jeudi 7 janvier 2021

Avance

 

Bonsoir ! Bonjour ! J’ai souper et j’ai pas envie d’écouter les actualités, les histoires de covid-19 et d’insurrection aux États-Unis. J’ai essayé de me brancher avec Teams mais ça fonctionne pas très bien … Semble que ce que je fait c’est considéré service essentiel , j’ai  téléphoné  à l’amie qui a abandonné… L’ami hospitalisé se rétablis c’est moins pire que je pensait. Je vous écrirai pas un bulletin. Bientôt on seras confiné à partir de vingt heure ce seras pas permis de sortir. Comme souvent je vais me fouiller l’âme, me triturer la matière grise… Je trouve plus je trouve pas … Je comprends qu’il y a des buveurs qui vont souffrir pas d’endroit pour boire. Comment vous écrire dans une forme de poésie dans la beauté de l’écriture stylistique sans trop s’inquiéter. J’ai fermé la télé mangé un Mae West, j’ai une commande qui s’en viens. Je me demande si je devrais pas reprendre la lecture du dictionnaire comme à l’époque où j’entendais des mots dans mes psychoses … Le dictionnaire et la douche je comprenais rien et je croyais puer, question de nez. Je sais pas comment j’ai fait pour me vendre cette pause « d’écrivain », pour moi pas avoir d’éditeur ça veut  dire que c’est pas bon d’accord je suis pas Cioran mais quand même, mon affaire c’est épistolaire. Ce soir j’ai envie de tout sacrer ça la, c’est encore et toujours le journal du confinement, demain on vas y être pour vrai. J’ai lu de mes textes qui ont été arrangé par la médiatrice culturelle du Théâtre du Nouveau Monde, on va les signer à deux je crois … Vous voyez bien que je sais pas écrire à moins que je prenne pas le temps … L’écriture c’est mieux qu’une brosse d’alcoolique on peux arrêter avant d’être trop saoul. La vie continue, la planète se bat contre un virus … Bon ! Je pense qu’à soir je vais arrêter pour un moment, je pense aux gens de Terrebonne qui ont fait leurs vies à Gatineau, maintenant ils sont retraité, moi ça a tout pris pour me faire une vie dans le goulag occidental. J’y écris des bêtises mais je devrais vous laisser juger, y’a des millions de personnes dans l’arrondissement. Je vais me tourner vers mon senti, les villes vont être tranquille, ceux qui sont seul vont souffrir, il seras plus question d’ aller boire une caisse de bière chez les copains. C’est vraiment pourris, rien pour gagner un prix, parfois j’aimerais pouvoir rejoindre les gens passés cinq heures. Je « travaille » toujours à ces heures là… Y’a encore de la neige dans le parc , il fait noir, ce soir je m’en tire avec  un texte sur pas grand-chose, quelques mots encore demain vendredi et après le week-end… Voilà j’y arrive c’est pas très édifiant, je termine à ma façon habituelle en vous remerciant d’avoir lu jusque-là !!! À  la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!! À bientôt !!!

Bernard

 

 


mercredi 6 janvier 2021

Mesures


 

Bonjour ! Bonsoir ! Je viens de terminer ma séance d’abrutissement entre le couvre-feu québécois et l’émeute, l’insurrection  au Capitol américain ça me fout la trouille tout ça y’a de quoi faire de l’insomnie …. On dis que Trump est vraiment virer fou rien de rassurant… Le couvre-feu c’est pas si pire j’avais pas l’habitude de sortir le soir. Je suis sortis cet après-midi juste pour quelques affaires, l’essentiel … On nous dis d’acheter local mais pour les vêtements les boutiques sont fermés. J’ai acheté un oreiller et des draps neufs en espérant dormir mieux, des jeans et une ceinture aussi … Ça risque d’être long cette pandémie, je vais essayer de rester sain jusqu’au vaccin. Moi je vois pas la fin je suis défait, j’essais de me distraire en regardant du sport et des téléséries. Parfois l’écriture me donne pas de courage, j’essais de lire en moi ce qui fait mal, la blessure irritante. Vous tous qui me lisez vous êtes un peu mes psys, je vous raconte l’ennuis et l’angoisse j’ose pas dire la schizophrénie par peur du stigmate pourtant c’est ma bataille mon espoir d’être un homme ordinaire … L’hiver n’est plus ce qu’elle était y’a plus de cinquante ans, on pelletais pour que le regretté patriarche sorte sa voiture fallait se lever tôt pelleter, déjeuner et partir pour l’école, les jours de congés étaient rare. J’essais de voir et de comprendre comment la scolarité m’a structurée … J’ai pas étudié longtemps la folie m’a gagné assez vite… En anglais je suis rendus « old age » j’attend la pension, c’est toujours mon journal du confinement. Je vais vers la réalité, les rotules qui me font mal et la fesse où on m’injectais un anti psychotique retard qui m’élance.  Demain jeudi, le temps des fêtes est finis, avec le confinement on pourras pas en faire beaucoup faut y aller virtuellement … Mais oui! Je reste chez moi, parfois on oublie que c’est la planète qui est au prise avec la covid-19. Mon exercice de la journée est fait trois quart d’heure de marche. Je pense au psychiatre que je consultais il a fait une bonne job, au début je le rencontrais une fois par semaine, j’ai souvenir de la chaleur dans la salle d’attente l’été, c’étais difficile parfois j’étais psychotique … J’ai fait un peu d’ergothérapie et la dernière fois que j’ai eu des soins c’est à l’hôpital de jour où j’écrivais des « poèmes ». Je sais pas comment mes pairs vont vivre le confinement, ça va peut-être les alléger un peu, le marché du travail est fermé. Quand même les mesures nourrissent la paranoïa la peur d’être pris chez soi … De toute façon c’est le rétablissement qui compte, un jour à la fois … J’ai beaucoup consulté je me souviens de ce psychologue que je voyais à la fin de ma période de consommation lui aussi a fait une bonne job. Merci ! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine !!!

Bernard

 

mardi 5 janvier 2021

Part


 

Bonsoir ! Bonjour ! Aujourd’hui on a mis sous confinement toute les installations du Centre intégré universitaire de santé et de services sociaux de l’est de l’île de Montréal, pas de visite possible, ça coupe mes activités ça risque d’être comme ça longtemps demain le gouvernement provincial devrais annoncer d’autre mesures. Les poètes souvent racontent plus la bière que les hôpitaux maintenant tout ça c’est fermé reste plus que son chez soi… Je suis pas désemparé au point de prendre la rue, je raconte souvent la même chose encore une fois ce soir je vais tenter la poésie

 

Mon nerf qui n’arrache

Comme si j’étais lâche

Les mots comme des taches

Se la jouent vache

Pas d’épigraphe

Pour le pseudo géographe

 

C’est ça pour ce soir, demain déjà mercredi je pense à ma grave folie. Je sais pas pourquoi quand j’écris je pense souvent à mon beau-frère … Pourtant c’est ma lectrice qui commente. Je vais vers mon senti pas de douleur juste une petite vibration, le son d’une écriture qui tourne en rond. J’étais trop urbain pour devenir bucheron la scie mécanique j’en avais peur, trop tard dans le temps pour faire un métier des chantiers. Ces jours ci y’a beaucoup de colis dans la poste j’espère que c’est pas dangereux … J’écris, c’est une discipline que je m’impose maintenant on vas être confiner dans l’hiver, les jours seront long, je vais continuer ce journal du confinement, les vers de Francoeur me viennent en tête… J’écris les miens jamais aussi fort que ceux du rockeur sanctifié. Je pousse la nuit et souffre je suis cuit, les bêtises les voilà pas moyen d’y mettre un haut là, pourquoi mais pourquoi tout ça ce désir d’écrire si bas. La graphie comme une peinture dans l’écran, j’aime ça je devrais pas ? Que de mots pour pas grand-chose je sais pas ce qu’est devenus Léo, on le vois plus, le lis plus… Ça saute un peu partout dans ma tête, je m’en tiens aux faits… Je fait mon ordinaire de cette écriture en pensant à l’immense Michel Garneau, les gars qui écrivent on toujours été mes maîtres, je veux pas faire de bullshit, juste des mots au plus vite... Rendu là je m’auto-dénigre j’arrive pas à me voir à ma vrai grandeur avec de l’humilité. Il en reste quoi de tout ces poètes ? Des mots, des mots, des mots les miens comme les leurs… Comment voir un homme à sa vrai grandeur sinon dans la peur d’être enfermé chez lui en rêvant de jours meilleurs … Je crois que bientôt la ville va dormir, il faut ce qu’il faut pour battre le Corona virus, tout à coup l’angoisse me prend … Mélangez pas François-Xavier Garneau avec Michel Garneau, j’illustre tout ça avec la statue du poète et notaire de Québec … J’arrive à l’épilogue, comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère !!! Ce soir ça se termine sur ces quelques mots !!! Ciao

Bernard

lundi 4 janvier 2021

Vagabondage

 

Bonsoir ! Bonjour ! Je sais pas … Ce soir j’ai regardé le match éliminatoire de hockey junior. Ce matin j’ai écouté une chercheuse en science à l’entendre j’avais juste envie d’en finir … La terre va arrêter de tourner… J’ai finis la lecture d’un énorme bouquin de près de mille pages il était pas très bon. Tout près des boîtes postales quelqu’un avait laissé des livres que j’ai ramassé, ça va me faire de la lecture pour pas cher bien que je crois les librairies fermées. Je trouve du plaisir à écrire ce journal du confinement ce seras aussi celui d’un rétablissement. Je remercie ma lectrice privilégié de Gatineau pour ses commentaires tout les autres aussi … Avec le confinement et c’est étrange je me sens moins paranoïaque, encore ce matin on a fait une réunion virtuelle de mon groupe d’entraide quelqu’un a pas pu s’empêcher de dire des niaiseries sur les vaccins, misère ! Je… J’ai oublié ce que je voulait écrire, je sais pas si cette écriture va tenir dans le temps… Ça en est finis des fêtes pour cet hiver faut juste attendre le vaccin et que la covid-19 passe en gardant les mesures consignés, distanciation, masque, lavage des mains et limiter les contacts avec les gens. J’ai beau être casanier parfois je trouve ça difficile de rester éloigné … Souvenir de l’époque des journaux jaune, les fake news sur les réseau sociaux c’est un peu ça… J’ai longtemps rêvé à ce que je fait là m’asseoir à un bureau et écrire. C’est pas grand-chose surtout quand on a toujours eu l’idée de souffrance associé au travail… Je pense â l’hôtel Château Champlain j’étais monté au dernier étage pendant un congrès on y voyait un panorama du sud-ouest de la ville. Ce soir je sais pas comment ça se passe pour les itinérants je crois qu’ils peuvent se mettre à l’abri place Émilie Gamelin. Cette sortie de la rue que les autres désirent tant elle est empreinte de solitude dans un logement, la rue c’est une forme de société où on échange malgré sois, on est bien seul tout près de la psychose avec les autres faut faire un choix… Cette nuit je reste à l’abri c’est toujours un jour à la fois. Depuis la pandémie y’a plus de réunion, plus de congrès après ce seras d’autre chose à organiser, on va surement vouloir savoir ce qu’est la schizophrénie dans la solitude du confinement en temps de pandémie. J’ai hâte que mes activités recommencent, monologues,  centre d’apprentissage santé et rétablissement, vidéo pour les employés de l’Institut universitaire de santé mentale de Montréal et d’autre petites choses … Encore une où deux semaines et ça débute … Plus que quelques mots j’espère que vous m’avez inclus dans vos lectures quotidiennes, n’hésitez pas à me relancer c’est toujours bienvenue. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Vous y êtes !!! À la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!! À bientôt !!! Arrivederci !!! Ciao.

Bernard


dimanche 3 janvier 2021

Soit

 

Bonsoir ! Bonjour ! Ce matin j’ai regardé une émission où on invitais des collégiens et des lycéens à lire à voix haute un passage d’une œuvre qu’ils avaient choisis. C’étais très touchant, ça m’a un peu aidé à comprendre pourquoi je lis depuis tout ce temps. J’ai pensé à ces monologues que nous allons faire avec le Théâtre du Nouveau Monde quand même ces adolescents  avaient l’air tout sage, je me suis demandé pourquoi je faisait pas des choses comme ça adolescent. J’étais déjà perdu j’acceptais pas l’aide des enseignants de toute façon ça cognais pas aux portes pour me sauver … J’ai un drôle de rapport avec l’hôpital et le football, je me souviens lorsque je m’étais blessé au visage et que j’attendais dans la salle des urgences qu’on me fasse des points, y’avait un gars qui s’étais blessé dans un match, il étais rigolo pas très angoissé il m’avait aidé à attendre, il étais tout équipé. C’est un peu de là que viens ma recherche de soins hospitalier et mon amour du football c’est une analyse qui en vaux d’autre … Cet après-midi j’ai regardé deux matchs dont un à la télé américaine en direct de Los Angeles … Je me suis parlé dans le miroir pour me laisser en paix. Je fait rien de mal mais je délire souvent … J’y vais avec mon senti ce soir c’est le silence, les fêtes sont terminées on reste sous les mesures de la pandémie, le confinement … Je pense à notre pays où personne ne lis, c’est bien inutile d’écrire, y’a des gars qui sont disparus de ma vie et c’est tant mieux. C’est difficile ce soir  je me sonde l’intérieur y’a que la peur de ce gars qui avait une « patte folle » je sais pas comment dire autrement … J’ai sommeil, j’entend le bruit de la gare de triage et celui d’un avion qui passe. J’ai la mélancolie de l’aéroport de tout le mouvement qu’il y avais. J’aimais prendre l’avion tôt le matin, enregistré mes bagages et attendre sur le quai d’embarquement … En ce moment je fait très peu d’activité, je suis allé au marché et c’est tout je limite mes rencontres je les fait surtout sur zoom … Je sais pas pourquoi je pense aux enseignants, aux corrections qu’ils font, à mon beau-frère retraité et à d’autre que j’ai rencontré … J’ai fait l’expérience des formations par ordinateur c’est pas facile… J’essais de trouver un exemple de stigmatisation qu’on peut vivre virtuellement… Voilà! J’ai plus tellement de choses à écrire, quand je lisait dans les ateliers d’écriture les gens semblaient apprécier, on me volait parfois des textes quand c’était pas l’animateur qui me demandait de relire… Gênez vous pas pour commenter j’apprécie, j’espère toujours que vous aimez ça … Continuez encore un petit peu ça auras pas fait mal. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!! À bientôt !!! Ciao !!!

Bernard

 


samedi 2 janvier 2021

Mages

 

Bonsoir ! Bonjour ! Ce soir je suis heureux de vous écrire, il a neigé dehors c’est beau aujourd’hui y’avait un ciel bleu et une magnifique lumière. Le samedi soir c’est toujours tranquille. Je me souviens j’allais regarder le hockey chez les copains. Je me souviens plus pourquoi je le regardais pas chez moi. J’étais trop bête pour me faire une copine et passés les soirées chez elle… C’est de l’histoire ancienne, à dix sept dix huit ans j’étais un grand bum ça m’a conduis à la folie la maladie c’est pour ça que j’écris, pour me rétablir… Y’a longtemps de tout ça, j’ai jeté l’ancre et me suis amarré c’est moins difficile comme ça, les néons multicolore dans la nuit ne m’attirent plus. J’ai pas envie de vous raconter les mauvais côtés de mes voyages solitaires je préfère les gens gentils que j’ai rencontré … Ce matin je suis allé à la pharmacie et des gens très aimables m’ont servis on m’a même donné un joli calendrier, parfois y’a des moments comme ça agréable … Je sais pas pourquoi je pense à l’Épiphanie à ce que veux dire ce mot. Je sais pas si dans mon écriture je peux me permettre de suivre une étoile pour arriver à la crèche … Demain dimanche d’habitude les Rois c’est le deuxième dimanche après Noël … J’ai hâte de voir ce que l’amie médiatrice culturelle va faire avec mes textes… En janvier je devrais avoir un peu de « travail ». Je vais essayer de parler rétablissement contre la stigmatisation ,,, Voilà le deuxième jours de la nouvelle année qui est passé. Je devrais pas souhaiter que ça passe si vite j’aurai le temps de rien faire. Bientôt on devrais commencer à travailler sur les monologues ça aussi j’ai hâte … Ce soir j’ai bien mangé, poulet aux oignons sauté dans l’huile d’olive avec chou-fleur, brocoli, carotte, et pommes de terre, jus de légume comme entré et biscuits feuilles d’érable comme dessert. Parfois j’arrive à me faire des repas qui ont de l’allure, je sors pas de l’école nationale d’hôtellerie. Faut tout faire même la vaisselle, la seule chose, plongeur, que j’ai faites dans un restaurant et encore j’y arrivais pas, les verres étaient pas beau … J’ai jamais été un gars de restaurant pas plus comme client que comme employé dans le passé je m’en tenais à un seul et c’était surtout pour boire de la bière… Je sais pas pourquoi je vous parle de restaurant, ils sont tous fermés… Je me souviens d’un restaurant dans le quartier portugais c’étais à l’époque des finales de hockey, y’avait des télés et c’étais bondé de monde … Le Portugal voilà un pays où j’irais, dans les restaurants parfois on tombe sur de mauvais serveurs… J’espère que la neige fondras pas trop vite. Je crois qu’ils commencent à la ramasser demain. Voilà!!! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!! À bientôt !!!

Bernard


vendredi 1 janvier 2021

Centaines

 

Bonsoir ! Bonjour ! J’ai un ami malade, hospitalisé, il a été incapable de me parler. Je sais pas de quoi il souffre ça débute mal l’année, cet après-midi j’ai écouté la radio. J’ai entendu Réal Giguère et son bon vieux Gros Jambon, que de souvenir, je me rappelle on avait le disque… Ce soir je sais pas où vous amener, j’ai vu à la télé que la glace des patinoires était prise malheureusement j’ai plus de patin. Je sais pas si malgré la covid-19 ils en louent à la patinoire du Mont-Royal, je crois pas je briserais la distanciation. Premier week-end de deux mille vingt et un, en discutant avec mon lecteur de Deux-Montagnes, il disait qu’on étais dans une science-fiction, il avait bien raison… J’ai hâte que la pandémie sois éradiquée… Demain ces samedi de toute façon avec le confinement les gens restent chez eux et d’autre font du télétravail …  J’ai fermé la télé et on arrive au deux, le six janvier c’est les rois, arrangés vous pour manger une binne dans la galette… Faut laisser passé beaucoup de temps avant de pouvoir partir, je regarde les actualités et je vois les aéroports et les avions j’ai juste envie de partir mais j’attend après la pandémie. Ouais! L’Épiphanie c’est beaucoup moins célébrés … Dans le temps du vivant du patriarche on fêtait son anniversaire. J’espère que ce soir vous avez pas mal à la tête parce que vous avez trop bu, de toute façon vous vous reprendrez l’année prochaine… Voilà c’étais ça le temps des fêtes en temps de pandémie. J’espère que le confinement va donner des résultats, le vaccin aussi… Ce soir j’attend la neige, j’imagine un manège et ses chevaux beige … Souvenir encore du patriarche qui une année avait concocté du vin chaud comme en France… La grande roue sur la place du marché à Besançon, elle me donnait le vertige. Y’a longtemps on m’a enlevé le goût des chansons de la musique, on me ridiculisait quand je disais que c’étais bon en me montrant la réalité sordide dans laquelle je vivait… Quand même j’en écoute un peu j’ai bien aimé la version d’Imagine que ma lectrice a fait entendre. J’ai fermé la fenêtre, je débute l’année comme je l’ai terminé en écrivant, la version d’Imagine de John Lennon c’était un funk cover mettant en vedette India Carney… Tout à coup y’a un parfum de pommes de terre sautées au beurre … Mais oui je repartirai dans deux printemps où deux étés et j’irai j’irai la où la vie m’a mené sur un chemin pas traçé, je voyagerai je voyagerai m’envolerez vers des pays aimés là où le vent souffle et j’atterrirai pour mieux vivre dans ces pays adorés … Je serai l’étranger curieux de vérité que j’emporterai pour mieux désiré … Voilà! Ce soir je termine comme ça, une conclusion, un épilogue qui comme toujours est difficile mais je vous remercie quand même d’avoiir lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère!!!

Bernard