Bonsoir!
Bonjour! Puisque machine il y a, différence fondamentale avec les autres
siècles les autres pandémie, je communique… Je pense qu’on verras l’utilité de tout ça dans plusieurs années où peut-être
l’inutilité… Il vente à écorner les bœufs, l’angoisse du confinement me fait
croire à une fin du monde… C’est vraiment un grand vent, la matriarche déteste
ça… Ce soir j’ai dormis un peu, j’essais comme souvent de vous traduire mon
senti, en ce moment c’est la peur reste que j’ai de la difficulté à écrire.
Parfois le vent se calme comme mon chamboulement émotif… Je ne veux pas mourir
pas comme ça dans une tempête avec la COVID-19… Je pense à la distanciation
sociale difficile voire impossible d’inviter quelqu’un à diner… J’aurais besoin
d’être rassuré, l’ami col bleu à la retraite prend trop ça à la légère selon moi,
je me sent mal de vous l’écrire, c’est quand même vrai que je suis pas le seul
anxieux schizophrénique sur la planète en ce moment… Le grand malade que je
suis vois ça comme une espèce de châtiment divin, on se croirais au moyen âge… Pour adoucir le malheur j’ai mangé un petit
gâteau feuilleté on dis de moi il est devenus fou il écris… J’essais de mettre
de la lumière dans ma nuit… La solitude commence à être aussi lourde qu’en
début de schizophrénie c’est quand même possible de rester loin de l’asile de l’hôpital,
je me demande comment ils traitent ceux qui souffrent de maladie mentale ces
jours ci… J’attends un chèque, justement d’un de ces chers hôpitaux... Aujourd’hui
le facteur passe, le vent s’apaise… Plusieurs incapable de vivre la solitude
vont rechuter, chez moi y’a un parfum de boulangerie, c’est surement très
compliqués la distanciation sociale quand on est en psychose, y’a près de huit
mille places d’hôpital, huit mille lits mais c’est pas pour nous de toute façon
les souffrants psychiques comprennent que c’est pas leurs place, ils vivent
dans la rue, dans le déni et se réfugient dans les ressources pour itinérants…
Y’a rien de pire que ceux et celles qui nient leurs maladie deviennent victimes
pour parfois utiliser leurs statuts de malade pour avoir des faveurs… En temps
de pandémie, la psychiatrie citoyenne bat de l’aile, c’est difficile de respecter
le deux mètres de distanciation, le confinement aussi on peut pas vraiment
vivre la pleine citoyenneté, ce seras pour après la pandémie, encore faudra-t-il
en tirer des leçons… J’ai fait quelques push-ups j’augmente de un à chaque jour
j’espère que ça va m’aider… J’ai presque terminé… Heureusement j’ai pas à
sortir, une pensée toute spéciale pour les snowbirds de Gatineau en confinement
eux aussi. Je pense aussi à la super-maman qui doit-être très occupé avec tous
ses enfants… J’ai hâte au moment où on va raconter comment on vivait dans le
temps de la crise, je suis peut-être un peu vieux pour voir la fin. Comme
toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!!
Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!!
Bonsoir! Bonjour! J’ai décidé de pas me tenir
en silence pendant cette affreuse pandémie… Hier je regardais les actualités et
j’étais au bord des larmes, c’est le combat de notre vie cette distanciation
sociale. Comme tout bon paranoïaque je
me réjouissais d’avoir à résister chez moi mais c’est moins facile qu’il n’y
parait… Je pense beaucoup aux petits enfants qui ne pourront voir leur grands-parents.
C’est toujours le journal de mon senti dans le confinement. Je crois qu’une
fois levé je vais avoir très peur de sortir dehors et d’être infecté… Y’a toujours des idiots des idiotes qui prennent
ça comme un jeu incapable qu’ils sont de concevoir que c’est une question de
vie où de mort… Lundi la semaine commence je sais pas si je vais avoir du
courrier… Souvenir de ces lundi matin où j’étais incapable de rester debout
parce-que j’avais trop bu la veille… Je pourrai pas faire de voyage avant
longtemps. Je crois qu’avec ce confinement Boeing va pouvoir être prêt à faire
voler ses sept trente-sept… En attendant les vols restent-à-terre non essentiel…
C’est un défi pour moi de vous écrire de ma réclusion. J’y vais lentement toujours
triste, quand tout ça seras finis je vais me payer un de ces voyage, on parle
de deux à trois ans pour un retour à la « normale »… Un dicton me
reviens, je sais pas si ça a du sens « À toute chose malheur est bon ».
J’ai en mémoire ce jeune écrivain à qui son mentor faisait reprendre des pages
entières de son écriture… Je vais vous le réécrire j’apprécie beaucoup vos
commentaires à tous si y’a quelques chose n’hésitez pas… J’ai pris une douche
me suis parfumé, il me reste plus beaucoup d’eau de toilette, je sais pas si ça
va être utile d’en acheter d’autre vu la distanciation sociale … Dans ma folie
je croyais m’être fait voler des sous-vêtements, ils sont revenus dans le
tiroir c’est de la petite maladie schizophrénique… Bon! C’est lundi le
confinement continu, la ville comme le goulag occidental sont sur pause, on se
protège et on protège les autres… Je crois pas vous avoir écrit sur la
rencontre virtuelle d’hier c’était bien même la matriarche était là, elle était
au téléphone on a vu une photo d’elle et de son arc-en-ciel, un vrai bonheur…
Pour les enfants ça leurs feras quelques chose à raconter quand je serai plus
là. Le vieux MonOnk virtuel… On attendras pas le courrier le lundi de Pâques
est férié… Parfois je vous écris et je me sens comme si y’avait un départ
imminent… Je pense au Théâtre du Nouveau Monde à comment ça seras plus jamais
comme avant… Aujourd’hui je reste chez moi… Semble qu’en faisant comme ça je
sauve des vies. Je vous remercie tous et toutes d’être là à me lire encore
quelques mots et je termine, c’est la conclusion… Comme toujours je vous
remercie d’avoir lu jusque-là!!! Lâchez pas on y arrive, à la prochaine je l’espère!!!
Bonsoir! Bonjour! Pâques!
C’est le jour où tout commence, le printemps… Je pense à mon enfance où je
portais des vêtements neufs qui piquent, c’était les habits du dimanche fallait
rester sage pour ne pas les user, les briser… Je pense qu’à cette fête en plus
du chocolat on avait de la lecture en cadeau… J’ai le souvenir de magnifiques
recueils du journal Tintin, j’adorais ça…Je pense au jeune homme de Cantley qui
s’est mis au dessin, j’aimerais qu’il devienne bédéiste, artiste comme son
grand père… Je me rappelle de cette émotion quand je recevais ces cadeaux un
sorte d’ivresse… Que j’ai jamais pu retrouver… Du chocolat pour se gâter les
dents… Y’avait des dimanches de Pâques où il faisait bien beau, bien chaud avec
le printemps arrivait les entrainements de baseball et le ridicule uniforme qu’on
portais dans la catégorie Pee-Wee, j’étais pourris à ce jeu meilleur sur le
banc à encourager les copains, incapable d’attraper où de frapper une balle, j’ai
pas duré longtemps dans le sport organisé, moi ce que j’aimais c’était les
arts, le dessin la lecture des loisirs solitaires… Je voulais bien lancer la
balle avec le patriarche mais il lui manquait des doigts c’était fastidieux, il
aimait beaucoup le baseball, parfois on partais de Montréal-Nord pour assister
à une partie au centre civique de Terrebonne… Je crois que je l’ai toujours
beaucoup déçu le regretté patriarche mes entreprises c’était toujours des
ratages rien pour lui faire plaisir… Je l’ai commencé jeune la faillite de ma
vie. J’ai jamais très bien compris pourquoi j’étais comme ça, je sais pas si le
patriarche serait heureux de savoir que je ne consomme plus… Je crois qu’à Pâques
le patriarche sortais le mauvais vin qu’il avait fabriqué parfois les oncles
nous rendaient visite avec les cousins et les cousines… Je crois que le
patriarche a lancé la serviette après mon expulsion du juvénat après ça été une
suite de mauvais boulot qui ont culminé dans ma tombée dans la
schizophrénie,Je suis devenus encore
plus loser plus drifter… Et j’ai essayé d’avancer comme ça dans la vie c’était
long et difficile. Je pense à maintenant à la solitude du confinement qui seras
jamais aussi grande que celle de la maladie mentale… Je suis pas blanc comme
neige là-dedans j’ai mes torts mes erreurs, j’essayais d’apprendre à vivre, ça
me fait mal de vous écrire ça… Même pas assez mauvais pour être un vrai bum… J’essaye
juste de documenter cette période de confinement pascal… Nous y voilà à Pâques
c’est une fête religieuse qui maintenant rime avec chocolat pour les enfants… J’espère
que le Québec vas ressusciter de cette épidémie… Je reste chez moi, quand je
sors je respecte la distanciation sociale… Allez on continue! Après on en seras
que mieux… J’espère que vous appréciez ma compagnie virtuelle… Voilà! Quelques
mots encore et j’ai terminé, lâchez pas! Comme toujours je vous remercie d’avoir
lu jusque-là!!! Joyeuse Pâques!!! À la prochaine je l’espère!!! Vos
commentaires sont bienvenus!!! Au revoir!!!
Bonsoir!
Bonjour! Semble qu’ils veulent nous sortir de confinement bientôt. J’ai peur j’ai
pas envie d’avoir la COVID-19 et mourir… S’agit d’être privé de liberté pour
vouloir sortir et d’avoir cette même liberté pour la bouder. Ce soir j’ai
dormis un peu,j’arrive pas à l’intellect
avec ce que j’écris… Je veux surtout pas être hospitalisé, je vous écris le
journal de mon confinement c’est simple je suis seul et à part quelques réunions
virtuelles il ne se passe rien… Je reste chez-moi c’est la meilleure façon de
me protéger… La voisine semble s’être calmé pour recevoir de la visite.
Lentement je me réveille, si j’écoute le premier ministre semble qu’il y auras
des lendemains où il feras beau… Je suis pas seul, je remercie tout le monde
pour le support… Un journal de confinement c’est pas évident à part écrire l’anxiété,
l’angoisse de la schizophrénie, écrire pour éviter la psychose et être
doublement enchainé… Je me prête au jeu de l’auto-analyse je sais pas si je
réussis, que comprendre de ces moments au clavier et devant l’écran? Quand je
vous écris ça m’évite d’être désemparé, je tiens loin le désarroi… Je m’oriente
dans le temps et prend conscience que je vie surtout la journée du dépôt dans
mon compte de banque comme un vrai prestataire…Ce week-end je crois vous l’avoir
déjà écrit je reste chez moi, pour sortir de mon malaise domestique, j’ai qu’à
pensés aux années vécu dans une horrible maison de chambres ennuyantes, ça fait
déjà longtemps… Je me laisserai pas abattre j’en ai vu d’autre tant que je suis
pas psychotique, que je décompense pas ça va… Parfois je réalise pas que je
suis entouré de voisins qui ont un problème de santé mentale, plusieurs le
dénient ça va mal de tants à autre j’essais de porter leurs souliers… J’entends
pas les bruits aliénants de la nuit, le goulag occidental est vraiment désert…
Je sais pas pourquoi j’ai intitulé ça sainteté, peut-être à cause de Pâques… J’aime
bien vos commentaires, parfois quand je vous écris je me décourage j’arrive pas
à vous traduire mon senti… Un hommage aux commis d’épicerie qui sont très
gentil… L’idée quoi que vous en pensiez c’est pas d’écrire n’importe quoi… Je
pense aux voyages à comment on pourras pas partir pour un moment, des années?
Ça me fait juste écrire qu’une fois sortis de la maison y’a pas d’endroit où
aller… Confiner! Ça veux dire ça, regarde où tu met les pieds, colle pas trop
le voisin, la voisine… hier à la télé j’ai entendu un médecin dire la maladie
choisis pas qui elle frappe moi je choisis pas qui je soigne… C’est quand même
bien que riche ou pauvre on puisse se faire soigner, j’espère quand même l’éviter
rester loin de l’hôpital en suivant les directives… Voilà!!! J’en suis rendus à
la conclusion pour aujourd’hui, quelques mots encore j’aurai un peu chassé l’angoisse.
Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!!
Au revoir!!! Ciao!!!
Bonjour!
Bonsoir! Vendredi saint, l’enfance et la messe interminable,on mangeait maigre sauce blanche avec des œufs
et du poisson, je savais jamais trop quoi dire à la confesse, je porte encore
la douleur de mes péchés, c’est long avant de comprendre ce que ça veut dire
pécher… Très jeune j’ai acheté mon billet pour l’enfer et suis plongé dans le
sturpre… Je vous les raconte pas mes péchés j’ai trop honte depuis que j’ai changé
de mode de vie ça va mieux. J’essais de m’améliorer un jour à la fois, souvenir
d’une confirmation faites à Pâques seul à part des autres. Je réalise que je
vous ai déjà raconté tout ça, je vais y aller encore une fois avec mon senti,
cette année c’est fête partout tout est littéralement fermé… Vendredi saint, c’est
la passion de Jésus-Christ le temps de faire un chemin de croix. Je sais la
religion c’est pas votre tasse de thé mais pour moi c’est une tradition en
droite ligne avec la spiritualité nécessaire dans ma vie. COVID-19 oblige les
églises seront encore plus vide cette année pour ceux qui croient encore on va
prier chacun de notre bord… Dimanche c’est la résurrection pour moi c’est la
partie de la passion la plus difficile à croire… C’est très difficile d’arriver
à la joie d’être sauvé, pourtant mes pairs m’ont souvent condamnés je suis
tombé mais je me suis toujours relevé… Les temps changent on va vivre la solitude
du Christ pendant tout le week-end… Je vous illustre ça avec l’église
Saint-Vital où j’ai fait ma première communion, ma confirmation c’est l’église
du quartier de mon enfance, ma paroisse… Le vendredi saint ça a toujours été
mort morne et gris, y’a rien de joyeux dans la crucifixion… Dans mon senti j’ai
la religion moins grave, j’ai pas poursuivis mes pratiques rituelles… J’essaye
toujours d’avoir une sorte de foi ça m’aide à vivre… J’ai toujours envié ceux
qui pratiquent avec de la musique Gospel, ils ont une foi joyeuse… Je cherche
toujours, je crois que la foi c’est ça une recherche, je peux pas dire que je
suis de ceux qui ont une foi inébranlable… Je pense à ce vieux débardeur
marxiste qui disait que Dieu c’était de l’histoire ancienne… Je crois que pour
y arriver y’a des gens qui ont prié pour moi. La spiritualité je suis convaincu
qu’on peut la trouver dans l’art, dans la recherche du beau où d’une œuvre qui
nous questionne… Ouais! Je reste confiner ça me donne un moment pour méditer,
pour mieux respirer… Pour prier aussi engager un dialogue avec ma force supérieure
où même juste faire le vide, la vacuité… L’idée c’est de donner du sens, j’avoue
qu’il y a des choses qui en ont pas mais c’est là que se pose la question de la
foi. Je fais curé en ce vendredi saint, je salut tous mes pairs confiné. Comme
toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!!
Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!!
Bonsoir!
Bonjour! Jeudi neuf avril je tiens plus le compte du temps où on est en
confinement. Les visiteurs chez la voisine ne respectent rien pour eux pas de
mesure de confinement, la police veux venir seulement si y’a vraiment quelqu’unles visiteurs ont tous le temps de partir… Ça
me désole de faire ces efforts et de voir qu’elle ne respecte rien… Disont que
ça fait partie de mon journal de confinement, l’artiste disait qu’il ne voulait
pas l’écrire moi je trouve que c’est des moments inspirants, cette nuit le goulag
occidental est désert… J’ai encore beaucoup de temps pour écrire la solitude du
confinement. Hier la travailleuse sociale à téléphoné pour voir si tout allait
bien, j’ai oublié de lui parler de la voisine casse-pieds… J’aimerais beaucoup
avoir la profondeur des grands écrivains, écrire mon senti isolé par le
confinement qu’impose la maladie… J’attends le facteur, la poste c’est tout ce
qui reste du vieux monde… Je ne sors pas j’ai pas envie de porter de masque, j’ai
pas de symptôme, je crois pas être infecté… C’est narcisse qui vous écris qui n’arrive
pas à composer avec son quotidien… Hier j’ai bien aimé dans LaPresse+ la lettre
de madame la directrice du Théâtre du Nouveau Monde, mais oui l’art survivras
nous accompagneras toujours partout dans ce monde déréglé… Les questions on se
les poses pendant le confinement espérant qu’après le monde auras changé pour
le mieux, une guérison de la grande psychose de l’enfermement involontaire dans
son chez soi devenue presque carcéral. J’espère que le monde auras changé, mais
si je me fie à mon senti nocturne ce seras bien peu… Je crois que c’est la fin
des quatorze jours d’isolement pour mon couple de snowbirds de Gatineau, on est
bien heureux de les savoirs en liberté mais je crois qu’ils devront rester en
confinement, en isolement social, la COVID-19 se propage si vite… Encore
aujourd’hui je reste chez moi à essayer de vous traduire l’angoisse quotidienne,
la voisine se promène sur la passerelle sans soucis pour son prochain… Je
reviens à la schizophrénie qui n’est pas qu’un mal de tête comme plusieurs
pourrais penser, ce long discours présent même dans le sommeil, mais oui
parfois j’ai peur j’ai pas honte de le dire, je demande de l’aide pour m’aider
à comprendre mon monde psychotique… Je fais ce qu’il faut pour pas être
hospitalisé et devenir une charge de plus pour le personnel soignant… Un petit
salut aussi à mon lecteur de Deux-Montagnes, je reste confiné chez moi une
bonne mesure pour combattre le coronavirus… C’est beaucoup trop répétitif comme
texte… Je pense à l’ami avec sa sclérose en plaque, il est très courageux, on
se parle au téléphone même si parfois j’ai pas grand-chose à dire… Ces temps-ci
on est comme dans des espèces de limbes, le temps file et paralyse, c’est
affolant… Voilà c’est la conclusion, j’essais d’écrire pour le mieux. Comme
toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au
revoir!!!
Bonsoir!
Bonjour! Hier c’était beau temps. J’ai regardé les reportages sur la courbe que
devrais prendre selon les scientifiques le COVID-19, on atteindrait le pic
comme ils disent, le dix-huit avril voilà pour les considérations épidémiologique.
J’y vais à ma manière habituelle, j’ai dormis un peu, lundi j’ai fait les
courses je devrais pas avoir à sortir pour quelques jours… La pause à été
prolongé jusqu’au quatre mai… Ce week-end c’est vendredi saint et Pâques, pas
de réunion de famille… J’ai vue qu’à TVA ils présentaient Jésus Christ de
Nazareth notre « civilisation » occidentale est basée là-dessus si je
me trompe pas on est judéo-chrétien… La douleur,
dolorosa voilà le salaire de tout ce qu’on fait, le coût aussi… À part les
courses et quelques activités pour moi rien n’a changé, je dois imaginer
quelques occupations… Je pense à la chanson« le bon gars » https://www.youtube.com/watch?v=_RTHckra_GcJe suis confiné, avec cette pause le Québec
va savoir ce que ça veut dire être sans travail, y’a longtemps déjà que je suis
sur pause… C’est bien dis à la sueur de ton front défendu de s’amuser… Je
profite de cette épidémie pour m’inspirer ces temps-ci c’est la mort pour nos
ainées. J’espère que la matriarche est prudente… Je sais pas si les enfants de
la super maman vont avoir du chocolat dimanche. Je me souviens dans mon enfance
on avait sois une poule sois un lapin en chocolat au lait qu’on s’empressais de
dévorer, si je me souviens bien on avait aussi quelques revues de bande
dessinée… Je me souviens de Dimanche de Pâques où il faisait chaud… Je raconte
toujours la même histoire du vendredi saint où avec les copains on trainait
dans les rues parce que tout était fermé c’était sacré, voilà ce que me
rappelle la pandémie… La Résurrection! On a été sauvé pourtant y’a longtemps
que je ne vais plus à la messe, celle du vendredi saint je la trouvais particulièrement
longue dans mon enfance, je voulais jouer… Je pense à ces peplum, ces films de
gladiateurs romains… Ben-Hur, Spartacus et combien d’autres… Ouais! Le vendredi
on était pas très prévoyant on avait pas acheté de caisse de bière je pense que
c’était de l’abstinence inconsciente une façon de se mortifier… Je crois que
pendant tout le carême on faisait sacrifice et le vendredi saint on mangeais
maigre, c’était pas de la tradition mais de la religion… Le jeûne je l’ai vécu
longtemps, j’avais pas d’argent pour me nourrir… Aujourd’hui je crois qu’on est
mercredi saint en fait c’est la semaine sainte, on prie un peu pour que le Bon
Dieu nous débarrasse de cette COVID-19… Je vous aurai écris encore une fois cet
espèce de prosodie de pandémie… Quelques mots encore y’a pas plus mortification
que le confinement, je suis pas un grand sorteux, j’ai repris quelques marches
autour du parc. C’est la conclusion j’espère que ça vous à plu comme toujours
je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine!!! Au revoir!!! Ciao!!!