lundi 20 janvier 2020

Soie


Bonsoir! Bonjour! Les déneigeurs sont occupés. Ce soir j’ai dormis un peu, j’attends la visite de mon lecteur chauffeur d’autobus de la couronne nord… Je pense encore à la journée d’éthique de vendredi passé c’était magique… J’ai réussis à faire mon allocution… Mon texte devrais être publié dans une revue d’éthique… En ce moment je remets mes implications  citoyennes en question… Vendredi on a trouvé mon texte pertinent… Ce soir je cherche mon senti… Je crois que ce que je fais c’est important… À l’hôpital Sainte-Justine y’a une belle salle de conférence, elle est récente, j’ai repris ma visite des hôpitaux mais pas au même endroit et pas de la même façon, je parle du rétablissement possible, j’attends plus à l’urgence la vérité c’est que j’essais de m’en tenir loin… Je pense au docteur Ferron de garde la nuit à Saint-Jean-de-Dieu qui a écrit de magnifiques textes… Je sais pas si il combattait sa profonde angoisse mais moi c’est ce que j’essais de faire quand je veille… En ce moment je réalise qu’en santé mentale on a pas tous les mêmes champs d’intérêt c’est pas tout le monde qui d’intéresse à la réforme des soins en santé mentale à la désinstituniolisation… Un grand mot J’ai de la difficulté avec la souris de l’ordi… Pas moyen de réparer le problème de la souris… Enfin! Je suis monté debout sur une chaise j’aurais pu me péter la gueule… J’ai une douleur à l’épaule gauche, c’est le stress… Aujourd’hui je crois que je vais attendre le facteur, j’aimerais bien recevoir le remboursement de mes frais pour le forum santé mentale à Québec… Je me répète… Il est passé minuit… Je lis beaucoup moins, je m’intéresse aux images haute définition de la télé, comme la marche je vais m’y remettre…  Je regarde et j’ai plein de souvenirs qui ne vous diraient rien vous n’étiez pas là… Ça pouvais pas se passer autrement, un jeune adulte qui dérivais ça a donné la schizophrénie… C’est l’hiver vous le savez, je pense aux snowbirds de Gatineau en Floride… « Aint no sunshine when she’s gone » mais oui elle est partie et le soleil ne brille plus… J’ai toujours le désir de partir je ne sais pas où, hier on parlais de l’Amérique du sud des grandes villes de comment elles sont dures… Semble que la folie a perdue des adeptes que le « normal » s’est imposé… Y’a un parfum d’ail, j’en ai encore beaucoup à écrire, des questions sans réponses… Je crois que mon prochain départ ce seras pour la rue Mouffetard mais pas tout de suite… Paris ça coûte cher mais j’aimerais bien y vivre un moment, voilà! J’en suis presque arrivé à la chute, quand même je vais essayer de faire le parisien à Montréal… Je courre pas, c’est le Goulag occidental… Quelques mots encore pour la conclusion, cette nuit j’ai écris ce que je pouvais. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!

Bernard

dimanche 19 janvier 2020

Truffe


Bonsoir! Bonjour! Lundi matin… Comment écrire le réel dans cet écran informatique? Pourtant je suis bien là à vous écrire, je pense toujours au poème de cette jeune fille qui évoquais les ornières… De la difficulté d’en sortir. Je pense à la malédiction à comment il faut croire pour être maudit… Quand c’est pas clair dans ta tête tu en rajoute en voulant devenir poète… Paroliers voilà ce qu’ils sont pas nécessairement poète, ils n’ont pas nécessairement toutes les émotions de leurs chansons. Assez je change de bord me tourne vers le miroir aux illusions. Je voudrais m’arracher le cœur pour vous le donner en faire ce que vous voulez, le réanimer dans un corps étranger… Une sorte de résurrection  à pomper d’autre sang… Je vois l’organe dans la glace sèche me fait une image  rêche  dans la dèche pourtant c’est pas un sketch ni un test juste un zest une façon de tourner sa veste voilà ce qu’il reste des mots de peste j’écris je pose le geste lâche du lest go west… Mes mots se meurent comme l’époque et j’ai peur… Je ne verrai pas la terre dans son plus mauvais on m’auras enterré… Ha! Ce que j’aimerais que ça soit beau! Viens de manger un yogourt à la vanille il était bon… Cette nuit c’est encore froid parfois les gens donnent des raisons fallacieuses d’être à la rue, ils souffrent tous mais ne s’identifient pas aux itinérants. Je me vois dans une psychose paranoïaque quitter mon logement parce que je me sens envahis dans mon intimité et préférer la rue, c’est trop difficile pour moi j’en mourrais… Tout ça c’est le complot les agents qui me persécutent mais que je ne vois jamais… Je pense à la pêche blanche, à ce gars qui avait une espèce de tente qu’il montait sur le lac Saint-Pierre, il est disparus y’a quelques années la glace l’a emporté… Partir! Pour ne jamais revenir… Je trouve plus quoi vous écrire, je reviens à mon senti, semble qu’a soixante-trois ans ce sont ceux de soixante-dix ans qui sont les vieux et on passe comme ça de dizaine en dizaine… Ce matin j’ai une plénière de mon groupe d’entraide ça devrais comme toujours être intéressant… Je pense aux gens de Roberval qui se font de coquettes maisons sur le lac… J’arrive presque à la chute, je vais essayer de vous dire, c’est toujours étonnant de voir comment le goulag occidental nous bouffe… Je baille, la nuit est bien avancée , Je termine et je retourne me coucher, me souviens plus d’où ce texte est partis je crois que j’écrivais sur le réel la façon de l’appréhender… Trop de café j’ai des démangeaisons aux doigts… C’est le silence de la nuit, lentement les ouvriers se lèvent déjeunent et vont partir au boulot, il est un peu tôt… Voilà c’est l’épilogue heureusement j’ai plus rien à dire. Merci d’avoir lu jusque-là!!! N’abandonnez pas je vous pond une jolie finale!!! À la prochaine je l’espère!!! Ciao!!!

Bernard

samedi 18 janvier 2020

Enjeux


Bonsoir! Bonjour! Demain dimanche ce seras une journée football… Ce soir il neige, je regarde plus le match de hockey… Je pense au normal à comment c’est relatif… Y’a les mauvaises habitudes en anglais on dis « nasty habits »  je crois…Finalement je l’ai regardé le match, l’équipe locale a gagné en tirs de barrage… C’est pas fort pour le senti, le sentiment, le sentimental… Cette nouvelle télé je m’en sert… J’aimerais bien vous faire vivre de grandes émotions mais je devrais raconter une histoire… Je préfère tenir le journal de mes événements cérébraux… Ce soir je me suis pas couché avant de vous écrire, je ne vous écrirai pas le désir que je n’ai plus… Le seul qui me reste c’est les voyages les aéroports et les avions, je peux pas vraiment partir j’ai du boulot… Je suis vraiment vide ce soir, je veux pas vous transcrire toutes ces émissions de télé que j’ai regardé aujourd’hui,  je suis malheureux je prends plus le temps de lire… Un peu de « poésie »

On a mis les gaz

Les assassins sont merveilleux

Ils se tuent entre eux

Fort

D’une prochaine mort

Avec l’âge on y pense

La beauté est pour le mort

Harassé

Au temps supérieur



 C’est ça pour ce soir, j’ai un peu dormis, on est dimanche, c’est terrible avoir un discours aussi vide proche du néant. Dans ma tête ça se bouscule, c’est rarement bon, je préfère écrire sans trop y penser, je vais y arriver quand j’arrête y’a que des bribes d’idées… J’ai dis à la travailleuse sociale que j’allais reprendre les longues marche mais ce seras pas aujourd’hui il fait tempête, je vais quand même… Non j’irai pas ce seras pour une livraison. Je sais pas si la maladie mentale se manifeste moins à cause de l’âge et de l’époque… Viens d’échanger quelques mots avec mon lecteur chauffeur d’autobus de la couronne nord, il m’a très bien conseillé pour l’achat de ma télé… A force d’écrire, je l’écris comme ça parce que je trouve ça éloquent cette idée de force et d’écriture, j’espère avoir moins mal, c’est peut-être trop demander à ce travail d’introspection prosodique… Un filet voilà ce que j’espère, qu’il me retienne avant que je touche brutalement le sol. Comme disait l’autre « on est bien peu de choses » même pas certain qu’on va laisser un souvenir… L’équipe a gagné c’est un petit bonheur… J’écoute, j’écoute l’émotion s’enfuis, j’ai pas une grande biographie… Il neige encore, j’ai un peu regardé les voyages dans le sud, les caraïbes, Cuba, Martinique, République Dominicaine mais j’aime pas les resorts tout compris… J’aimerais bien siroter un café sur une terrasse à La Havane… Cette semaine l’équipe de hockey locale est en vacance… C’est la chute la conclusion encore quelques mots pour me faire plaisir… J’y arrive à cette sacrée fin, n’abandonnez pas, je termine ce ne seras que ça… Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!

Bernard

             

vendredi 17 janvier 2020

Éthique


Bonsoir! Bonjour! De retour de la journée Éthique et santé mentale, j’y ai lu un texte de mon cru et j’ai été reçu avec une salve d’applaudissement… Je crois qu’encore une fois j’ai réussis à toucher les gens avec mon écriture. Je reste authentique et ça le fait, j’ai vécu une très belle journée… Je crois que j’étais dans mon élément, ce fut une expérience intéressante… J’ai rencontré une artiste qui travaille avec les Impatients et quelques criminels elle va peut-être m’inviter à aller parler à ses gars, j’aimerais faire ça leurs parler de mon rétablissement pour qu’ils passent un bon moment… Cette nuit je suis encore sur mon nuage senti, les gens ont été très gentil… J’ai pas à me diminuer je suis ce que je suis, je raconte mon expérience qui est unique y’a que moi qui l’ai vécu comme ça et qui se rétablis maintenant… C’est toujours la nuit, on arrive à samedi… Hier je me disais que mes activités allaient payer ma télévision comme si je reprenais le sens du travail… J’ai rencontré beaucoup de monde, je pensais à ces nuits ou je racontais des bêtises au bar le G Sharp à cette époque ont voulais se débarrasser de moi… Ai lavé la vaisselle des fois faut revenir à la base… C’est samedi je vais lire la chronique Voyage dans LaPresse+ j’aime toujours ça, hier quand je suis partis de L’hôpital Sainte Justine j’étais étonné de voir tout ce monde, je crois qu’ils sortaient de l’édifice des Hautes Études Commerciales, c’est le plus près que je serai jamais de l’université… J’aime quand même beaucoup l’idée qu’on me prenne pour un docteur, hier j’étais entouré d’étudiant postdoctoral… En revenant dans le bus y’avait une jeune fille qui m’a fait pensés à la super-maman, j’espère qu’elle va bien et les enfants aussi… Je pense aussi à l’amie Florence qui m’a référé à la directrice de la journée de l’éthique, je dis encore merci à toute les deux… Je vais essayer de pas me diminuer  d’être à ma juste valeur… C’est pas facile quand j’écris j’essais de créer et parfois ça me déstabilise comme si j’avais besoin de ça… Je sais pas pourquoi je pense à mon beauf, lui et ma sœur snowbirds en Floride… J’espère que vous avez vu ma courte apparition vidéo dans le texte précédent ou je récite des vers de Nelligan… Je suis assez fou je l’ai vue qu’une fois et je me vois déjà en couple avec elle… Voilà c’est mon senti pour aujourd’hui… Je me questionne toujours sur ces nombreux étudiants  comment font ils pour vivre? Quelques mots encore c’est la conclusion… J’ai souvent besoin qu’on me rassure sur ce que je fait… Je crois pas avoir tellement besoin de me mettre en question, pourtant pour moi le doute est un moteur… Ça y est presque j’espère que ça vous plait sinon c’est pas plus grave. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!

Bernard


jeudi 16 janvier 2020

Lutte


Bonjour! Bonsoir! Je suis nerveux, j’ai le trac, ce matin je fais une allocution santé mentale. https://tnm.wetransfer.com/downloads/2a6e840fb2d97255e85d594640bc9f9420200116141032/bd9423 voilà une courte lecture du Vaisseau d’or d’ Émile Nelligan. J’espère que vous allez apprécier… On est encore dans la soirée je cherche comment vous illustrer ça, l’asile est devenue un moulin à psychoses… Y’a des hommes défait qui faute de mieux ont choisis la « poésie ». Je crois toujours qu’il est inutile de l’embrasser sur le tard celle-là elle est mélancoliquement faite pour la jeunesse… J’espère que je raterai pas ma présentation… Je vais lire advienne que pourras… Hier j’ai vu la snowbirds de Gatineau qui allais se baigner pendant que nous ont défaisait les décorations de Noël, j’avais proposé de les garder jusqu’en juillet pour le Noël du campeur… Tout ça est une farce… L’équipe de hockey locale a gagné le match, avec ça je m’éloigne de l’émotion, du sentiment… Cette nuit je ne dors pas, j’ai sommeillé pendant la soirée, je vais me préparer un autre café… Je vous ferai pas de romance cette nuit, ce matin je vais partir tôt pour l’hôpital, j’y vais encore mais pas pour les mêmes raisons, moins malade plus rétablis la schizophrénie n’est pas que drame… Quand les gens me parlent de maladie je pense à la matriarche qui déteste élaborer sur ce sujet… J’ai mis le chauffage ça se réchauffe, la première question que me posent les gens qui veulent faire ma connaissance c’est si je travaille? Je ne fais que ça la santé mentale c’est présent vingt-quatre heures sur vingt-quatre… Le rétablissement c’est du boulot faut rester alerte… Ce que je vais raconter ce matin j’espère que ça va aider, parfois mon syndrome de persécution est très présent, malgré tout je continue à me rétablir… Bien que je sois pas  guéris je vais rester abstinent aujourd’hui, c’est mieux…  Salutation à la super-maman qui prends le temps de me lire et au lecteur de Deux-Montagnes qui nous fait partager sa passion des automobiles… Je sais pas pourquoi j’ai l’air de l’internationale dans la tête, « c’est la lutte finale… » pourtant je suis pas un socioconstructiviste, je crois que c’est la façon savante de nommer les gens de gauche… J’avance lentement dans ce texte, je veux pas que le propos sois insipide. La vie me promettais beaucoup j’y ai cru mais le mal schizophrénique s’est jeté sur moi, la puanteur de l’urgence hospitalière, l’aile psychiatrique… Je pense à la parenté avec la psyché, ma façon de prendre les rêves pour la réalité ça tourne souvent au cauchemar… Je répète que vos commentaires bons ou mauvais sont bienvenus ça va me permettre de m’améliorer. Je reste toujours dans l’espoir d’être prosodique faute d’être poétique… Quand je vais avoir terminé je vais regarder un peu la télé. Quelques mots encore en cherchant une manière différente de terminer, la conclusion ferme tout… J’espère que ça vous a plu. Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Arrivederci!!! Ciao!!!

Bernard

Naturelle


Bonsoir! Bonjour! Hier soir me suis rendus à la très chic soirée cinéma de la maison de la culture Frontenac, Un très beau et bon film intitulé il pleuvait des oiseaux, très poétique qui se passait dans le bois. Je crois que mon lecteur technicien à la Rolls Royce aurait apprécié. Une histoire qui m’a rappelé l’oncle Adrien, la poésie en plus avec de l’excellente musique interprété par Rémy Girard des versions très personnelles de Desjardins, Cohen et Tom Waits… Je disais donc très touchant qui nous rappelle que le Québec c’est beaucoup la forêt, le bois,  la pêche la trappe… et les ermites créateurs pour la poésie. Je m’y suis reconnu du moins un univers que j’ai fréquenté un moment… Je crois qu’au Québec chaque famille à un membre comme ça qui vie isolé dans le bois… Du moins pour un moment, c’est moins possible maintenant qu’on psychiatrise tout… J’ai beaucoup aimé ma soirée, un film émouvant avec la forêt comme personnage omniprésent, bien que je sois essentiellement urbain je m’y suis reconnus dans ses personnages qui ont pris de l’âge… C’étais mon senti de la soirée… Souvenir d’un copain qui avais pris le bord du bois… La journée avait très bien débutée avec la rencontre de l’ami historien de l’art au chic restaurant Miami, faute d’y être on mange dans les décors. Plus qu’une journée avant mon allocution a la journée éthique et santé mentale, cette semaine j’ai rencontré un psychiatre qui va y être… J’y vais avec mon senti j’en fait ce que je veux. Hier je racontais à l’ami comment je regrettais d’avoir vendu, c’est peu dire plutôt donné, mes collections de Pilote format magazine et de Charlie mensuel essentiellement des bandes dessinées que je regrette… La misère, la douleur, la souffrance ça fait faire beaucoup de chose… Je viens de prendre une douche en pensant à ce lac dans le film, ils y prenaient de jolies truites… Pour revenir au film le personnage de Marie des Neiges évoque pour moi Camille Claudel, comme elle, elle a passée sa vie en institution… Beaucoup aimé le côté nature du film… Ça m’a ramené aux belles journées d’été sur le bord d’un lac bien que je trouve étrange qu’il n’y ais pas eu de mouches… Enfin c’est de la poésie et on demande pas à la poésie de s’en tenir au réel… J’aimerais bien avoir un shack comme ça pour écrire… Pleurer, le film m’a quasiment fait pleurer tellement il était émouvant… Lentement je m’en vais vers la conclusion avec une pensée pour l’ami disparus … Viens de manger un excellent yogourt, je vais essayer de faire différent ce soir, hier j’avais un titre de roman à écrire « Tant qu’ils riront j’aurai raison » Voilà! C’est l’épilogue, arrêtez pas tout de suite y’a encore quelques  mots à écrire… J’apprécie toujours le temps que vous prenez pour me lire… C’est fini je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!!

Bernard

mardi 14 janvier 2020

Tu sais


Bonsoir! Bonjour! Ce matin petit déjeuner avec l’ami historien de l’art, c’est toujours agréable… Je sais pas trop quoi vous écrire, j’ai dormis un peu. Je pense aux snowbirds en Floride, ici il a neigé quelques  centimètres… Hier rencontré le psy d’un commun accord on a jugé bon de ne rien changé à la médication juste d’être plus actif la fin de semaine pour empêcher les idées mortifères de m’envahir. Je vais reprendre la marche au petit matin ça me fait énormément de bien… La saison de football américain se termine bientôt, Superbowl le deux février… Je pense à mon allocution de vendredi… Je suis heureux d’avoir fait l’acquisition d’une nouvelle télé haute définition. Je pense encore à mes longues marches dans San Francisco leurs équipe est en éliminatoire ce sont mes favoris… Le sport c’est loin du senti ça fait appel à une autre sorte d’émotion… J’aime pas beaucoup ces galas avec des hommes d’affaires en compétition pour moi tout le monde fait de son mieux, on fait pas les choses pour les prix c’est pas une bonne raison, la business j’aime pas ça… Je sais bien que c’est une question de réputation celle de poète est pas toujours reluisante mais on fait avec… Je crois grandir dans la sobriété… Je vais pas dans cette thématique je le fait trop souvent, j’essais de réfléchir à une prochaine destination voyage, je crois bien que ce seras encore une fois la France surtout Paris que je veux explorer, la sympathique rue Mouffetard… C’est difficile de faire un choix entre la compétition, le sport télévisé et la culture… Je pense à mon beauf en Floride qui dois faire de belles aquarelles et prendre de jolies photos… Ça peut vous paraitre idiot mais j’essais d’aller à ma rencontre, le soi c’est important… Comment vous dire ce que je sens et ressent, la nuit c’est jamais trop mal… Je pense à la violence dans laquelle j’étais plongé dans mon jeune âge la confusion qui règnais… La neige toujours la neige, la vrai pas ce produit toxique qu’on inhale et rend psychotique. Je me tourne vers la spiritualité c’est la seule façon que j’ai trouvé pour rester abstinent… Je suis presque rendu à la conclusion, je savais pas du tout où je m’en allais… J’aime beaucoup le calme de la nuit contrairement à ces nuits de bambochage qui me rendaient sourd la tête dans l’énorme enceinte acoustique… Je pense au Boeing sept trente sept super max qui prennent beaucoup de temps à reprendre leurs envol mais vaux mieux ça qu’un autre incident mortel. Y’a une odeur de bacon pourtant je suis pas encore au resto, je vous aurai encore écris ce que j’espère être de la prosodie pas de la parodie… Hier j’ai commandé une pile en cas de panne d’électricité, semble que c’est une autonomie de quatre heures… J’ai hâte de voir comment ça se branche. Ouais! Voilà! Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Bye!!! Ciao!!!

Bernard