vendredi 7 février 2020

Épicentre


Bonsoir! Bonjour! Me voilà de retour, la neige a cessé. Hier j’étais exaspéré, j’ai encore une fois reçu des appels du fournisseur de services. J’ai réussis à signaler que je voulais plus d’appel, je sais bien que c’est pas une œuvre de charité… J’ai dormis après avoir parlé avec l’ami sclérosé qui m’a dit de pas m’en faire, que c’était normal de se fâcher après plusieurs appels  du service provider… C’est la nuit de vendredi à samedi dans quelques jours je devrais être fixé sur le remboursement de mes frais au forum santé mentale… Aujourd’hui ce sont les chroniques voyage dans LaPresse+ j’aime beaucoup lire ça, hier j’ai fait une magnifique balade en haute définition de Florence ça me donne l’envie d’y aller, prendre un café sur une terrasse… Plus tard je visionnerai l’émission l’Échappée belle sur Bruxelles,  Pour un moment j’ai oublié mon senti, j’ai hâte d’aller travailler la pièce de théâtre avec les amis… La saison de football américain est terminée, je vais me gaver d’émissions voyage… Une amie va bientôt partir pour un tour du monde… Ça me manque l’aéroport, l’avion, l’attente pour l’embarquement les heures en vol, une ville un pays à explorer… Être déraciné pour quelques jours… Me suis couché tôt pour vous écrire de la nuit, l’Italie c’est un beau pays je pense à Milan la capitale de la mode y’a tellement de choses à voir dans ces différentes villes… Cette nuit mon senti est pas trop douloureux bien que je cherche toujours à le nommer, j’ai pas un langage de médecin. de psy… Je parle de l’Italie, pas les différentes villes de Milan… Je sais pas si il y a encore des italiens qui quittent leurs pays pour venir vivre à Montréal. Je crois que cette vague d’immigration est passée on accueille maintenant des Syriens et des gens des pays du Maghreb. Quand j’ai pas mal vous le savez c’est le silence, la nuit est bonne pour ça personne pour me déranger… Veni, vidi, vici, je suis venu, j’ai vu, j’ai vaincu… Mais oui j’ai vaincu ma peur de l’autre, les gens sont beaucoup plus accueillant que je croyais… J’ai plein d’images dans la tête, j’attends un peu je partirai peut-être au mois d’août… Cet hiver je suis occupé… Je crois que bientôt on va avoir un texte pour le Théâtre du Nouveau Monde. J’ai rencontré mes muses, elles m’inspirent avec leurs courage… Samedi minuit treize, je sais pas où on dormis les itinérants cette nuit surement pas dans un banc de neige, la souffleuse les avaleraient, hier je suis sortis la poudreuse me piquait le visage… Y’a des congères de chaque côté de la rue, la charrue est passée… Voilà! Je suis presque à la chute, y’a des voitures qui patinent pour sortir de leurs stationnement… C’est pas amusant d’avoir à sortir la nuit pour stationner son auto ailleurs… C’est la conclusion, j’irai pas marcher dans la neige… Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!!

Bernard

jeudi 6 février 2020

Albatros


Bonsoir! Bonjour! Le fournisseur de services à téléphoné hier pour faire des changements soi-disant pour me faire économiser. J’ai dit que j’allais payer, de tout laisser comme ça de toute façon j’y crois pas à leurs économies ils vont toujours finir par me rattraper c’est pas une entreprise de charité… Hier j’ai regardé un film sur la beat generation, sur Jack Kerouac c’était y’a plus de soixante- trois ans à  San Francisco, la librairie City lights de Ferlinghetti  le libraire centenaire… J’ai pas su m’imposer comme écrivain la littérature c’est fait pour les jeunes… À l’époque à Frisco ils se saoulaient j’étais même pas au monde. Je sais pas de quelle école littéraire je pourrais me réclamer? Les soucoupes? Je ne bois plus je ne suis donc pas un gonzo… toute ces informations ont pourrait appeler ça la littérature réseau… Le poète savait que son destin c’était la folie il était là avant les beats ça vieillis mal les poètes… Au Québec on les gardes dans des espèces de sanctuaires nommés collège d’enseignement général et professionnel, ils y enseignent et écrivent l’œuvre… Moi je suis seul avec mon lourd passé l’œuvre est écrite je ne fais que l’étirer… J’ai plus de souffre on confond souvent littérature et showbizz… L’équipe de hockey locale a encore gagné ce soir, écrire sur le sport c’est pas très littéraire y’a une espèce de tabou qui veux qu’on ne mentionne pas ça, je sais pas si les sportifs lisent autre chose que les pages sportives des journaux… J’aurai pas connus les grands destins des poètes… https://www.facebook.com/search/top/?q=vaisseau%20d%20or%20bernard%20saulnier&epa=SEARCH_BOX  Je me laisse emporter dans cette soirée de neige, je vais regarder le match en différé j’enlève tout le suspense je sais qui a gagné… Prosodie trop brève pour n’être que ça, les vieux croutons ne brisent plus d’icône, gardant un peu d’alcool dans leurs bureaux pour se soigner la mélancolie… Bon! De retour le match était intéressant, il neige encore… J’ai mangé de petites saucisses en pâtes… Si je reviens è la « littérature » je suis un peu vieux pour trouver un éditeur, je me concentre sur la prosodie laissant la poésie aux jeunes… Les considérations alimentaires font pas vivre et s’exprimer le senti… Demain matin je vais essayer de rester au lit la journée seras moins longue… Enfin si je dors,  y’a toujours l’histoire des écrivains qui vivent vite et meurent vite, l’œuvre vient-elle au jour après la mort? Je sais pas pourquoi je pense à Christian Mistral à Dan Bigras aux chansons… Quand devient on homme de lettres? J’espère garder toute ma tête longtemps… Je ne dois jamais oublier que je ne suis qu’un petit canadien-français avec un grand désir, ce ne sont que des écris provinciaux loin de Paris la capitale des lettres francophone à San Francisco c’est en anglais que se font toutes les modes… J’ai pas rencontré beaucoup de beat français. Je termine ici comme toujours en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!

Bernard

mercredi 5 février 2020

Mustang


Bonjour! Bonsoir! Hier j’ai fait une visite télévisée de Rome, je suis content  je vais avoir plein de monuments a photographier mais je vendrai pas la peau de l’ours… Je sais pas si je vais partir. J’ai assisté à une représentation de l’opéra Nelligan c’était émouvant et magnifique j’ai presque pleuré… J’ai dit à l’ami qui m’accompagnait qu’on allait encore en parler longtemps d’Émile, dans les décors y’avait un autel je me demandais combien d’étudiant savaient ce que c’était? L’ami responsable de la primauté de la personne trouve que je vais bien, je le prends comme un compliment… Au théâtre j’ai  discuté avec deux amies du théâtre Aphasique et une muse des impatients. Comment vous dire ? Ces jours ci j’arrive à être heureux, j’ai ouvert un sac de chips, je devrais pas vous le dire, ça m’aide à surmonter l’anxiété… J’ai la musique d’Amélie Poulin dans la tête, ça aussi c’est tellement beau… Je m’excuse pour les petits caractères d’hier… Mes activités de la semaine sont terminées je vais me reposer et regarder la télé… Je me suis éloigné de mon senti, je pense à tous ces poètes que j’ai rencontré, Langevin, Miron et bien d’autre j’aurais aimé parler à Vanier mais j’ai eu peur, j’étais paralysé par l’angoisse… Je dis merci à la barmaid qui m’a dit que les bars c’est pas fait pour causer mais pour boire… Depuis ce moment je n’y vais plus… Je ne bois plus que du jus et de l’eau je suis moins débile comme ça… Je porte le poids d’être devenus un vieux poète pathétique, je pense à la bohême d’Émile, la mienne m’a foutu par-dessus bord du vaisseau d’or… Les gars étaient tous des artistes mais ils n’y croyaient pas moi je vivais des prestations d’assurance chômage et de sécurité sociale même les poètes les plus paumés ont droit à ça… Y’a cet autre poète qui chantais « se saouler le dedans de pathétique » les poètes ne sont plus maudit ont peu les voir à la télé aux heures de grande écoute… Pourquoi faut-il toujours que les poètes aient la tête dans l’éther, les vapeurs de la création toxique. Je sais pas ce que j’écris là y’a des hommes sérieux qui éditent de la poésie, ma prosodie a pas droit à ça… J’aurai écris loin des lumières de la gloire, les femmes sont trop blasées les vieux poètes ça ne les intéresse pas… J’aurai perdus ma vie à écrire, je crois que vous comprenez je prendrai donc pas le temps de vous expliquer… J’essais de voir où sont les jeunes poètes, y’a le regretté Tabra que j’ai aussi rencontré, il a refusé de me servir un café… Un homme de grand talent mais sans solidarité… Voilà c’était la ronde du poète une vieille prosodie dans la nuit… Quelques mots encore c’est la chute, il n’y a plus de malédiction, le monde est devenus fade. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!!

Bernard


mardi 4 février 2020

Sentier


Bonsoir! Bonjour! Vingt-deux heure peut-être un peu tôt pour vous écrire, j’appelle mon senti un peu comme un autochtone prie manitou avec son tambour… J’aimerais bien être lu outre-mer, je sais qu’il y a des français fasciné par le Québec… Ça fait longtemps, ça fait longtemps dis- moi comment écrire tout le temps sans mots savant ni rien de grand juste partant  pour jouer souvent monter un chant, un chant dans le champ plaisant pourtant le rythme lent, le plan n’est pas fréquent c’est juste dire abondamment faire de la musique d’inconscient de parlant, prend prends surtout pendant c’est important … Voilà un peu slam pour ce soir… L’écran brille, hier j’ai regardé un documentaire sur Rome, l’intervenante m’a conseillé de faire le voyage pendant qu’il en est encore temps… Je vais me renseigner auprès du copain d’un cousin qui séjourne souvent à Rome…. J’ai pris une douche me suis parfumé demain je vais au théâtre en matinée. Ai regardé la vidéo sur le fentanyl dans l’ouest canadien que la super maman a mis en ligne, j’ai eu un déjà-vu, c’est mon monde d’avant mais à Montréal, j’ai arrêté de consommer avant que le fentanyl arrive sur le marché noir. Je veux pas me répéter c’est difficile… Hier à la radio une amie parlait de mon immense solitude, aujourd’hui je ne suis plus seul, je vie avec mes blessures et essais de faire un homme de moi… Je crois que j’y arrive ma plus grande difficulté c’est de faire le ménage….  Le senti, toujours dire le senti et être honnête, j’écris pas une fable ici… Je veux pas visiter de site d’injection supervisé j’ai peur de ça je crois que c’est une bonne peur… Ce soir ça sent le propre je suis bien chez moi… Je suis toujours étonné d’entendre la descente aux enfers de certains toxicomanes, ils sont jamais responsables c’est jamais eux c’est la faute de la société, de la police et ils parlent souvent d’avant… Derrière l’alcoolisme, la toxicomanie y’a toujours quelques chose qui se cache un mauvais souvenir qu’on essais d’engourdir mais viens un moment où ça ne fait plus effet, tu augmente la dose et t’approche de la mort soudain je pense au voisin de la maison de chambre qui dormait la tête dans le frigo… Je crois que je vais habiter ici tant que je serai capable… Je vais prendre exemple sur la matriarche. Je vieillis les gens m’offrent leurs place dans l’autobus… Parfois même on me vouvoie.  La sobriété est toujours meilleures… Ouais! C’est toujours l’hiver, la nuit de mardi à mercredi… Je suis presque rendus à la chute, je termine passé minuit. Je cherche à terminer avec un senti heureux et joyeux. Je veux jamais terminer comme si j’en avais tant à dire, c’est toujours la même conclusion avec le bonheur de vous avoir écrit. Lâchez pas tout de suite, comme toujours je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! Ça y est presque, à la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!!

Bernard

Officiel


Bonsoir! Bonjour! Je suis content ma semaine est tranquille. J’ai une odeur de bacon frit dans le nez. Hier soir j’ai mangé du foi de bœuf c’était très bon… J’ai toujours conscience d’être privilégié de vivre ici au Québec au Canada… C’est toujours une difficulté de vous faire vivre des émotions, de traduire en mots ce que je sens. Je regarde une émission sur Rome y’a de quoi faire d’excellentes photos… Je suis revenus à la rédaction de nuit, en février y’a beaucoup de théâtre des pièces auquel je vais assister, Nelligan au Théâtre du Nouveau Monde et Au-delà des marées au pavillon Lahaise de l’institut universitaire de santé mentale de Montréal… Je dois vous avouer que j’aime beaucoup ma vie ces temps-ci… La formation du centre d’apprentissage santé et rétablissement continue mais moins fréquente… J’essaye de nommer l’émotion c’est pas évident quand je viens pour l’écrire ça prend une autre trajectoire. Les collègues vont venir chez moi le quinze février pour compléter la création de notre formation… J’ai bien aimé tous ces gens avec qui j’ai travaillé, j’ai appris des choses. J’ai une douleur dans le dos du côté de l’omoplate gauche c’est fatigant… L’ami est partis en Thaïlande rendre visite à son fils qui vie là… Je sais pas si vous sentez mon urgence j’écrire de laisser au moins une trace avant la fin de mes jours , hier j’ai regardé les écharpes Burberry en cachemire six cent dollars c’est pas achetable… Y’a une jeune fille tout près de moi qui est dans un cycle d’itinérance, elle dors chez l’un et chez l’autre c’est pas facile, elle entreprend des choses mais sabote tout… J’ai connus ces épisodes quand j’étais plus jeune c’est difficile… Je pense encore à cet emploi dans une usine de porte où je parlais syndicat au seul employé, il était latino, les patrons m’ont vite mis dehors, j’ai attendus dehors dans le quartier industriel de ville d’Anjou pour avoir ma paye de quelques heures… C’est pas très intéressant tout ça… C’est loin derrière… Je pense au quartier Villeray où j’ai vécu quelques temps à ces rues du centre-nord de Montréal, je marchais sur la rue Saint-Hubert pour me rendre chez ma maitresse… Me suis préparé un autre café… J’essais de trouver les raisons qui me font écrire, je crois que ça part du rêve et encore une fois du désir d’accomplir quelque chose de significatif… Cette nuit j’aime bien ma solitude ça me permet d’écrire sans déranger le sommeil de personne. Villeray, la Petite Italie, Rosemont la neuvième, c’est loin tout  ça étrangement j’en ai le souvenir comme si c’était hier… Pourtant j’oublie parfois tous ces comités auquel j’assiste, c’est bête… Je vous aurai encore écris quelque chose cette nuit. Je termine en cherchant la conclusion, quelques mots encore, l’important ça reste toujours d’écrire, de réaliser… Je vais essayer de terminer, la façon est pas très originale. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!

Bernard

lundi 3 février 2020

Foot


Bonsoir! Bonjour! J’ai dormis quelques heures après le match avant de vous écrire. Les amateurs du Québec sont content l’équipe de notre compatriote l’a remporté ce fut un match serré bien que le dernier quart montre le contraire, une attaque explosive des Chiefs leurs a permis de remonter un déficit de dix points, c’était mon équipe à cause de la présence du gentil médecin Laurent-Duvernay-Tardif… au poste de garde à droite… Ce matin j’ai une réunion de plénière de mon groupe d’entraide comme à tous les lundi… Je vous parlerais bien de mon senti en sachant que plusieurs ont eu la chair de poule de voir les Chiefs gagné après une disette de cinquante ans… Je crois que les restaurateurs étaient heureux pour le cinquante quatrième match du Superbowl… Cette nuit j’ai sommeil, ma lectrice snowbirds de Gatineau m’a suggéré Rome et Florence comme mes prochaines destinations voyage je vais me préparer, me documenter et bien y penser…  J’ai dormis Je sais pas si je vais avoir le temps de rédiger… Dans les actualités à la radio ils parlent surtout du coronavirus… Je l’ai fermé. Je crois que ce texte seras écris dans deux où trois temps… Je vais attendre l’autobus… De retour, c’est l’après-midi… C’est rare que j’écris le jour pourtant ça devrais être fertile, donner de la matière à mon senti… Je vais me faire un café… Les gens cessent pas de circuler sur la passerelle… Dehors y’a un scrappeur qui dépèce un vieux frigo… Ce matin le wi-fi fonctionnait bien à l’institut j’ai lu laPresse+… Parfois je suis à proximité d’un langage qui se défait, ça me rend anxieux, je comprends pas pourquoi ça m’arrive, de toute façon je serai sortis aujourd’hui je m’enfonce pas dans la solitude… Ai téléphoné à la matriarche qui m’a raconté son dimanche à la pêche aux poissons des chenaux… Maintenant ce sont les cols bleus qui ramassent les restes du frigo… On m’a signalé avoir reçu ma facture, c’est bien… Mais non! J’attends pas après ça pour manger, plus maintenant, peut-être dans ma vie d’avant y’a longtemps… Parfois j’ai peur de trop en faire et de rechuter… Un retour à la case départ ou à la finale, je survivrais pas… J’ai toujours cette idée d’aider les autres ont est plusieurs comme ça. Je sais pas si c’est vraiment utile la dispersion des aidants? Je suis seul sans enfants, avec la vie que j’ai mené j’aurais pas pu les éduquer… Je pense à la super-maman et aux Snowbirds de Gatineau, aux petits enfants, ce sont de bons parents et grands-parents… Lentement je termine je sais pas pourquoi je pense à un avocat, j’en ai pas besoin j’ai pas à me présenter en cour je suis assez paranoïaque comme ça… Voilà ma prose pour aujourd’hui, quelques mots encore pour la conclusion, l’épilogue… J’espère que ça vous plait, que vous aimez me lire. Merci d’avoir lu jusque-là!!! Comme toujours à la prochaine je l’espère!!! Lâchez pas j’y arrive!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!!

Bernard

dimanche 2 février 2020

Senor


Bonsoir! Bonjour! On approche du Superbowl demain, je suis pas à part la partie est à six heures trente dimanche. C’est le match culminant qui va clore la saison deux mille dix-neuf… J’essais de m’amuser avec  l’écriture, il faut pas que l’effort que j’y met se distingue… C’est la nuit, plusieurs fois la semaine passée j’ai eu le sentiment d’être en voyage. Je me souviens avoir eu peur de me trancher les doigts en travaillant sur un poinçon presse… Y’a un voisin qui parle il semble faire des cauchemars… C’est pas tellement le senti qui me préoccupe autant que les démangeaisons aux testicules… Je vais passer un mois bien seul, un ami décédé, un autre partis en voyage en Thaïlande, beaucoup  moins de monde à qui parler… J’ai ouvert l’emballage de biscuits Oreo, ça marche la publicité j’achète le produit dans ce cas les biscuits hier l’équipe de hockey locale a gagné y’a un autre match en après-midi… Me relève j’ai dormi un peu, je ferme la radio, nous sommes dimanche où en suis-je avec mon senti… J’ai une douleur dans le dos, la semaine passée à la radio en attendant les amis, j’ai rencontré quelqu’un de très sympathique, une bonne personne… Ouais! Plus j’avance plus je crois que je vais retourner à Paris mais j’attends avant de prendre une décision. Je vais terminer mes activités… Si jamais quelqu’un me lis et veux partir avec moi qu’on me fasse signe… Aujourd’hui c’est all sports en après-midi y’a un match de hockey et en début de soirée c’est la grand-messe du football américain… Je croyais qu’on était au matin mais c’est encore la nuit… Je suis plus tellement à la mode avec mon blogue, l’ais-je jamais été? L’écriture ça passe au travers du temps… J’ai fait mes quatre formations de départ pour le centre d’apprentissage santé et rétablissement (Recovery College) au milieu de février je vais rencontrer mes deux collègues pour développer la formation qu’on va donner. Cette nuit j’ai réussis à me réveiller pour vous écrire quand à mon senti il se porte bien… Je dois vous dire que j’ai repris goût à regarder la télévision, je sais pas si les snowbirds de Gatineau en Floride ont la télévision? Ils sont pas très loin du stade… Mon senti est habité par de nouvelles émotion agréables semblables à celles qu’on vie en voyage, au  départ, au multiple des possibles du nouveau dans les visites… Lentement la nuit avance, je pense au désir à comment c’est important comment ça fait partis de mon senti positif… Sans désir il n’arrive rien, c’est la dépression, le grand mal… Mon senti c’est aussi la conscience de vivre avec les autres dans leurs pluralité. L’arc en ciel… Dehors ça gueule ça discute personne ne sais que j’écoute, Voilà! Je suis rendus à cette partie difficile où je vous laisse aller, la conclusion, l’épilogue qui est toujours la même. Comme à l’habitude je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!

Bernard