mardi 1 juin 2021

Énorme

 

Bonsoir ! Bonjour ! Ce soir on a donné la dernière formation avant l’automne du centre d’apprentissage santé et rétablissement. C’étais très intéressant je dénigrerai personne tout le monde était à sa place. Ce seras ça pour cette semaine … Je lis L’OBS pourtant ce que j’écris et mon senti viennent de la rue on m’en a fait le compliment. C’est du travail mais j’aime ça, j’ai eu droit à des cœurs sur Zoom. J’ai raconté  mes différentes activités que permet mon rétablissement. La pandémie recule on va peut être s’en sortir, juin est arrivé, les consignes et les barrières sont levées. Je crois que ceux qui fréquentent les bars vont pouvoir s’y adonner bientôt. Y’a eu des enfants dans la rue, y’auras toujours des enfants qui jouent dans la rue certains prendront de mauvaises habitudes d’autre verront plus loin que le bout de leurs nez et feront quelques choses de leurs vie pour le moment ils s’amusent. Je sais pas pourquoi ils crient, j’oublie qu’adolescent je criais pour rien dans le parc. Je rêve encore de partir pour Paris quelques semaines mais c’est pas le moment. J’irai plus tard si je suis pas mort en ce moment le soir est tombé dehors ça s’est réchauffé. Souvenir d’un moment où comme je jouais pas à la balle dans une ligue organisée on voulait que je devienne arbitre j’ai fait qu’un match les gars voulaient jouer et me montrer ça marche pas. En ce moment je pense à cet immense sentiment de solitude partout où j’allais quoi que je faisait n’importe avec qui j’étais, à l’époque y’avait pas vraiment beaucoup de psychologue, ça fait quarante ans on m’a fait voir des psychiatres, j’étais triste, j’étais lourd psychotique … Quand bien même je me demanderais pourquoi c’est fini c’est passé. Aujourd’hui je suis moins malheureux, l’amie me disait que si j’écrivais pas je crèverais, je crois pas mais je serais très triste. Encore ce soir j’y suis allé avec mon senti de gars de l’est, je pense à Francoeur à Autre’chose qui nous racontais si bien le bas de la ville et un certain monde underground interlope, si vous aimez pas ça passez vous une varlope … Ce soir je vous ai pas trop parlé d’alcool, c’est tant mieux. Je pense à la rue Saint-Denis où on pouvais voir un show sur un bord de la rue sortir traverser et voir un autre show l’autre bord  si on se faisait pas assommer par le doorman. Ma jeunesse je l’ai passé là-dedans en essayant toujours d’arrêter sans y arriver. Voilà, on y est presque, quelques mots encore dans la difficulté de terminer faire une chute aussi longue qu’un toboggan, raconter l’épilogue toujours la même histoire je pense que je vais vous illustrer ça avec les arènes de Paris. Je sais pas, je sais pas mais comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Hier une femme cherchais des textes au Théâtre du Nouveau Monde…. À la prochaine je l’espère !!! Ciao

Bernard

 

 

 


Thé pour deux

 

 Bonjour ! Bonsoir ! https://www.facebook.com/khnicole/posts/10159268139734854?notif_id=1622478086843142&notif_t=notify_me&ref=notif  Voilà l’adresse pour visionner notre travail de cet hiver faut s’abonner au TNM mais pour le moment c’est gratuit. Les gens semblaient heureux de me voir à l’écran. Je dis merci à Lorraine, Claudia et Isabelle à toute la troupe et aux productions Camions. J’ai passé une belle soirée mon nom c’est pas Bertold Brecht je peux pas vraiment écrire sur le jeu d’acteur mais y’en a qui sont plein de talent. J’ai eu un moment d’émotion … C’est toujours le journal de confinement mais il est plus léger je suis sortis et j’ai vu du monde. J’ai quand même gardé mon couvre visage mais j’ai parfois oublié la distance pour discuter. Je passe de beaux moments, y’avait quand même pas mal de monde, je vais y aller avec mon senti, ce soir je suis apaisé heureux d’être chez moi, c’est encore rock’n’roll coin Saint-Laurent et Sainte-Catherine un gars a lancé une canette pleine en sacrant sur un panneau de clôture. Je suis arrivé tôt au théâtre, j’étais seul ai discuté un peu avec ma petite cousine, j’étais heureux de la voir… Avec tout ces gens qui portaient un masque j’ai reconnu personne. J’ai trouvé pourquoi j’ai de la difficulté à marcher c’est le couvre visage qui coupe l’air, je respire mal. Je pense à l’ami insomniaque, les nuits sont longues un peu tard pour se mettre à la poésie. Je comprend pas pourquoi je suis autant entouré de « poètes » aux phrases alambiquées parfois je comprend rien. J’espère que mon écriture vous fait pas ça… Une chose que j’ai perdue c’est le rythme et dans ce que j’ai entendu ce soir y’en avait pas, juste des rimes qui ne disent rien juste le jeu avec les mots. Bon je vous reviens au matin c’était plus fort que moi je devais dormir. J’ai rêvé que les ouvriers venaient réparer le plancher. Plus tard aujourd’hui je vais me préparer pour donner la dernière formation sur la stigmatisation. Mon senti du senti du matin est toujours mieux l’angoisse a pas eu le temps de s’installer mais dans ces moments là je suis muet. J’ai fait le lit terminé le café, à l’écran j’ai une sorte de parkinson c’est pas très bon, je mange un croissant c’est le petit déjeuner. Ce texte avance tranquillement, je vais y arriver mon horaire est décalé … C’est fou l’importance que ça prend cette écriture j’ai l’impression que tout le monde m’attend avec impatience quelle idée de fou … Je vais quand même y arriver. Je voulais pas vous en parler mais l’équipe locale a gagné sa première série hier, c’est bon … Voilà!!! Quelques mots encore j’espère que vous aimez ce que j’écris. Je sais pas si c’est parce que c’est le matin mais je crois être plus clair. C’est la chute je termine sur la conclusion habituelle. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!! À bientôt !!!

Bernard

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 



dimanche 30 mai 2021

Huard


 

Bonsoir ! Bonjour ! Encore ce soir je vous donne de quoi lire, il pleut … Je pense à mon adolescence ces longs moments où je m’ennuyais. La solitude qui me faisait faire les mauvais choix, je me souviens pendant les jours de pluie où quand on voulait sortir de chez le patriarche le soir on savait pas où aller se mettre à l’abri, Terrebonne la banlieue… J’ai oublié le nom de plusieurs endroits que j’ai fréquenté à Montréal de toute façon ils n’existent plus. Faudrait relire Christian Mistral on fréquentait les mêmes endroits … Aujourd’hui les consignes sont tombées, je crois que ça va être possible d’aller prendre un café, l’asile y’a plus besoin de le construire on le traine avec soi. Je suis toujours étonné de voir tout ces gens autour de moi qui ont affaire à la santé mentale, c’est encore mon journal du confinement je prends pas de chance je reste chez moi. À l’époque y’avait pleins de bars rue Saint-Denis en vieillissant on a migré plus à l’ouest rue Saint-Laurent, je suis toujours étonné d’entendre tout cet anglais au centre-ville et sur le Plateau. Bientôt dans une couple de mois j’aurai soixante cinq ans déjà mais en juillet y’a l’anniversaire de mon lecteur collectionneur de voitures de Deux-Montagnes il est quelques années plus jeune que moi. Je sais pas, je sais plus les mots me laissent tout nu dans la rue. Demain je serai pas mal occupé une rencontre informatique Teams avec mon groupe d’entraide Reprendre Pouvoir, une préparation de la formation stigmatisation du Centre d’apprentissage santé et rétablissement et une projection de vidéo au Théâtre du Nouveau Monde. C’est difficile de vous rédiger ça ce soir, je vais tenter encore une fois mon senti, la blessure c’est cicatrisée la douleur est « sourde ». Y’a un parfum de campagne, champêtre c’est bon… Je me souviens du marais derrière la maison du patriarche on y ramassait des grenouilles parfois y’avait des couleuvres et je vous parle pas des moustiques pendant une couple d’été on y a vaporisé un insecticide. La nuit arrive quand même les journées s’étirent demain il va faire plus chaud, mon monde intérieur ne dis rien. J’écoute pas, je pense à ce copain à qui son père prêtais sa voiture on allait en ville prendre une bière … Plus tard j’étais incapable de boire seul je voulais que tout les amis y soient. Ça fait longtemps, je sais pas pourquoi je pense à mon neveu j’espère qu’il est heureux de voir que je reste sobre. Parfois au bar je rencontrais des « amis » je savais pas quoi leur dire quand ils me demandaient si je connaissais le staff, j’étais trop saoul et je leurs parlait seulement pour commander des drinks. Parfois je passais la soirée à boire sans dire un mot. C’étais d’une tristesse à mourir. Voilà c’est la chute l’épilogue, comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!! Ciao

Bernard

Asphalte

 


Bonjour ! Bonsoir ! Ce matin j’avais presque terminé mon texte sans le vouloir je l’ai effacé. Je crois qu’hier soir les   terrasses des cafés devaient être pleine pour regarder le match. L’équipe locale a gagné, à l’avant match télé un animateur a lu un superbe texte remplis d’émotion. Je pensais à l’ami critique d’art, je crois pas qu’il est un grand amateur de sport, ce matin il dois dormir… L’émotion dans le sport c’est assez difficile. Aujourd’hui c’est l’anniversaire de ma lectrice privilégié on lui en souhaite un joyeux. Le couvre-feu est levé hier dans la nuit ça gueulait. C’est difficile d’écrire deux textes en si peu de temps. Je sais pas si l’ami historien de l’art est déjà allé en Corse si oui est-ce que ça vaux la peine ? Je regarde une magnifique émission sur Dieu avec Morgan Freeman on y apprend beaucoup de chose malgré tout c’est très spirituel. C’est toujours mon journal du confinement, j’y vais comme toujours avec mon senti. Ce matin sur TV5 à dix heures y’a la Grande librairie une émission que j’aime bien où on entend les auteurs parler de leurs œuvres… Étrangement y’a un parfum de France ça fait du bien. Hier à la fin du match après le but gagnant la télévision a été coupé comme si on voulait m’enlever mon plaisir, c’est peut-être de la paranoïa. Je me rappelle à l’époque avec la matriarche la radio coupait dans les moments importants. J’ai le match d’hier dans la tête. Demain c’est le visionnement, ce matin le fond de l’air est frais comme ils disent … Je suis bien réveillé j’ai fait mon lit, j’aime bien ces matins je suis moins angoissé. La série se transporte à Toronto pour le match final, y’a des heureux. Le soleil se lève … Ce sont de court et fugace instant de bonheur, je crois être hyper-sensible pourtant j’arrive pas à nommer cette sensibilité ce senti. Je me prépare un café, hier pour la première fois depuis plus d’un an y’avait un public au centre Bell. Je suis de bonne humeur ce dimanche matin… Je sais pas si mon lecteur technicien à la Rolls Royce a regardé le match et si oui comment il l’a trouvé ? Matin ensoleillé quand tout s’efface il ne reste qu’à réécrire une autre rédaction. J’arrive pas à qualifier ce que je vie, une sorte de bonheur matinal … J’ai quand même hâte de pouvoir partir c’est une liberté qui me manque. J’aimerais pouvoir faire un feu de camp pour y faire cuire le petit déjeuner, quelques mots encore de mon confinement je sortirai pas plus, je veux pas tomber sur une éclosion. Voilà! J’y arrive lentement, j’écoute pour terminer mon monde intérieur, il ne crie ni ne hurle c’est pas un loup. Ce matin ça sent la verdure,  comme toujours arrêtez pas là … Je vous remercie d’avoir lu jusqu’ici !!! Je sais pas si ça va durer tout ça !!! À la prochaine je l’espère !!!

Bernard

 


samedi 29 mai 2021

Valise

 

Bonsoir ! Bonjour ! Je vous écris de la nuit ai dormis un peu. C’est toujours mon journal du confinement. Certaine mesures sont tombés plus de couvre-feu les terrasses étaient ouvertes partout je sais pas si y’a eu beaucoup de monde… À la télé y’avait un type qui buvait sa bière à neuf heure du matin, il disait que c’était un petit déjeuner traditionnel  un alcoolique ? Y’en a que la pandémie a pas rendu plus intelligent. J’espère qu’il y a pas eu de gel chez ma lectrice privilégiée de Gatineau, que ses jardins sont restés beau. Ce soir y’a un match au domicile de l’équipe locale qui fait toujours face à l’élimination. Ils vont jouer devant deux mille cinq cent spectateurs dans les gradins. Lundi visionnement au Théâtre du Nouveau Monde et le lendemain on donne une formation sur la stigmatisation. Je commence a être a bout c’est toujours le même senti. Je suis pas trop angoissé, je sais pas si les terrasses sont restées ouvertes toutes la nuit ? Souvenir d’un passage à Upton dans les Cantons de l’est chez un ami comédien j’avais pris deux grosses bière chaudes comme petit déjeuner c’était dégueulasse. Je suis toujours fasciné par la place que prend l’alcool dans nos société. Dans l’OBS on nous dis que c’est certainement la substance la plus ravageuse. Je suis content d’avoir arrêté tout ça y’a des gens qui m’ont jamais vu ivre et c’est tant mieux … Y’a eu ce presque guet apens à Upton je m’en souviens encore aujourd’hui j’ai eu très peur. Je souhaite que bientôt la vie reprendras ses droits qu’on vas y aller pour le cours des choses. Je sais pas pourquoi je crois qu’avant que je vienne au monde le patriarche avait un restaurant à Québec drôle d’idée !!! Parfois y’a des choses qu’on ose pas écrire, d’autre souvenirs d’attente dans la voiture pendant que les parents visitaient une tante qui testait sa foi au couvent elle y est pas restée tant mieux. Je mélange les choses c’était peut-être ce qu’on appelait à l’époque l’école normale. Souvent pendant ces balades en voitures on arrêtait à la laiterie pour du fromage en grains, c’était bon, j’ai gardé l’habitude d’en acheter. C’est loin tout ça j’aimais bien regarder le paysage défilé pendant que la matriarche nous indiquait où on pouvais voir des animaux, veaux, vaches, bœufs, chevaux, cochons c’était amusant … La matriarche a toujours aimé les fermes, toujours eu un grand respect pour les agriculteurs. Moi je suis vraiment urbain je fait pas la différence entre une génisse et une vache …. La ferme j’ai connus ça chez un oncle de la matriarche il nous gardait, j’avait tellement peur que les parents nous abandonnent nous donnent en adoption mais partout y’a des bonnes choses c’est là que j’ai découvert Onésime dans le journal Terre de chez nous. Je termine là-dessus pour comme toujours vous remercier d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!! À bientôt !!!

Bernard


jeudi 27 mai 2021

Redoute

 

Bonsoir ! Bonjour !  Votre humble serviteur est malade, il a de la difficulté à marcher pourtant j’ai passé des examens chez le médecin on a rien trouvé. Je veux vivre assez vieux pour profiter de ma pension de l’âge d’or. J’en demande pas beaucoup pour le bonheur juste de pouvoir vous écrire comme ça à tout les jours. Je vous place une photo de moi avec mes nouvelles lunettes. L’équipe locale a comptée le premier but, c’est toujours mon journal du confinement. On a un autre but, un petit mot pour la super-maman à propos des  petites lampes bleu qu’elle m’avait donné un noël, y’en a une qui est finis et l’autre tire à sa fin. Elles ont rendue de fier service, la dernière j’ai un peu peur de mettre le feu avec … Je vais me magasiner une lampe sur Amazon. Péter la switch péter l’ampoule il va faire noir, débranché la télé, rebranché trouver un endroit pour l’autre lampe pendant ce temps là c’est le match. J’ai chaud le climatiseur démarre pas. Finie la lampe, super-maman, elle est au vidange. Je trouve du rythme mais je pue, pris une douche. J’ai peut-être de la misère à marcher parce que je me parfume trop me met de la poudre sur la poche. Ça sent bon, j’ai ramassé plein de poussière, je regarde pas le match ça m’énerve, la télé diffuse … Je lis l’OBS de la semaine c’est intéressant. J’avais peur pour le feu. Tout est O.K. J’y vais avec mon senti, je m’agite arrive pas à écrire. Tout ce que j’entends c’est les commentaires des analystes du match, les jours s’étirent demain y’a des règles de confinement qui vont être levé, le match est égal partout… Bon ! C’est en supplémentaire … En fait ça m’occupe le ciboulot je veux moins mourir. L’équipe locale a gagnée, j’ai débuté ce texte avec la maladie ce soir je le suis moins. J’ai essayé d’avancer une bibliothèque pleine de livres c’est impossible… J’avais débranché le frigo je l’ai rebranché ça fonctionne, c’est pas de la grande écriture… Mon discours intérieur est faible ce soir, je pense trop à la littérature. Je crois que l’éclairage du parc est là parce que les sports d’équipe seront permis bientôt, fallait que je vous l’écrive ça viens de s’éteindre … Pépère est magané, encore une formation stigmatisation a donné et je crois qu’après ça va aller à l’automne si on veux bien de moi, Ce matin j’ai demandé l’heure a un bonhomme qui a pas voulus me la donner, en revenant j’ai croisé quelqu’un qui m’a dis bonjour c’est sympathique. La prochaine co-construction c’est mardi prochain. C’est la chute pour ce soir, quelques mots encore pour vous traduire mon état c’est toujours la même chose quand je suis pas trop angoissé j’arrive pas à écrire, c’est l’épilogue la conclusion. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!! À bientôt !!! Ciao !!! Bye

Bernard


mercredi 26 mai 2021

Cassiopée


 

Bonsoir ! Bonjour ! Aujourd’hui c’était mieux, je suis allé faire des courses et dans l’après midi je suis allé chercher mes lunettes. J’ai marché  jusque chez l’optométriste rue Ontario, j’en ai beaucoup perdu mais je tiens debout. Demain déjà jeudi c’est toujours mon journal du confinement, je vais pas m’infecté dans la foule des parcs. J’essais de sortir seulement quand c’est nécessaire mais vous savez tout ça. On viens de me téléphoner pour savoir pour qui je voterais au élection provinciale et si j’étais près à faire du bénévolat pour le parti, disons que j’aime bien le parti qui nous dirige présentement mais j’ai pas envie de faire du bénévolat pour eux j’en fait déjà ailleurs. Y’a déjà quelques jours c’est Steven Guilbeault qui m’a téléphoné du parti libéral Fédéral … Je sais pas si les deux niveaux politique se cherchent des petits vieux pour travailler à leurs réélection. La peur s’empare de moi je crois qu’ils vont couper mes allocations parce que je m’implique pas, c’est de la paranoïa … Je pense à la pleine citoyenneté en santé mentale ce serais peut-être important d’être là pourtant parfois ça joue dur dans ces affaires là. Je vois pas comment ils vont faire pour tenir de grosses réunions politique  ils voient  le déconfinement ? Moi c’est la quatrième vague que je veux éviter… J’irais en politique mais ce serais pour représenter mes pairs qui souffrent de maladie mentale, éviter de laisser les jeunes malades à la rue, Leurs donnés une option, un logis et du support. Essayer de faire comprendre que la maladie c’est pas de la paresse, les combats contre la psychose sont long et difficile et toujours mais toujours le stigmate à cause de la différence, on ne cadre pas n’entre pas dans les normes pourtant souvent c’est créatif. Je pense à toute ces jobs qui rendent malade et la difficulté d’en sortir … Y’a une job a faire, faire prendre conscience de la maladie défaire le déni, offrir des soins plus accessible. Je parle beaucoup pour dire que le rétablissement est possible ne jamais oublier qu’on peut pas plaire à tout le monde et à son père. Les voix parfois nous quittent ne reste plus que l’angoisse. Je pense à tout ceux à toute celles dont on a abusé et qui se vendent dans la souffrance. Je sais ils veulent rien savoir de moi mais je suis prêt à écouter. La politique et les infrastructures je veux bien mais me semble qu’on devrais investir plus dans l’être humain. Je sais pas comment faire … C’est trop simple mes affaires y’a pas de solution facile, je pense à ceux qui me sont proches et j’espère qu’ils auront pas des vies de barreaux de chaise. Je suis comme Cassiopée je tourne autour du Pôle la tête en bas, je vous écris ça parce que je suis étourdis. Voilà! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! C’est terminé c’est la chute. À la prochaine je l’espère !!!

Bernard