mardi 19 mai 2020

Rime du désespoir


Encore une fois

J’ai brisé ma guitare

Je sais pas joué

Il est trop tard

Comment vous dire

C’est qu’un sonnard

Y’a rien de pire

J’en ai marre

De la musique

Je dois faire la part

Et la réplique

C’est le pétard

Pandémique

Loin de l’art

D’où je viens

C’est les zonards

Du bistro

Et le pinard

Allo! Allo!

C’est pas si rare

Le beau bateau

Laisse moé la barre

Mais oui c’est mirliton

Et ses bobards

De la poésie

Je serai jamais le phare

Une écriture retard…

Avant d’utiliser

Le buvard

Boire l’encre

Dans les encarts

lundi 18 mai 2020

Chorizo


Bonsoir! Bonjour! Ce soir j’ai souper d’une pizza assaisonnée de chorizo, c’étais bien c’étais bon. Sur les conseils de la super maman j’ai commencé à regarder la série Dark. Ça me fait beaucoup pensés à la série Twin Peak de David Lynch, c’est intéressant… J’ai essayé de dormir j’y suis pas arrivé… J’ai toujours sommeil… C’est pas évident d’écrire plutôt que dormir, hier on a eu une réunion virtuelle de notre groupe Reprendre Pouvoir c’étais bien de revoir ces visages, parfois dans ma folie schizophrénique je me sens responsable des malheurs de l’humanité, j’en suis la première raison, voyons! J’aime beaucoup regarder ces séries qui viennent d’ailleurs…J’ai les yeux qui ferment c’est pas à cause de la série… Je veux surtout pas vous endormir avec ce que j’écris pas d’écriture soporifique… Je pense que les belles journées de vols aériens sont passés, plus d’envolés les frontières et les aéroports fermés quand ça va reprendre ce seras à des coûts prohibitifs… C’est la crise!!!  Je reste chez moi confiné, je vais seulement sortir masqué et en respectant les consignes, lavé les mains, à deux mètres des gens et le masque... Je crois qu'il y  a encore des connards qui visitent la voisine… J’ai reçu mon nouveau téléphone il fonctionne bien… J’ai hâte de me faire couper les cheveux. Y’auras dé-confinement la semaine prochaine, je sais pas si quand vous lisez vous faites comme moi quand je l’écris vous cherchez la poésie? Je reviens avec mon senti de confiné, elle tousse je dois m’en méfier… Je pense à l’Italie à Milan qui dé-confine, les boutiques de luxe sont ouvertes, avec l’été qui arrive je crois que le coronavirus seras moins virulent… C’est toujours la nuit, je pense aux grands poètes décédés… Je préfère l’écriture en ligne à l’édition d’un recueil qui va rester sur les tablettes sans lecteurs… Y’a plein de dictons qui me viennent en tête, je les utiliserai pas… Je cherche la métaphore, j’ai regardé la définition j’essais d’en faire une bonne une belle poétique, sensible aux bouleversements… Je suis nostalgique des différents voyages que j’ai fait. Je crois que ces beaux jours sont terminés on va rester confiné, cloisonné… Une pensée pour les amis français du Centre Collaborateur de l’organisation mondiale de la santé… Je crois que les collaborations internationales du Centre universitaire de santé mentale de Montréal sont pas mal terminés, on iras plus à l’étranger COVID-19 oblige… Reste qu’un paiement à passé et le solde est à jours, rien de poétique là dedans… Voilà! C’est la chute abandonnez moi pas tout de suite, y’a un parfum d’orange cette nuit, je veux trop en faire pour terminer j’arrive à rien… Je souhaite faire une conclusion respectable quelques mots pour tenter de dire l’impossible… Je crois que c’est bien, je vous laisse quand même juge… Je pense à l’ami directeur adjoint en tout cas avant il l’étais, je sais pas si il me lis. Je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Ciao!!!

Bernard


dimanche 17 mai 2020

Ozark


Bonsoir! Bonjour! Aujourd’hui c’est fête de la reine ou fête de Dollars où fête des Patriotes on a le choix, ça dépend juste de nos orientations politique… C’est une journée férié mais de toute façon y’a plein de monde qui ont été mis à pied… J’entends les gens éternuer et tousser dehors je vais rester chez moi et me tenir à l’abri… Je pense à la géométrie j’ai jamais compris, j’ai pleinement conscience de l’angle dans lequel est ma fenêtre… Je pense à la Mezouzah chez moi sur le chambranle de la porte… J’ai encore des démangeaisons aux doigts, voilà! Hier le parc était plein de monde je crois qu’ils ne respectaient pas la consigne… Je réalise que je suis pas grand-chose c’est une nuit douce qui va plaire aux itinérants aux gens de la rue. Pour moi la race, la religion, la position sociale n’ont aucune importance, bien sur ça parait impressionnant mais l’important c’est les valeurs… Hé oui! Y’en a encore qui vont préférez passé la nuit dehors, ces nuits ci y’a surement de ces bars clandestins qu’on appelait des « blind pigs »  c’est pas parce qu’il y a un confinement que les toxicomanes vont cesser de consommer… J’ai des sentiments, des émotions que je suis incapable de nommer ça me rappelle mes vingt ans, le début de la maladie ce profond bourdonnement que j’entendais la peur l’angoisse… Ma vie maintenant elle est dans le bas de la ville, je ne retournerai pas dans la couronne nord trop de mauvais souvenirs… Les hobos je crois qu’ils arrivent tous dans le centre-sud ce que j’appelle le goulag occidental… Les restaurateurs ont remis le service à l’auto à la mode, on a remis les rues piétonnières en place mais y’a pas de terrasses pas de commerce d’ouvert… Ce matin j’ai une réunion virtuelle ça devrais être bien… Si vous saviez comment je désirais être poète, les poètes sérieux ce sont tous plus où moins enivré, absinthes, alcool pour après nommer leurs sentis leurs musique nominale… Ouais! L’odeur d’étable est loin de la ville, j’en ai gardé un bon souvenir, j’avais quand même peur du bœuf, ça mène à rien tous ça ce ne sont que des souvenirs épars… Je pense aux copains qui ont remplis leurs vies, je reviens toujours à ma dérive que j’ai cessé, un peu tard… Cette nuit il semble y avoir plus de circulation, j’ai laissé la fenêtre ouverte, j’écris rien là d’émouvant… Bon! C’est la partie la plus difficile, l’épilogue, la conclusion, je termine en pensant à ceux qui me détestent, qui voudrais bien que je fasse autre chose qu’écrire… Abandonnez moi pas tout de suite je suis pas toujours inspirés… L’idée c’est de ne pas me dénigrer, je sais pas si j’arrive comme ça a remonter l’estime que j’ai de moi, ça reste égocentrique… Voilà ça se termine de la manière habituelle, comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Encore un peu et ça y est. À la prochaine je l’espère!!!

Bernard

samedi 16 mai 2020

Proche


Bonsoir! Bonjour! J’étais couché j’arrivais pas à dormir. Je voulais sortir, j’ai vu l’heure qu’il étais, trop tard… Je vous écris… C’est la nuit de samedi à dimanche, je crois qu’en bas ils font le ramadan, ça discute fort… J’ai reçu mon nouveau téléphone, il fonctionne très bien… J’ai lavé et essuyé la vaisselle, rien de poétique là-dedans juste le quotidien plate… J’ai pas beaucoup de vocabulaire je raconte souvent avec les mêmes mots… Me suis préparé un café, souvenir de la gang de bum avec qui je buvais rue Saint-Laurent, pense à cette femme qui arrêtais pas de gueuler je l’aime! En parlant d’un copain qui l’avais laissé tomber… Mes comptes se payent lentement, je sais je devrais pas écrire ça c’est presque du domaine de l’intime… Dehors ça verdis, je pense à tous ces lieux de rencontre à Montréal qui seront fermé. À la télé ils nous inscrivent de rester chez nous… Hier le parc Jos Montferrand en face de chez moi était plein de monde, on semblait pas respecter les consignes, deux mètres entre chaque personnes, ça fait quand même du bien de voir ce parc vivant… Cette nuit y’a pas de douleur, plus tôt dans la soirée un voisin est venus discuter même si c’est interdit, il semblait s’ennuyer… Son discours avait pas beaucoup de bon sens, je l’ai quand même écouté… Ils parlent d’une deuxième vague du COVID-19 j’espère que j’y passerai pas… Je vais essayer de reprendre la marche faire plus que le tour du parc mes dernières longues marche c’était à San Francisco… J’aimais bien marcher longtemps et m’arrêter au café coin Laurier et Du Parc j’y mangeais un muffin tranquillement… Ça fait longtemps que j’ai marché dans Montréal, tout est fermé… Je pense à Café Rimbaud https://www.youtube.com/watch?v=R64FmexZcus la version de Faulkner est la meilleure, j’écoute ça avec de la nostalgie… Souvenir de la rue Saint-Denis en haut au nord de Sherbrooke on y marchais comme ça sans but, y’avait plein de café… Je m’assoyait à une table, j’attendait je ne sais qui… Une étudiante peut-être, une collégienne, elle est jamais venue je restais avec mon « amour » désespéré… J’ai perdus là beaucoup de temps à essayer de me remettre des psychoses à répétition, si vous saviez comme j’étais triste, drifting rue Saint-Denis… Je crois que j’ai gardé les cahiers et les carnets de cette époque je les ai jamais relu, je resterai toujours un poète inconnus… Bon! Le senti douloureux reviens, j’ai jamais rêvé de châteaux en Espagne, jamais su ce que je voulais la constante c’était d’écrire malgré tous les malgré… Je me sors les vers du nez pour vous raconter… Plus tard la Saint-Denis c’était la nuit, le Passeport, le Barouf, le Fridolin, le Central, le Quai des Brumes et combien d’autre encore on posait le pied dans l’un pour aussitôt repartir pour l’autre, on ne s’y trouvais pas. Je termine comme toujours en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! Au revoir!!! À bientôt!!! À la prochaine je l’espère!!!

Bernard




vendredi 15 mai 2020

Carreau


Bonsoir! Bonjour! Me voilà encore… J’ai entendu l’écrivain Pascal Bruckner sur France vingt-quatre parler contre les journaux de confinement. Il disait que personne veux lire ça en plus de rajouter qu’il y a trop « d’écrivains » et pas assez de lecteurs. Si il savait ce monsieur, les lectures que j’ai fait, que je fais toujours je crois pas l’avoir jamais lu. Je vais m’y mettre à la lecture de cet espèce de policier littéraire… Lui pourrais écrire et être édité mais moi je pourrais pas tenir ce journal avec mes quelques lecteurs lectrices, chez nous on appelle ça de la censure… Ça me fait penser à je sais plus qui déplorant l’apparition du livre de poche qui allais mettre la culture, la littérature dans les mains de tout le monde… Faudrait surtout pas écrire et rester abrutis, ce monsieur semble pas savoir ce qu’il me coute ce journal… Couronnons le ce Bruckner, le seul, l’unique maître de l’intelligentsia après lui le déluge où le coronavirus… Tout le monde devrait être égal sauf lui, moi je suis prolétaire et devrais le rester ce que j’écris ça intéresse personne… Je cherche toujours à nommer cette mauvaise émotion que j’ai eu à l’entendre ce bon vieux  bourgeois… Quand on a pas fait les grandes écoles on devrais se taire! Mais moi je dis non j’ai pas besoin de sa permission… À l’entendre le pouvoir comme le savoir faudrait que ça reste dans les mêmes mains, on devrais se contenter d’écrire des vers de mirliton… Semble pas savoir le scribe ce que ça fait d’être doublement confiné par le virus et la maladie mentale, écrire pour chercher un espace de liberté, bloqué un peu la psychose, l’agitation du ciboulot comme l’écrivait un grand… J’ai envie de revenir à mon senti dans cet à peu près désert du goulag occidental, tout le monde se couvre le visage… Cet après-midi j’ai eu chaud, je suis arrivé à déposer un chèque dans le guichet automatique mais j’ai eu de la difficulté à payer mon passage dans le métro… Je suis incapable de nommer l’émotion c’est je crois à partir de là qu’il faut que je me taise, la pandémie me désempare… J’ai regardé un film québécois très bon ça s’intitule Jusqu’au déclin c’est un thriller disponible sur Netflix, je le conseille à tout le monde mais je m’égare je m’égare… Le mois de mai s’en va mais la pandémie reste avec nous, y’a pas de vaccin contre le virus pas plus qu’il y en a contre l’écriture. Je vous illustre ça avec une photo de Paris qui pour moi est la capitale de la littérature… J’espère que mon journal du confinement vous plait, la schizophrénie m’a  laissé un peu depuis que je connais mon environnement… N’abandonnez pas tout de suite je termine pendant que le voisin du bas recommence à gueuler, voilà! C’est tout, comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque là!!!  J’arrive à la conclusion la partie la plus difficile, à la prochaine!!!

Bernard

jeudi 14 mai 2020

Positif


Bonsoir! Bonjour! J’ai une pièce de Led Zeppelin en tête Thank you ça s’intitule https://www.youtube.com/watch?v=u1z4vkPWkLQ  Led Zep c’est vraiment de bons souvenirs pour moi, une musique à laquelle j’étais accroché. J’aurais tant aimé chanter… J’ai aucune notion de solfège, à l’école j’avais une flute alto, j’ai pas eu la patience d’apprendre par le commencement je voulais la guitare tout de suite… Y’a un moment que j’ai cessé de me faire des illusions j’étais très mauvais en classe, je comprends pas pourquoi on m’a pas aidé peut-être parce que je l’ai pas demandé? Déjà à ce moment-là je crois que la maladie mentale se présentais… Maintenant les copains ont fait leurs vie élevé leurs famille moi je voulais autre chose je sais pas quoi, j’avais un profond désir de changer le monde ce qui évidemment est pas arrivé… J’avais pas de talent pour le bonheur, je crois qu’il faut être un peu cave… Ils se sont tous rangé, comme chantait le chanteur « la gang a splitté »… J’ai étiré ça autant que j’ai pu, la bande était toxique je l’ai laissé tomber… Je sais pas si j’arrive à faire une « œuvre » dans ce grand  n’importe quoi que sont les réseaux sociaux, toujours la toune en tête et cette salope d’adolescence… Bon! Laissons là la révolte c’est inutile, j’essais de « créer » à partir de mon profond sentiment de solitude… Je savais pas j’étais ignorant comme j’avais pas ce que je voulais je pensais qu’à me détruire en fréquentant la taverne et des gens peu recommandables… Douleur en pensant à ce gars qui m’avait sacré une volée dans l’ascenseur… Ces jours ci je pense souvent à la souffrance morale, à la perte de mon identité si jamais j’en ai eu une… J’essais de trouver mes repères. Je pense aux ainés c’est là que je m’en vais… Je pense à la matriarche qui auras bientôt quatre-vingt-dix ans… Je suis un peu vieux pour me refaire… J’ai beaucoup d’amis qui sont disparus… Je pense aux jours meilleurs qui risquent d’arriver quand j’aurai soixante-cinq ans que je serai un bonhomme finis… Ce seras mes chroniques de la COVID-19… Je sais c’est à manger pour les humoristes… Je trouve pas quoi vous écrire, je veux pas finir dans un centre hospitalier et de soins de longues durées… J’ai quand même hâte que le confinement sois levé pour prendre un café sur une terrasse… On nous dis de rester chez soi dans son appartement dans son quartier, ça me manque beaucoup ces longues marches que je faisais. Je me dis toujours je vais m’y remettre mais j’y arrive pas… Je croyais être encore jeune mais je suis plus une prime jeunesse, mon esprit est pas très âgé c’est le physique qui suis pas… Je vous écris et je vois pas le temps passer. Quelques mots encore pour la conclusion… « C’est dans le mois de mai… Que les femmes sont belles au gaie » Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!!

Bernard

mercredi 13 mai 2020

Accueil


Bonsoir! Bonjour! Je suis découragé mais je persiste à écrire, les beaux jours viendront… J’ai mes couvre visages.., Ils en sont déjà aux vacances… J’ai vu qu’en France ils ouvraient les vols internationaux  européens… Je suis pas triste j’accumule mes forces pour les combats à venir, hier je suis sortis quelques minutes j’ai fait le tour du parc d’en face… Finalement  j’ai bien aimé la série « The Eddy ». J’ai le souvenir de voisins bipolaire qui détestait le quartier incapable de dire que le mal venait de leur intérieur… de leur âme…  Aujourd’hui je me confine, j’attends le meilleur à l’intérieur… Le poète Harel écrivait, « à se tord le corps» je crois que c’était dans la chanson l’Agriculture… Hier j’ai reçu un courriel d’hameçonnage y’en a toujours pour mal faire… J’ai pris une douche je sens bon mais j’ai souvenir de ces psychoses où je croyais puer… C’est déjà jeudi les jours passent pourtant je suis dans la nuit… La haine y’en a beaucoup… Tout le monde devrais être chez soi, les bars et les restaurants sont fermés… Je me creuse l’âme à la pelle, ça fait mal c’est lourd une douleur pesante… Je devrais jeter mes sentiments dans le caniveau… La ville est morte, je vais essayer d’être économe avec les masques, aujourd’hui j’ai pas affaire à sortir… Tout à coup y’a un bon parfum ça fait plaisir c’est très vanillé… J’ai toujours souvenir de la galère, c’était difficile jusqu’au moment où j’ai choisis de me rétablir… Je suis loin d’avoir perdus mon sens olfactif, y’a plein de bonnes odeurs d’avant les départs en voyage… J’entendais ronronner un moteur c’était un camion- citerne municipal qui faisait le plein d’eau à une borne fontaine… Les itinérants ont repris la nuit, le temps est plus doux quand même ils risquent d’avoir le corona virus… Viens d’écouter une vibrante et émouvante interprétation d’avec le temps de Léo Ferré par la toujours magnifique et prenante Isabelle Boulay https://www.youtube.com/watch?v=ehLvMt3k5zc  Je vous écris et la nuit passe, j’espère accompagné mes lecteurs insomniaques… La rue est redevenue calme mais oui je suis toujours dans ce que j’ai baptisé le goulag occidental… Je parlerai pas d’avant c’est de la nostalgie inutile… Je pense à ce chambreur … Mais non je vais pas là c’était un vétéran alcoolique atteins de problèmes neurologiques… Ça fait plus de vingt-cinq ans de ça… Pour passer au travers de mes multiples psychoses je me ramenais souvent avec « ici maintenant ». J’ai toujours ce sentiment de persécution, je crois qu’on aurait aimé que je rechute, parfois j’ai de la difficulté à me pardonner mes gaffes d’alcoolique actif , je sais que pour beaucoup je suis un pauvre plouc, un pauvre type… Pardonnez-moi… Voilà! J’arrive à la conclusion, quelques mots encore selon la formule consacrée, mes bêtises je les ai payées… Je sors de là avec difficulté, épiloguer c’est pas facile. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!! Bye!!!

Bernard