours. Parfois y’avait des stagiaires qui s’occupaient de moi mais j’y croyais pas je croyais que j’allais rester comme ça, psychose à répétition et suicidaire. Y’avait beaucoup de romance dans mes hospitalisations tout ces grands écrivains qui ont eux affaire à la psychiatrie, à la maladie mentale. J’arrivais pas à étudier, je me faisait hospitalisé beaucoup de difficulté à « m’intégrer » n’empêche je rêve encore de partir après avoir perdus tant de temps dans les bistros, les cafés, les tavernes et les brasseries. Ça a pris du temps avant que je me fasse un chez moi. La liberté c’est toujours l’affaire du passeport et des deux vaccins. Y’a une journée férié mais je suis bien d’accord avec ceux qui suspendent les célébrations après la découverte de ces charniers remplis de pauvres enfants. Ça me fait mal d’écrire ça, rien que d’y pensés … Je suis à bout de prière ceux qui voulaient que je prie ont commis des actes barbares. Je reviens à mon senti à mon état de solitaire. À cette douleur pour les incompris, j’écoute ce que ça dis. Je répète j’aimerais bien avoir une écriture plus brute plus crue, écrire comme un simple d’esprit quoi que c’est peut-être ça … Les mots avancent reculent sans désir autre que de rester là avec un vocabulaire de sourd et muet , à rêvé de choses simples… L’école est finie, les enfants vont s’amuser, je pense à ceux qui sont disparus peut-être que l’été ils retournaient en forêt avec leurs familles. Petit gars on a tous joué aux cow-boys et aux indiens, on se faisait des arcs et des flèches moi j’ai pas joué assez longtemps. Parfois on portais des plumes de poules et on se maquillait pour faire plus vrai. Je veux pas insulter personne ces enfants ils avaient le droit de vivre. Je suis pas fier de savoir que mon peuple en a colonisé un autre. Cette histoire là elle est pas terminée, quelques mots encore et j’ai finis de vous déranger. C’est la chute l’épilogue la conclusion toujours aussi difficile. J’espère que ça vous plait, le précédent je crois pas. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Voilà ça y est , à la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!! À bientôt !!! Ciao

Bernard

dimanche 27 juin 2021

Bille


Bonsoir ! Bonjour ! J’ai rêvé à l’Europe avec toujours la même difficulté d’écriture. Je m’assois regarde l’écran et réfléchis. Ce matin j’ai regardé la grande librairie un peu macabre qui traitais de la mort, on l’attend celle là le plus tard possible. Ça démarre mal comme propos c’est souvent final, j’essais de pas trop y pensé, les vaccins me gardent loin de la maladie … Dans le journal de ce matin ils parlaient de départ en voyage mais oui il est trop tôt. Je continu ma lecture de l’OBS de la semaine des propos intéressant, la difficulté de comprendre la politique française. J’ai l’impression d’un magasine avec beaucoup à lire pour des gens hospitalisés … Je regarde soixante quatre minutes le monde en français, la façon de traiter la nouvelle. Je crois qu’on gagne notre bataille contre le virus, demain on vire au vert tout est ouvert. Bientôt le premier juillet c’est les déménagements, je suis heureux j’ai pas à bouger… Lentement j’arrive à l’âge de la retraite. Je sais il faut prendre notre temps mais j’ai hâte que se réunisse la matriarche, la fratrie et les enfants on a beau dire mais la présence parfois me manque. Demain y’a un match de finale de l’équipe locale, la ville va être vivante, j’arrive pas à faire œuvre d’imagination, inventé l’action de la place Gamelin et tout ses traffics, la recherche d’un coin pour s’intoxiquer après avoir acheté et parfois emprunté les substances toxiques, comment dire le malaise du manque… Souvenir de ce gars chez qui j’habitais j’étais pas honnête c’est y’a plus de trente ans, j’étais chambreur c’étais difficile, le pusher me poursuivais. Comment inventer des sentiments aux hobos qui occupent la place c’est justement ça qu’ils essayent de combattre d’endormir, je sais que parfois ils coupent la dope pour que ce sois plus payant et s’en procurer d’autre. On reviens au début du texte avec la mort, un gramme où deux de mort debout, l’injection le shoot avec de l’eau sale parce qu’on ne peut aller plus loin… Comment faire pour qu’ils retrouvent un peu de dignité. Je vous écris et j’ai peur d’y retourner ce serait me tuer. Parfois les gars volent un peu n’importe quoi, des vélos et tout ce qui traine sur la rue… Y’a aussi les boulimiques anorexiques qui se prostituent, elles « travaillent » pour deux de toute façon les clients c’est de la merde, heureusement je ne fréquente plus ce monde là. Je veux pas me regarder mourir, je suis désolé de vous écrire encore à propos de ce monde là de toute façon place Gamelin on peut pas être tranquille chacun essais d’y faire sa petite négoce. Je ne fréquente plus la nuit, je reste seul et je prie. J’ai toujours en tête que vous écrire ne mène à rien que je ne suis pas un vrai écrivain. Voilà !!! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Quelques mots encore, à la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!!

Bernard 

samedi 26 juin 2021

Sweater

 

Bonsoir ! Bonjour ! Soirée du samedi, je crois que pour les amateurs de restaurants les gastronomes c’est possible à Montréal. J’y vais avec mon senti c’est difficile. J’irai pas me mettre dans le trouble pour avoir quelque chose a raconter. Souvenir d’une soirée où on buvais des B-52 à en perdre la tête le serveur voulais plus nous servir on a changé de bar. Il pleut c’est un peu le ciel de Londres à là télé y’avait un reportage sur les zeppelin ça m’a rappelé Led Zeppelin ce groupe rock anglais qui a marqué la culture populaire à l’époque ils ont ramené le blues en avant avec leurs versions heavy bien sentis. En ce moment je suis encore dans la lecture de l’OBS de la semaine c’est facile d’écrire je vais essayer de dire. J’ai pris en note trois titres de livres que je veux lire …

Au bout du calvaire

Il y a la mer

Ses mystères

L’âge du calcaire

La terre

L’enfer

Quoi faire de ce ministère

De pasteur sans chaire

Sans prières

Mots secondaires

Deuxième ber

D’un bébé à sa mère

 

Voilà! J’arrive qu’à ça, on disait de lui il écrivait bien mais il est devenu fou. Toujours la même maudite histoire de ce qui est normal où pas. À soir je sais vraiment pas quoi vous écrire, y’avait ce « copain » qui arrivait chez moi à l’impromptu on partais tard dans la nuit sur la brosse, le lendemain il étais toujours là chez moi pendant que j’étais brisé défait. Heureusement j’avais les livres comme refuge, la lecture c’étais comme un baume sur ma plaie. Pendant toutes ces années j’ai croisé de vrais artistes moi j’arrivais à rien plus tard je me suis rétablis et j’aimais assez l’art pour aller voir le Guernica de Picasso en Espagne.

 

Mon chum

Avait renié Rome

En buvant du rhum

Pauvre pomme

D’une tonne

 

Toujours les mêmes bêtises pourtant y’a que ça que je sais faire. Je peux pas garder en moi tout ce que j’ai lu je vais exploser. Cette écriture c’est des affaires de petit vieux, à vingt ans on est occupé avec les femmes on écris pas. Pourtant elles ne me manquent pas c’étais tellement douloureux cet affect déglingué … Y’a un copain qui disait que mon écriture lui rappelait Bukowsky, un autre disait que c’étais vraiment une écriture qui évoque Hochelaga-Maisonneuve Merci! Mais oui ce soir je m’arrache les mots, les craches de l’autre bord de ma face il faut que tu sache que ma race est pas de pinasse ni de vinasse qu’est-ce que tu veux que je fasse à la place me garrocher sur une terrasse pour une pouffiasse. Voilà ! J’ai presque terminé pour ce soir, j’espère que vous apprécier, c’est la chute la conclusion, je ne sais plus quoi vous écrire. J’y arrive j’y arrive, comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Vous y êtes quelques mots encore, à la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!! Ciao

Bernard