Bonsoir!
Bonjour! J’abandonnerais tout, j’ai une grande fatigue. Je me dis à quoi bon… J’aimerais
bien qu’on me lise que tout ça ne reste pas confidentiel. J’ai pris une douche,
me prépare un café… Je m’y remet encore une fois dans ces élucubrations, je
veux surtout pas me faire plaindre, qu’on me prenne en pitié… Je voulais
écrire, voilà! Je m’ennuis des voyages mais c’est surtout pas le temps de partir,
cette semaine j’étais au théâtre avec la troupe, là aussi je me fait vieux… J’ai
des souvenirs de L’Espace Libre… Je cherche l’émotion autant l’écrire que vous
là faire vivre. J’ai remarqué une chose c’est pas très bon de montrer qu’on
connais les drogues illicites c’est préférable de dire qu’on bois du scotch et
de la bière peut importes où ça mène… Encore dans cette maudite thématique! Je
préfèrerais vous écrire sur les motos, les très indiennes Royal Enfield par
exemple, on peut s’en procurer une au Québec… Je pense à ma nièce qui à une Triumph
Bonneville je crois, une magnifique pièce de collection… C’est pas comme ça que
je vais vous faire vivre de l’émotion j’ai pas le même clavier que Glenn Gould…
Pour revenir à la mécanique j’y connais rien, n’empêche d’avoir une moto y’a des mécaniciens
spécialisé…Souvenir d’une ride de cent milles à l’heure comme passager sur une
Yamaha six cinquante, c’était jouer pas loin de la mort… C’est étrange j’ai
dormis un peu, j’ai pas sommeil je cherche à écrire l’émotion pas l’impression…
Je voulais commencer par vous écrire que je suis battus toujours dans la tentative
émouvante sachant bien qu’il ne suffit pas d’écrire le mot pour l’être…
En appeler
À cette
chose innommable
Toujours
dans le désir
Les illusions
blafardes
Ouais! C’est pas très coloré, assez pour être
découragé et quand bien même je l’écrirais l’émotion vous pourriez restez de
glace… On ne pleure pas devant un écran à lire quelqu’un qui cherche à nommer
la peine dans laquelle on l’a laissée… D’autre souvenirs pour vous dire la
grande solitude dans laquelle j’étais… Hier j’ai eu le bonheur d’avoir une
conversation intéressante avec mon lecteur de Deux-Montagnes… Parfois je crois
que si j’étais cloîtré je serais plus inspiré, j’écrirais des prières… Je
cherche sans trouver le bon propos… Avec mon lecteur de Deux-Montagnes on a
parlé de Sin city j’ai pas les moyens de me payer ce genre de péchés… De toute
façon le jeu ça m’intéresse pas… Cette nuit comme souvent y’a un voisin qui
parle tout seul, parfois je crois que c’est un immigré Syrien qui a un syndrome
post traumatique, il parle seul parce que la nuit il a encore peur, il ne se
sent pas en sécurité… Voilà! C’est presque les derniers mots pour tout de suite
je vous garde un peu pour vous dire que vos commentaires sont toujours
apprécié. J’espère que ça vous a plu. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!!
C’est pas terminé y’en auras une autre. À la prochaine je l’espère!!! Au
revoir!!!
Bonsoir!
Bonjour! J’essaye d’écouter l’album III de Led Zeppelin ça a mal vieillis… Hier
je me suis rendus à la répétition au Théâtre du Nouveau Monde en fait c’était
une lecture, ils ont respecté ce que j’ai écrit. Je suis sortis de là
mal-à-l’aise, c’est pas un chef d’œuvre… Mais eux semblent trouver ça très bon
disons qu’à la fin j’étais vraiment en contact avec mon senti… Vendredi la
semaine est finie… Je pense laisser l’écriture pour aller tourner des boulettes
chez McDonald … Je ferai pas une carrière militaire je suis trop vieux… MP l’intitulé
pour military police, ça me rappelle les petites bandes dessinées qu’on payait
trente-cinq cents, des émotions, je sais pas si on pourrais retrouver ces
fascicules avec l’internet c’est probablement tout disparus, ça me fait de la
peine… J’ai mangé deux gâteaux Mae West… Ce soir j’ai encore le parfum… Je sens
bon… Je vais me préparer un café… Y’a aucun dépôt de fait dans mon compte,
comme d’habitude je vais attendre le facteur… Je sais pas pourquoi je pense aux
hot-dogs du Montreal Pool Room qui n’existe plus, c’était devenus une espèce de
musée pour les jeunes bourgeois qui voulaient s’encanailler… Maintenant y’a
quelques food truck… Cette nuit j’ai mal, je pense à laisser mes activité. Je me
suis laissé emporter par le tourbillon je sais pas comment en sortir et si c’est
bien nécessaire. Hier on a aussi discuté d’une autre pièce que les gens de l’institut
ont monté, c’était plus difficile les gens rechutaient souvent… Je me
questionne sur le bien-être que peuvent apporter des émotions jouées. C’est
certainement aussi bon que les écrire… Je sais vous n’avez pas que ça à faire
me lire mais je suis reconnaissant du temps que vous prenez… Ils marchent
encore sur la passerelle en pleine nuit… Cette nuit je vous illustre ça avec le
rhinocéros d’Alfred Jacquemart né à Paris en dix-huit-cent-vingt-quatre, une
sculpture de fonte commandé en dix-huit-cent-soixante-dix-sept pour l’expo
universelle de Paris en dix-huit-cent-soixante-dix-huit, elle a été fondu à la
fonderie Voruz à Nantes et elle a été sculpté au départ pour le palais du
Trocadéro, on la retrouve maintenant devant le musée du Quai D’Orsay… Je sais
pas pourquoi je suis passé au rhinocéros peut-être en hommage au regretté
docteur Ferron et son partis, des rhinos ça nous en aurait pris un peu pendant
cette crise ferroviaire. J’écoute c’est le silence… Je voudrais, je voudrais
avoir aimé sachant que le conditionnel n’existe pas, mais oui l’amour avant, on
se croirais chez Arlequin à faire le dandy bouffon. C’est pas très beau c’est
pas très fort c’est pas très long c’est mes oignons. J’arrive pas à l’émotion,
j’écris trop froidement, j’aimerais la chaleur des vers… Je terminerai pas avec
des alexandrins… Voilà je vous écris et je bave littéralement, les petits vieux
c’est comme ça… C’est la conclusion comme toujours la chute, je termine à ma
façon habituelle en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!!
Au revoir!!! Ciao!!!
Bonsoir!
Bonjour! Jeudi première répétition d’une nouvelle production au Théâtre du
Nouveau Monde. J’ai hâte de voir d’entendre… J’ai rencontré la nouvelle
intervenante une guadeloupéenne, elle a l’air bien, elle viens juste essayer le
poste si elle aime pas ça elle retourne à son ancien… Je vais essayer de lui
rendre la tâche plus facile. Je trouve qu’on change trop souvent d’intervenante…
Je vous ai jamais raconté que je vivais en appartement supervisé, je le dis pas
ça me stigmatise encore quand je le dis plusieurs personnes me jugent, me
diminuent pourtant… L’intervenante s’en retourne dans sa région en France pas
loin d’Agen… J’aimerais bien recevoir du
courrier ce matin, j’attends un dédommagement pour les formations que j’ai reçu…
Y’a quelques jours de ça on m’a suggéré de travailler sur d’où venais cette
peur de la police, j’en ai pas vraiment envie je veux pas démolir le chemin que
j’ai fait en rétablissement… J’ai dormis un peu j’en avais besoin, j’écrirai
pas à la troisième personne du singulier comme l’humoriste, je parle de moi de
mon senti… Je pense à l’espèce d’exaltation qu’on atteins quand on fait du
sport assez longtemps, c’est enivrant … Avant les longues marches me
procuraient ça… J’ai beaucoup de difficulté à écrire, les voisins fument et s’arrachent
les poumons. Je les entends tousser… D’autre ronflent du sommeil du juste…J’arrive
pas à ouvrir la page de mon compte à la caisse, j’aime pas quand ça fonctionne
pas, je vais attendre un peu… Je sais pas pourquoi je sens une pression de vous
écrire… Y’avait une vie avant internet, j’ai peur de la fraude, c’est pas un
grand texte cette nuit… Bientôt ce seras le matin quand une application
fonctionne pas ça me paralyse… C’est pas très grave si je respecte pas mon
heure de tombée. Un mot à la fois je vais y arriver… C’est vraiment une obsession
je veux y retourner tout de suite pour voir si ça fonctionne, j’attends encore
un peu… J’ai téléphoné c’est pour tout le service que ça fonctionne pas… Je
voudrais bien revenir à la « poésie » à la « prosodie »,
matin, souvenir des lendemains de bringues l’été, les oiseaux qui chantaient m’irritaient
ils m’empêchaientde dormir… C’étais pas
très pastoral… Pour m’inspirer et revenir au parfum de voyage j’ai pris une
douche… J’aime bien le senti avant un départ, c’est pas le temps de partir avec
le coronavirus… Je trouve plus quoi vous raconter, j’écris quelques mots à la
personne qui a fait un commentaire anonyme, je la remercie et ne perd pas
courage un jour ça va être mieux, tu vas te rétablir… J’en suis presque à la
chute, je me souviens plus si j’avais mentionné le décès de la grande bédéiste
Claire Brétécher, une pensée pour elle… Voilà! C’est la conclusion l’épilogue
de ce texte pas très fort que je termine ce matin. C’est difficile, comme
toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! N’abandonnez pas je souhaite
et espère vous revoir dans une prochaine!!!
Bonsoir!
Bonjour! L’équipe locale a gagné son match hier… quand même il semble qu’ils ne
participeront pas aux séries finales de fin de saison. Je me relève j’arrive
pas à dormir il est minuit trente. J’ai tellement envie de partir je me tape
toute les émissions du canal Évasion… Ça fait deux soirées qu’on sonne à ma
porte pour entrer dans l’édifice. J’essais de garder l’esprit sur mon prochain
voyage… J’ai pas bien dormis, je me réveille quand même lentement… Je suis trop
endormis pour que la paranoïa fasse surface, le COVID-19 fait des ravages je ne
partirai pas tout de suite… L’ami me demandait ce qui m’intéressait tant dans
les œuvres d’art qu’on peut voir à Paris. J’ai répondu que c’était leurs
créateurs et leur beauté je crois que jamais je ne me lasserai de les admirer.
Cette nuit j’ai de l’eczéma sur les doigts j’ai des démangeaisons… J’aimerais
vous écrire sur la nécessaire beauté des choses, comment je suis parfois
émerveillé. Cette nuit je vous illustre ça avec une statue de fonte
représentant l’Amérique du Nord par Eugène Hiolle 1834-1886 elle est d’une
hauteur de deux point seize mètres par une largeur de un point trente-quatre
mètres, il y est inscrit Washington Lafayette Franklin Jefferson. C’est
toujours la nuit, je reviens à mon senti, les voisins sont tranquille. Je me
fouille l’âme pour m’exprimer ce n’est que ça expression, j’ai pas envie de
commenter l’actualité les faits divers sont si laid… J’avais envie d’abandonner
le blog parce qu’il y avait des sonneries inutiles à ma porte… Me suis préparé
un café, j’écoute mon discours intérieur il dis pas grand-chose quand je m’arrête
il est silencieux, ça ressemble un peu à un yoga méditatif, j’inspire j’expire
quelque fois en récitant un mantra mais vous savez tout ça je vous ai déjà
écrit là-dessus. J’aimerais bien avoir du courrier aujourd’hui, quand même la
pensée magique ça donne rien, parfois l’angoisse m’étreins c’est douloureux ça
va jusqu’à une menace de danger, c’est de la folie mais bien réelle… J’espère
que la paperasse pour l’Office Municipale d’Habitation vas être correcte… Je
pense à ma lectrice privilégié snowbird en Floride… J’ai un déjà vu pas
tellement intense c’est ce que j’essaye de vous écrire c’est pas facile… Je
souhaite un bon retour à la maison à la super maman y’a des enfants qui vont
être content… Je vous écris ça et après je vais regarder la télé. Je vois pas
le temps passés c’est presque le matin, j’ai hâte d’entendre les entrevues
radiophonique sur le centre d’apprentissage santé et rétablissement . J’en suis
presque à la conclusion dans ce milieu de semaine, encore quelques mots avec
cette difficulté finale. Allez! Courage! Vous y êtes presque j’espère que ça
vous a intéressé, je suis bien conscient qu’on dénigre l’utilisation de l’électronique
pour l’écriture mais je crois que ça le fait quand-même…. Je vous aurai encore
amusé au pire. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la
prochaine je l’espère!!! Au revoir!!!
Bonjour!
Bonsoir! Je pense à tous ces copains, copines croisés au fil du
temps. Y’en a quelques un qui nous quittent après ce blog… Je bois trop de café
j’ai des démangeaisons… C’est toujours ce qui se passe dans ma tête, mon senti…
C’est mardi, les gars me croyaient pas quand j’ai démissionné de ma job à l’entretien
ménager. Plusieurs encore croient que je suis devenus vraiment fou depuis que j’écris…
Pourtant je ne poursuis que mon engagement dans les arts, poésie, prose,
prosodie c’est avec ça que je poursuis mon chemin… C’est un bonheur pour moi de
vous écrire toute les nuits… J’ai peur du Covid-19 coronavirus, je crois pas l’avoir
attrapé J’ai pas été en contact avec quelqu’un qui revenait d’orient… Hier j’ai
téléphoné à l’Office Municipal d’Habitation on m’a dit qu’un agent me
contacterais si il manquait des pièces justificatives… Pendant ce temps-làil passe, je vieillis… Je pense à ces mythiques
camps de bûcherons que le patriarche et les oncles me racontaient, la
matriarche a encore quelques photos pour nous montrer ce que c’étaient, à l’époque
ils se préparaient pour la drave, ils devaient faire sauter quelques embâcles… Je me suis trouvé une autre raison d’attendre
le facteur, un montant pour le centre d’apprentissage santé et rétablissement
et un autre pour la journée de l’Éthique à l’hôpital Sainte-Justine… Parfois je
pense à rendre visite au psy qui me suivais, il est à sa retraite dans une
maison spécialisé. Je le ferai pas c’est justement une question d’Éthique.
Minuit approche, j’ai pas d’enfant pour raconter mes histoires je vous les
écris… Me souviens du patriarche et de la matriarche qui se demandaient ce qu’un
cousin du temps de leurs jeunesse au « campe » était devenus, y’en
avait plusieurs comme ça… Ces discussions là c’était surtout le soir au souper…
J’aurai vraiment « fait » ma vie à Montréal je travaillais dans les
petites et moyennes entreprises, j’aimais pas ça. Parfois avec un copain on
roulais en voiture jusqu’à Montréal, ça m’étonnais, m’éblouissait toujours, j’étais
pas encore tout à fait montréalais. J’aimais la lumière, les néons des
enseignes dans la nuit… C’était avant que je devienne « fou »…
Maintenant je grouille plus, c’est bien chez moi… Il a fallu que je passe par
une maison de chambres une sorte de mouroir pour apprécier mon studio… Faute d’étudier
d’apprendre un métier, j’ai appris sur le tas et j’y ai laissé ma santé mentale…
J’ai survécu… Ai pris une douche avant de terminer, me suis parfumé, lentement
j’arrive à la conclusion je sais plus trop quoi vous raconter… Le voisin du
dessous gueule je ne sais en quelle langue… Cette semaine on commence les
répétitions au Théâtre du Nouveau Monde je vais voir ce qu’ils ont fait avec
mon texte… C’est presque terminé pour ce soir. Si tout se passe bien je devrais
jouer le quatre mai… Voilà c’est la conclusion, comme toujours je vous remercie
d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!
Bonsoir!
Bonjour! Je suis vidé, l’inspiration me manque. J’ai dormis en fin d’après-midi
après avoir souper de côte de porc… Chez la voisine y’avait un gars qui
gueulait, je sais pas pourquoi elle le tolère chez elle… J’ai sommeil, j’aime
bien les photos de voyage en Floride de la super-maman, j’ai regardé une
émission télé sur les dépendances à l’écran, moi je vous donne à lire je crois
que c’est mieux comme ça… Encore hier je lisait une critique de livre où on
félicitait l’auteur de pas utiliser le « je » la première personne du
singulier, moi j’arrive pas à mettre en mots un autre que moi. Égoïsme?
Narcissisme? Je sais pas encore une fois écrire comme un autre très peu pour
moi, sans prétention d’écrire de la grande poésie… Souvenir d’un voyage à Cuba,
les journées passées dans le hall de l’hôtel et les longues marches sur la
plage… Je me cherche une destination pour le prochain voyage après le
coronavirus le covid-19… Je pense encore à Rome où à un autre séjour à Paris,
je me prendrais un hôtel rue Mouffetard dans le cinquième… Ce seras
probablement l’automne prochain, quand je regarde les émissions voyage à la
télé je me sens partir. Je suis loin de mon senti avec ça, la répétition…
Tournez ça à la première personne du pluriel c’est difficile la seule chose
partagée c’est la maladie mentale, nous sommes quelques un comme ça dans la
douleur mais aussi dans le rétablissement… Vous voulez probablement lire
quelque chose de différent un poème :
La chair
arrachée
Douleur sans
cicatrice
La gueule
plombée
Le vice
dites-moi aimé
Portant le
cilice
Calice calice
l’office
Langage ciré
Attendant la
police
De l’amoralité
Du moins la
prémisse
Voilà! Une
pensée pour tous les grands poètes, Vous aimez la poésie? On me confond parfois
avec un poète fréquenté dans ma dérive… Demain c’est métro boulot dodo, mes
lecteurs de Deux-Montagnes sont de retour… Ils sont tous là qui m’attendent
dans le détour, ma paranoïa, pourquoi pas y aller comme ça dans la douleur et
dans la peur, ça ne vous dis rien, ça me soulage… Ils passent par la passerelle
ils veulent échapper aux caméras de surveillance, bon! Mon senti c’est toujours
la nuit, écrire en espérant arriver à des textes forts pourtant c’est souvent
la mort sans trésor… Ces textes c’est pas de l’or! À la radio ce matin on
parlait encore du mythique écrivain… J’ai hâte de voir ce qu’ils ont fait au
Théâtre du Nouveau Monde des textes proposés… Les nôtres pas ceux du grand
écrivain décédé y’a pas longtemps… Voilà! J’ai presque terminé, j’envie les
snowbirds en Floride qui peuvent certainement siroter un café sur une terrasse,
je crois qu’ils préfèrent les cocktails. Je sais pas trop comment
terminer,c’est la mauvaise habitude, Je
vous aurai donnez à lire j’espère que c’est pas trop pénible. Comme toujours je
vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Revenez si ça vous a plu. À la prochaine
je l’espère!!! Ciao!!!
Bonsoir!
Bonjour! Ce soir j’ai regardé tout le match, l’équipe locale a gagné… Lentement
on s’en va vers dimanche… Me souviens de mes dernières journées d’alcoolique
actif, je buvais avec un ancien soldat on rigolais de ceux qui avait peur de
boire pourtant j’en suis aussi venus à ça… J’ai arrêté de boire, je me souviens
encore je me souviendrai toujours la profonde noirceur dans laquelle j’étais
tombé… Je suis resté marqué c’est pourquoi j’en parle si souvent… Dans les
clubs le gros soir c’était vendredi, les samedi étaient déprimant avec beaucoup
moins de monde parfois j’allais boire sur Decelle dans Côte-des-Neiges au Café
Campus j’aimais bien la musique qu’on y faisait jouer de temps à autre y’avait
un show… Je sais pas trop quoi vous raconter, je dansais et je transpirais sur
la piste de danse ça plaisait pas à certaines personnes fallait voir la
quantité de bière que je buvais des verres de Belle-Gueule à l’époque c’était
une nouvelle brasserie… Je compte plus les jours de ma sobriété, c’est juste
pour aujourd’hui… Les gars de la gang buvaient mais un jour je me suis retrouvé
seul avec mon alcoolisme et ma toxicomanie, j’étais profondément malheureux… J’ai
cessé de me détruire pour me reconstruire… Voilà! Je vais essayer de vous
écrire mon senti à présent Je ne me sens plus seul, j’essaye plus de faire
entrer des blocs carrés dans des trous ronds, me comprendre c’est une chose
mais je préfère beaucoup prêté mon oreille à quelqu’un d’autre l’écouter en
essayant de ne pas juger… Parfois j’ai des idées mortifères diraient l’ami, je
capote parce que j’ai envoyé de la paperasseà l’ Office Municipal d’habitation, j’espère que tout est O.K. des
considérations administratives ça fait pas de la très belle prosodie… La peur,
la paranoïa est souvent là sans raison, y’a une odeur de mastic pourtant j’ai
pas installé de carreau de verre.,. Avec la neige qui a tombé j’ai souvenir qu’avec
mon lecteur technicien à la Rolls-Royce on allait pelleter l’entrée chez
monsieur Allard, il nous payait bien cinq dollars à l’époque c’était beaucoup…
Parfois le samedi on jouais aux cartes chez un copain dont la mère était
directrice d’école, ça m’a pas empêché de devenir un bum… On y buvait pas d’alcool…
Ça fait longtemps tout ça, ça a quand même fait ce que je suis. J’ai visité les
différents sous-sol de la couronne nord, les gars y dormaient dans des chambres
aux murs de contre-plaqués.Les gars
voulaient tous avoir les mêmes bébelles, un système de son, des disques, un
magnétophone quelques revues vaguement porno… Moi mes bébelles je les ai
brisées ça pas été long… J’ai pété ma guitare… Brisé ma radio-télévision… J’avais
ces espèces de crises, la schizophrénie s’installait… Ce fut une période très
malheureuse. Voilà! Je termine c’est l’épilogue la conclusion toujours aussi
difficile… Vous devez vous en douter comme toujours je vous remercie d’avoir lu
jusque-là!!! On y est presque J’espère que ça vous a plu. À la prochaine!!!
Ciao!!!