Bonsoir! Bonjour! Je pense aux formalités avant l’embarquement
quand on part en voyage, je suis toujours très excité à ce moment-là… J’aurai
pas de départ avant l’automne prochain… Je prends mon temps… Pense aux amis qui
sont partis… C’est difficile de vous écrire sur mon senti ce soir y’a pas
vraiment de douleur… Mon lecteur de Deux-Montagnes est partis à Sin City
Je lui souhaite de bonne vacance. Ça me rappelle des soirées à jouer au poker
avant d’être malade de toutes ces personnes que j’ai croisé je crois être le
seul devenus fou… Je vous écris c’est pour me bâtir un semblant de vie quand j’en
aurai finis il resteras ça… Vendredi soir les amoureux vont souper au
restaurant… J’invite plus personne je suis trop vieux et je ne cherche plus… Le
sentiment de solitude seras jamais aussi immense qu’au début de la
schizophrénie… L’agent de voyage m’a conseillé le sud des Indes pour mon
prochain voyage, çe serais vraiment l’aventure mais je pense plutôt à Rome et à
Florence… Y’a une amie qui part faire le tour du monde… Quoi dire? Faut y aller
quand on se sent près, quand on sent l’appel… Je consent à payer la taxe
carbone pour ma place dans l’avion… Y’a longtemps déjà j’étais détestable je
sonnais déjà à la porte des gens au milieu de la nuit, l’alcool m’a jamais
convenue…. Pour les voyages y’a tant de choses à voir dans le monde c’est
inutile de retourner dans des villes où on est déjà allé… Cette semaine j’ai
rencontré un psychologue avec qui j’étais allé dans un congrès à Milan je vais
essayer de vous perdre je vais illustrer ça avec un magnifique monument sur une
place de Madrid… J’aime bien les vieux pays, j’y retournerai… Si j’écoutais les
écologistes je resterais chez moi, comment dire que la maladie m’a empêché de voyager à un âge plus propice
maintenant je me rétablis et les voyages font partie de ce rétablissement… Ce
qui s’en viens la semaine prochaine c’est la plénière de mon groupe d’entraide
et une pièce de théâtre mercredi midi venez-y c’est gratuit au pavillon Lahaise
à l’auditorium, la soirée de vendredi c’était toujours le chaud début du
week-end on s’assoyait à la brasserie commandait quelques bières et on
discutais… Je sais plus combien de temps j’ai fait ça plusieurs semaines?
Plusieurs années? J’avais déjà le désir d’arrêter de boire. Je suis passé par
toutes les dépendances je vous laisse les examiner, j’arrivais jamais à rien….
Autour de moi tout le monde consommais je pouvais pas croire qu’il y avait tant
d’alcoolique… Je pense que je vais terminer la dessus je me répète j’ai pas eu
d’autre vie, je trouve pas le mot qui dis qu’une chose se répète… Voilà! C’est
terminé je sais pas si ça vous plait n’hésitez pas à faire vos commentaires.
Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Pour la conclusion on
fait pareil comme d’habitude!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À
bientôt!!!
Bonsoir!
Bonjour! Bientôt vendredi hier j’étais dans mon rush d’émission télé voyage
dans l’une d’elle ils avaient la même marque de sac-à-dos que moi… Ça me donne
envie de partir comme souvent c’est le désir… Ils ont eu une injonction pour le
chemin de fer de Saint-Lambert je sais pas trop ce qui vas arriver… C’est pas
qu’on comprend pas cette lutte mais quand la population est prise en otages
comme souvent dans ces revendications on a rien à y voir et je suis certain que
les politiciens et les amérindiens peuvent discuter autrement… Je sais y’a les
enjeux écologiques c’est important mais les chefs héréditaires on pas à nous
imposer une façon de vivre encore une fois l’empire divise pour mieux régner… J’aimerais
bien être plus sensible mais dans le match de ce soir y’a pas beaucoup de
sensibilité, l’équipe locale a gagné en période supplémentaire… Je pense à tous
ces changements climatiques, tempête, feu de forêt, inondations, sans parler du
coronavirus mais de toute façon je suis pas là pour vous faire une revue de l’actualité…
Ouais! On est vendredi, j’attends encore de l’argent je sais pas si ils doivent
régler leurs compte avant mars… Encore de l’écriture insensible, je crois que
je vais vous illustrer ça avec un monument de Paris. J’ai pas la tête à la
poésie ce soir je sais pas trop pourquoi je vous écris
Texte soumis
Les mots
sont partis
Exposé à
mort
La galerie
du mort
Des soucis
Pathogènes pathétiques
Silence schizophréniques
Douleur
Voilà! Un
poème je sais pas si je vous ai touché, la poésie c’est pas que les amours
perdus, c’est le monde du vocabulaire sentis, la santé mentale aime pas la
philosophie pourtant ce sont des espèces de jumeaux, je pense aux gars
renfermés dans l’hôpital psychiatrique Pinel… Y’a aussi l’ami décédé qui était
un grand philosophe il connaissait ses classiques… Souvent la difficulté c’est
de soigner ceux qui ne reconnaissent pas qu’ils sont malades mais c’est encore
plus terrible quand ils le savent et l’admettent mais que la psychiatrie ne
peut rien faire…Encore une autre de mes
thématiques la psychiatrie, différentes pathologies qui vivent en sursis autant
de folie qu’il y a de fous et de folles, je sais c’est pas correct d’utiliser
ces mots mais ici on parle de prosodie pas de poésie… Dans la douleur les
thérapeutes acceptent pas les philosophes, ils veulent du rétablissement du
concret… J’arrive je ne sais où avec tout ça… Écrire tout est là, bientôt tout
le monde va rentrer chez soi… Je pense au pauvre fou qui croyais rencontrer
dans un bar, la seule rencontre qu’il y feras c’est la solitude, un autre qui
va avoir le siège vide comme interlocuteur, il va payer une bière au fantôme,
tout ce temps perdus et ce long soliloque à la brasserie à essayer d’avoir
moins mal avec la bière… Voilà! C’est la conclusion, comme toujours je vous
remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À
bientôt!!!
Bonsoir!
Bonjour! J’arrive pas à dormir, j’ai pété l’anse d’une tasse en me préparant un
café. J’ai assisté à la réunion sur la trajectoire de soin. La question qui se
pose c’est comment donner de meilleur service et que ça prenne moins de temps.
Je pense à ma chère sœur décédé si ça avait été moins long elle serait peut-être
encore vivante… La semaine prochaine y’a une représentation de la très belle
pièce Au-delà des maréespar le très bon
espace potentiel http://www.lespacepotentiel.com/nos-creations/au-dela-des-marees/dans toute cette folie la leçon c’est qu’il
faut rester vivant. Très peu pour moi l’aide médicale à mourir plutôt l’aide à
vivre qui me semble plus humaine… La sensibilité du schizophrène, sa psychose
il faut l’entendre pour qu’il en fasse autre chose que la mort, c’est difficile
de faire comprendre que toutes les décompensations ont une fin que le
rétablissement est possible, dans une vie pour survivre il faut parfois faire
des changements radicaux, cesser de flirter avec la mort… Je pense aux amis qui
vivent une immense solitude et veulent en sortir pour aider les autres c’est
louable mais le rétablissement parfois c’est long,je trouve ça triste qu’ils n’aient en bouche
que le tarif horaire d’un pair aidant, cet après-midi un gestionnaire m’a tendu
la perche pour me dire qu’ils allaient engager un pair-aidant, j’ai pas mordus
de toute façon j’ai pas la formation académique et je préfère le centre d’apprentissage
santé et rétablissement. Comme vous voyez y’a différentes portes qui s’ouvrent
quand on se rétablis je vous les nommerai pas toute mais ça prend ça pour des
gens qui sortent de longues années de maladie mentale. Cet après-midi j’ai été
étonné d’apprendre que ce sont des milliers de gens qui font appel à l’institut,
là difficulté qu’on a à donner des services… Je suis content d’être une
personne en rétablissement qui participe au comité transversal intensif-vision
d’ensemble des trajectoires de service. Ce que je comprends c’est que ça passe
souvent par l’urgence et que c’est après que ça se gâte… Les personnes qui se
présentent à l’urgence psychiatrique ont besoin de support tout de suite mais
les premiers répondants n’ont plus de place dans leurs case-loads on vous
renvois donc chez vous en sachant que vous allez vous présenter encore une fois
dans quelques jours, quelques semaines… Je pense à ceux qui aimeraient qu’il n’y
ait qu’un guichet et un endroit pour soigner tous ces gens… Je suis pour la
pluralité des soins, le guichet unique je trouve ça bolchévique… Voilà! C’est
mon senti pour ce soir, le voisin ne dors pas il gueule dans une langue
étrangère… Cet après-midi j’ai employé le mot panacée pour désigner l’urgence
psychiatrique plusieurs croient que ça en est une mais on est loin de là…
Quelques mots encore pour terminer, c’est la chute la conclusion l’épilogue… C’est
frette comme texte une drôle de forme… Je pense à tous ceux qui souffrent
encore. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine
je l’espère!!!
Bonsoir!
Bonjour! C’est le début de la soirée, j’aime bien les photos de Floride des
snowbirds de Gatineau… Demain j’ai un comité… Je crois que j’ai trop dormis j’ai
mal à la tête. Je me rabats sur mon senti, j’ai préparé le compte-rendu de la
dernière plénière de Reprendre Pouvoir mon groupe d’entraide… Je pense à tous
ces pauvres malades dans les prisons toxiques et alcooliques. Encore aujourd’hui
je vais essayer de ne pas consommer. J’ai souvenir de ma dernière sortie à la
taverne du Cheval Blanc du copain qui avait tellement soif qu’il en tremblait, je lui ai
payé un verre… Même si c’est loin ça reste des souvenirs vivaces je dois pas oublier.
Je suis encore partie sur la même track… Ce que j’aimerais faire une radieuse
prosodie de mon senti rendre et prendre le rythme comme une secousse sismique
un déplacement tectonique… Je pense à ces grands artistes qui habitent la rue
Laval, la maison des écrivains coin Prince-Arthur avec la tête d’Émile dans le
carré Saint-Louis. Y’a mon impossibilitéd’écrire sans pensés à lui à d’autre aussi mythique comme le docteur
Ferron et sa gueule de bon médecin aristocrate sortis d’une époque où n’écrivaient
que les nantis de Brébeuf où du Mont-Saint-Louis… Je me pose la question des
études je sais pas si j’ai pas pu où j’ai pas voulus… J’ai pas rencontré beaucoup
d’écrivains sortis du Juvénat du Très Saint-Sacrement… Bien que j’aime pas
tellement ça je me suis rasé. Je sais pas pourquoi je pense à mon bôf quand je
regarde la télévision peut-être parce que je veux avoir quelque chose à lui
raconter mais le conteur c’est lui pas moi, un professeur à la retraite. Quand
j’ai voulu être sérieux dans les études la douleur schizophrénique s’est
installé à l’école des décrocheurs ont me portais pas attention, j’aurais pu m’inscrire
directement à l’université mais c’était compliqué plus tard toujours fou je me
suis inscrit au collège d’enseignement général et professionnel. Je savais pas
qu’ils acceptaient les néo-nazis dans la maladie j’ai eu peur, j’ai abandonné
de toute façon j’avais pas d’argent pour vivre… Le poète disait je veux changer
de personnage peut-être pour raconter une nouvelle histoire? Je sais pas
pourquoi je vous écris ça je suis à la retraite, les études c’est loin
derrière. J’aurai été journalier toute ma vie toujours acoquiné avecles ouvriers… Ça vous montre comment j’étais déphasé… Incapable d’avoir
des emplois régulier souvent dans des jobs subventionnés… La fin du siècle est
arrivée je croyais jamais me rendre jusque-là, j’ai un peu appris à me taire…
Quelques mots encore puisque je suis ici pour bavarder, dans le goulag
occidental la neige à fondue. Lentement je termine, j’espère encore une fois
que vous avez apprécié. Je me sent mieux, je me sent bien après vois avoir
écrit la conclusion est toujours difficile. Comme toujours je vous remercie d’avoir
lu jusque-là!!! J’essaye de terminer sur une note juste même si c’est pas une
chanson. À la prochaine je l’espère!!!
Bonjour!
Bonsoir! J’ai essayé de dormir un peu j’y suis pas arrivé c’est pas grave la
journée est tranquille. Hier j’ai rencontré pas mal de monde, je suis toujours
fasciné par ces gens qui veulent démarrer un groupe communautaire et veulent
une subvention. Ils semblent pas réaliser qu’il y a un montant dans l’enveloppe
du ministère et qu’ils peuvent pas payer de salaire… Je suis gêné d’écrire ça…
Hier un gars me prêtait des intentions que je n’avais pas en nommant un
psychiatre comme si je voulais remonter l’estime que j’ai de moi disons que c’est
mon ancienne façon de penser… Deux rencontres hier, une de mon groupe d’entraide
l’autre du conseil d’administration d’Antenne Communication… J’ai mangé une poutine
au bacon assez pour me bloquer les artères… Suis revenus en taxi, un chauffeur
haïtien qui savait où il allait. Toujours étonné quand je prends une douche la
nuit je me sens en voyage, souvenir de jolies petites chambres d’hôtel… Je
réfléchis toujours à mon prochain départ je crois que ce seras l’automne
prochain, en attendant j’écoute des émissions télé sur le voyage… Je pense à l’amour
que les enfants ont besoin comment un vieux grand-oncle pourrais leurs en
donner, je crois que c’est en les laissant vivre sans être dans leurs pattes,
les parents ont tout ce qu’il faut… Y’a Paris qui me fait pleurer, j’y suis
allé que deux fois mais c’est assez pour vouloir y retourner, j’en profite pour saluer la collègue étudiante en ergothérapie
qui va y faire un stage dans un hôpital… Paname j’entends ce nom là dans la
bouche du grand Jean Gabin, ça me rappelle le cinéma du midi à la télévision…
Je fais trempée la vaisselle dans l’évier, c’est la nuit il est deux heure
quinze et j’entends Miles Davis le grand… Je pense qu’hier sur le plateau
Mont-Royal sur la rue du même nom, j’ai croisé le gargantuesque écrivain Michel
Garneau. Je lui ai pas parlé il me connait pas… J’ai découvert que j’aimais pas
beaucoup ce quartier Le Plateau. Aujourd’hui c’est déjà mardi y’a un parfum de
pâtisserie, je crois que c’est celui dont je me suis aspergé ça sent vraiment
bon… Cette nuit… Je me suis préparé un autre café… Hier soir avec les gars on a
parlé de la partie de baseball éliminatoire l’année où les Yankees n’ont pas
gagné, y’avait des paris illégaux c’était arrangé. Je me rappelle avoir lu le
condensé dans le Sélection du Reader’s Digest… J’attends toujours du courrier,
ai envoyé la paperasse des impôts à mon aimable frère qui va s’en charger… Je
pense à la super-maman qui s’en va bientôt rendre visite à ses parents les
snowbirds en Floride. Je les embrasse tous… Voilà! Je cherche une conclusion,
Rome et Florence sont des options pour mon départ… Quelques mots encore j’aimerais
que ça vous plaise ce que j’écris, j’apprécie toujours vos commentaires. Comme
toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère!!!
Au revoir!!! À bientôt!!! Merci!!! Ciao!!!
Bonjour!
Bonsoir ! Une lectrice me mentionnait qu’il y avait encore des lectures qui se
faisaient dans des bars de Montréal. Je préfère ne pas m’y rendre, c’est dans
ce genre d’endroit que j’ai connus mon bas-fond… Je crois que ma prosodie s’en
tire très bien… Je vous écris encore du dimanche… Je regarde pas la télévision
ça me chamboule trop. Je me crème les mains… J’esais de trouver un nouveau
propos une nouvelle sonorité j’ai pas de pot c’est avant la tombée j’écris
aussitôt à l’arrachée vous saurez bientôt pourquoi c’est rimé ça sort de ma
peau c’est rivé une rythmique décuplé pour des mots malmenés c’est pas fort la
sono c’est plutôt décimé vos encore je les ai pas mérité… Parfois j’abandonnerais
c’est pas fort ce que j’écris sur ce que le grand poète appelait le grand
babillard… J’écris pas pour la reconnaissance aussi bien se tenir muet…
Echo de Pink
Floyd
Psychédélique
Pompéï
Guitare électrique
au courant
toutes en
musique
j’entends
les ruines
je sens l’abyme
devant ce
crescendo mortel
je rêve
à la
création atavique pourtant
illettrés ils
ont abandonné
Voilà des
vers, je vous laisse juge, je suis pas de la famille de Saint-Denys Garneau je
suis plus de mother earth et de ce que déjà on a appelé l’underground, six pieds sous terre je n’écrirai
plus. Je pense à Edgard Allen Poe… Avant de rejoindre le charnier est-ce qu’on
a peur? La mort ça fait mal? Il est pas question de retour à la terre mais dans
la terre, là où on finiras tous à la
cité des fantômes… C’est toujours étonnant de voir comment la métempsychose me
garde muet, on y va sans se presser avec quelques compositions à finir et l’espoir
oublié… Je me fait vieux, les gens des bonnes œuvres croient pas que soixante-trois
ans c’est vieux, je pense à la matriarche qui auras quatre-vingt -dix ans
bientôt encore très lucide… C’était tous pour un ils n’avaient pas lu Marx ni
Thomas More ni l’Utopie ils faisaient les choses chacun pour soi en aidant
parfois un plus mal pris, Marx et l’alcool c’est un très mauvais mélange… L’anarchie,
le communisme on a beau lire c’est dans la vraie vie que ça se fait… Là je
pense à la gauche américaine avec laquelle ont fait peur au républicain… Je
fais appel un peu à mon senti avant de terminer. J’ai hâte d’avoir des
nouvelles de l’ami en Thaïlande… On se croit libre on n’est jamais qu’asservis
à une machine politique qui nous fait vivre dans la pauvreté et l’humilité. J’ai
pas encore compris le rapport entre Dieu et l’argent… Quelques mots encore n’abandonnez
pas, je vais essayez de conclure c’est toujours difficile de vous laisser. Je
pense à la très belle chanson, la nuit je mens, par le regretté Alain Bashung https://www.youtube.com/watch?v=4I2xOwixt4kVoilà on termine en musique, c’est la
chute, comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au
revoir!!! À bientôt!!! Arrivederci!!! Ciao!!! Bye!!!
Bonsoir!
Bonjour! Je suis tout courbaturé… C’est difficile ce matin, j’ai cette douleur
sous l’omoplate dans le dos, j’avais écrit sos c’est un peu ça… Hier j’ai
travaillé avec les deux autres membres de ma tryade pour concrétiser la formation,
je pense que ce seras réussis… C’est dimanche la nuit… J’ai parfois encore
affaire à des gens condescendant qui m’appellent berny… Comme si on avait élevé les moutons
ensemble… Je suis peut-être un peu trop sérieux quand même j’aime pas cette
mode d’humour comme si tout était drôle qu’il fallait absolument rire mais oui
je suis un rabat-joie… Je pense encore à une destination pour l’automne
prochain… La collègue s’en va faire un stage dans un hôpital de Paris, je lui
souhaite bon voyage… Je me réveille lentement, les courbatures s’en vont… Hier
j’ai regardé le match au complet l’équipe locale a perdue en période
supplémentaire… Je vais essayer de développer à partir de vous savez quoi je ne
le répèterai pas… Les hommes d’affaires me prennent de haut, un « poète »
ça a jamais été sérieux du moins pas pour eux… Mes prosodies essaient de dire
les longs moments de souffrance que j’ai vécu… Vous n’y croyez-pas, bientôt on
va commencer les répétitions au théâtre du Nouveau Monde, la semaine prochaine
à l’institut on joue une pièce à laquelle j’ai participé en racontant mon
histoire… Tout ça, toute cette écriture ça ne vaut rien, les grands poètes ne s’abaisserais
pas au réseau sociaux, je sais pas pourquoi j’écoute le très condescendant
animateur de radio du samedi matin… J’ai mal quand je vois une photo où quelqu’un
fait un finger, c’est le mauvais côté du réseau… Je sais pas pourquoi je pense
aux « amis » avec qui je buvais, j’étais le seul à dire des bêtises
et à me détruire autant… Voilà c’est l’heure officielle où les bars ferment,
trois heures en cherchant bien on trouveras un endroit encore ouvert, les gens
honnêtes dorment… Je ne me saoule plus essais de garder toute ma tête… C’est
encore mon radotage sur les bringues et l’alcool, le jazz j’en profitais pas j’étais
trop ivre, me souviens plus de la pièce du last-call… Je sais pas combien de
temps ça a pris au jazz pour devenir diurne être joué au soleil… N’empêche on
se versait un verre fermais les rideaux pour ensuite placé un disque sur la platine
et écouter en dodelinant de la tête… J’ai juste envie d’aller me coucher mais
je vais terminer, je vous aurai écris quelques émotions, c’est encore la nuit,
le voisin parle dans son sommeil, dimanche déjà on va passer au travers de février…
Il a neigé cette nuit… Toujours la difficulté de raconter en finale, j’espère
que ça vous plait… C’est la chute, la conclusion quelques mots encore à ma façon…
Je bave littéralement, c’est vraiment la fin pour celui-là. Comme toujours je
vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Voilà ça y est vous l’aurez mérité… À la
prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!