dimanche 26 juillet 2020

Satin


Bonsoir ! Bonjour ! Le week-end est presque terminé. Demain y’en a encore plusieurs qui vont être en vacance. Ma blessure à la main semble guérie c’est toujours le journal du confinement aujourd’hui je suis pas sortis… J’ai essayé de dormir quelques heure j’y suis pas arrivé. Je vais vous tracer une carte de mon senti, la langueur, la longueur, l’ennuis et la nostalgie c’est pas tout mais c’est ce qui me viens tout de suite à l’esprit avec le temps c’est moins virulent mais je ne peux m’empêcher de pensés à avant la maladie quand j’étais un jeune homme actif et heureux, y’a ces quarante ans qui sont passés entre les hospitalisations, les consultations et le délire psychotique… Je l’aurai quand même pas toute ratée ma vie souvent quand je sortais je rentrais pas manger pour souper. Le beauf avait pris ma place, c’est tant mieux… Parfois j’avais des discussions brillantes avec des jeunes filles souvent j’apprenais qu’elle allait se marier et le copain me signifiait de pas revenir pourtant j’aurais beaucoup aimé continuer la conversation avec elles… J’étais admiratif je savais que c’était des universitaires nos causeries étaient tout mais pas superficielles. Moi ce que j’ai appris c’est dans la vie, ça fait quelques années que j’ai cessé mes mauvaises habitudes. J’aime bien les échanges au début d’une relation c’est riche mais malheureusement ça dure pas… Je sais pas si mon lecteur technicien à la Rolls-Royce se souviens des chapeaux de paille que le regretté oncle Bernard nous avait acheté pour aller pêcher avec le patriarche dans une petite rivière… Je pense aux petites maisons à colombage que le cousin fabrique, elles sont magnifiques, hier j’en ai vue de vrai dans une émission sur l’Alsace… Ce soir je suis content de vous écrire, je reste chez moi de peur d’être infecté… Je capote toujours autant quand je vois des aéroports et des avions y’a toujours ces critiques pour dire qu’on voyageait trop, eux ils se sont tout permis et nous même après la pandémie on devrais rester grounder… C’est étrange quand je suis couché j’essaye de faire des phrases avec des formules alambiquées, j’y arrive pas… Demain réunion zoom du groupe Reprendre Pouvoir, je sais pas ce que je vais raconter, mes fins de semaine difficile mais aussi le grand plaisir que je prends à vous écrire… Je sais pas si votre lecture est celle de mon senti? N’empêche j’ai hâte qu’ils trouvent un vaccin mais je crois pas que ce seras pour demain. Je vais me gaver d’émissions sur les régions françaises faute d’y être ça me feras rêver. Je suis content la fin de semaine est terminée encore aujourd’hui j’ai pas affaire à sortir. Les cultivateurs se plaignent du manque de main-d’œuvre la dernière fois je suis allé dans un verger de Frelishburg, je suis pas resté deux jours je ne sais pourquoi on m’a renvoyé… J’arrive à l’épilogue à la conclusion. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!!

Bernard


samedi 25 juillet 2020

Douche


Bonsoir ! Bonjour ! J’ai commencé la nuit avec une douche et du parfum, je puais trop… C’est la nuit de samedi à dimanche, je pense aux enfants de la super-maman qui sont surement très heureux dans un été pareil… J’aimais l’été j’essayais d’attraper des sauterelles que je mettais dans un bocal avec des brindilles parfois j’avais quelques lucioles, mouches à feu … Le climatiseur fonctionne toujours… Je regarde des émissions télé sur la France, j’espère que le printemps prochain ce seras réglé pour la covid-19 que je sortirai royalement de mon confinement avec un voyage en France. Je pense surtout à la rue Mouffetard. Les vacances de la construction sont commencée, Montréal est désert, il est minuit bientôt les bars vont fermer c’est pas des endroits pour les gens honnêtes…J’ai trop consommé ça m’a mené aux psychoses c’est pas drôle… J’ai tellement cherché ce que j’avais ça se résume à la schizophrénie, les filles riaient de moi je gobais n’importe quoi… Je croyais pas que les hallucinations ce serait aussi douloureux.  Dans mon adolescence tout se passait à l’école polyvalente, les fêtes à la cafétéria, les vendredis et samedis soir, la messe à l’auditorium le dimanche et le lundi on allait à l’école… Je pense à la fratrie j’espère que tout va continuer à bien aller… Semble qu’il y a trop de vacanciers en Gaspésie pendant ce temps-là je continue mon confinement, je laisse passé… Encore un souvenir du grill à l’hôtel Central j’y allais parfois après la soirée… Je sortais seul en ville c’était triste je me cherchais de la compagnie que j’ai jamais trouvé et je buvais, je buvais… Un coup de marteau dans le front. À l’époque le dernier autobus des Mille-Îles au terminus Henri-Bourassa était à minuit quart ça laissait pas beaucoup de temps pour boire en ville… Ça pris du temps avant que je comprenne que je devais arrêter de boire sinon c’était la mort… Je pense à un voisin qui je crois est retourné consommer, il se la rend pas facile… Y’a de belles mises en scène avec les alcooliques pourtant on vois pas les drames… Tout à coup y’a un parfum d’Europe, c’est bien… Je pense à la torture des bars de danseuses, comment tout ce sexe rends malades… C’est sans compter la détresse des épouses légitimes seule avec les enfants à la maison pendant que monsieur fait la tournée des grands ducs…L’alcool dans notre société c’est presque sacré ça participe à plusieurs rituel ne serait-ce que la rencontre d’un ou d’une partenaire… Je me dis j’y parvenais pas j’avais beau forcer aucune rencontre… Maintenant je suis seul et abstinent c’est mieux comme ça… Quelques mots encore, lâchez moé pas je vous écris une conclusion. Pour moi quand j’étais jeune j’arrivais pas à comprendre les femmes et quand je me suis accoté j’ai  été très malheureux. Voilà c’est l’épilogue la conclusion je termine comme toujours en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! Ça y est c’est terminé pour cette nuit. À la prochaine!!!

Bernard

vendredi 24 juillet 2020

Trust


Bonsoir ! Bonjour ! Après cette brève pause technique je reviens au format régulier. J’ai eu la chance d’être aidé par mon lecteur de Deux-Montagnes toujours aussi généreux et c’était son anniversaire aujourd’hui. C’est la soirée de vendredi. Souvenir de ce qu’ils appelaient un bavarois, ils y vendaient de la bière pour la bonne cause, le hockey mineur, des voyages pour les étudiants, différentes levées de fond. J’espérais toujours m’y faire une blonde, une copine mais à la fin de la soirée j’étais toujours trop saoul… Vendredi d’été deux milles vingt, pandémie covid-19 et chaleur… J’y vais avec mon senti, lentement les compagnies aériennes reprennent du service, la travailleuse sociale me disait que le printemps prochain le corona virus serait battus moi je me prépare au pire… J’aimerais bien avoir une écriture coulante, j’observe pas grand-chose… J’aimerais me trouver un éditeur mais ils veulent pas se salir les mains… J’entends les motos dehors avec ce temps ils peuvent se réjouir… Je me fait peut-être des idées sur mon ‘’talent’’. Le goulag est tranquille cette année pas de feux d’artifices et à peine une présence de la plage au pied du courant. Demain matin je vais aller au supermarché… J’essais de faire court de couper dans le gras… Une pensée pour l’ami décédé ce printemps… Ouais! On aime pas trop les transports contemporains mais que dire des belles d’autrefois? Y’auras toujours quelqu’un pour dire que c’était mieux dans le temps. Ce soir j’y vais lentement mon téléphone fonctionnait pas il était pas branché dans la bonne prise Je pense au Cow-boy à Paris de notre ami Faulkner ses chansons mériteraient d’être plus connus. Quand je change d’horaire d’écriture je deviens tout débalancé, ce soir chez moi ça sent la pomme de terre cuisinée… Y’a beaucoup de circulation le pont de la rue  Notre-Dame est fermé… Malgré tout je trouve que ce bout de vie là passe trop vite. Je pense à mes lecteurs anonymes, je veux pas les décevoir mais parfois je songe à arrêter tout ça… Faut que j’accepte que je suis pas toujours très inspiré… C’est étrange je me suis tordus le poignet gauche la douleur s’en va maintenant j’ai des courbatures dans le dos mais ça disparait… Je vais bien dormir mon lit est fait, des pages et des pages de blog y’aurais beaucoup de travail pour en faire un livre. Je trouve plus je suis vide… Quelques mots encore, je pense au gars qui portent toujours les cheveux longs et se tressent la barbe, je sais pas ce que ça veut dire c’est comme les tatouages… Maintenant j’ai sommeil je termine ça et je vais dormir… Je sais pas pourquoi je pense à mémère la mère de la matriarche, peut-être à cause du chignon des jeunes filles qui me la rappellent… Voilà c’est mon journal du confinement pour ce soir, j’ai pas dit grand-chose mais heureusement je me suis pas trop basher. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Ciao!!!!

Bernard


jeudi 23 juillet 2020

Anniversaire

Bonsoir! Bonjour! Je vous écris de ma tablette ce soir, ma machine a planté tout de suite après le show  de Stephen Faulkner… Je souhaite un très heureux anniversaire à mon lecteur de Deux-Montagnes… Faulkner. Un vieux l’époque,  à l’époque où je buvais il ètais toujours en show quelque part… Je l’ai déjà vu en show au cégep Maisonneuve avec les parfaits Salauds un groupe populaire à l’époque y’avait aussi Rick Haworth à la Hammond B-3 et à la pédal steel guitar.C’ètait extraordinaire… J’avais un copain où je finissais mes soirées dans son salon en écoutant un vieux trente trois tour de lui c’était les années quatre vingt… J’ètais èmu d’entendre le vieux il a écris tant de bonnes chansons… Ça m’a aussi rapellé l’époque de mon alcoolisme actif parfois je pouvais voir et entendre le blues man Michael Brown.je fait ça court ce soir bonne fête encore à mon lecteur de deux montagnes.

mercredi 22 juillet 2020

Volta


Bonsoir! Bonjour! Je pense à la mode. À comment un écrivain est supposé durer dans le temps à comment je ne suis pas à la page, les vrais durent pendant des années sinon des siècles… Mais oui y’a le talent pourtant… J’aimerais bien me faire remarquer probablement que mon talent est ordinaire je suis loin du génie… Un blog parmi tant d’autre, l’idée d’écrire est toujours présente comme un rêve d’adolescent qui perdure d’une certaine façon la forme et le fond serais pas les mêmes à quinze ans. Je serais peut-être plus lu sur du papier parchemin avec quelques enluminures comme chez les moines quand j’écris là-dessus je pense toujours à Saint-Bernard-de-Clairvaux mon saint patron et ses croisades. Je pense aussi aux mortifications selon la règle des cisterciens… Y’a aussi la condamnation d’Abélard et Héloïse… Les ordres c’est surement très difficile, le silence, le travail et la prière une vie consacré à Dieu… J’essais de voir ce qu’est la mortification aujourd’hui, je ne dors plus faudrait que je sache comment consacrer ce temps, préparer les matines… Voilà! J’ai pris un peu de temps pour voir avec quoi j’allais vous illustrer ça… Je dormirai pas aux mâtine, heureusement il est pas minuit, je sais pas si ça serais anachronique  de parler de chant grégorien parfois j’écoute ça me calme. Je sais pas si les moines de Saint-Jean-de-Matha accueillent des visiteurs on parle plus de vieilles pierres mais de pratique spirituelle… Je vous confie que parfois je me met à genoux et je prie, ça me soulage ça m’apaise, je pense à tous ceux qui prient c’est peut-être ça qui sauve le monde… C’est pas mal pastoral mon blog cette nuit, je pense aux cours de morale au secondaire je prenais pas le temps de réfléchir… La Covid-19 a fait cesser toutes les croisades, le combat est dans les laboratoires, étrangement y’a un parfum de cannelle, je sais pas d’où ça vient… Inquiétez-vous pas je prononce pas mes vœux je suis pas prêt pour la chasuble et j’aurais de la difficulté avec ceux qui me traiteraient de mangeux de balustre… L’église se bat encore avec le scandale… Enfin, j’ai laissé Bernard de Clairvaux loin derrière, je sais pas si dans les règles de mortification on mangeait du gruau clair… J’ai vu que le gouvernement allait participer à la réfection de certaines églises, on sort le crucifix du parlement… J’aimerais bien que nos églises deviennent patrimoniales, remplies d’histoire… Bein non! Je suis pas un faux prêtre je jure beaucoup moins par contre… J’approche de la conclusion quelques mots encore pour que vous et moi on entre en communion et aussi pour demander pardon… C’est des affaires de fou mais je m’y accroche, j’ai même jamais été servant de messe, dans mon enfance on devait aller à la messe le matin, c’est disparus à notre arrivée en ville… Voilà c’est l’épilogue la conclusion comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! N’abandonnez pas c’est terminée à la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!

Bernard


mardi 21 juillet 2020

Charrue


Bonsoir! Bonjour! Insomnie dans la nuit de mardi à mercredi… Je me laisse réveiller par la lumière de l’écran. Je crois que j’ai fait un rêve agréable, j’étais heureux… J’ai regardé la série « The business of drugs » j’y ai vu la géographie de la distribution des toxiques… J’ai une blessure à la main mais je veut pas d’oxycontin trop peur de démarrer une addiction, toute ces puissantes drogues commencent avec du pavot… Pour le cannabis ils parlaient pas de sa décriminalisation au Québec… Ça aussi pas pour aujourd’hui je consomme pas… Ouais! Ma télé fonctionne c’est bien!  Parfois comme maintenant je lis des navets rien d’inspirant. Je vais dire comme le gars « j’étais pas partis dans la vie pour faire un toxicomane » je vais essayer de suivre mon programme, de l’humilité et de la spiritualité un jour à la fois… Je crois qu’en restant abstinent  je fais des amendes honorables à tout le monde… J’ y vais avec mon senti… Hier je racontais à un ami comment j’étais désolé de ne pouvoir voyager, les frontières exigent une quarantaine, quatorze jours de confinements, en plus à l’arrivée je connais personne…

 Le roman que je lis présentement ça ressemble à l’idée que je me fait d’un roman de la série arlequin alambiquée… C’est pas fort! Je continue quand même sa lecture… Il fait frais le climatiseur est arrêté… J’essais de trouver une parenté entre le senti, l’émotion, le sentiment… J’aimerais beaucoup arriver à vous faire vivre des émotions, écrire quelques choses de touchant pour ça faut mettre la table placer les couverts même si y’a rien à manger on fait comme si c’était un festin… Ce soir la soupe est claire et fade on a oublié le poulet mes sentiments donnent pas la chair de poule… Ce soir mon senti est pas paranoïaque… Je suis pas très très romantique… Parfois je rêve tout éveillé, je voudrais vous raconter dans la solitude de la nuit… J’ai demandé à consulter un psy mais il me semble que ça n’a pas de fin une dame que je connaissais à cesser de consulter quand son psychiatre a pris sa retraite, involontairement la même chose m’est arrivée, j’ai quand même d’autre problèmes des choses que je voudrais régler avec les vivants et les morts… Cette nuit ma prose est pauvre, j’aimerais au matin me réveiller heureux, j’écris pas normal parce-que je crois pas à cette notion là… Nous disions donc heureux même sans billet d’avion… Je ralentis pour que le bonheur me rattrape et m’embrasse, m’aide à vivre , à marcher, à fouler le sentier des larmes… Je sais pas si on peut écrire le non-senti, on peut surement le lire comme le non-dit… Encore une fois j’aurai écris dans la nuit assez pour lire à la noirceur votre écran projette le texte… Voilà! C’est encore la difficile conclusion, l’épilogue, une autre tentative… Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Lâchez pas c’est terminé à la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!!

Bernard

lundi 20 juillet 2020

Quarto


Bonsoir! Bonjour! Je reviens avec mon senti, je me suis coupé l’inspiration avec ce que j’ai écrit hier… C’était plus fort que moi fallait que je l’écrive, j’espère que j’ai pas perdus votre amitié. Je regardais une vidéo et je trouvais étonnant comment la guitare à pris une grande place dans le paysage culturel et artistique. Je me rappelle les guitars heros, Eric Clapton, Jimmy Page, Jeff Beck, Jimi Hendrix, Steve Ray Vaughan et combien d’autre… La légende c’est celle de Robert Johnson à la croisée des chemins… On raconte qu’il avait vendu son âme au diable pour devenir un bluesman… Je pense au grand B.B. King, B.B. pour Blues Boy et son blues célèbre intitulé The thrill is gone Clapton avec les Cream avait fait y’a longtemps une version de Crossroads https://www.youtube.com/watch?v=PE9HvSdcaL4  Quoi dire du blues? Je l’ai souvent et j’ai fait un long bout de chemin en sa compagnie quoi dire de cet endroit impayable sur la rue Saint-Laurent ça s’appelait le G-Sharp et le mardi soir y’avait des jams sessions surtout du blues, la barmaid me détestais… Faut pas le chercher le blues c’est mortel, les jazzmens jouent ça aussi mais c’est plus sophistiqué… Quand t’a le blues tu veux souvent en finir… Je voulais m’acheter une Gretsch mais comme je veux c’est plus de trois mille dollars de quoi faire peur au diable. Je vais me contenter de gratter ma Yamaha c’est suffisant… Je me souviens de ce copain virtuose disparu, on s’assoyait devant une bière et on discutais des riffs de guitare de l’un ou de l’autre on était rendus au jazz… La climatisation est arrêté, je pense à la muddy waters, le Saint-Laurent c’est pas le Mississipi… Faut surtout pas que je recherche la Red House, c’est loin tout ça j’en écoute plus de blues, à l’époque j’avais bien aimé le Jazz blues fusion de John Mayall un autre de la british invasion… Avec l’ami on parlait du feeling qu’un guitariste donnait à sa guitare et par le fait même à ses auditeurs mélomanes… Parfois comme tous les bums de banlieue quand ils viennent en ville on mettait la musique à plein volume dans la voiture on se sentais bien smart… C’était l’été rue Saint-Denis on arrêtais sois au Quai des Brumes sois au Passeport parfois on descendait plus bas jusqu’au Hazard en faisant un détour par les Éclopés rue Rachel on avait pas encore découvert la rue Saint-Laurent… Ce serait vous mentir que d’écrire qu’on avait tué le blues le lendemain, c’était plus une question de hangover et d’alcoolisme pour d’autre… Au Central en haut du Quai des Brumes y’avait parfois un band sur le palier du troisième… Je me laissais dériver au son de la musique, seul j’avais plus de beer buddy… Je vous parle pas des bordels sans noms où je me retrouvais, l’hiver c’était difficile mais l’été comme ce soir on veillait tard. C’est la conclusion, merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!

Bernard