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Bonsoir!
Bonjour! Je vous écris de la soirée, hier après-midi on nous a briefer pour l’écriture
de la pièce, c’est pas simple… Dans le métro en revenant deux gars passent dans
les portes aux extrémités du wagon y’en a un qui parle des lois de cinéma, ils
semblaient intoxiquer, geler tous les deux, j’avais hâte de sortir, un peu peur
et je voulais pas de trouble… J’ai la musique d’une émission de télévision dans la tête… Je sais pas si c’est encore
comme dans ma jeunesse, les vendredi soir les brasseries et les bars étaient
pleins, la bière coulait à flot… Demain matin j’attends les collègues on va
travailler sur notre formation Recovery College… Ce matin j’écoutais une
émission de radio ils y parlaient de vin d’un ton chiant mais chiant! Je sais
pas pourquoi j’écoute ce genre de magazine radiophonique ça me fait mal… Les
snowbirds de Gatineau sont sur la plage à Venice en Floride… Parfois j’écoute
parler des restaurants on semble pas réaliser que la restauration c’est aussi
une question de mode c’est rare les restaus qui durent des années. Je vois ça comme
des entreprises bipolaires avec des hauts et des bas souvent ils restent dans
le bas et ferment les portes… J’ai pas beaucoup fréquenter les restaurants
chics où on paye des fortunes pour des moules et un serveur désagréable j’aime
tout simplement pas ça… Vous me verrez pas chez Toqué si ça existe encore… Je
fréquente plus le très kitch Miami, j’y déjeune copieusement avec l’ami historien
de l’art, le décor est très rigolo… On peut je crois appeler ça un restaurant
populaire… Je pense au restaurant chez Clô qui n’existe plus un ancien bastion
de la rue Ontario, d’Hochelaga-Maisonneuve… Une cuisine ici aussi populaire. Je
vous parlerai pas des grandes tables et des grands vins j’ai pas le palais
assez développé, je pense aux restaurants de la rue Duluth qui l’exception
confirme la règle, sont toujours là… Les lieux où je trimpais y’a quarante ans
n’existent plus, j’en suis pas malheureux… Je pense à mon neveu qui est
maintenant chef, je lui souhaite une belle carrière… À écrire ça j’ai faim, je
mange des biscuits salés, soda si vous préférez… N’empêche ça fait longtemps
que j’ai pas mangé un bon hamburger steak, un classique… À la brasserie on me
le servais avec des champignons… Je vous illustre ça avec l’enseigne de mon
restaurant préféré, c’est la seule Floride que je peux me payer je suis quand
même pas dépaysé… Quelques mots encore pour terminer avec cette terrible
épilogue, je sais pas comment faire je salut le retour de deux lectrices. J’espère
qu’elles vont bien s’amuser à me lire… Ouais! Le sommeil commence à me gagner,
aussitôt finis j’irai me coucher… Demain je vais essayer de rédiger pour le
Théâtre du Nouveau Monde… Voilà! C’est finis continuer quand même à lire mes
folies… Comme toujours à la conclusion je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!!
À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!
Bernard

Bonjour!
Bonsoir! J’ai invité les collègues chez moi pour préparer la formation du
centre d’apprentissage santé et rétablissement (Recovery College) Vendredi
j’ai un atelier d’écriture au Théâtre du Nouveau Monde. J’ai hâte de voir ce
que ça va donner. J’ai peur qu’on s’embrouille…
Pour la formation je sais pas trop comment on va procéder, je compte sur
mes partenaires pour me guider… C’est samedi. J’ai malheureusement plus le
temps de lire j’ai commencé un roman mais j’y arrive pas… Quelques minutes
encore avant minuit, je pense que la travailleuse sociale a commencé les démarches
pour le remboursement complet de ma passe d’autobus… Je vous ai pas beaucoup
parlé de ma nouvelle télévision haute définition encore un peu plus d’une
semaine, le deux février pour être exact, et je vais regarder le super Bowl…
Ces petits événements c’est du babillage… Je cherche toujours l’émotion si j’écoute
le formateur Recovery College semble qu’il y a une façon de faire si je pleure
parce que je vie une émotion intense on va m’inviter à sortir, à moins que j’ais
mal compris? Nous dans notre formation on va parler de stigmatisation… Je vous
en parlerai quand j’en saurai plus… Là je pense à mon hypersensibilité, comment
je vie avec si souvent bouleversé… Parfois j’ai l’impression que la formation
va me rendre plus fou, si j’ai bien compris y’a pas une façon unique de faire
on peut avoir la notre toute particulière… Je voudrais bien que vous compreniez
que si je participe à cette formation c’est pour mon rétablissement faire
savoir que c’est du domaine du possible… En ces temps d’aide médicale à mourir
faut mettre le rétablissement de l’avant, donner toute l’aide possible… J’ai
envie de dire que parfois la vie est vache mais faut pas se laisser faire… La
pièce en plus de l’écrire on va la jouer!!!
J’ai bien aimé entendre l’artiste des Impatients qui disait qu’en art
tout est possible… Pas d’émission intéressante à la télé cette nuit… Je cherche
à travers ce fouillis émotif, voilà pourquoi je dis que je suis en
rétablissement j’ai des émotions malade j’en aurais pas… Je me suis surpris à
en avoir au cinéma la cinéaste a réussis a en faire vivre de belles. Parfois
les émotions c’est comme une soupe, un bouillon de différentes saveurs, allez y
je suis une pauvre nouille… Le voisin ronfle toujours en tout cas une chose est
sure il dors… J’ai hâte de voir les idées des autres pour l’écriture des contes
à l’envers. Bon! Ça y est presque, j’ai une douleur à l’épaule gauche… Une
pensée pour l’ami décédé… J’arrive pas à terminer de façon différente chaque
fois, j’ai toujours de la difficulté à faire la différence entre émotions et
sentiments… C’est la conclusion quelques mots encore… J’ai aussi hâte de
répéter et jouer la pièce même si je sais pas de quoi ça va avoir l’air. J’espère
que, ça vous a plu, comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À
la prochaine je l’espère!!! Ciao!!!
Bernard

Bonjour!
Bonsoir! J’aime beaucoup regarder les chaînes voyage à la télévision. J’ai l’ami
qui pars vers la Thaïlande lundi, je suis toujours heureux de voir des images d’aéroport
et d’avions… Je crois que Boeing va réussir à mettre en vol ses sept trente-sept
Max sinon ça deviens impossible pour eux… Bon! Je me dirige vers mon senti
comment vous dire que dans la famille simple y’a pas d’écrivains on y préfère
les humbles balayeurs, l’humilité du sans-métier… Tant qu’a être pauvre j’ai abandonné,
mes travaux de gagne petits, j’écris en espérant laisser une trace… Pas
beaucoup de réunion cette semaine sinon demain au Théâtre du Nouveau Monde pour
la rédaction des contes à l’envers… Parfois j’ai envie d’abandonner tout ça
mais je sais pas de quoi se nourrirais mon senti… J’ai hâte de travailler ma
formation du centre d’apprentissage
santé et rétablissement(Recovery College)
Vraiment exceptionnelle Isabelle Boulay https://www.mondedestars.net/nouvelles/a-voir-la-performance-d-isabelle-boulay-a-en-direct-de-l-univers-est-en-train-de-devenir-virale?fbclid=IwAR1XbFnSx4S8q3r4U4Zc5eONvDMQHzhFgdQfeM8O7QraubdWEBRYXp-n4Oo Une grande chanteuse très émouvante, je l’adore…
Ces émotions à l’écoute d’une chanson ça fait partis de mon hyper-sensibilité… Parfois j’ose pas me donner la permission de
le vivre mon sentis. Je pense toujours à la shop à comment c’était interdit..
On y pensait qu’à l’argent qu’à survivre dans la production mécanique… Non! Pas
de voyage cette année, je ferai pas l’aventurier je regarde plutôt les
émissions à la télé j’ai plus le temps de lire du moins je prends pas le temps,
vingt-quatre-heure c’est pas assez long… Je pense que la matriarche allait pas
bien hier… J’espère que je suis pas responsable de son malaise… Hier dans une émission
voyage le guide avait le même sac à dos que moi, à l’aéroport y’a beaucoup plus
de valises que de sac à dos moi je trouve ça plus pratique qu’une valise, mon
sac il a l’air tout petit comme ça mais il contient beaucoup de choses… J’ai un
point dans le dos c’est douloureux, je sais pas pourquoi tout-à-coup je deviens
triste c’est toujours la tentative du dire, Marie Cardinal parlait « Des
mots pour le dire » c’est pas tout ça prend une oreille pour écouter, pour
réconforter… Mais oui! Des mots sur cette vieille douleur qui me suis et m’embête,
je me souviens pas d’avoir été victime d’abus… Je trouve les snowbirds très
chanceux de pouvoir se promener en gougoune et en bermudas, ici c’est toujours
les combines et les bas de laine… C’est jeudi, jour de paye à l’époque, mon
lecteur de la couronne nord me disait que le gouvernement payait avec l’argent
des intérêts que c’est pour ça qu’ils tardent à me rembourser… C’est comme le
vieux dicton, « Tout viens à point à qui sait attendre ». Je mange un
croissant avec le souvenir de cette époque où je ne pouvais manger ce que je
voulais et à ma faim… Quelques mots encore pour terminer… Cette année je ne
partirai pas… Me souviens de la randonnée aux États à l’arrière de la Harley d’un
copain. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine
j’espère!!!
Bernard

Bonsoir!
Bonjour! Grande visite hier soir mon lecteur de la couronne nord qui m’a très
bien conseillé pour l’achat de ma télé… On a discuté télé et voyage…
Moi cette année je ne pars pas, j’ai mes bébelles pour m’occuper… Je
regarde canal évasion et explora, c’est bien… Hier quelqu’un me demandait
comment était mon senti, pas mal que je lui ai répondus… Tout à ma difficulté à
nommer ce même… Mercredi le centre de la semaine… Mon lecteur m’a fait
visionner des vidéos quatre K des images avec une surbrillance… Parfois c’est
tellement réel on y plongerait… La souris fonctionne mal, je plonge dans la
douleur je reste sur mes gardes pour ne pas qu’elle m’engourdisse… Cette nuit
je suis pas très inspiré, je reviens avec ces vers du mythique poète que j’ai
récité https://www.facebook.com/search/top/?q=vaisseau%20d%20or%20bernard%20saulnier&epa=SEARCH_BOX Pendant toute ces années de folie, j’ai
cherché asile, j’ai cherché refuge, j’avais tellement peur la paranoïa
psychotique rien pour me soigner dans les corridors surpeuplés de l’urgence
depuis ce temps la maladie mentale a changé de définition, les sociologues ne
la voient plus… Ils se questionnent, il n’y a plus de culture de l’asile
peut-être de la carcérale, de l’enfermement avec de la difficulté pour se
réadapter… Je crois que les itinérants sont de ceux qui ne trouvent pas de logement à cause de leurs dossiers
criminels, c’est pas très très jolis le crime… Hier je parlais avec mon lecteur
des arnaques que sont les croisières, vous ne me verrez pas là… Je suis obsédé
par les départs, l’aéroport surtout l’attente de l’embarquement une fois passé
les douanes, parfois on me confond avec un docteur hystérique… J’aimerais aller
me promener en Europe et là aussi prendre mon temps, visiter quelques sites
historiques et des monuments quand même mes dépenses sont faites pour cette
année… Voilà! J’ai lu et fait une découverte du début des temps souvenir d’une époque ou y’avait pas de téléphone de télé et d’ordi je sais
pas trop comment les gens vivaient leurs angoisses le soir, je crois qu’ils
allaient aux vêpres, la sortie et la prière calmaient le mal intérieur. C’étais
y’a pas si longtemps, on a appelé ça la grande noirceur, dans les médias une
lettre réhabilite le travail des sœurs religieuses à l’asile. Je crois pas qu’on
torturait systématiquement les pensionnaires, les traitements semblaient
barbares mais avant l’arrivée des antipsychotiques on avait pas d’autre chose à
offrir et encore mon psychiatre s’en voulait de n’avoir eu que ces médicaments
au début de sa carrière… Parfois certains soignants sont nostalgique de cette
époque, de la toute puissance qu’ils avaient… Toujours le souvenir du docteur
Ferron qui raconte le passage de ces deux soignants français qui ont fait
parler une patiente qui avais promis de rester muette après un événement
traumatisant c’est la seule chose qui avais tenue qu’elle avait bien fait mais
les français lui avaient fait briser son vœux et elle avait perdue le respect.
Voilà! Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!!
Bernard

Bonsoir!
Bonjour! Les déneigeurs sont occupés. Ce soir j’ai dormis un peu, j’attends la
visite de mon lecteur chauffeur d’autobus de la couronne nord… Je pense encore
à la journée d’éthique de vendredi passé c’était magique… J’ai réussis à faire
mon allocution… Mon texte devrais être publié dans une revue d’éthique… En ce
moment je remets mes implications citoyennes en question… Vendredi on a
trouvé mon texte pertinent… Ce soir je cherche mon senti… Je crois que ce que
je fais c’est important… À l’hôpital Sainte-Justine y’a une belle salle de
conférence, elle est récente, j’ai repris ma visite des hôpitaux mais pas au
même endroit et pas de la même façon, je parle du rétablissement possible,
j’attends plus à l’urgence la vérité c’est que j’essais de m’en tenir loin… Je
pense au docteur Ferron de garde la nuit à Saint-Jean-de-Dieu qui a écrit de
magnifiques textes… Je sais pas si il combattait sa profonde angoisse mais moi
c’est ce que j’essais de faire quand je veille… En ce moment je réalise qu’en
santé mentale on a pas tous les mêmes champs d’intérêt c’est pas tout le monde
qui d’intéresse à la réforme des soins en santé mentale à la désinstituniolisation…
Un grand mot J’ai de la difficulté avec la souris de l’ordi… Pas moyen de réparer
le problème de la souris… Enfin! Je suis monté debout sur une chaise j’aurais
pu me péter la gueule… J’ai une douleur à l’épaule gauche, c’est le stress…
Aujourd’hui je crois que je vais attendre le facteur, j’aimerais bien recevoir
le remboursement de mes frais pour le forum santé mentale à Québec… Je me
répète… Il est passé minuit… Je lis beaucoup moins, je m’intéresse aux images
haute définition de la télé, comme la marche je vais m’y remettre… Je regarde et j’ai plein de souvenirs qui ne
vous diraient rien vous n’étiez pas là… Ça pouvais pas se passer autrement, un
jeune adulte qui dérivais ça a donné la schizophrénie… C’est l’hiver vous le
savez, je pense aux snowbirds de Gatineau en Floride… « Aint no sunshine
when she’s gone » mais oui elle est partie et le soleil ne brille plus… J’ai
toujours le désir de partir je ne sais pas où, hier on parlais de l’Amérique du
sud des grandes villes de comment elles sont dures… Semble que la folie a
perdue des adeptes que le « normal » s’est imposé… Y’a un parfum d’ail,
j’en ai encore beaucoup à écrire, des questions sans réponses… Je crois que mon
prochain départ ce seras pour la rue Mouffetard mais pas tout de suite… Paris
ça coûte cher mais j’aimerais bien y vivre un moment, voilà! J’en suis presque
arrivé à la chute, quand même je vais essayer de faire le parisien à Montréal…
Je courre pas, c’est le Goulag occidental… Quelques mots encore pour la
conclusion, cette nuit j’ai écris ce que je pouvais. Comme toujours je vous
remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au
revoir!!! Ciao!!!
Bernard

Bonsoir!
Bonjour! Lundi matin… Comment écrire le réel dans cet écran informatique?
Pourtant je suis bien là à vous écrire, je pense toujours au poème de cette
jeune fille qui évoquais les ornières… De la difficulté d’en sortir. Je pense à
la malédiction à comment il faut croire pour être maudit… Quand c’est pas clair
dans ta tête tu en rajoute en voulant devenir poète… Paroliers voilà ce qu’ils
sont pas nécessairement poète, ils n’ont pas nécessairement toutes les émotions
de leurs chansons. Assez je change de bord me tourne vers le miroir aux
illusions. Je voudrais m’arracher le cœur pour vous le donner en faire ce que
vous voulez, le réanimer dans un corps étranger… Une sorte de résurrection à pomper d’autre sang… Je vois l’organe dans la
glace sèche me fait une image rêche dans la dèche pourtant c’est pas un sketch ni
un test juste un zest une façon de tourner sa veste voilà ce qu’il reste des
mots de peste j’écris je pose le geste lâche du lest go west… Mes mots se meurent
comme l’époque et j’ai peur… Je ne verrai pas la terre dans son plus mauvais on
m’auras enterré… Ha! Ce que j’aimerais que ça soit beau! Viens de manger un
yogourt à la vanille il était bon… Cette nuit c’est encore froid parfois les
gens donnent des raisons fallacieuses d’être à la rue, ils souffrent tous mais
ne s’identifient pas aux itinérants. Je me vois dans une psychose paranoïaque
quitter mon logement parce que je me sens envahis dans mon intimité et préférer
la rue, c’est trop difficile pour moi j’en mourrais… Tout ça c’est le complot
les agents qui me persécutent mais que je ne vois jamais… Je pense à la pêche
blanche, à ce gars qui avait une espèce de tente qu’il montait sur le lac Saint-Pierre,
il est disparus y’a quelques années la glace l’a emporté… Partir! Pour ne
jamais revenir… Je trouve plus quoi vous écrire, je reviens à mon senti, semble
qu’a soixante-trois ans ce sont ceux de soixante-dix ans qui sont les vieux et
on passe comme ça de dizaine en dizaine… Ce matin j’ai une plénière de mon
groupe d’entraide ça devrais comme toujours être intéressant… Je pense aux gens
de Roberval qui se font de coquettes maisons sur le lac… J’arrive presque à la
chute, je vais essayer de vous dire, c’est toujours étonnant de voir comment le
goulag occidental nous bouffe… Je baille, la nuit est bien avancée , Je termine
et je retourne me coucher, me souviens plus d’où ce texte est partis je crois
que j’écrivais sur le réel la façon de l’appréhender… Trop de café j’ai des
démangeaisons aux doigts… C’est le silence de la nuit, lentement les ouvriers
se lèvent déjeunent et vont partir au boulot, il est un peu tôt… Voilà c’est l’épilogue
heureusement j’ai plus rien à dire. Merci d’avoir lu jusque-là!!! N’abandonnez
pas je vous pond une jolie finale!!! À la prochaine je l’espère!!! Ciao!!!
Bernard
Bonsoir!
Bonjour! Demain dimanche ce seras une journée football… Ce soir il neige, je
regarde plus le match de hockey… Je pense au normal à comment c’est relatif… Y’a
les mauvaises habitudes en anglais on dis « nasty habits » je crois…Finalement je l’ai regardé le match,
l’équipe locale a gagné en tirs de barrage… C’est pas fort pour le senti, le
sentiment, le sentimental… Cette nouvelle télé je m’en sert… J’aimerais bien
vous faire vivre de grandes émotions mais je devrais raconter une histoire… Je
préfère tenir le journal de mes événements cérébraux… Ce soir je me suis pas
couché avant de vous écrire, je ne vous écrirai pas le désir que je n’ai plus…
Le seul qui me reste c’est les voyages les aéroports et les avions, je peux pas
vraiment partir j’ai du boulot… Je suis vraiment vide ce soir, je veux pas vous
transcrire toutes ces émissions de télé que j’ai regardé aujourd’hui, je suis malheureux je prends plus le temps de
lire… Un peu de « poésie »
On a mis les
gaz
Les assassins
sont merveilleux
Ils se tuent
entre eux
Fort
D’une
prochaine mort
Avec l’âge
on y pense
La beauté
est pour le mort
Harassé
Au temps
supérieur
C’est ça pour ce soir, j’ai un peu dormis, on
est dimanche, c’est terrible avoir un discours aussi vide proche du néant. Dans
ma tête ça se bouscule, c’est rarement bon, je préfère écrire sans trop y
penser, je vais y arriver quand j’arrête y’a que des bribes d’idées… J’ai dis à
la travailleuse sociale que j’allais reprendre les longues marche mais ce seras
pas aujourd’hui il fait tempête, je vais quand même… Non j’irai pas ce seras pour
une livraison. Je sais pas si la maladie mentale se manifeste moins à cause de
l’âge et de l’époque… Viens d’échanger quelques mots avec mon lecteur chauffeur
d’autobus de la couronne nord, il m’a très bien conseillé pour l’achat de ma
télé… A force d’écrire, je l’écris comme ça parce que je trouve ça éloquent
cette idée de force et d’écriture, j’espère avoir moins mal, c’est peut-être
trop demander à ce travail d’introspection prosodique… Un filet voilà ce que j’espère,
qu’il me retienne avant que je touche brutalement le sol. Comme disait l’autre « on
est bien peu de choses » même pas certain qu’on va laisser un souvenir… L’équipe
a gagné c’est un petit bonheur… J’écoute, j’écoute l’émotion s’enfuis, j’ai pas
une grande biographie… Il neige encore, j’ai un peu regardé les voyages dans le
sud, les caraïbes, Cuba, Martinique, République Dominicaine mais j’aime pas les
resorts tout compris… J’aimerais bien siroter un café sur une terrasse à La Havane…
Cette semaine l’équipe de hockey locale est en vacance… C’est la chute la
conclusion encore quelques mots pour me faire plaisir… J’y arrive à cette
sacrée fin, n’abandonnez pas, je termine ce ne seras que ça… Comme toujours je
vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère!!! Au
revoir!!! Ciao!!!
Bernard