mercredi 4 mars 2020

Yippie


Bonsoir! Bonjour! L’équipe locale a gagné son match hier… quand même il semble qu’ils ne participeront pas aux séries finales de fin de saison. Je me relève j’arrive pas à dormir il est minuit trente. J’ai tellement envie de partir je me tape toute les émissions du canal Évasion… Ça fait deux soirées qu’on sonne à ma porte pour entrer dans l’édifice. J’essais de garder l’esprit sur mon prochain voyage… J’ai pas bien dormis, je me réveille quand même lentement… Je suis trop endormis pour que la paranoïa fasse surface, le COVID-19 fait des ravages je ne partirai pas tout de suite… L’ami me demandait ce qui m’intéressait tant dans les œuvres d’art qu’on peut voir à Paris. J’ai répondu que c’était leurs créateurs et leur beauté je crois que jamais je ne me lasserai de les admirer. Cette nuit j’ai de l’eczéma sur les doigts j’ai des démangeaisons… J’aimerais vous écrire sur la nécessaire beauté des choses, comment je suis parfois émerveillé. Cette nuit je vous illustre ça avec une statue de fonte représentant l’Amérique du Nord par Eugène Hiolle 1834-1886 elle est d’une hauteur de deux point seize mètres par une largeur de un point trente-quatre mètres, il y est inscrit Washington Lafayette Franklin Jefferson. C’est toujours la nuit, je reviens à mon senti, les voisins sont tranquille. Je me fouille l’âme pour m’exprimer ce n’est que ça expression, j’ai pas envie de commenter l’actualité les faits divers sont si laid… J’avais envie d’abandonner le blog parce qu’il y avait des sonneries inutiles à ma porte… Me suis préparé un café, j’écoute mon discours intérieur il dis pas grand-chose quand je m’arrête il est silencieux, ça ressemble un peu à un yoga méditatif, j’inspire j’expire quelque fois en récitant un mantra mais vous savez tout ça je vous ai déjà écrit là-dessus. J’aimerais bien avoir du courrier aujourd’hui, quand même la pensée magique ça donne rien, parfois l’angoisse m’étreins c’est douloureux ça va jusqu’à une menace de danger, c’est de la folie mais bien réelle… J’espère que la paperasse pour l’Office Municipale d’Habitation vas être correcte… Je pense à ma lectrice privilégié snowbird en Floride… J’ai un déjà vu pas tellement intense c’est ce que j’essaye de vous écrire c’est pas facile… Je souhaite un bon retour à la maison à la super maman y’a des enfants qui vont être content… Je vous écris ça et après je vais regarder la télé. Je vois pas le temps passés c’est presque le matin, j’ai hâte d’entendre les entrevues radiophonique sur le centre d’apprentissage santé et rétablissement . J’en suis presque à la conclusion dans ce milieu de semaine, encore quelques mots avec cette difficulté finale. Allez! Courage! Vous y êtes presque j’espère que ça vous a intéressé, je suis bien conscient qu’on dénigre l’utilisation de l’électronique pour l’écriture mais je crois que ça le fait quand-même…. Je vous aurai encore amusé au pire. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!!

Bernard


lundi 2 mars 2020

Voirie


Bonjour! Bonsoir! Je pense à tous ces copains, copines croisés au fil du temps. Y’en a quelques un qui nous quittent après ce blog… Je bois trop de café j’ai des démangeaisons… C’est toujours ce qui se passe dans ma tête, mon senti… C’est mardi, les gars me croyaient pas quand j’ai démissionné de ma job à l’entretien ménager. Plusieurs encore croient que je suis devenus vraiment fou depuis que j’écris… Pourtant je ne poursuis que mon engagement dans les arts, poésie, prose, prosodie c’est avec ça que je poursuis mon chemin… C’est un bonheur pour moi de vous écrire toute les nuits… J’ai peur du Covid-19 coronavirus, je crois pas l’avoir attrapé J’ai pas été en contact avec quelqu’un qui revenait d’orient… Hier j’ai téléphoné à l’Office Municipal d’Habitation on m’a dit qu’un agent me contacterais si il manquait des pièces justificatives… Pendant ce temps-là  il passe, je vieillis… Je pense à ces mythiques camps de bûcherons que le patriarche et les oncles me racontaient, la matriarche a encore quelques photos pour nous montrer ce que c’étaient, à l’époque ils se préparaient pour la drave, ils devaient faire sauter quelques  embâcles… Je me suis trouvé une autre raison d’attendre le facteur, un montant pour le centre d’apprentissage santé et rétablissement et un autre pour la journée de l’Éthique à l’hôpital Sainte-Justine… Parfois je pense à rendre visite au psy qui me suivais, il est à sa retraite dans une maison spécialisé. Je le ferai pas c’est justement une question d’Éthique. Minuit approche, j’ai pas d’enfant pour raconter mes histoires je vous les écris… Me souviens du patriarche et de la matriarche qui se demandaient ce qu’un cousin du temps de leurs jeunesse au « campe » était devenus, y’en avait plusieurs comme ça… Ces discussions là c’était surtout le soir au souper… J’aurai vraiment « fait » ma vie à Montréal je travaillais dans les petites et moyennes entreprises, j’aimais pas ça. Parfois avec un copain on roulais en voiture jusqu’à Montréal, ça m’étonnais, m’éblouissait toujours, j’étais pas encore tout à fait montréalais. J’aimais la lumière, les néons des enseignes dans la nuit… C’était avant que je devienne « fou »… Maintenant je grouille plus, c’est bien chez moi… Il a fallu que je passe par une maison de chambres une sorte de mouroir pour apprécier mon studio… Faute d’étudier d’apprendre un métier, j’ai appris sur le tas et j’y ai laissé ma santé mentale… J’ai survécu… Ai pris une douche avant de terminer, me suis parfumé, lentement j’arrive à la conclusion je sais plus trop quoi vous raconter… Le voisin du dessous gueule je ne sais en quelle langue… Cette semaine on commence les répétitions au Théâtre du Nouveau Monde je vais voir ce qu’ils ont fait avec mon texte… C’est presque terminé pour ce soir. Si tout se passe bien je devrais jouer le quatre mai… Voilà c’est la conclusion, comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!

Bernard


dimanche 1 mars 2020

Option


Bonsoir! Bonjour! Je suis vidé, l’inspiration me manque. J’ai dormis en fin d’après-midi après avoir souper de côte de porc… Chez la voisine y’avait un gars qui gueulait, je sais pas pourquoi elle le tolère chez elle… J’ai sommeil, j’aime bien les photos de voyage en Floride de la super-maman, j’ai regardé une émission télé sur les dépendances à l’écran, moi je vous donne à lire je crois que c’est mieux comme ça… Encore hier je lisait une critique de livre où on félicitait l’auteur de pas utiliser le « je » la première personne du singulier, moi j’arrive pas à mettre en mots un autre que moi. Égoïsme? Narcissisme? Je sais pas encore une fois écrire comme un autre très peu pour moi, sans prétention d’écrire de la grande poésie… Souvenir d’un voyage à Cuba, les journées passées dans le hall de l’hôtel et les longues marches sur la plage… Je me cherche une destination pour le prochain voyage après le coronavirus le covid-19… Je pense encore à Rome où à un autre séjour à Paris, je me prendrais un hôtel rue Mouffetard dans le cinquième… Ce seras probablement l’automne prochain, quand je regarde les émissions voyage à la télé je me sens partir. Je suis loin de mon senti avec ça, la répétition… Tournez ça à la première personne du pluriel c’est difficile la seule chose partagée c’est la maladie mentale, nous sommes quelques un comme ça dans la douleur mais aussi dans le rétablissement… Vous voulez probablement lire quelque chose de différent un poème :

La chair arrachée

Douleur sans cicatrice

La gueule plombée 

Le vice
dites-moi aimé


Portant le cilice

Calice calice l’office

Langage ciré

Attendant la police

De l’amoralité

Du moins la prémisse



Voilà! Une pensée pour tous les grands poètes, Vous aimez la poésie? On me confond parfois avec un poète fréquenté dans ma dérive… Demain c’est métro boulot dodo, mes lecteurs de Deux-Montagnes sont de retour… Ils sont tous là qui m’attendent dans le détour, ma paranoïa, pourquoi pas y aller comme ça dans la douleur et dans la peur, ça ne vous dis rien, ça me soulage… Ils passent par la passerelle ils veulent échapper aux caméras de surveillance, bon! Mon senti c’est toujours la nuit, écrire en espérant arriver à des textes forts pourtant c’est souvent la mort sans trésor… Ces textes c’est pas de l’or! À la radio ce matin on parlait encore du mythique écrivain… J’ai hâte de voir ce qu’ils ont fait au Théâtre du Nouveau Monde des textes proposés… Les nôtres pas ceux du grand écrivain décédé y’a pas longtemps… Voilà! J’ai presque terminé, j’envie les snowbirds en Floride qui peuvent certainement siroter un café sur une terrasse, je crois qu’ils préfèrent les cocktails. Je sais pas trop comment terminer,  c’est la mauvaise habitude, Je vous aurai donnez à lire j’espère que c’est pas trop pénible. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Revenez si ça vous a plu. À la prochaine je l’espère!!! Ciao!!!

Bernard

samedi 29 février 2020

Onyx


Bonsoir! Bonjour! Ce soir j’ai regardé tout le match, l’équipe locale a gagné… Lentement on s’en va vers dimanche… Me souviens de mes dernières journées d’alcoolique actif, je buvais avec un ancien soldat on rigolais de ceux qui avait peur de boire pourtant j’en suis aussi venus à ça… J’ai arrêté de boire, je me souviens encore je me souviendrai toujours la profonde noirceur dans laquelle j’étais tombé… Je suis resté marqué c’est pourquoi j’en parle si souvent… Dans les clubs le gros soir c’était vendredi, les samedi étaient déprimant avec beaucoup moins de monde parfois j’allais boire sur Decelle dans Côte-des-Neiges au Café Campus j’aimais bien la musique qu’on y faisait jouer de temps à autre y’avait un show… Je sais pas trop quoi vous raconter, je dansais et je transpirais sur la piste de danse ça plaisait pas à certaines personnes fallait voir la quantité de bière que je buvais des verres de Belle-Gueule à l’époque c’était une nouvelle brasserie… Je compte plus les jours de ma sobriété, c’est juste pour aujourd’hui… Les gars de la gang buvaient mais un jour je me suis retrouvé seul avec mon alcoolisme et ma toxicomanie, j’étais profondément malheureux… J’ai cessé de me détruire pour me reconstruire… Voilà! Je vais essayer de vous écrire mon senti à présent Je ne me sens plus seul, j’essaye plus de faire entrer des blocs carrés dans des trous ronds, me comprendre c’est une chose mais je préfère beaucoup prêté mon oreille à quelqu’un d’autre l’écouter en essayant de ne pas juger… Parfois j’ai des idées mortifères diraient l’ami, je capote parce que j’ai envoyé de la paperasse  à l’ Office Municipal d’habitation, j’espère que tout est O.K. des considérations administratives ça fait pas de la très belle prosodie… La peur, la paranoïa est souvent là sans raison, y’a une odeur de mastic pourtant j’ai pas installé de carreau de verre.,. Avec la neige qui a tombé j’ai souvenir qu’avec mon lecteur technicien à la Rolls-Royce on allait pelleter l’entrée chez monsieur Allard, il nous payait bien cinq dollars à l’époque c’était beaucoup… Parfois le samedi on jouais aux cartes chez un copain dont la mère était directrice d’école, ça m’a pas empêché de devenir un bum… On y buvait pas d’alcool… Ça fait longtemps tout ça, ça a quand même fait ce que je suis. J’ai visité les différents sous-sol de la couronne nord, les gars y dormaient dans des chambres aux murs de contre-plaqués.  Les gars voulaient tous avoir les mêmes bébelles, un système de son, des disques, un magnétophone quelques revues vaguement porno… Moi mes bébelles je les ai brisées ça pas été long… J’ai pété ma guitare… Brisé ma radio-télévision… J’avais ces espèces de crises, la schizophrénie s’installait… Ce fut une période très malheureuse. Voilà! Je termine c’est l’épilogue la conclusion toujours aussi difficile… Vous devez vous en douter comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! On y est presque J’espère que ça vous a plu. À la prochaine!!! Ciao!!!

Bernard

vendredi 28 février 2020

Thaï


Bonsoir! Bonjour! L’ami est revenus de Thaïlande, il a fait bon voyage. Je suis un peu au bout de mon écriture ce soir c’est pas facile… Je mange trop de bonbons j’ai des démangeaisons… Semble que la  Thaïlande sois le paradis des motos petite cylindrées… Le week-end est commencé  y’a des gens sérieux qui travaillent… Me suis préparé un café, la neige a cessé. J’ai sommeil… Aujourd’hui j’ai cherché des documents pour l’Office Municipal d’Habitation j’en ai fait d’autre copies que j’ai posté j’espère que tout seras O.K. Je vais essayer de me diriger vers mon senti, l’ami trouve que ça a su sens ce que je raconte… Demain samedi chronique voyage dans LaPresse+ ça devrais être intéressant, une émission sur les trains en Norvège m’attend… Je sais pas trop quoi vous confier je veux pas que ce sois insignifiant. J’ai échappé un comprimé de médicament en voulant le ramassés je l’ai écrasé avec le frigidaire… Semble que l’insomnie c’est très bon pour la création de l’œuvre, je pense au regretté docteur Ferron qui écrivait surtout la nuit… Je le vois dans son bureau à ce qui s’appelait encore l’hôpital Saint-Jean de-Dieu, il écrivait en veillant sur ses patientes. Je devrais relire le Pas de Gamelin… Y’a des patientes des hôpitaux généraux qui vont être déçu elles sont toutes « rapatriées » à l’institut, elles se croyaient moins folles dans un hôpital général… On en soigne des milliers à l’institut, plusieurs attendent longtemps leurs premiers rendez-vous avec un professionnel… Une fois qu’on a mis le pied dans la porte on peut plus s’échapper… Je sais pas si « l’asile » crée les malades, ou si les malades créent « l’asile »… Je crois que les psychiatres et les médecins de médecine générale peuvent affuter leurs plumes dans leurs pratique… Mais oui, je suis pas docteur j’écris quand même… J’oublie toujours dans la maladie l’inviolabilité du domicile… Mardi passé j’ai rencontré une policière, je crois vous l’avoir écrit… C’est rien ce que j’écris ce soir, j’aimerais beaucoup que mes mots soient une sorte de logorrhée sans fin vous écrire d’un trait mon état d’âme… Je sais pas pourquoi je pense à la route qui monte à Rawdon, le casse-croûte avion pas loin de Sainte-Julienne… Je cherche le senti, les sentiments aussi… Je crois être un bon gars c’est pour ça que je suis seul… J’essais de me souvenir des choses positives qui m’arrivent et des gens positifs qui m’entourent. Je sais pas si mes lecteurs de Deux-Montagnes sont de retour… Je suis engourdis par les émotions que j’arrive pas à exprimer… Y’a un voisin qui parle tout seul ,  quelques mots, quand je vous écris j’ai pas le sentiment d’être seul … Je crois que mon écriture a pas tellement été intense ce soir… Voilà! C’est la partie la plus difficile, la conclusion, la chute, abandonnez pas c’est presque finis. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Bye!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!! Arrivederci!!!

Bernard


jeudi 27 février 2020

King


Bonsoir! Bonjour! J’ai dormis un peu sans trop de difficulté pour digérer mon souper de foi de bœuf, brocoli, carottes et pomme de terre… La neige a cessé, hier j’ai téléphoné au coordonnateur et à l’administratrice du centre d’apprentissage santé et rétablissement avant d’avoir tout lu un courriel qu’on m’a envoyé. J’avais pas à m’inquiéter tout est o.k. L’équipe locale a encore trouvé le moyen de perdre… Je vais encore tenté d’y aller avec mon senti, février se termine y’en a qui doivent avoir hâte de jouer au golf, je pense à mon lecteur technicien à la Rolls-Royce malheureusement ça s’annonce qu’on a encore un grand bout d’hiver à passé… J’ai enregistré deux émissions voyage, je crois que je vais partir l’automne prochain à moins que je sois très occupé avec ma formation Recovery College… Mercredi de cette semaine j’ai fait une courte intervention après la pièce Au-delà des marées, je crois que ça a été apprécié, je devrais faire attention je me prend au jeu j’aime ça… Je crois que je vais participer à la journée du livre fin avril on verras, on y parle beaucoup de droit d’auteur, le blogue et les réseaux sociaux sont pas fort là-dessus… J’ai de la difficulté à croire qu’il y a pas au moins un éditeur qui a lu un paragraphe de ce que j’écris… J’ai l’impression que l’édition c’est une chasse gardée ils gardent ça entre eux et veulent pas s’embêter… C’est vrai que je me cherche pas de job de professeur de littérature je vous l’ai déjà écrit… Je suis pas vraiment du côté de chez Swann… On aime bien lire par ailleurs, les bas-fonds, les coups de poignard littéraire de nos auteurs… Faut se l’avouer hors de Radio-Canada et du Conseil des arts point de salut mais tout bonnement c’est peut-être que j’ai pas assez de talent… L’écriture c’est vieux j’aurai pas des millions de lecteurs on préfère les musiques et les chansons… Je continus quand même cette écriture intime de l’entre-nous… C’est vrai qu’à part ça j’ai pas grand-chose, ce soir y’a un parfum de frites, la grosse graisseuse… Je reviens sur le talent j’y travaille c’est toujours plus de transpiration que d’inspiration… C’est ma vie que je vous raconte, ces moments dans la nuit où j’espère vous bercer avant que vous dormiez… Je suis entouré de gens créatifs, je vous remercie d’être là… J’essais toujours de plonger au plus profond de moi. Ça passe toujours par le brou-ha-ha… Je sais que certains universitaires me regardent de haut… On m’a lâché lousse dans la vie avec quelques livres, un ordinateur du papier et des crayons… Ce soir je vous illustre ça avec une photo des Invalides,  C’est le musée de l’armée qui célèbres ses trois cent cinquante ans fondé par Louis XIV pour y soigner et y loger ses vétérans, Moi je suis un vétéran de la maladie mentale je ne partage que ça comme invalide. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine!!!

Bernard

mercredi 26 février 2020

Chanter


Bonsoir! Bonjour! Il neige J’ai assisté à la pièce de théâtre et répondu à quelques questions… Ma semaine est déjà finie… On s’en va au mois de mars déjà. Comme tout le temps j’essaye de vous traduire mon senti… Notre intervenante française nous quitte bientôt, elle retourne en France, dommage je m’entends bien avec elle c’est étrange elle a l’âge d’être ma fille… J’ai lavé la vaisselle, y’a un parfum de cannelle. Je dis merci à tous ceux qui ont visionné la vidéo ça ne se demande pas sur la schizophrénie… J’ai l’impression qu’avec ce que je fais le mot perd de sa force, s’adoucis deviens moins étrange… Je crois qu’il deviens plus humain, moins cruel… Le poète disait qu’il n’y avais plus de cause, c’est faux j’en ai une. Je ne sais pas comment vous dire que je « travaille » à la déstigmatisation… Je crois que ça relève de la sociologie des changements au longs cours dont je ne verrai pas le jour… Enfin rien m’empêche de faire de mon mieux pour que ça arrive, que en rétablissement nous sommes des gens honnêtes… Ce soir ma prose est pas très bonne… Je veux pas vous raconter la même histoire, je crois, j’espère que la troupe de l’Espace Potentiel va jouer dans les collèges, je leur souhaite… Je crois être heureux ce soir,  ça me tiens loin des babilles incessant que je vous fait quand j’écris… Bientôt on va commencer les répétitions avec le nouveau texte pour le Théâtre du Nouveau Monde, j’ai hate de voir de quoi ça a l’air… J’espère que je vous mêle pas trop avec mes histoires de théâtre… Je pense à mes lecteurs de Deux-Montagnes qui sont à Vegas ils ont du plaisir… J’ai toute la préparation à faire pour l’atelier  du Centre d’apprentissage santé et rétablissement. Quand je vous écris j’essaye d’ avoir une prose cohérente… Un poème…

Assez assez

Attendu

Le vert

Pour demain

Devoir de mémoire

Été il y aura

Même dans cette

Faible poésie

Qui cherche

 Un rythme



 C’est pas fort mais c’est ce que j’ai de mieux pour aujourd’hui. Je trouve plus quoi vous raconter, il va s’agir de faire aussi bien demain qu’aujourd’hui, y’a des mauvaises habitudes que j’ai perdus et j’en suis très heureux… J’entends le tic-tac de la pendule, chez le patriarche on l’entendait sonner minuit c’était pas terrible pour les insomnies… Aujourd’hui j’ai été moins paranoïaque ma rencontre avec la policière m’a aidée… Voilà! Quelques mots encore, je pense aux snowbirds et à la super-maman en Floride, moi je me contente du canal Évasion… Il neige pas très fort je crois que ce seras pour plus tard cette nuit. J’essaye d’écrire une conclusion qui a du bon sens, je sais pas pourquoi je pense à Terrebonne que je regrette pas d’avoir quitté. Saint-Louis c’étais la paroisse, l’hiver on pouvait pas faire les hippies dans le parc. Maintenant y’a une patinoire sur l’étang. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!!

Bernard