mercredi 20 mai 2020

Portes


Bonsoir! Bonjour! Aujourd’hui on démarre sur une note plus joyeuse c’est l’anniversaire de la matriarche! Quatre vingt dix ans! Et elle est en pleine forme on rêve tous d’arriver là et d’être comme ça! C’est une dame très active qu’on espère garder encore longtemps… Pour ce qui est de mon senti ce soir ça va mieux, avec mon lecteur de Deux Montagnes on parlais de pardon mais je trouve que c’est pas simple, je sais pas comment faire pour pardonner enfin je me dis que je pardonne… On recolleras pas les pots cassés on reviendras pas en arrière mais je vous dis que j’ai aucun désir de vengeance… Je suis responsable j’aurais du me faire une vie malgré ça, malgré la psychose… Malgré le malheur, je vais essayer d’abandonner ça la pour ce soir… Je sais pas si je vous l’ais écrit j’ai un nouveau téléphone qui fonctionne très bien. Je me gênerai pas pour m’en servir. Je regrette d’avoir pris cette thématique hier je crois que j’en sortirai pas… Je crois que je vais prendre une pause d’écriture après ce texte ci… C’est malheureux je peux pas partir en voyage pour me ressourcer… Cette nuit c’est très doux je pense aux collègues itinérants qui peuvent rester dehors, les centres d’injections supervisées sont ouvert mais pas à pleine capacité j’en ai déjà vue s’injecter dehors sur le trottoir… Je sais pas si je me trompe mais on dirais que la ville se réveille que lentement elle sort du mode pause… J’apprécie vos offres de support mais pour le moment je me sens pas prêt à en partager plus, c’est difficile j’ai peur qu’on me trahisse encore… Je crois que la pandémie m’a ramené un peu en arrière dans des émotions du passé. Je me souviens que de ça ces émotions… J’ai envie de tout laisser tomber mais je sais pas quoi faire si j’écris pas ? Peut-être retourner aux cahiers? Je suis bien seul dans tout ça… J’entends ronronner un scooter, j’aimerais avoir ça un gros Vespa mais c’est cher… Il est plus questions de voyages les frontières sont fermées, c’est peut-être le confinement qui m’a ramené ces mauvais souvenirs, je me répète, je me répète… J’ai envie de pleurer, je crois que je brise plein de choses, la vérité à un prix et je sais pas si je suis prêt à le payer… Je pense que dès que les frontières seront ouvertes que la pandémie auras reculé, je retournerai à Paris rue Mouffetard… Voilà! Je suis presque à l’épilogue pour cette nuit, quelques mots encore pour vous dire que j’apprécie vos lectures, j’ai réussis à calmer la paranoïa quand même aussitôt chassée elle reviens… Faites-vous en pas trop je suis les consignes, je suis chez moi… Je vais essayer de me rétablir… Je sais plus trop à qui je dois faire confiance. Comme toutes mes conclusions toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Lâchez moi pas c’est terminé, à la prochaine je l’espère!!! Au revoir et à bientôt!!!

Bernard




mardi 19 mai 2020

Gaule


Bonsoir! Bonjour! C’est la nuit de mardi à mercredi, je fait ce que j’ai toujours désiré faire écrire. Y’a une personne qui me fait mal juste à pensés à elle, cette personne me lis j’ai pas de sympathie pour elle, cette personne m’a brisé c’est sa faute ma maladie du moins je crois, j’ai pas de preuve… Elle est la seule à se souvenir c’est toujours impossible de remonter l’estime que j’ai de moi, pour elle je ne suis qu’un plouc, je sais que personne veux m’entendre là-dessus sur cet abus c’est comme ça les autres sont toujours mieux… C’est mon senti de cette nuit cette personne me conseillais de consulter un psychologue, c’est pas de la névrose mon affaire c’est de la psychose j’ai besoin des soins de la psychiatrie, mais oui schizophrénie… Mon confinement il est double ou triple depuis des années à cause de lui, j’ai pas envie de pardonner quelque chose dont je me souviens pas précisément, l’abuseur le savait qu’il n’y aurais pas de souvenir, j’ai peur juste de vous raconter ça lui est respectable moi je suis moins que rien je trainerai ça pendant tout mon vivant. Je comprends pourquoi ma sœur s’est enlevé la vie… J’arrête là-dessus pour tout de suite… Je n’en prend qu’à moi… J’ai pas envie de vous le faire lire ce texte, je veux pas vous déranger je continue ma vie de la même façon que toujours, mon écriture est une sorte d’analyse je voudrais pleurer mais mon âme est sèche… Quand j’écris là-dessus je voudrais toujours m’excuser comme si c’était de ma faute. J’ai cherché longtemps le coupable même si je me trompe il est coupable de pas m’avoir aidé… On préfère toujours le silence dans ces choses-là. Je risque de perdre des lecteurs, lectrices pardonnez-moi c’est difficile, je suis prêt à tout nier mais elle est là la difficulté de dire… J’aurai vécu comme ça abrutis à écrire pendant la nuit. Je sais pas ce que je brise en vous racontant ça… Je crois pas que mon mal parte de rien, je pouvais pas faire autrement que de me ramasser avec les perdus, les multipoqués du bas de la ville, quel destin! Je croyais avoir enterré tout ça mais ça participe à mon rétablissement, c’est un sujet délicat j’y laisse des plumes, les adultes ils ont jamais rien su jamais rien vu, ils me laissaient seul et désemparé devant ce qui m’arrivais. Je croyais pas en avoir autant à écrire sur ce sujet, de l’échec est né l’échec mais un jour à la fois j’y arrive… Je peux pas écrire plus vrai mon écriture est toujours comme ça… Voilà! C’est presque l’épilogue pardonnez-moi d’avoir pris votre précieux temps pour vous faire lire ça… J’ai encore une fois essayer d’être vrai d’écrire à partir et avec mon angoisse… C’est la conclusion toujours difficile, j’y arrive, comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Quelques mots encore en espérant vous revoir dans une prochaine!!! Au revoir!!! À bientôt!!!

Bernard










Rime du désespoir


Encore une fois

J’ai brisé ma guitare

Je sais pas joué

Il est trop tard

Comment vous dire

C’est qu’un sonnard

Y’a rien de pire

J’en ai marre

De la musique

Je dois faire la part

Et la réplique

C’est le pétard

Pandémique

Loin de l’art

D’où je viens

C’est les zonards

Du bistro

Et le pinard

Allo! Allo!

C’est pas si rare

Le beau bateau

Laisse moé la barre

Mais oui c’est mirliton

Et ses bobards

De la poésie

Je serai jamais le phare

Une écriture retard…

Avant d’utiliser

Le buvard

Boire l’encre

Dans les encarts

lundi 18 mai 2020

Chorizo


Bonsoir! Bonjour! Ce soir j’ai souper d’une pizza assaisonnée de chorizo, c’étais bien c’étais bon. Sur les conseils de la super maman j’ai commencé à regarder la série Dark. Ça me fait beaucoup pensés à la série Twin Peak de David Lynch, c’est intéressant… J’ai essayé de dormir j’y suis pas arrivé… J’ai toujours sommeil… C’est pas évident d’écrire plutôt que dormir, hier on a eu une réunion virtuelle de notre groupe Reprendre Pouvoir c’étais bien de revoir ces visages, parfois dans ma folie schizophrénique je me sens responsable des malheurs de l’humanité, j’en suis la première raison, voyons! J’aime beaucoup regarder ces séries qui viennent d’ailleurs…J’ai les yeux qui ferment c’est pas à cause de la série… Je veux surtout pas vous endormir avec ce que j’écris pas d’écriture soporifique… Je pense que les belles journées de vols aériens sont passés, plus d’envolés les frontières et les aéroports fermés quand ça va reprendre ce seras à des coûts prohibitifs… C’est la crise!!!  Je reste chez moi confiné, je vais seulement sortir masqué et en respectant les consignes, lavé les mains, à deux mètres des gens et le masque... Je crois qu'il y  a encore des connards qui visitent la voisine… J’ai reçu mon nouveau téléphone il fonctionne bien… J’ai hâte de me faire couper les cheveux. Y’auras dé-confinement la semaine prochaine, je sais pas si quand vous lisez vous faites comme moi quand je l’écris vous cherchez la poésie? Je reviens avec mon senti de confiné, elle tousse je dois m’en méfier… Je pense à l’Italie à Milan qui dé-confine, les boutiques de luxe sont ouvertes, avec l’été qui arrive je crois que le coronavirus seras moins virulent… C’est toujours la nuit, je pense aux grands poètes décédés… Je préfère l’écriture en ligne à l’édition d’un recueil qui va rester sur les tablettes sans lecteurs… Y’a plein de dictons qui me viennent en tête, je les utiliserai pas… Je cherche la métaphore, j’ai regardé la définition j’essais d’en faire une bonne une belle poétique, sensible aux bouleversements… Je suis nostalgique des différents voyages que j’ai fait. Je crois que ces beaux jours sont terminés on va rester confiné, cloisonné… Une pensée pour les amis français du Centre Collaborateur de l’organisation mondiale de la santé… Je crois que les collaborations internationales du Centre universitaire de santé mentale de Montréal sont pas mal terminés, on iras plus à l’étranger COVID-19 oblige… Reste qu’un paiement à passé et le solde est à jours, rien de poétique là dedans… Voilà! C’est la chute abandonnez moi pas tout de suite, y’a un parfum d’orange cette nuit, je veux trop en faire pour terminer j’arrive à rien… Je souhaite faire une conclusion respectable quelques mots pour tenter de dire l’impossible… Je crois que c’est bien, je vous laisse quand même juge… Je pense à l’ami directeur adjoint en tout cas avant il l’étais, je sais pas si il me lis. Je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Ciao!!!

Bernard


dimanche 17 mai 2020

Ozark


Bonsoir! Bonjour! Aujourd’hui c’est fête de la reine ou fête de Dollars où fête des Patriotes on a le choix, ça dépend juste de nos orientations politique… C’est une journée férié mais de toute façon y’a plein de monde qui ont été mis à pied… J’entends les gens éternuer et tousser dehors je vais rester chez moi et me tenir à l’abri… Je pense à la géométrie j’ai jamais compris, j’ai pleinement conscience de l’angle dans lequel est ma fenêtre… Je pense à la Mezouzah chez moi sur le chambranle de la porte… J’ai encore des démangeaisons aux doigts, voilà! Hier le parc était plein de monde je crois qu’ils ne respectaient pas la consigne… Je réalise que je suis pas grand-chose c’est une nuit douce qui va plaire aux itinérants aux gens de la rue. Pour moi la race, la religion, la position sociale n’ont aucune importance, bien sur ça parait impressionnant mais l’important c’est les valeurs… Hé oui! Y’en a encore qui vont préférez passé la nuit dehors, ces nuits ci y’a surement de ces bars clandestins qu’on appelait des « blind pigs »  c’est pas parce qu’il y a un confinement que les toxicomanes vont cesser de consommer… J’ai des sentiments, des émotions que je suis incapable de nommer ça me rappelle mes vingt ans, le début de la maladie ce profond bourdonnement que j’entendais la peur l’angoisse… Ma vie maintenant elle est dans le bas de la ville, je ne retournerai pas dans la couronne nord trop de mauvais souvenirs… Les hobos je crois qu’ils arrivent tous dans le centre-sud ce que j’appelle le goulag occidental… Les restaurateurs ont remis le service à l’auto à la mode, on a remis les rues piétonnières en place mais y’a pas de terrasses pas de commerce d’ouvert… Ce matin j’ai une réunion virtuelle ça devrais être bien… Si vous saviez comment je désirais être poète, les poètes sérieux ce sont tous plus où moins enivré, absinthes, alcool pour après nommer leurs sentis leurs musique nominale… Ouais! L’odeur d’étable est loin de la ville, j’en ai gardé un bon souvenir, j’avais quand même peur du bœuf, ça mène à rien tous ça ce ne sont que des souvenirs épars… Je pense aux copains qui ont remplis leurs vies, je reviens toujours à ma dérive que j’ai cessé, un peu tard… Cette nuit il semble y avoir plus de circulation, j’ai laissé la fenêtre ouverte, j’écris rien là d’émouvant… Bon! C’est la partie la plus difficile, l’épilogue, la conclusion, je termine en pensant à ceux qui me détestent, qui voudrais bien que je fasse autre chose qu’écrire… Abandonnez moi pas tout de suite je suis pas toujours inspirés… L’idée c’est de ne pas me dénigrer, je sais pas si j’arrive comme ça a remonter l’estime que j’ai de moi, ça reste égocentrique… Voilà ça se termine de la manière habituelle, comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Encore un peu et ça y est. À la prochaine je l’espère!!!

Bernard

samedi 16 mai 2020

Proche


Bonsoir! Bonjour! J’étais couché j’arrivais pas à dormir. Je voulais sortir, j’ai vu l’heure qu’il étais, trop tard… Je vous écris… C’est la nuit de samedi à dimanche, je crois qu’en bas ils font le ramadan, ça discute fort… J’ai reçu mon nouveau téléphone, il fonctionne très bien… J’ai lavé et essuyé la vaisselle, rien de poétique là-dedans juste le quotidien plate… J’ai pas beaucoup de vocabulaire je raconte souvent avec les mêmes mots… Me suis préparé un café, souvenir de la gang de bum avec qui je buvais rue Saint-Laurent, pense à cette femme qui arrêtais pas de gueuler je l’aime! En parlant d’un copain qui l’avais laissé tomber… Mes comptes se payent lentement, je sais je devrais pas écrire ça c’est presque du domaine de l’intime… Dehors ça verdis, je pense à tous ces lieux de rencontre à Montréal qui seront fermé. À la télé ils nous inscrivent de rester chez nous… Hier le parc Jos Montferrand en face de chez moi était plein de monde, on semblait pas respecter les consignes, deux mètres entre chaque personnes, ça fait quand même du bien de voir ce parc vivant… Cette nuit y’a pas de douleur, plus tôt dans la soirée un voisin est venus discuter même si c’est interdit, il semblait s’ennuyer… Son discours avait pas beaucoup de bon sens, je l’ai quand même écouté… Ils parlent d’une deuxième vague du COVID-19 j’espère que j’y passerai pas… Je vais essayer de reprendre la marche faire plus que le tour du parc mes dernières longues marche c’était à San Francisco… J’aimais bien marcher longtemps et m’arrêter au café coin Laurier et Du Parc j’y mangeais un muffin tranquillement… Ça fait longtemps que j’ai marché dans Montréal, tout est fermé… Je pense à Café Rimbaud https://www.youtube.com/watch?v=R64FmexZcus la version de Faulkner est la meilleure, j’écoute ça avec de la nostalgie… Souvenir de la rue Saint-Denis en haut au nord de Sherbrooke on y marchais comme ça sans but, y’avait plein de café… Je m’assoyait à une table, j’attendait je ne sais qui… Une étudiante peut-être, une collégienne, elle est jamais venue je restais avec mon « amour » désespéré… J’ai perdus là beaucoup de temps à essayer de me remettre des psychoses à répétition, si vous saviez comme j’étais triste, drifting rue Saint-Denis… Je crois que j’ai gardé les cahiers et les carnets de cette époque je les ai jamais relu, je resterai toujours un poète inconnus… Bon! Le senti douloureux reviens, j’ai jamais rêvé de châteaux en Espagne, jamais su ce que je voulais la constante c’était d’écrire malgré tous les malgré… Je me sors les vers du nez pour vous raconter… Plus tard la Saint-Denis c’était la nuit, le Passeport, le Barouf, le Fridolin, le Central, le Quai des Brumes et combien d’autre encore on posait le pied dans l’un pour aussitôt repartir pour l’autre, on ne s’y trouvais pas. Je termine comme toujours en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! Au revoir!!! À bientôt!!! À la prochaine je l’espère!!!

Bernard




vendredi 15 mai 2020

Carreau


Bonsoir! Bonjour! Me voilà encore… J’ai entendu l’écrivain Pascal Bruckner sur France vingt-quatre parler contre les journaux de confinement. Il disait que personne veux lire ça en plus de rajouter qu’il y a trop « d’écrivains » et pas assez de lecteurs. Si il savait ce monsieur, les lectures que j’ai fait, que je fais toujours je crois pas l’avoir jamais lu. Je vais m’y mettre à la lecture de cet espèce de policier littéraire… Lui pourrais écrire et être édité mais moi je pourrais pas tenir ce journal avec mes quelques lecteurs lectrices, chez nous on appelle ça de la censure… Ça me fait penser à je sais plus qui déplorant l’apparition du livre de poche qui allais mettre la culture, la littérature dans les mains de tout le monde… Faudrait surtout pas écrire et rester abrutis, ce monsieur semble pas savoir ce qu’il me coute ce journal… Couronnons le ce Bruckner, le seul, l’unique maître de l’intelligentsia après lui le déluge où le coronavirus… Tout le monde devrait être égal sauf lui, moi je suis prolétaire et devrais le rester ce que j’écris ça intéresse personne… Je cherche toujours à nommer cette mauvaise émotion que j’ai eu à l’entendre ce bon vieux  bourgeois… Quand on a pas fait les grandes écoles on devrais se taire! Mais moi je dis non j’ai pas besoin de sa permission… À l’entendre le pouvoir comme le savoir faudrait que ça reste dans les mêmes mains, on devrais se contenter d’écrire des vers de mirliton… Semble pas savoir le scribe ce que ça fait d’être doublement confiné par le virus et la maladie mentale, écrire pour chercher un espace de liberté, bloqué un peu la psychose, l’agitation du ciboulot comme l’écrivait un grand… J’ai envie de revenir à mon senti dans cet à peu près désert du goulag occidental, tout le monde se couvre le visage… Cet après-midi j’ai eu chaud, je suis arrivé à déposer un chèque dans le guichet automatique mais j’ai eu de la difficulté à payer mon passage dans le métro… Je suis incapable de nommer l’émotion c’est je crois à partir de là qu’il faut que je me taise, la pandémie me désempare… J’ai regardé un film québécois très bon ça s’intitule Jusqu’au déclin c’est un thriller disponible sur Netflix, je le conseille à tout le monde mais je m’égare je m’égare… Le mois de mai s’en va mais la pandémie reste avec nous, y’a pas de vaccin contre le virus pas plus qu’il y en a contre l’écriture. Je vous illustre ça avec une photo de Paris qui pour moi est la capitale de la littérature… J’espère que mon journal du confinement vous plait, la schizophrénie m’a  laissé un peu depuis que je connais mon environnement… N’abandonnez pas tout de suite je termine pendant que le voisin du bas recommence à gueuler, voilà! C’est tout, comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque là!!!  J’arrive à la conclusion la partie la plus difficile, à la prochaine!!!

Bernard