lundi 1 mars 2021

Hello


 

Bonsoir ! Bonjour ! Ouais! Je vous avais presque oublié, Je suis somnambule ça me fait un peu peur. Je me suis couché tôt. Samedi matin j’étais dehors et y’avait des toxicomanes qui réglaient leurs affaires de speed dehors. Encore et toujours ce même propos comme si ils ne se passait que çà dehors y’a aussi tout ceux qui négocient le journal des itinérants ça pas l’air clean clean tout ça, J’ai la toune Midnight Rider des Allman brothers dans la tête. Je croyais que la nuit était plus avancée. C’est toujours mon journal du confinement. Hier j’ai écouté l’émission La Grande Librairie et j’ai lu les chroniques littérature dans LaPresse+ j’ai pris des notes pour mes prochaines lectures. On dirais que vingt quatre heures c’est pas assez. J’essaye d’apprendre mon texte pour le Théâtre du Nouveau Monde c’est difficile … Y’a des gens dehors malgré le couvre feu, c’est lundi ce matin j’ai une rencontre zoom, je raconte toujours la même chose, en tout cas ! J’ai beaucoup de difficulté à vous décrire mon monde intérieur. Je cherche une façon différente tout ce qui me viens c’est la peur l’angoisse l’anxiété rajoutés y la mélancolie la neurasthénie et allons y pourquoi pas avec la schizophrénie, j’écris la même chose j’ai pas de nouveau propos… Je pense à la ville du premier film Blade Runner dehors ça me fait pensés à ça … Je crois que je vais être vacciner bientôt, le médecin m’a pas téléphoné pour les résultats des prélèvements j’en déduis donc qu’il y a rien de grave. Ce texte là passeras pas à l’histoire comme beaucoup d’autre d’ailleurs. Y’a que moi pour dire que c’est de la littérature … En plus du journal je lis L’OBS et un roman je me répète c’est comme si j’avais pas le temps. Faut que je me mette dans la tête que même si je réussis pas y’auras pas mort d’homme c’est pas grave. Pourquoi toujours chercher à dire surtout que c’est une vieille histoire, je sais pas trop si c’est de l’auto-fiction je comprends pas pourtant je l’écris. Cette entreprise de décrire mon senti semble bien futile, comme si j’écrivais pour la beauté de la chose voilà Narcisse… Ouais! C’est le ballet des camions dans le goulag occidental, on se pose là avec l’hiver, je pense aux itinérants à ceux qui se sentent persécuté dans un refuge … Ce matin je vais aller au super-marché faire quelques achats. Je suis pas très bon pour écrire les malaises surtout quand je les crois causé par les autres. En ce moment j’écris pas comme moi c’est un autre qui écris et c’est mauvais … Finalement j’espère que vous aimez ça que je vous donne le désir de lire où d’écrire mieux que moi … Je sais pas trop comment terminer je suis pas très inspiré, tout à coup y’a un parfum de soupe aux légumes voilà ça y est ! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine !!!

Bernard

 

samedi 27 février 2021

Tollé


 

Bonsoir! Bonjour! La télé est sur le match de l’équipe locale, y’a pas eu de tollé de protestation suite au renvoi du coach. Je pense à la médiatrice culturelle je crois que j’ai fait où écris quelque chose qui lui a pas plut, c’est pas grave je continus … Ce soir j’ai pas envie d’être désagréable, j’écris ça et ça me coupe le sifflet… C’est toujours mon journal de confinement ce matin je suis sortis pour acheter le magazine L’OBS, il était disponible au bureau de poste mais le numéro de la semaine précédente je l’avais déjà. Je suis allé l’acheter chez le marchand de journaux du plateau. J’essais de me concentrer pour apprendre mon texte en mars ce seras le tournage… Parfois je lis des textes nourris par le ressentiment c’est inutile. Mon écriture est toujours pareille je manque de mots j’ai beau lire je suis sans voix. J’envisage d’arrêter ces écrits à quoi bon contribuer au délire général de la pandémie. Je sais pas ce que ce serais si j’écrivais à ma belle ma douce ma tendre pas grand-chose elle n’existe pas, la schizophrénie veut souvent aussi dire schizo-affectif en fait ça pourrais s’intituler journal d’un grand malaise. Comment vous dire mon désarroi ma solitude mes malheureuses façons de faire. Ce matin métro Mont-Royal y’avait une jolie comédienne désemparée, je lui ai pas parlé… Hier j’ai été touché, j’étais en larmes, par les mots d’un comédien … Ce soir je continus ce « chemin ». J’ai pas de prétention thérapeutique pour personne d’autre que moi, j’essaye d’être holistique … Souvenir d’une liste d’adresse y’a quarante ans des lieux thérapeutiques au décor macramé, j’avais peur des sectes je me souviens qu’on me faisait attendre, j’ai préféré souffrir pas question d’ashram pour moi. Je suis paralysé … Quand je parlais de solitude on semblait pas comprendre qu’elle était toute intérieure et hallucinée. Tout à coup y’a une odeur de tabac à pipe, je crois que c’est mon eau de toilette qui d’une fois à l’autre se transforme, mais oui j’ai pris une douche ce soir ça m’a fait du bien. Je sais l’hygiène c’est pas très littéraire. Bon! Disgression l’équipe locale a encore perdue le match  ce soir. J’ai toujours l’idée que mélancolique et même neurasthénique on écris bien … Je me vois dans une vie antérieure dans un mauvais bar essayant d’écrire mais ne faire que des gribouillages incompréhensibles. Heureusement je me suis rétablis mes cahiers sont pleins de toute façon c’est bon qu’à y mettre le feu pour paraphraser le « ils ne demandaient qu’a brûler » du grand Gérald Godin. Pas de danger que je me serais intéressé à un métier comme tout le monde ce qui m’intéressait c’étais les livres, la poésie les auteurs toutes choses pour crever de faim. Je souhaite bonne nuit à tous les lecteurs lectrices nocturne. Quelques mots encore c’est l’épilogue la conclusion … Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère !!! Ciao !!!

Bernard

vendredi 26 février 2021

Ce qui passe

 


Bonsoir ! Bonjour ! Je vous écris de tôt dans la nuit, j’essais de trouver un propos décent  c’est toujours mon journal du confinement. Dehors y’a un gars qui respecte pas le couvre feu. Je suis un peu tanné de vous écrire sur le monde de la dèche, Je pense au travail d’écriture du petit cousin comment je lui arrive pas à la cheville. La schizophrénie me permet pas d’osciller entre des hauts et des bas quand à la famille j’arrive pas à vous écrire décemment, c’est loin j’arrive pas à comment elle a contribué à me rendre fou. Faut que j’apprenne mon monologue écrire le caractère de mon personnage., Si j’étais un bon écrivain ça se saurais. Je me prépare un café j’aimerais beaucoup vous écrire avec délicatesse sur ma famille mais c’est tellement loin tout ça parfois j’ai des difficultés de communication avec la matriarche. Tout ces petits bruits dans la nuit me font pensée aux bandes son des films documentaires de l’Office National du Film des années soixante dix. Suffit pas de dire que je dois mettre de l’amour dans ce que j’écris juste le suggérer c’est plus puissant… J’ai choisis de vous écrire ce blog quotidiennement j’essais de pas trop me répéter. Je sais pas si c’est possible d’écrire une émotion sans trop s’y identifier et de la faire vivre au lecteur. Je dirais là est le défi.  Le petit cousin est fort sur le monde intérieur, je pense à Proulx …  On  répète les monologues, le trac c’est une chose mais le comédien invité nous a signalé que même si on se plantais il y aurais pas mort d’homme. Ce que je comprends c’est qu’il faut jouer comme si c’étais la dernière fois qu’il n’y aurais plus d’après… Aujourd’hui j’ai presque abandonné pourtant … Semble que notre bon gouvernement vas émettre un passeport vaccination, on va attendre un peu et partir en voyage. Je me donne encore un an … Je raconte aux amis comment je suis fasciné par la France comment j’ai hâte d’y retourner… On a eu les dates de tournage c’est bientôt en mars. Parfois quand je « travaille » avec les amis j’ai un immense sentiment de solitude, heureusement je suis plus gêné par ce qu’ils vont dire ça leurs appartiens … On m’a vendu l’idée que je suis un écrivain maintenant il faut que je livre la marchandise. Je crois que ce matin je vais acheter L’OBS. Monologues Théâtre du Nouveau Monde, atelier Recovery College, présentation aux employés du CIUSSS de l’est de l’île de Montréal, rencontre Reprendre Pouvoir voilà ce qui remplis mes semaines …  Bon! Je cherche une façon de terminer qui est solide, la difficulté c’est toujours de trouver le bon mot, c’est le dernier pour aujourd’hui. J’avance à taton sur le clavier, il est tard j’ai peur des fantômes. C’est pas fort, niaiseries pour remplir quand même comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque là !!! À la prochaine je l’espère !!! Ciao !!!

Bernard


jeudi 25 février 2021

Luminosité



 

Bonsoir ! Bonjour ! Journée occupée, j’ai pas terminé la réunion de la communauté de pratique Recovery College, Centre d’apprentissage santé et rétablissement … Dehors y’a une magnifique luminosité, la lumière rebondis sur la neige … Ils vont commencer le vaccin à grande échelle disont que l’âge prime sur la beauté. Encore une fois c’est mon journal du confinement. Ils parlent d’un passeport vaccin mais ils savent pas quand faut lui laisser le temps de travailler. J’ai la tête dans les nuages je pense aux avions, j’ai un texte à apprendre par cœur c’est difficile … J’espère que l’entrevue à Radio-Canada était bonne. J’ai pas à m’auto-dénigrer je fait de mon mieux … L’état d’esprit encore faut il croire en une forme de spiritualité peut être que je mêle les affaires avec la foi … Ce week-end je vais peut-être aller à la librairie, j’hésite faut réduire nos déplacements au minimum, ils appellent ça la distanciation. Je sais pas si au printemps on seras débarrassé de la Covid-19, j’aimerais bien. Je cherche, je fouille dans mon monde intérieur pour y trouver les mots de la douleur, les mots de la solitude qui m’accompagne mais que je préfère à la présence de pauvres bougres bandits décadents qui en cette fin de mois cherchent des dollars pour nourrir leurs habitudes. Parfois je reviens à ça  le comédien parlais de parrain alcoolique qu’on en avait tous un . Cette semaine quelqu’un est passé chez moi et m’a dis que j’avais de belles toiles sur les murs, j’ai dis merci …  C’est jeudi pour plusieurs c’est le jour de la paye en revenant du boulot ils vont s’arrêter à la Société des Alcools du Québec d’autre vont arrêter à la Société du Cannabis du Québec de toutes façons ils vont se geler. Je reste chez moi. Dans le moment je suis dans le silence avec toujours la même difficulté à dire mon senti où celui de l’autre. J’y vais pas avec la colère c’est pas nécessaire ce serais plus la jalousie, la déception de ne pas être un grand écrivain au vocabulaire sans fin. Je pense aux écrivains qui n’ont plus de quartier latin, qui écrivent dans le confinement impuissant. Les histoires sont souvent les mêmes servie à une autre sauce, ces jours ci c’est l’inceste dans le monde des lettres francophones, y’a toujours quelques choses de dégueulasse de monstrueux à briser l’innocence d’un enfant. Déjà adolescent je m’étais laissé épater par le grill de l’hôtel des Milles-Îles… Parfois j’étais trop idiot pour réaliser qu’on voulait ma peau. Je prenais une grosse Mol devant le scopitone. Y’a des moments où je me suis fait assommer encore c’étais pas assez pour que je lève les pîeds. C’est loin tout ça je retournerai jamais là. Je vous parle pas des gars de Saint-François … J’y reviendrai peut-être c’étais la pègre. Voilà ! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!! À bientôt !!! Ciao !!!

Bernard

mercredi 24 février 2021

Social


 

 Bonsoir ! Bonjour ! Ce soir il neige, c’est toujours mon journal du confinement. Je sais pas comment traduire cluster, une éclosion ? J’ai terminé la lecture de L’OBS de la semaine, différents auteurs y sont allés de textes sur Flaubert c’est intéressant, le style, la forme, le fond, j’écris sans trop me casser la tête avec tout ça … À l’époque en même temps que je suivais le football américain je lisait Flaubert et Stendhal, j’ai un bref souvenir de Julien Saurel… J’étais trop jeune pour maintenant avoir un souvenir de Madame Bovary je devrais relire …  C’étais les lectures du secondaire de ma lectrice privilégiée. Le Rouge et le Noir j’ai lu ça avant de m’enfoncer dans la maladie, j’avais une voiture je faisait faire ma lessive par la matriarche. Ça fait longtemps tout ça … Tout est blanc demain je serai pas mal occupé. Je réalise que les journées sont courtes entre le ménage la lecture l’écriture et la télé parfois j’écoute la radio. J’y vais comme souvent quand je sais pas m’y prendre avec mon senti, je pense à l’ami décédé qui avait passé beaucoup de temps à l’institut légal Louis-Philippe Pinel, il a pas vraiment eu le temps de vivre sa vie. Après la pandémie quand ce seras terminé j’aimerais bien qu’on reprenne les rencontres dans le cadre des bibliothèques vivantes. L’émotion c’est simple à écrire mais si difficile à faire vivre, on reste seul avec ses souvenirs où aucun lecteur se reconnait, aujourd’hui ce qui va marquer la journée c’est le congédiement des entraineurs de l’équipe de hockey locale, on étais pas partis pour la coupe. J’aimerais beaucoup que vous vous reconnaissiez dans mon senti des émotions fugaces sinon furieuses où presque fugueuses. Je sais les grands auteurs aiment pas qu’on s’amuse avec les mots comme ça. Je croyais pas qu’il neigerais beaucoup … Je sais pas pourquoi j’ai souvenir de la très belle pièce Un carré de ciel, inspiré de l’œuvre du grand docteur Ferron et joué magistralement par monsieur Robert Lalonde. J’aime le théâtre et c’est une pièce qui m’a marqué. Tout à coup je pense aux amis disparus avec qui j’ai passé du bon temps à discuter ils étaient intéressants « Que sont mes amis devenus que j’avais de si près tenus et tant aimé » des souvenirs qui aident à passé la solitude du présent. Je sais plus quoi vous raconter, j’aime bien discuter littérature mais les amis ne lisent pas, c’est un peu pour ça que je vous écris pour pas que ça reste en moi. Lentement j’arrive à la conclusion, j’ai envoyé le texte précédent à LaPresse+ je serais étonné que ce sois publié … J’espère que vous trouvez ça intéressant, je sais ce ne sont que des mots mais je trouve ça important. Voilà c’est l’épilogue la conclusion comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!!  Abandonnez pas tout de suite ce sont les salutations d’usage !!! À la prochaine je l’espère !!! Ciao !!!

Bernard


mardi 23 février 2021

Euthanasie


 

 Bonsoir ! Bonjour ! Ce soir  j’aborde un sujet délicat, l’aide médicale à mourir pour ceux qui souffrent de maladie mentale ce serais vous mentir que de dire que j’y ai jamais pensé y’a longtemps déjà j’en avais discuté avec une docteure à l’urgence de l’hôpital Saint-Mary elle avait pas de réponse et c’est tant mieux comme ça je suis toujours vivant. L’aide médicale ça ruine selon moi le message que le rétablissement est possible, y’a aussi le fait que la maladie mentale souvent brûle le raisonnement on deviens tellement désespéré qu’on crois plus au mieux. Il faut accompagner les gens dans une grande détresse essayer de leurs insuffler le désir que ça aille mieux, c’est quand même difficile de sortir du désespoir, c’est un suicide assisté de l’euthanasie, y’a une part d’égoïsme là dedans on pense pas a nos proches ceux qui nous entourent. J’essais de pensés à cette descente dans la psychose qui fait de soi un mauvais juge, la schizophrénie et le discours solitaire là aussi il faut écouter … Y’a le mot victime qui me viens en tête, ces voix et ce long discours qu’on essaye de raisonner, s’agit pas de les aider à mourir mais à se rétablir. Je pense à la maladie mentale en général comment chacun de nous à différent niveau peut en souffrir comment la souffrance ça se mesure pas. On a beau dire qu’il faut s’exprimer c’est ce que le schizophrène fait mais souvent le rétablissement viens pas. Je peux comprendre que ce soit intolérable et j’ai pas de remède miracle parfois y’a des passages moins lourd… Parfois on dis qu’il faut tuer le père, je sais pas, la psychanalyse et la schizophrénie font pas bon ménage… Tout ce que je sais de la maladie mentale je l’ai vécu et je l’ai lu parfois ça reviens mais avec le temps ça s’est amélioré. Je dirais au psy d’écouter parfois y’a que ça qui fonctionne la médication est pas efficace. Entendre des voix par-dessus le silence avoir le sentiment que la télé nous parle personnellement c’est difficile, voilà pourquoi parfois il faut lire. Si tu lis ça et tu me crois pas je te dis que c’est possible de se rétablir d’apprivoiser la maladie lentement, tu verras les voix et l’angoisse ne seront plus omniprésent, tu reconnaitras ta sensibilité et laisseras les autres t’aider. Je veux pas être fleur bleue je sais qu’il y en a qui n’y arrivent pas et c’est pas une question de volonté mais je te dirais d’essayer … Parfois je pense encore au complot aux agents qui m’en veulent, aux nuits où je me sens envahie mais j’aime quand même bien la vie. J’ai vécu jusqu’ici si tu lis ça et que t’est mal pris fait moi signe je pourrai peut-être t’aider. Ce soir je vous ai pas écris sur la covid-19 je suis certain qu’il y en a qui voulait pas mourir. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine j’espère.

Bernard

lundi 22 février 2021

Présent



 

Bonsoir ! Bonjour ! Ce soir je parlais avec  ma lectrice privilégiée d’une exposition que j’ai vu au musée d’Orsay, le suicidé de la société Van Gogh selon Artaud. J’y ai vu l’œuvre de Van Gogh mais c’étais fascinant de voir la présence cinématographique d’Artaud un personnage à la voix et à l’apparence inquiétante, les films noir et blanc où on peut apercevoir Dali je crois font un énorme contraste avec l’œuvre lumineuse de Van Gogh. Artaud c’est autre chose, l’angoisse et la « folie » démultiplié qui donne a pensés aux films de Bunuël. Artaud c’était le début du vingtième siècle c’est assez étonnant qu’on entende plus parler de cette œuvre marquante. Van Gogh il est mort avant qu’on découvre son génie c’est un peu le propos de cette exposition que j’aimerais bien revoir … Je vais vous illustrer ça avec l’énorme rhinocéros qui garde l’entrée du musée. Vous êtes toujours dans mon journal du confinement, je pense qu’à Montréal c’est pas le bon moment pour aller au musée, c’est certain qu’on a pas la grandeur l’espace et la beauté des musées de Paris. Pour une fois je veux que ce sois clair https://fr.wikipedia.org/wiki/Van_Gogh_le_suicid%C3%A9_de_la_soci%C3%A9t%C3%A9  c’est une œuvre que je devrais étudier, Artaud y vilipende tout ce que la société n’a pas rendue à la grande œuvre de Van Gogh, je vais aussi placer une mauvaise photo d’un autoportrait de Van Gogh à l’oreille coupée vu au musé Tate de Londres. Artaud c’est un poète radical… à la voix de fausset épeurante. J’y vais avec mon senti, j’aime bien quand mon beau frère me fait des suggestions, un homme cultivé qui sait que je l’apprécie quand je regarde la télé je pense à lui. C’est le couvre-feu, je vais devoir avec deux collègues préparer une présentation sur le rétablissement et une autre sur la stigmatisation sans vous écrire sur le monologue en préparation … Voilà ! Je retourne vers mon monde intérieur celui qui à l’époque d’Artaud n’était pas accepté où tout ce qu’on avait trouvé pour le soigner c’étais la lobotomie et l’électrochoc c’était cruel, en fait c’étais l’expression de la folie qu’on acceptait pas, la catatonie ça dérangeait pas trop… Au Québec on a eu un grand poète suicidé défenestré, une grande œuvre on avait cherché à le soigner mais c’étais pas réussis. C’est de Claude Gauvreau dont il s’agit lui aussi parfois on l’oublie. Je mentionne ces grands artistes j’arriverai jamais à me mesurer à eux. Je suis trop orgueilleux … Revenons donc j’espère que dans quelques années je serai encore en vie pour retourner en Europe, c’est presque terminé pour ce soir mon âme ne hurle pas, je ne suis pas au trépas ne me demandez pas pourquoi. Quelques mots encore , c’est la chute, l’épilogue, la conclusion jamais facile, y’a un parfum de friture lentement j’y arrive voilà comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!! À bientôt !!! Arrivederci !!! Bye !!! Bernard