lundi 14 juin 2021

Souper

 

Bonjour ! Bonsoir ! Viens de finir de souper, saucisse porc bœuf, brocoli, chou-fleur, carotte, pomme de terre pour les amateurs c’était bon. J’ai fermé la télé c’est une gang d’énervé, ce soir je vais regarder le match de demie-finale de l’équipe locale. C’est toujours mon journal du confinement, hier j’ai terminé le visionnement de la deuxième partie de la série Yellowstone comme je disait à mon beauf c’est violent mais touchant avec un excellent Kevin Costner. Bon! C’est assez j’y vais avec mon senti. Pour le courrier c’est la même histoire j’attends impatient. Je lis l’OBS en rêvant de la France comme un retraité. Je pense aux enfants qui traversent la méditerranée malheureusement plusieurs vont se noyer, quand on lis ça on est heureux de vivre ici. Je sais pas pourquoi je pense à Trieste à la mer Baltique là aussi c’est beau parfois je confonds les mers là-bas… C’est difficile d’écrire ses sentiments de vieux bonhomme. J’ai invité quelqu’un a aller prendre un café je sais plus quand j’attends ma deuxième dose de vaccin. J’ai quand même hâte de prendre l’avion, l’ami m’a entendus à la radio hier, il a aimé ça. Je vous écris et ça me met dans l’état d’esprit du départ pourtant … Les bars seront ouvert je suis content j’ai plus d’affaire là. L’alcool me rend plus fou. Je pense à ce foyer pour jeune malade mental à Trieste, on avait fait une chorale spontanée je sais pas si ça avait aidé, je crois que ça l’avais apaisée mais je vous l’ai déjà écris cette histoire. Je retourne à mon senti j’essais de connecter ma tête sur mes viscères, m’arracher les tripes pour exprimer l’indicible, c’est difficile de trouver le silence yogique, c’est toujours le vacarme cérébral comment pourquoi? Y’a pas de réponses … Le climatiseur fonctionne il fait plus frais. Les grands écrivains expriment la douleur et le mal à travers des personnages qu’ils mettent en scène dans des univers glauque, on lis et ça fait mal comme dans une trappe à rat, ça pince et on pleure, c’est absurde tout ça mon nom c’est quand même pas celui de Breton le surréaliste. Je vous l’ai déjà écris je suis de l’école du crû. La semaine passée j’écoutais parler un artiste qui disait que si l’art ne fait pas de mal ne provoque pas de réaction c’est pas de l’art. Je crois qu’il a raison mais c’est difficile d’écrire quelque chose « d’émouvant » Ce que j’écris c’est toujours frette comme un cube de glâce qui sort du frigidaire on mange et lis crû mais oui de l’écriture comme un tartare pimenté qui là aussi fait pleurer. Je dirais crû jusqu’à pourri du genre à être mangé dans un camp de concentration pensez pas au lait caillé y’en a pas le fromage c’est trop riche. Bon appétit !!! Comme toujours c’est la conclusion et je vous remercie d’avoir lu jusque là !!! À la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!! Ciao

Bernard  


dimanche 13 juin 2021

Casting

 

Bonjour ! Bonsoir ! J’aimerais écrire un scénario de film, je viens de regarder 64’le monde en français, une entrevue avec un cinéaste et des acteurs. Je me suis rendu compte que ça aide de pas avoir l’air d’un pichou. J’ai joué dans ça  https://billets.tnm.qc.ca/tnm/#/bbd56890-7940-4eff-9589-da28a4374b44/shop/search?fac=TNM&locale=fr-CA&skin=tnm . Je suis trop vieux et incapable de mémoriser un texte n’en reste pas moins que c’est toujours mon journal du confinement. Pour ceux où celles qui comme ma lectrice privilégié de Gatineau se demandent ce qu’est le Paradise, c’est une grosse boîte de nuit un gros club dans un film culte, Phantom of the Paradise … Je voudrais bien me mettre en scène mais un type qui écris son blog et lis à tout les jours c’est pas très cinématographique, faut écrire beaucoup et le senti ça fait pas un bon film. Dans la production cinéma y’a beaucoup de pouvoir. Y’a plus de vingt cinq ans j’ai trainé dans différents studios vidéo j’ai bien vue que c’étais pas ma place. Je faisait une fixation sur les caméras Bétacam, ça existe plus. Je sais pas si y’a encore des histoires de sexe ? Aujourd’hui je suis détaché de tout ça, je le répète j’écris c’est une autre sorte de folie. Je tente sans y réussir la poésie y’a des poètes qui « étranglent le soleil » moi j’étouffe dans une corbeille. Écoutez bientôt je serai retraité, je demande encore pardon à tout ceux que j’ai blessé… J’ai beaucoup aimé l’édition d’aujourd’hui de LaPresse+ beaucoup de conseils de lecture j’ai retenus deux livres et j’ai appris qu’il y avait une nouvelle librairie, Le renard perché, rue Ontario. J’irai faire un tour. C’est dimanche, les enfants jouent dans l’eau, je joue avec mon clavier seul, je regarde pas les actualités. J’ai quand même hâte de voir les enfants, la super-maman je sais pas si ça va être possible. Le week-end la solitude pèse lourd. Je suis pas Arrabal je peut pas faire jouer des freaks. Je vous écris dans l’après midi ça change la tonalité, c’est difficile de trouver une idée pour un scénario, tout ce qui me viens en tête c’est de l’auto-stigmatisation. J’aimerais bien écrire quelque chose qui me fasse grandir mon affaire c’est plutôt diminutif. Je pense au Théâtre du Nouveau Monde comment j’aime ça c’est trop simple… Je reviens à mon senti à mon monde intérieur comment on arrive pas à filmer une âme ça demande une traduction une transition. Ces jours ci j’écoute beaucoup, balado, télé, radio la facture de tout ça comment ça été écris. C’est probablement un échec comme tout ce que je fait « d’artistique » je sais pas pourquoi je m’entête. Je vais quand même essayer de terminer le « concept » même si je sais pas trop ce que c’est … Je suis rendu à la chute, j’aurai survécu cet après-midi, c’est l’épilogue comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Vous y êtes presque, je souhaite ne pas vous avoir trop embêté !!! À la prochaine je l’espère !!!

Bernard


samedi 12 juin 2021

Sonné

 

Bonsoir ! Bonjour ! C’est samedi soir, j’ai jamais été du côté des mods mais j’ai toujours adoré ce film https://www.youtube.com/watch?v=op5FxEs1aR0  y’a aussi le phantom of the paradise https://www.bing.com/videos/search?q=youtube+phantom+of+the+paradise&view=detail&mid=673795E6A9D129AAE82E673795E6A9D129AAE82E&FORM=VIRE Un film culte, on descendait à Montréal au cinéma de ville Saint-Laurent pour le regarder. Je ne sais combien de fois c’est de la grande dramaturgie inspiré de Faust je crois. D’une certaine façon j’ai longtemps habité le Paradise je connaissais Swan le gars derrière la console qui faisait d’un bon à rien une star. Au paradise on aimait bien s’asseoir dans le jubé au fond pour voir la scène dans son  ensemble. Sur scène Y’avait des jeunes filles qui me faisait rêver mais à qui j’ai jamais parlé, Priscilla une voix en  or méconnue très touchante https://www.youtube.com/watch?v=qjL2ue2KE-s  Je reviens à mon journal du confinement c’étais y’a longtemps, j’ai fait enregistré une artiste ça rien donné on en entends plus parlé ses thématiques, l’aide sociale entre autre une jolie métaphore mais on y est plus on a tous vieillis et on ne se sent plus opprimé. Dans mon cheminement j’ai beaucoup pleuré je sais pas si ça m’a aidé. Le phantom il a été défiguré moi j’e l’ai été à l’âge de treize quatorze ans, les chirurgiens ont fait une bonne job. Si je reviens à la pandémie elle a tout rendu plus lourd. Dans le temps au club me semble que c’étais donc long avant que le show commence le samedi. Ça commençais à dix heure ils faisaient trois set devant la salle à moitié vide du samedi, j’y ai perdus tellement de temps. Mais non, je sais plus où j’ai entendu ça une façon d’expliquer l’être humain, je crois que c’est dans l’OBS, j’aimerais bien qu’on devienne meilleur mais je crois que c’est impossible pourtant la souffrance fait grandir. On a le temps de crever on y seras pas au grand soir. La dernière fois que je suis allé au bar y’avait ce type aux cheveux blanc en queue de pie et aux gants blanc entre le majordome et le consul de je ne sais quel pays … Je me souviens de samedi soir où on regardait le hockey et après Austin city limits si on étais chanceux c’était un show de Stevie Ray Vaughn quand c’étais finis on sortais quelques heures parfois c’était la tournée des bars et des after-hour. Je sais pas comment je faisait pour mener une vie pareille épuisé à la psychose. Les autorités parlent d’ouverture des bars, j’ai toujours cru que c’était le monde interlope qui menait ça … Pour aujourd’hui je n’y vais pas, je n’y vais plus. Quelques mots encore, les amis sont partis décédé, parfois je me sens abandonné. Je termine les paupières tombent, j’ai sommeil. C’est tout pour ce soir, demain matin à la télé y’a la grande librairie c’est intéressant pour conclure je vous souhaite du bonheur et comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!! À bientôt !!

Bernard


vendredi 11 juin 2021

Chemineaux

 





Bonjour ! Bonsoir ! Ça s’intitule chemineaux en souvenir de tout ces trains que j’ai pris, ici y’avait ceux de Montréal à Ottawa avec un bar où je passais les deux heures du voyage. Y’a aussi le train de Milan à Trieste en première classe avec le service à nos places. J’ai pas oublié le train à grande vitesse entre Paris et Lille sympathique. Une bonne discussion avec mon voisin Kabyle chauffeur d’autobus.  Malheureusement y’a plus de train transcontinental entre Montréal et Vancouver. J’aimerais bien prendre le transsibérien … J’habite tout près d’une gare de triage et je me souviens bien des gares de Lille et de Milan. C’est toujours mon journal du confinement j’essais de me diriger vers ces mondes ferroviaires où on vois bien la campagne. En Europe c’est un moyen de transport de prédilection lors d’un voyage avec les gens de l’institut la directrice croyais s’être fait voler son portefeuille heureusement ça pas été long elle l’a retrouvé. Comme jouet j’aimais bien le train électrique quand je voyage je vais au wagon bar où j’essaye de discuter avec les gens mais je ne réussis pas. Chacun est dans sa bulle, j’aime bien regarder défiler le paysage … Dans le temps de la crise de vingt-neuf et de Woody Guthrie les gars jumpait les wagons d’une ville à l’autre pour trouver du travail. Parfois ils couchaient le long de la track et se faisaient un feu. Chacun y allait d’une histoire de son coin de pays, home comme ils disaient. Y’a le poète qui demandait sur quel bord s’en va la track. Dans mon adolescence parfois on défiait le train et on traversait le pont des chars à pieds. Le temps de la crise ça me rappelle les travailleurs agricoles de « Des souris et des hommes » c’est beau et touchant à en pleurer. Quand j’allais à Ottawa à l’époque y’avait un restaurant où je prenais une bière avant de partir, c’était une joie de rendre visite à ma sœur et sa famille. Parfois j’y allais avec les copains on s’assoyait au bar et on buvait. Tout ça n’existe plus, le train est sec… Le train c’est une belle histoire mais maintenant en Amérique c’est rare on préfère la voiture et l’avion. J’allais à Deux-Montagnes sur la couronne nord chez mon lecteur collectionneur de voitures mais là aussi y’a plus de train. Souvenir d’un chemineau que j’ai rencontré, un costaud il est devenus schizophrène, c’est malheureux. Je suis pas beaucoup dans mon senti, je rêve au cliquetis du train, les banquettes sont plus confortables qu’en avion. Je pense qu’il est arrivé quelquefois où on transportait nos vélos dans le wagon à bagage, on roulais d’Ottawa à Hull. Caoutchouc sur asphalte ça roule, je sais pas où on répare ces diesel. Je termine là-dessus c’est la conclusion, l’épilogue, la chute comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Le train siffle on arrête. À la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!! À bientôt !!! Ciao

Bernard


jeudi 10 juin 2021

Novella


 

Bonsoir ! Bonjour ! Le deuxième vaccin s’en viens. Les naturistes végan sont tout heureux comme des idiots de ne pas s’être fait vacciner moi je les enverrais aux Indes où ils manquent de tout et viendrais sans souci se faire vacciner ici. C’est mon journal du confinement  un peu plus polémique, l’ami de Brossard parlait de Libarrrté!!! Ce covid-19 ça nous auras gâché la vie. Dans le parc une gang joue au soccer l’autre au football. Le roman que je viens de lire exprime bien la solitude de l’écrivain bipolaire, l’hospitalisation à répétition. Les sentiments bousculés, les départs répétés. Je pense à ce qui me manque une famille, je suis trop vieux pour les relations avec des jeunes dames comme dans la chanson il suffirait de presque rien https://www.bing.com/videos/search?q=il+suffirait+de+presque+rien&view=detail&mid=F5FBB44503E347CB0921F5FBB44503E347CB0921&FORM=VIRE  Je reviens avec mon senti, dites moi dites moi qui viendras par ici dormir dans mon lit m’embrasser jusqu’à minuit quand je me serai blottis dans ses bras de petite amie. On a beau écrire la nuit c’est toujours l’amour pourtant je n’ai plus de coup de foudre mon affect s’est apaisé. Ça sert à rien de singer les grands écrivains, je dois y aller avec ma voix mon vocabulaire… Je sais quelques un n’apprécient pas les beaux mots et crient à la fin des relations épistolaires. Moi j’y crois à ce que j’écris à la place toute petite que ça prend dans l’univers des lettres, les mots sont encore et toujours ma blessure, l’expression douloureuse de mon être. Le temps passe et dans les médias on lui donne des airs de fin du monde pourtant malgré tout il faut vivre chercher le bien chercher le mieux… Je sais pas pourquoi les grands désespérés font d’honnêtes écrivains. Je voulais tant écrire avec le vent mais j’ai pas su parler du dedans du crû pourtant pourtant dites moi mon du, tout ça pour quelques écus je me retrouverai à la rue. Pas une maudite cenne c’est assez pour me faire de la peine avant d’aller voir la Seine pour après monter sur la scène. Ouais! Je vais essayer d’écrire des phrases qui ont de l’allures qui vous parlent à vous et à vous… J’aimerais dont ça avoir du vocabulaire, le mot précis pour l’émotion, la douleur s’est apaisée je sais quand même pas dans quelle clefs m’accorder. Souvenir de la maison de chambres qui reviens souvent même après presque trente ans. Je pense à une voisine qui a cessé de se faire soigner quand son psychiatre a pris sa retraite je sais pas ce qu’elle est devenue. Elle m’avait offert un recueil de poèmes choisis de Verlaine le premier étant d’une obscurité exotique. Je sais qu’elle faisait des collages qu’est devenue son œuvre ? Parfum de frites et de pizza livrées du restaurant, j’ai quand même bien mangé ce soir … Les jours s’étirent, quelques mots encore pour conclure. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! On y arrive à la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!!

Bernard

mercredi 9 juin 2021

Prix

 

Bonsoir ! Bonjour ! Aujourd’hui j’ai fait la sieste, ai rêvé que j’étais avec de vieux copains. C’étais l’hiver la saison des prix littéraire que j’avais raté, on croyais pas à mon récit la position dans laquelle j’étais. Nous étions trois dans les toilette de l’école on se félicitais de ne pas boire d’alcool. Un de nous portais un manteau aux couleurs de l’équipe de hockey locale. J’y croyais pas, j’y croyais plus à la littérature. Je me suis réveillé en pensant au collègue décédé c’était un professeur de littérature qui voyais plus que de l’écriture… Une confidence difficile ce midi je vais chez le denturologue … Ai terminé la lecture d’un roman pas très bon, il est passé minuit je pense aux relations troubles que les auteurs ont avec leurs éditeurs moi j’en ai pas d’éditeur et de relations. Y’a toute la difficulté d’écrire quand on ne peut lire la recherche de ce qui nous inspire. Ça reste encore et toujours mon journal du confinement je garde la main. Ai lavé la vaisselle je sais pas pourquoi cette semaine je pensais au quartier Limoilou à Québec peut être à cause de lis moi Loup ? Bon ! Les terrasses sont ouvertes les amis sont heureux ils y vont, j’ai longtemps fait ça flâné en prenant une bière en regardant les passants aujourd’hui ça m’intéresse plus si je recommençais ce serais à Paris. Y’avait ce camarade de la bouteille qui me suivait un moment, je buvais trop lui arrêtais avant d’être trop ivre. C’est vraiment la nuit, le climatiseur fonctionne, souvenir de cette terrasse sur Beaubien pas loin de Frontenac je croyais que je l’avais l’affaire j’étais idiot je mangeais du gâteau. Y’avait pas de femme qui voulait me suivre dans mes habitudes d’alcoolique aujourd’hui je comprends un petit peu. Souvenir de ce lourd sentiment de solitude que je « soignais » avec de l’alcool la folie s’emparais de moi. L’alcool c’est le maitre de plusieurs drames, le regret c’est pas assez faut arrêter. Tout ça c’est écris d’un jet, les gérants de débit de boisson savaient que je voulais écrire ils essayaient de m’expliquer la différence entre un lapsus et une métaphore ça m’a pris du temps avant de comprendre. Y’a de l’eau qui a coulé sous les ponts, je crois être un écrivain honnête … La nuit c’est toujours tranquille et de cette nuit j’aurai tiré le jour. Quelques mots encore et j’ai presque terminé, j’ai coupé ma routine de télé ça fait du bien. J’emprunte plus mes rêves j’en fait de vrai. Je gagnerai pas de prix mais j’écris. J’espère que ça vous plait où au moins que vous avez une réaction. Je pense à vous tous. C’est terminé je vais me coucher comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Continuez encore un peu vous y êtes presque c’est l’épilogue, la conclusion j’aimerais vous voir à une prochaine je l’espère !!! Cette nuit je termine avec beaucoup de difficulté !!! Au revoir !!! Ciao

Bernard


mardi 8 juin 2021

Éclairage


Bonsoir ! Bonjour ! Ce matin un très agréable atelier d’écriture qui m’a permis d’apprendre des choses sur un camarade. Je serai moins dur, j’ai déjà sommeil. Hier l’équipe locale a gagné le match et cette série ils vont être arrêté un bon moment j’espère que ça ne les refroidiras pas. La semaine prochaine on passe au jaune c’est bien mais aux actualités ils commencent déjà à parler d’une quatrième vague. C’est toujours mon journal du confinement mes activités sont terminées ça devrais reprendre en aout. Avec deux vaccins je devrais pouvoir partir en voyage mais ce seras pour l’an prochain, accompagné j’espère… J’ai vraiment la piqure des voyages en avion, tout à coup j’ai un déjà vu dans L’OBS ils parlent de celui de Crosby, Stills, Nash & Young quatre génie de l’harmonie vocale https://www.youtube.com/playlist?list=PLXRKTcRs-Xs4z3fKUMm4Kdyu6KSpTdhLC  Je pense à la compagnie Columbia qui vendait pour presque rien des douzaines de disques moi j’avais préféré Time/Life et ses livres d’art. À cette époque je commençais à sortir de la maison paternelle je visitais les copains dans leur sous-sol à partir de là la vie m’est apparue comme une épreuve. Y’a longtemps déjà des soir comme ceux là je partais de Rosemont pour me rendre en auto-stop à Terrebonne c’était surtout pour boire avec ceux que je croyais mes amis. Je sais pas si vous êtes comme moi mais avec l’âge j’écoute moins de nouvelle musique, je lis moins de critique ces jours ci se sont les critiques de L’OBS mais on dirais que quelqu’un bouffe mon temps. J’ose pas vous dire que je pense à avant, Best, Rock’n’Folk, SLC et parfois quelques articles dans des revues semi-porno, le Nous, Québec-Rock, les chroniques de l’Actualité aussi bien dire que j’en mangeais. Je sais pas pourquoi, le gout d’être à la mode à la page ? Tout ça je l’ai déjà raconté j’ai pas toujours eu une énorme télé, je pense à la chaîne stéréo que le patriarche avait acheté. Je l’ai encore, j’avais même des écouteurs je suis toujours étonné de pas être plus sourd que ça. Je pense aux enseignes néons colorées pour moi la vie était là mais je me suis fait avaler à vivre dehors la nuit sans endroit où coucher et parfois partager un sofa avec les rats. Plus tôt je fréquentais un bar avec au dessus de la piste de danse un écran géant où on pouvait voir tout les vidéos à la mode toute ces années je les ai passé seul on peut compter sur les doigts d’une main le nombre de femmes que j’ai rencontré pas fort comme Roméo. C’est terrible se faire si mal pour rien … Voilà c’est l’épilogue la douleur est plus supportable qu’un last-call, fallait foutre le camp en larme et esseulé personne pour me ramasser. Ça y est c’est la vrai conclusion, comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Découragez vous pas c’est ça à la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!! À bientôt !!! Ciao

Bernard