Bonsoir!
Bonjour! Ce soir j’ai souper d’une pizza assaisonnée de chorizo, c’étais bien c’étais
bon. Sur les conseils de la super maman j’ai commencé à regarder la série Dark.
Ça me fait beaucoup pensés à la série Twin Peak de David Lynch, c’est
intéressant… J’ai essayé de dormir j’y suis pas arrivé… J’ai toujours sommeil…
C’est pas évident d’écrire plutôt que dormir, hier on a eu une réunion
virtuelle de notre groupe Reprendre Pouvoir c’étais bien de revoir ces visages,
parfois dans ma folie schizophrénique je me sens responsable des malheurs de l’humanité,
j’en suis la première raison, voyons! J’aime beaucoup regarder ces séries qui
viennent d’ailleurs…J’ai les yeux qui ferment c’est pas à cause de la série… Je
veux surtout pas vous endormir avec ce que j’écris pas d’écriture soporifique…
Je pense que les belles journées de vols aériens sont passés, plus d’envolés
les frontières et les aéroports fermés quand ça va reprendre ce seras à des
coûts prohibitifs… C’est la crise!!! Je
reste chez moi confiné, je vais seulement sortir masqué et en respectant les
consignes, lavé les mains, à deux mètres des gens et le masque... Je crois qu'il
y a encore des connards qui visitent la
voisine… J’ai reçu mon nouveau téléphone il fonctionne bien… J’ai hâte de me
faire couper les cheveux. Y’auras dé-confinement la semaine prochaine, je sais
pas si quand vous lisez vous faites comme moi quand je l’écris vous cherchez la
poésie? Je reviens avec mon senti de confiné, elle tousse je dois m’en méfier…
Je pense à l’Italie à Milan qui dé-confine, les boutiques de luxe sont ouvertes,
avec l’été qui arrive je crois que le coronavirus seras moins virulent… C’est
toujours la nuit, je pense aux grands poètes décédés… Je préfère l’écriture en
ligne à l’édition d’un recueil qui va rester sur les tablettes sans lecteurs… Y’a
plein de dictons qui me viennent en tête, je les utiliserai pas… Je cherche la
métaphore, j’ai regardé la définition j’essais d’en faire une bonne une belle
poétique, sensible aux bouleversements… Je suis nostalgique des différents
voyages que j’ai fait. Je crois que ces beaux jours sont terminés on va rester
confiné, cloisonné… Une pensée pour les amis français du Centre Collaborateur
de l’organisation mondiale de la santé… Je crois que les collaborations
internationales du Centre universitaire de santé mentale de Montréal sont pas
mal terminés, on iras plus à l’étranger COVID-19 oblige… Reste qu’un paiement à
passé et le solde est à jours, rien de poétique là dedans… Voilà! C’est la
chute abandonnez moi pas tout de suite, y’a un parfum d’orange cette nuit, je
veux trop en faire pour terminer j’arrive à rien… Je souhaite faire une
conclusion respectable quelques mots pour tenter de dire l’impossible… Je crois
que c’est bien, je vous laisse quand même juge… Je pense à l’ami directeur
adjoint en tout cas avant il l’étais, je sais pas si il me lis. Je termine en
vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Ciao!!!
Bonsoir!
Bonjour! Aujourd’hui c’est fête de la reine ou fête de Dollars où fête des Patriotes
on a le choix, ça dépend juste de nos orientations politique… C’est une journée
férié mais de toute façon y’a plein de monde qui ont été mis à pied… J’entends
les gens éternuer et tousser dehors je vais rester chez moi et me tenir à l’abri…
Je pense à la géométrie j’ai jamais compris, j’ai pleinement conscience de l’angle
dans lequel est ma fenêtre… Je pense à la Mezouzah chez moi sur le chambranle
de la porte… J’ai encore des démangeaisons aux doigts, voilà! Hier le parc
était plein de monde je crois qu’ils ne respectaient pas la consigne… Je
réalise que je suis pas grand-chose c’est une nuit douce qui va plaire aux
itinérants aux gens de la rue. Pour moi la race, la religion, la position
sociale n’ont aucune importance, bien sur ça parait impressionnant mais l’important
c’est les valeurs… Hé oui! Y’en a encore qui vont préférez passé la nuit dehors,
ces nuits ci y’a surement de ces bars clandestins qu’on appelait des « blind
pigs » c’est pas parce qu’il y a un
confinement que les toxicomanes vont cesser de consommer… J’ai des sentiments,
des émotions que je suis incapable de nommer ça me rappelle mes vingt ans, le
début de la maladie ce profond bourdonnement que j’entendais la peur l’angoisse…
Ma vie maintenant elle est dans le bas de la ville, je ne retournerai pas dans
la couronne nord trop de mauvais souvenirs… Les hobos je crois qu’ils arrivent
tous dans le centre-sud ce que j’appelle le goulag occidental… Les
restaurateurs ont remis le service à l’auto à la mode, on a remis les rues
piétonnières en place mais y’a pas de terrasses pas de commerce d’ouvert… Ce
matin j’ai une réunion virtuelle ça devrais être bien… Si vous saviez comment
je désirais être poète, les poètes sérieux ce sont tous plus où moins enivré,
absinthes, alcool pour après nommer leurs sentis leurs musique nominale… Ouais!
L’odeur d’étable est loin de la ville, j’en ai gardé un bon souvenir, j’avais
quand même peur du bœuf, ça mène à rien tous ça ce ne sont que des souvenirs épars…
Je pense aux copains qui ont remplis leurs vies, je reviens toujours à ma
dérive que j’ai cessé, un peu tard… Cette nuit il semble y avoir plus de
circulation, j’ai laissé la fenêtre ouverte, j’écris rien là d’émouvant… Bon! C’est
la partie la plus difficile, l’épilogue, la conclusion, je termine en pensant à
ceux qui me détestent, qui voudrais bien que je fasse autre chose qu’écrire…
Abandonnez moi pas tout de suite je suis pas toujours inspirés… L’idée c’est de
ne pas me dénigrer, je sais pas si j’arrive comme ça a remonter l’estime que j’ai
de moi, ça reste égocentrique… Voilà ça se termine de la manière habituelle,
comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Encore un peu et ça y
est. À la prochaine je l’espère!!!
Bonsoir!
Bonjour! J’étais couché j’arrivais pas à dormir. Je voulais sortir, j’ai vu l’heure
qu’il étais, trop tard… Je vous écris… C’est la nuit de samedi à dimanche, je
crois qu’en bas ils font le ramadan, ça discute fort… J’ai reçu mon nouveau téléphone,
il fonctionne très bien… J’ai lavé et essuyé la vaisselle, rien de poétique
là-dedans juste le quotidien plate… J’ai pas beaucoup de vocabulaire je raconte
souvent avec les mêmes mots… Me suis préparé un café, souvenir de la gang de
bum avec qui je buvais rue Saint-Laurent, pense à cette femme qui arrêtais pas
de gueuler je l’aime! En parlant d’un copain qui l’avais laissé tomber… Mes
comptes se payent lentement, je sais je devrais pas écrire ça c’est presque du
domaine de l’intime… Dehors ça verdis, je pense à tous ces lieux de rencontre à
Montréal qui seront fermé. À la télé ils nous inscrivent de rester chez nous…
Hier le parc Jos Montferrand en face de chez moi était plein de monde, on
semblait pas respecter les consignes, deux mètres entre chaque personnes, ça
fait quand même du bien de voir ce parc vivant… Cette nuit y’a pas de douleur,
plus tôt dans la soirée un voisin est venus discuter même si c’est interdit, il
semblait s’ennuyer… Son discours avait pas beaucoup de bon sens, je l’ai quand
même écouté… Ils parlent d’une deuxième vague du COVID-19 j’espère que j’y
passerai pas… Je vais essayer de reprendre la marche faire plus que le tour du
parc mes dernières longues marche c’était à San Francisco… J’aimais bien
marcher longtemps et m’arrêter au café coin Laurier et Du Parc j’y mangeais un
muffin tranquillement… Ça fait longtemps que j’ai marché dans Montréal, tout
est fermé… Je pense à Café Rimbaud https://www.youtube.com/watch?v=R64FmexZcus
la version de Faulkner est la meilleure, j’écoute ça avec de la nostalgie…
Souvenir de la rue Saint-Denis en haut au nord de Sherbrooke on y marchais
comme ça sans but, y’avait plein de café… Je m’assoyait à une table, j’attendait
je ne sais qui… Une étudiante peut-être, une collégienne, elle est jamais venue
je restais avec mon « amour » désespéré… J’ai perdus là beaucoup de temps
à essayer de me remettre des psychoses à répétition, si vous saviez comme j’étais
triste, drifting rue Saint-Denis… Je crois que j’ai gardé les cahiers et les
carnets de cette époque je les ai jamais relu, je resterai toujours un poète
inconnus… Bon! Le senti douloureux reviens, j’ai jamais rêvé de châteaux en Espagne,
jamais su ce que je voulais la constante c’était d’écrire malgré tous les
malgré… Je me sors les vers du nez pour vous raconter… Plus tard la Saint-Denis
c’était la nuit, le Passeport, le Barouf, le Fridolin, le Central, le Quai des
Brumes et combien d’autre encore on posait le pied dans l’un pour aussitôt
repartir pour l’autre, on ne s’y trouvais pas. Je termine comme toujours en
vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! Au revoir!!! À bientôt!!! À la prochaine
je l’espère!!!
Bonsoir!
Bonjour! Me voilà encore… J’ai entendu l’écrivain Pascal Bruckner sur France vingt-quatre
parler contre les journaux de confinement. Il disait que personne veux lire ça
en plus de rajouter qu’il y a trop « d’écrivains » et pas assez de
lecteurs. Si il savait ce monsieur, les lectures que j’ai fait, que je fais
toujours je crois pas l’avoir jamais lu. Je vais m’y mettre à la lecture de cet
espèce de policier littéraire… Lui pourrais écrire et être édité mais moi je
pourrais pas tenir ce journal avec mes quelques lecteurs lectrices, chez nous
on appelle ça de la censure… Ça me fait penser à je sais plus qui déplorant l’apparition
du livre de poche qui allais mettre la culture, la littérature dans les mains
de tout le monde… Faudrait surtout pas écrire et rester abrutis, ce monsieur
semble pas savoir ce qu’il me coute ce journal… Couronnons le ce Bruckner, le
seul, l’unique maître de l’intelligentsia après lui le déluge où le coronavirus…
Tout le monde devrait être égal sauf lui, moi je suis prolétaire et devrais le
rester ce que j’écris ça intéresse personne… Je cherche toujours à nommer cette
mauvaise émotion que j’ai eu à l’entendre ce bon vieuxbourgeois… Quand on a pas fait les grandes
écoles on devrais se taire! Mais moi je dis non j’ai pas besoin de sa
permission… À l’entendre le pouvoir comme le savoir faudrait que ça reste dans
les mêmes mains, on devrais se contenter d’écrire des vers de mirliton… Semble
pas savoir le scribe ce que ça fait d’être doublement confiné par le virus et
la maladie mentale, écrire pour chercher un espace de liberté, bloqué un peu la
psychose, l’agitation du ciboulot comme l’écrivait un grand… J’ai envie de
revenir à mon senti dans cet à peu près désert du goulag occidental, tout le
monde se couvre le visage… Cet après-midi j’ai eu chaud, je suis arrivé à
déposer un chèque dans le guichet automatique mais j’ai eu de la difficulté à
payer mon passage dans le métro… Je suis incapable de nommer l’émotion c’est je
crois à partir de là qu’il faut que je me taise, la pandémie me désempare… J’ai
regardé un film québécois très bon ça s’intitule Jusqu’au déclin c’est un
thriller disponible sur Netflix, je le conseille à tout le monde mais je m’égare
je m’égare… Le mois de mai s’en va mais la pandémie reste avec nous, y’a pas de
vaccin contre le virus pas plus qu’il y en a contre l’écriture. Je vous illustre
ça avec une photo de Paris qui pour moi est la capitale de la littérature… J’espère
que mon journal du confinement vous plait, la schizophrénie m’alaissé un peu depuis que je connais mon
environnement… N’abandonnez pas tout de suite je termine pendant que le voisin
du bas recommence à gueuler, voilà! C’est tout, comme toujours je vous remercie
d’avoir lu jusque là!!!J’arrive à la
conclusion la partie la plus difficile, à la prochaine!!!
Bonsoir!
Bonjour! J’ai une pièce de Led Zeppelin en tête Thank you ça s’intitule https://www.youtube.com/watch?v=u1z4vkPWkLQLed Zep c’est vraiment de bons souvenirs pour
moi, une musique à laquelle j’étais accroché. J’aurais tant aimé chanter… J’ai
aucune notion de solfège, à l’école j’avais une flute alto, j’ai pas eu la
patience d’apprendre par le commencement je voulais la guitare tout de suite… Y’a
un moment que j’ai cessé de me faire des illusions j’étais très mauvais en
classe, je comprends pas pourquoi on m’a pas aidé peut-être parce que je l’ai
pas demandé? Déjà à ce moment-là je crois que la maladie mentale se présentais…
Maintenant les copains ont fait leurs vie élevé leurs famille moi je voulais
autre chose je sais pas quoi, j’avais un profond désir de changer le monde ce
qui évidemment est pas arrivé… J’avais pas de talent pour le bonheur, je crois
qu’il faut être un peu cave… Ils se sont tous rangé, comme chantait le chanteur
« la gang a splitté »… J’ai étiré ça autant que j’ai pu, la bande
était toxique je l’ai laissé tomber… Je sais pas si j’arrive à faire une « œuvre »
dans ce grandn’importe quoi que sont
les réseaux sociaux, toujours la toune en tête et cette salope d’adolescence…
Bon! Laissons là la révolte c’est inutile, j’essais de « créer » à
partir de mon profond sentiment de solitude… Je savais pas j’étais ignorant
comme j’avais pas ce que je voulais je pensais qu’à me détruire en fréquentant
la taverne et des gens peu recommandables… Douleur en pensant à ce gars qui m’avait
sacré une volée dans l’ascenseur… Ces jours ci je pense souvent à la souffrance
morale, à la perte de mon identité si jamais j’en ai eu une… J’essais de
trouver mes repères. Je pense aux ainés c’est là que je m’en vais… Je pense à
la matriarche qui auras bientôt quatre-vingt-dix ans… Je suis un peu vieux pour
me refaire… J’ai beaucoup d’amis qui sont disparus… Je pense aux jours
meilleurs qui risquent d’arriver quand j’aurai soixante-cinq ans que je serai
un bonhomme finis… Ce seras mes chroniques de la COVID-19… Je sais c’est à
manger pour les humoristes… Je trouve pas quoi vous écrire, je veux pas finir
dans un centre hospitalier et de soins de longues durées… J’ai quand même hâte
que le confinement sois levé pour prendre un café sur une terrasse… On nous dis
de rester chez soi dans son appartement dans son quartier, ça me manque
beaucoup ces longues marches que je faisais. Je me dis toujours je vais m’y
remettre mais j’y arrive pas… Je croyais être encore jeune mais je suis plus
une prime jeunesse, mon esprit est pas très âgé c’est le physique qui suis pas…
Je vous écris et je vois pas le temps passer. Quelques mots encore pour la
conclusion… « C’est dans le mois de mai… Que les femmes sont belles au
gaie » Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!!
Bonsoir!
Bonjour! Je suis découragé mais je persiste à écrire, les beaux jours viendront…
J’ai mes couvre visages.., Ils en sont déjà aux vacances… J’ai vu qu’en France ils
ouvraient les vols internationauxeuropéens… Je suis pas triste j’accumule mes forces pour les combats à venir,
hier je suis sortis quelques minutes j’ai fait le tour du parc d’en face…
Finalementj’ai bien aimé la série « The
Eddy ». J’ai le souvenir de voisins bipolaire qui détestait le quartier
incapable de dire que le mal venait de leur intérieur… de leur âme…Aujourd’hui je me confine, j’attends le
meilleur à l’intérieur… Le poète Harel écrivait, « à se tord le corps» je
crois que c’était dans la chanson l’Agriculture… Hier j’ai reçu un courriel d’hameçonnage
y’en a toujours pour mal faire… J’ai pris une douche je sens bon mais j’ai
souvenir de ces psychoses où je croyais puer… C’est déjà jeudi les jours
passent pourtant je suis dans la nuit… La haine y’en a beaucoup… Tout le monde
devrais être chez soi, les bars et les restaurants sont fermés… Je me creuse l’âme
à la pelle, ça fait mal c’est lourd une douleur pesante… Je devrais jeter mes
sentiments dans le caniveau… La ville est morte, je vais essayer d’être économe
avec les masques, aujourd’hui j’ai pas affaire à sortir… Tout à coup y’a un bon
parfum ça fait plaisir c’est très vanillé… J’ai toujours souvenir de la galère,
c’était difficile jusqu’au moment où j’ai choisis de me rétablir… Je suis loin
d’avoir perdus mon sens olfactif, y’a plein de bonnes odeurs d’avant les
départs en voyage… J’entendais ronronner un moteur c’était un camion- citerne
municipal qui faisait le plein d’eau à une borne fontaine… Les itinérants
ont repris la nuit, le temps est plus doux quand même ils risquent d’avoir le
corona virus… Viens d’écouter une vibrante et émouvante interprétation d’avec
le temps de Léo Ferré par la toujours magnifique et prenante Isabelle Boulay https://www.youtube.com/watch?v=ehLvMt3k5zcJe vous écris et la nuit passe, j’espère
accompagné mes lecteurs insomniaques… La rue est redevenue calme mais oui je
suis toujours dans ce que j’ai baptisé le goulag occidental… Je parlerai pas d’avant
c’est de la nostalgie inutile… Je pense à ce chambreur … Mais non je vais pas
là c’était un vétéran alcoolique atteins de problèmes neurologiques… Ça fait
plus de vingt-cinq ans de ça… Pour passer au travers de mes multiples psychoses
je me ramenais souvent avec « ici maintenant ». J’ai toujours ce
sentiment de persécution, je crois qu’on aurait aimé que je rechute, parfois j’ai
de la difficulté à me pardonner mes gaffes d’alcoolique actif , je sais que
pour beaucoup je suis un pauvre plouc, un pauvre type… Pardonnez-moi… Voilà! J’arrive
à la conclusion, quelques mots encore selon la formule consacrée, mes bêtises
je les ai payées… Je sors de là avec difficulté, épiloguer c’est pas facile.
Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!!
Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!! Bye!!!