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Bonsoir!
Bonjour! Le climatiseur s’est arrêté le temps est redevenus plus frais… Je
souhaite un joyeux anniversaire à ma lectrice secrétaire retraité du syndicat
des enseignants du collège de l’Outaouais. C’est la soirée de vendredi à
samedi, j’ai redémarré le climatiseur encore aujourd’hui je vais rester chez
moi. J’ai pas besoin de sortir, je serais bien allé à la librairie mais c’est
trop risqué de reniflé des livres. Je vais plutôt regarder une série sur Netflix…
Minuit approche, un agent de l’Industrielle Alliance m’a téléphoné, j’ai pas
besoin d’assurance ni de placer de l’argent… C’était cet après-midi… Souvenir
de ces soirées d’ivresse rock’n’roll que j’aimais tant, la musique au fond… Je
retournerais quand même pas là c’est trop loin de ma recherche spirituelle…
Encore cette nuit les rues du goulag occidental sont désertes… Je connais des
soiffards qui ont hâte que les débits de boisson ouvrent, la bière solitaire du
dépanneur semble moins bonnes, ont parlent pas trop des pertes de profits des
brasseurs… Lentement je me réveille, j’avais l’habitude de m’entasser dans les
boîtes de nuit, mais oui ça se dis encore… Je sais pas pourquoi j’ai toujours
cette urgence de vous écrire et je file ces longues pages dans l’espoir de vous
dire… L’expression se cache, j’espère que j’ai pas perdus de lecteurs où lectrices.
Je cherche des souvenirs inédits j’avais presque déménagé avec un copain mais à
la dernière minute j’avais changé d’idée ça s’est avérée être une bonne
décision… J’étais jeune pris dans le cercle vicieux de l’alcoolisme, je travaillais
et je buvais c’était tout ce que je connaissais . J’ai bien essayé d’étudier
mais j’avais toujours « soif ». J’essais de vous écrire de l’inédit
mes annnées de galère… Je pense au psychiatre qui me demande pourquoi j’allais
pas chez les alcooliques anonymes. Je m’y suis finalement rendus et j’essais de
mettre le mode de vie en pratique. À la taverne on me conseillait de voir un
psy. Quand je faisait le questionnaire des A.A. j’étais toujours étonné de voir
que j’étais entouré d’alcoolique sans prendre conscience que j’en étais un… Je
pense que je vous ai raconté mes éternelles tournées ou je me cherchais quand j’arrivais
à l’hôtel je n’y étais plus… Samedi arrive, souvent dans les bars d’hôtels c’était
vide, je me souviens du show de Paul et Paul à l’hôtel de Sainte-Julienne… Le
confinement fait qu’on ne peut recevoir personne qu’il faut rester chez soi des
consignes de solitude… C’est nul tout ça, je fais le bilan et j’ai pas réalisé grand-chose
toujours dans le désespoir. Je pense au grand-père maternel qui déménageait
souvent… Voilà! C’est à peu près ça pour ce soir, j’essaye de vous écrire une
bonne conclusion, c’est difficile… Je profite de cette nuit calme, j’écoute ma
voix intérieure, y’a pas mieux comme écriture y’a que moi qui écris comme moi…
Lâchez-pas on y est presque. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu
jusque-là!!! Quelques mots encore à la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À
bientôt!!! Ciao!!! Bye!!!
Bernard

Bonsoir!
Bonjour! Ce soir on a travaillé par vidéo conférence sur notre présentation
contre la stigmatisation, on vas y arriver… J’ai dormis un peu c’est la nuit de
jeudi à vendredi avec les bars, les
tavernes et les brasseries qui sont fermés les alcooliques on plus vraiment d’endroit
pour aller boire… Surtout qu’aujourd’hui c’est jour de paye… J’entends le
bonhomme en triporteur devant les portes de la caisse rendre son verdict sur
une jeune fille souffrante qui attend, « ils ont fermés l’asile
Saint-Jean-de-Dieu et les voilà! » moi j’aurais aimé savoir ce qui a amené
la jeune fille là… Parfois dans le Centre-Sud tout tourne autour de ça, l’enfermement
du voisin, ce mot que je déteste « normal »… J’essaye maintenant d’être
tolérant avec la voisine elle souffre elle aussi… J’ai commencé à regarder une
série que ma lectrice Snowbirds de Gatineau m’a conseillé, « Casa del
papel » c’est bon… Ça se passe à Madrid je crois… À l’hôtel de la monnaie…
Ici place Émilie Gamelin y’a plus personne, le jour la souffrance se cache pour
commencer les petits traffic une fois la nuit tombée mais vous savez tout ça je
vous l’ai déjà raconté. Parfum d’Espagne je voyage pour pas cher, hier on
parlait de billet d’avion pour la France au mois d’août pour moins de six cent
dollars… Je sais pas quand ils vont ouvrir les frontières, levé les mesures de
quarantaine… Un jour je repartirai quelques jours vous direz mais c’est mieux
que pas du tout… Je fume plus, bois plus d’alcool mais je mange des bonbons à l’excès,
ça me rappelle mon enfance pourtant j’ai jamais été privé… Pour ce qui est du
COVID-19 je reste chez moi confiné, la crise est pas encore passée quand je
sors je porte un couvre visage… Quand j’arrive chez moi je me lave les mains,
je suis les consignes j’ai pas envie de commencer un deuxième confinement
surtout que le premier est pas finis je crois… Hier pendant notre réunion
virtuelle j’étais mêlé, j’ai finalement réussis à me rattraper, étrangement c’est
comme si ils étaient venus chez moi … Quand je suis allé à Madrid j’étais dans
un hôtel porte de Toledo… Y’avait une jolie petite terrasse devant… Mais non je
ne parle pas Castillan mais je me suis débrouillé avec du français et de l’anglais….
Cette nuit le climatiseur fonctionne à plein, le sommeil me rattrape. Voilà j’entre
dans la dernière partie, le dernier cinquième, je me gave de Life Savers, j’essais
de trouver sous quel angle je pourrais vous terminer ça… Je pense à tous les
artistes paralysés par le confinement, pas de show va falloir se contenter des
ciné-parcs… Moi j’y vais avec Netflix… Quelques mots encore pour la conclusion
l’épilogue. Je suis toujours content quand je termine même si parfois c’est pas
toujours réussis… Ça y est! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu
jusque-là!!! Je termine en vous souhaitant à la prochaine j’espère!!! C’est ça
vous pouvez abandonner!!! Au revoir!!! Ciao!!!
Bernard

Bonsoir!
Bonjour! Je suis sortis du lit. J’ai une suggestion d’émission de télé, la
même, par la snowbird de Gatineau et la super maman, des heures de plaisir! C’est
toujours la canicule, on a battus un record pour ce temps ci de l’année. Le
climatiseur fonctionne à fond… C’est terrible ces démangeaisons que j’ai aux
doigts, je vais mettre de la crème, je sais il faut se laver les mains souvent
je lâche pas même si ça fait mal… Ce soir j’ai une réunion virtuelle avec mes
deux collègues du centre d’apprentissage santé et rétablissement, je sais plus
trop où on est rendu ça fait tellement longtemps qu’on est sur pause, j’ai
regardé les documents… C’est la nuit de mercredi à jeudi j’attends l’appel
téléphonique de la travailleuse sociale ce matin… Quand ils parlent des « vieux »
à la télé j’ai de la difficulté à croire qu’à soixante-trois ans il s’agit de
moi. J’ai demandé conseil pour m’impliquer dans les soins au Centre hospitalier
de soins de longue durée on m’a dit qu’il
valait mieux que je m’occupe de moi c’est
déjà un poids de moins sur le personnel… C’est vrai qu’avec ma faible santé
mentale je deviendrais vite épuisé et inutile… Cette nuit je cherche l’inspiration,
je pense à tous ces ainées qui souffrent dans la chaleur, c’est tellement chaud
plusieurs vont vouloir se défenestré… Encore somnambule je cherchais quelque
chose qui n’existe pas… J’arrive pas à me souvenir de ce que c’était… Aujourd’hui
je sors pas j’ai déjà fait pas mal d’écart dans ma conduite, suis allés à la
caisse populaire quand c’était vraiment pas nécessaire… Ces jours ci c’est un
printemps à saveur d’été, y’a déjà du monde dans l’eau froide de la plage… Faut
se méfier l’eau est encore haute et le courant est fort… Pendant que tout le monde
dors moi j’écris, je pense à ces pays en guerre où c’est impossible de dormir
on a peur à sa vie… Pendant-ce temps-là ici, le jour les enfants s’amusent dans
les jets d’eau c’est rafraichissant… Le gouvernement mets en place des
consignes de dé-confinement un peu sur tout moi je préfère rester confiné… Je
sais il l’a dit le grand écrivain, personne va lire ça un journal du
confinement mais quand même pourquoi pas l’écrire ne serait-ce que pour moi, c’est
narcissique mais quelle écriture ne l’est pas… Je pense aux programmes du
gouvernement fédéral je suis éligible à aucun, les pauvres restent toujours pauvre…
Mais j’ai connus pire, je suis toujours étonné d’être encore vivant… Je trouve
plus quoi vous écrire j’approche de la chute la conclusion, la fusée est pas
partis, les policiers de Minneapolis ont tué un noir semble que le gars était
correct… Je vous écrirai pas un essais là-dessus… Cette nuit chez moi comme
souvent ça sent la bouffe. C’est pas mauvais… Voilà! Comme toujours je vous
remercie d’avoir lu jusque-là!!! Lâchez pas vous y êtes arrivé jusqu’ici, c’est
terminé!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!
Bernard
Bonsoir!
Bonjour! Je viens de me détendre en écoutant une émission voyage sur la région
des Pouilles en
Italie, c’est le talon de la botte Italienne. Encore du rêve peut-être une
destination pour après la pandémie de la Covid-19… Je rêve toujours de partir…
L’Italie c’est un beau pays je suis déjà allé au nord à Milan et à Trieste, ça
m’a marqué je vous en parle souvent… Malheureusement on ne peut plus partir, j’ai
le parfum des cafés italiens dans le nez… Ce soir c’est une canicule hâtive, y’a
longtemps que ça été si beau si tôt… Souvenir du train qui me berçait entre
Milan et Trieste… Partir en voyage c’est une chose mais en ce moment j’ai peur
de sortir et d’être infecté. Je reste chez moi c’est pas si mal il fait frais…
Je me souviens de ce restaurant où on avait mangé de la cochonnaille surement
inspiré de la Slovénie où de la Croatie à la frontière, c’était très bon et les
services étaient généreux… C’était une belle tendance de la santé mentale ces
voyages… J’en ai fait plusieurs grâce à la direction, la Covid-19 prend toute
la place on ne parle plus de pleine citoyenneté on est en mode survie… Je reste
confiné, je sors rarement et quand je sors je me cache le visage… Mes souvenirs
sont souvent olfactif… Je racontais à un ami que malgré tout j’avais plus
voyagé que mon père, lui faisait des voyages de pêches dans une pourvoirie sur
la côte nord à peu près à ce temps ci de l’année … Je pense à mon lecteur
technicien à la Rolls-Royce qui est un grand amateur de pêche, je me souviens
plus si il va au réservoir Gouin où au Baskatong. J’essayerais bien ça un jour…
Lentement c’est le dé-confinement, les campings, les pourvoiries et les
commerces vont ouvrir. Je m’ennuie quand même des aéroports j’aimais y flâner
avant de partir… Y’a pas de vols, pas d’avions et si on part on risque d’être
mis en quarantaine c’est pas un très beau voyage. J’irais peut-être voir les
snowbirds à Gatineau mais je vais attendre encore un peu question de respecter
la distanciation… Je sais pas si la super-maman me lis toujours, j’ai terminé
le visionnement de la série Dark sur Netflix je l’ai regardé au complet mais j’ai
pas trouvé ça très bon… Si elle a quelque chose d’autre à me suggérer qu’elle
ne se gêne pas. Voilà où j’en suis
accroché à la tévé, y’a la chanson de Bruce Springsteen, 57channels (nothin on)
https://www.youtube.com/watch?v=YAlDbP4tdqc Ça a vieillis un peu je sais plus combien y’a
de chaîne télé maintenant, des centaines? Voilà! La nuit est arrivé, mon
clavier sonne comme si je frappais sur une enclume, heureusement y’a pas le feu…
C’est étrange j’ai entendu un retour d’amplificateur ça nourris ma paranoïa mon
parfum de fin du monde … Comme toujours je vous remercie d’avoir lu
jusque-là!!! C’est terminé j’espère juste vous revoir pour une prochaine!!! Au
revoir!!! Ciao!!!
Bernard
Bonsoir! Bonjour! Déjà venu le temps du
climatiseur, je viens de le démarrer… C’est exceptionnel une canicule aussi tôt
dans la saison. Encore une tentative de mettre du gras sur mon senti, on dirais
que quand la douleur n’y est pas j’ai rien à dire… Y’a pas d’explication pour
mes textes ils se suffisent à eux même… Encore une couple d’émission de la
série Dark et j’ai terminé le visionnement… Faut vraiment que je sois désemparé
au bord de la psychose pour écrire un poème qui n’est pas nécessairement bon…
Je pense aux amis itinérants qui l’ont moins dur… Quand-même pour dormir dans
les rues y’a toujours l’humidité qui est difficile…
Un matin cru
Dans la rue
Ils continuent
Farfelu
Ces mots nus
Et moi perdu
Composant contigus
N’alarmant
plus
Des mots d’hurluberlu
C’est quand
c’est quoi
J’ai su
En ce moment
ardu
De mauvaise
rime qui pue
Comme un
mauvais tissu
Et si j’étais
poète
Je m’avouerais
battu
par toute
ces musiques issues
d’une
rengaine déchue
Voilà un poème dédié à Siou pour sa demande
spéciale. Quand j’en termine un comme ça je deviens sans mots… Je sais j’ai pas
le talent des grands paroliers français qui nous quittent l’un après l’autre, c’est
triste… Je sais pas où je vais avec ça
je serai pas décérébré de mon vivant c’est assez épeurant, un cerveau mort ça
vaux pas grand-chose… Comme écrire ça me rapporte pas financièrement je me dis
que je vaux pas grand-chose pourtant je suis entouré de gens qui m’aident, je
ne suis pas seul… Hier j’ai fait les courses j’aurai pas à sortir cette
semaine, j’ai acheté de quoi faire un pâté chinois. En ce moment je mange des chips, ça calme mon
angoisse… Je reste chez moi confiné à l’abri… Aujourd’hui il va faire chaud… J’essaye
de placer un peu d’humilité dans mon écriture, c’est pas facile j’y met
toujours trop d’emphase… C’est triste parfois la poésie, comment il y en a sous
couvert de licence poétique écrivent n’importe quoi, la poésie exige qu’on soit
grand sans demi-mesure… J’entends plus de poésie dans les médias… Je sais pas
pourquoi je m’entête à écrire dans ce milieu de multi-poqué faut que j’en
vienne à l’évidence j’en suis un moi aussi, la poésie c’est pas un repêchage d’équipes
sportives on est foncièrement seul… Je sais pas pourquoi je pense au regretté
Langevin, au franco ontarien Desbiens… et je rajoute Daoust par-dessus ça… Je
me répète quand même j’aime bien mes textes crus… Voilà que j’arrive à la
conclusion comme je l’écris toujours la partie la plus difficile du texte, c’est
comme l’écriture on en sort pas, je me suis condamné à écrire je crois que
seule la mort me sauveras. Sobre je suis sobre je ferais pas tout ça sous l’influence
de l’alcool… Je partirai pas sur la brosse… C’était ça pour le moment… Ils y
sont arrivés moi aussi je peu. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu
jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Ciao!!!
Bernard

Bonsoir!
Bonjour! Changement majeur j’ai installé le climatiseur… Me suis couché mais j’ai
pas dormis insomniaque que je suis… Suivis les conseils de la super-maman et je
regarde la série Dark, j’ai presque finis pour moi c’est pas une grande série…
C’est la nuit de dimanche à lundi, pour moi là aussi y’a pas grand changement,
je souffre toujours de schizophrénie et double confinement suis sans « boulot »…
J’espère que les amis de Gatineau ont fait une belle fête pour les quatre ans
de Raphaëlle… Je sais pas pourquoi je pense au Bistro Détour. Je crois que j’ai
rêvé au propriétaire qui étais partis travailler pour le Cirque du Soleil…Ce
soir c’est difficile de vous écrire toujours en confinement entendue une
nouvelle désolante on se plaignait que les gens avant la COVID-19 prenaient l’avion
comme on prenais l’autobus, mais oui ça devraient être toujours les mêmes qui
ont le droit au voyage… Trop de places, trop de vols, trop économiques
maintenant on nous dis restez chez vous… Dans deux ou trois ans si tout va bien
je retourne en France… C’est toujours de mon senti qu’il s’agit… J’ai une
pensée pour l’ami décédé juste avant la crise. J’avais presque oublié j’ai une
réunion Zoom ce matin… Le climatiseur fonctionne ça rafraichis le studio, Le
week-end est terminé j’aime pas tellement ça, la semaine passée j’ai pleuré parce que je suis incapable de prendre de
longues marches comme avant… J’essaye mais j’y arrive pas surtout que les cafés
sont fermés. Ouais! Dernière semaine de mai déjà, j’ai hâte que le salon de barbier
ouvre j’ai besoin d’une coupe de cheveux… L’ami est partis visiter une maison
dans Charlevoix, il veut s’installer là-bas, le climatiseur fonctionne toujours
bien il fait frais. On entre bientôt dans la nuit de lundi mais j’ai pas finis.
Je sais pas ce que je donnerais pour écrire un bon script et faire fortune…
Allons y quand-même avec humilité… Je pense que les enfants en dehors de
Montréal entrent à l’école aujourd’hui, ils sont surement très nerveux et
heureux de ce retour. Y’a tout à coup un parfum de pain qui lève, de levure, ça
sent bon… J’arrive pas à vous décrire mes éclats intérieurs, mettre un nom sur
ce senti qui fuit ne se laisse pas empoigner par la mer de mots… Muet lourd et
sourd voilà ce qu’il est le senti il ne s’ouvre pas… Souvent quand ça va mal j’ai
qu’à me rappeler ce séjour en maison de chambres comment c’étais difficile, j’étais
quand même malhonnête dans mon alcoolisme actif… J’ai cru mourir et j’ai perdus
bien des « amis ». Voilà! Je sais pas trop comment vous terminer ça,
je pense à des gens que j’ai pas vu depuis plus de vingt ans… C’est l’âge et la
ville le goulag occidental aussi… Conclusion, chûte, épilogue j’y arrive ne m’abandonnez pas…
Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque là!!! Faites le savoir si ça
vous a plus. À la prochaine je l’espère!!!
Bernard

Bonsoir!
Bonjour! Soirée de samedi à dimanche, je suis pas très inspirée. Je pense à
cette fille rencontré à la brasserie qui voulait que je lui parle du docteur
Ferron que j’ai beaucoup lu. J’étais trop saoul j’ai pas su quoi lui dire, je
crois que je lui ai parlé du Salut de l’Irlande et du Ciel de Québec,
L’amélanchier aussi à part des titres comme je le fait là j’ai pas su lui dire
grand-chose de peur de mélanger les
œuvres quoi que chacune très différentes, le ciel son peuple et ses Monseigneurs
, l’Amélanchier et sa Tinamer sa rive sud aussi avec un léger soupçon de Lewis
Carroll y’avait aussi un rappel d’Alice au pays des merveilles. Y’avait aussi
du Fond de mon arrière cuisine qui racontais ses années de soignants à
Saint-Jean-de-Dieu à l’époque son rapport avec les sœurs et la folie je pense
aussi Aux Roses sauvages une œuvre toute sensible qui parle des femmes et que
mon psy m’avait conseillée, les confitures de coings aussi qui si je me trompe
pas parle de l’indé pendance du Québec… Une correspondance aussi Le Désarroi
entre le docteur Bigras et le docteur Ferron, pour ceux qui veulent en savoir
plus l’internet grouille de renseignements, une œuvre quoi! Je reviens à mon
senti je suis pas un éxégète de Ferron, à l’institut universitaire de santé
mentale j’ai rencontré une femme de lettres qui a mis mon histoire dans un
livre… J’essaye de vous parler de mon
rapport avec les livres avec la littérature, les livres rarement j’ai eu
d’aussi bons compagnons ils étaient partout avec moi, les grands comme les
moins grands… La littérature m’a longtemps aidé à vivre la lourdeur du
quotidien… J’ai toujours cru qu’il y avait un moment dans une vie pour aborder
une œuvre la difficile de Claude Gauvreau pensionnaire de l’institut et son
destin tragique, ses étals mixtes quelques choses d’inabordable un long débat
lexical avec la langue… Je pense à Artaud à Brecht son opéra de quatre sous et
le classique Mack the knife… Quand à Artaud je pense à son Van Gogh le suicidé
de la société une exposition du musée du Quai d’Orsay https://culturezvous.com/van-gogh-artaud-suicide-societe-musee-dorsay/
Tout ça flirte beaucoup avec la folie moi je vous parle de ma difficulté
d’être je m’arracherai quand même pas une oreille… Ce soir c’est très doux un
peu moins difficile à vivre pour un itinérant… Les gens peuvent se réunir à dix
et à chacun deux mètres de distances… Je me suis toujours demandé dans quel
cercle fallait être pour publier, je suis pas enseignant… La folie c’est pas
suffisant, quand-même je vous donne à lire en espérant que ça vous distraie.
Voilà! C’est la chute la conclusion toujours difficile, quelques mots encore ne
m’abandonnez pas j’espère que ça vous
plait, dehors les gens se promènent en gueulant. Je suis heureux de vous avoir
écris encore cette nuit. Je termine comme toujours en vous remerciant d’avoir
lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!!
Bernard