jeudi 5 décembre 2019

Wall


Bonsoir! Bonjour! Aujourd’hui c’est une journée de formation centre d’apprentissage santé et rétablissement (Recovery College). Y’a de l’action chez le voisin d’en bas ça discute fort… Jour après jour on s’en va vers Noël… J’ai dormis un peu, j’ai hâte de recevoir le remboursement de mes frais pour le Forum santé mentale à Québec. Ce matin je dois être à l’institut très tôt pour aller chercher un dédommagement pour ma participation à une présentation aux employés… Une ancienne intervenante est passée nous dire au revoir, elle en a profité pour ramasser des effets personnels qu’elle avait laisser dans le bureau… Vendredi déjà et j’ai encore du boulot, rédiger le compte rendu du groupe d’entraide, j’ai hâte de voir comment ça va se passer à la formation formateur. J’ai regardé la documentation, c’est difficile pour moi d’être en situation d’apprentissage, je vois pas trop où on va j’espère que mes collègues vont m’éclairer… Je sais qu’on traite de stigmatisation dans le système de santé. Je sais pas trop si c’est permis que je vous écrive ça… J’y vais avec mon senti j’aimerais voir mes frères à Noël où un peu avant, pour ma lectrice privilégiée ce seras pas possible elle est grand-mère plusieurs fois et s’occupe de sa famille… Je vais prendre une douche, voilà c’est fait je me suis parfumé comme si j’attendais une galante… Bientôt minuit et le vrai vendredi… Une vingtaine de jours encore avant Noël… Souvenir de cette lourdeur au travail annonciatrice de la maladie, j’étais désemparée. Je me suis quand même rendu jusqu’ aujourd’hui avec la schizophrénie… J’aime bien vous écrire la nuit y’a pas trop de stimuli… Je pense encore au voyage, je partirai pas ce printemps… Il ne neige plus, je continus encore ma lecture d’un roman policier suédois, un polar… Hier je pensais aux voitures qu’avait eu le patriarche, une Simca entre autre une petite voiture européenne pour l’époque… Avec les fêtes on se souhaiterais un cadeau, la paix pour tout le monde… Ça semble impossible mais on y pense, plus on avance dans le temps plus on oublie les causes de toutes ces guerres mais on continue quand même à se battre. Je pense aux cousins français qui manifestent et à ceux qui viennent vivre ici, je comprends… En janvier ce seras la journée d’éthique clinique  https://jec.ethiqueclinique.ca/ auquel je participe… J’avais peur pour un conflit d’horaire mais c’est jouable…. Je trouve pas, je trouve plus et j’éternue… J’ai souvenir des dimanches après-midi d’hiver sur la patinoire de l’étang de L’Île des Moulins, la solitude commençait à me peser, la maladie approchait c’était lourd… Ce fut la chute, la paranoïa, le mal et ces hommes qui m’espionnais  je croyais… Le complot! C’était plus fort que moi… Mais tout à une fin, il ne me reste plus que des miettes de peur de cette époque-là!!!  C’est pas le temps de partir en peur dirais la matriarche. Je termine c’est la conclusion, je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Ciao!!!

Bernard


mercredi 4 décembre 2019

Sucré


Bonsoir! Bonjour! Je salue mon lecteur privilégié de Deux-Montagnes hier on a eu une gentille discussion au téléphone. Hier je suis allé au théâtre, Fleuve de Sylvie Drapeau une pièce intense tirée du texte d’un livre, je sais pas pourquoi j’ai pensés à Tinamer de L’Amélanchier  de Jacques Ferron y’avait aussi un passage très juste sur la schizophrénie qui dévore tout… On sentait le travail littéraire de madame Drapeau c’était intéressant… J’ai été fasciné par l’itinéraire de cette dame… Je vous raconte pas tout vous irez voir… C’est la nuit de mercredi à jeudi, toujours et toujours mon senti. Je remercie la médiatrice théâtrale pour la place au Théâtre du Nouveau Monde… Hier un voisin m’expliquait sa difficulté à continuer son travail de dessin ce sentiment d’avoir tout dessiné, la pause pour se renouveler… Je suis invité chez la matriarche pas ce week-end ci mais le suivant, on va manger de la tourtière du Lac-Saint-Jean… Bientôt s’annonce un travail d’écriture avec notre troupe c’est à partir des contes qu’on va revisiter. Je devrais avoir des nouvelles  je sais pas si je vais avoir assez de temps… Parfois j’oublie que j’ai affaire à des gens qui n’ont pas que ça a faire lire mes textes… J’écris avec dans mon dos mes bibliothèques et tous ces livres adorés, toutes ces lectures… Jusqu’ici ça m’a permis de survivre, la littérature à pris le dessus sur les voix… Je racontais, je sais pas trop comment l’écrire, que les idées suicidaires faisaient partie de la schizophrénie… Ouais! C’est le temps des fêtes qui arrive hier on se racontait ces réceptions familiales auquel tout le monde participait, de la banlieue montréalaise à l’Abitibi au Lac Saint-Jean à la Gaspésie toutes les familles étaient réunis comme on se le disait y’avait du monde dans la maison, ce sont de beaux souvenirs… Dans la maladie j’ai eu des hivers difficiles, des messes de minuit douloureuses c’est loin tout ça, maintenant tout le monde est sur son bord… Je profite de la nuit de Noël pour faire une sorte d’inventaire moral… Lentement j’avance dans la nuit, je pense aux gens qui ont manqué de tout et pour qui le moindre cadeau est une fête… Pour le repas du réveillon le ragout de pattes de cochons c’était quand même pas mal… La matriarche dois avoir plein de souvenirs… Je suis avancé dans la nuit… Je vous ai pas parlé de la polémique montréalaise autour de la tourtière et du pâté à la viande, ça existe encore… J’ai trop faim j’ai ouvert le sac de chips… Encore quelques mots avant de terminer, je pense au regretté patriarche qui aimait préparé son punch, il y mettais jamais d’ alcool c’était une règle… Voilà c’est toute la difficulté de la conclusion qui est présente, je termine je veux m’en garder pour les prochains c’est ça pour cette nuit. Je salut tous les lecteurs en les remerciant d’avoir lu jusque-là!!! Lâchez pas ça y est vous y êtes, à la prochaine j’espère!!! Ciao!!!

Bernard

mardi 3 décembre 2019

Honk


Bonsoir! Bonjour! J’arrive des funérailles de l’ami Michel. Je pense qu’on vas être une gang à s’ennuyer de lui… Demain après-midi c’est matinée au théâtre… Ce soir je suis calme, cet après-midi j’ai parlé avec ma lectrice privilégié de Gatineau et avec la matriarche… Avec les petits enfants ils sont dans l’esprit des fêtes, y’a des photos du père Noël… Je prends mon temps pour vous écrire ce soir… Déjà mercredi demain… J’ai rencontré des amis psychologues qui s’occupent de santé mentale ils ne manquent pas de boulot… C’est difficile de raconter la schizophrénie, la difficulté de faire taire la voix qui me dénigre… Sur la photo la matriarche est toute habillée de rouge je me demande si c’est parce qu’elle est libérale où peut-être communiste… Noël qui s’en viens je vais essayer de rester sobre… Je me souviens plus à quelle funéraille quelqu’un m’avait offert une bière chaude comme de la pisse tout droit sortie du coffre de sa voiture… J’ai toujours peur que des conneries pareilles se reproduisent.. J’ai  tellement imposé ma façon de communiquer, je crois beaucoup à ce moyen de communication qui nous pousse vers le rétablissement… Je retourne à l’institut vendredi pour une formation centre d’apprentissage santé et rétablissement (Recovery College) Je vais en profiter pour aller chercher de l’argent qu’on me dois. Tiens! Je vous le dis au salon funéraire s’est manifesté une voix ça a dis « putain » en me désignant… J’ai appris qu’il y a des équipes santé mentale décimée par la maladie huit personnes sur douze sont malades… Je crois que tout le monde dois connaitre les pairs aidants ils sont si peu nombreux, moi j’ai hâte de terminer la présentation sur la stigmatisation et j’aimerais bien qu’on me demande pour parler de schizophrénie… Lundi passé j’en ai un peu parlé aux employés de l’institut, c’était bien…  Je reviens avec les funérailles c’était beau c’était simple un peu comme le regretté savant Michel. L’officiant avait choisis de beaux textes. Quand on est revenus c’était moins lourd, on s’est permis quelque farces c’était le retour à la vie… J’entends des gens qui parlent dehors. C’est un peu mon angoisse, je vie seul personne le sait que je suis debout à cette heure, parfois ça ressemble un peu à des voix psychotiques mais ce sont de vrais voix en l’écrivant j’ai peur qu’on ne me crois pas et qu’on dise que je fais une psychose. J’ai hâte à cet après-midi pour la pièce mais aussi pour rencontrer la jolie médiatrice théâtrale. Je pense à mon lecteur de Deux-Montagnes j’ai hâte de le rencontrer, je crois qu’il s’en va au Mexique dans le temps des fêtes, on va probablement se voir avant son départ me semble que j’ai plein de choses à lui raconter. J’aimerais que les quatre frères soit chez la matriarche… Bon! Nous voilà à la conclusion quelques mots encore pour une épilogue sensés. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!

Bernard

lundi 2 décembre 2019

Tournicoti


Bonsoir! Bonjour! Ce matin je me suis réveillé dans le somnambulisme, je cherchais un objet que je ne possède pas, une tablette noire avec plusieurs pochettes. J’ai refait le lit pour enfin réalisé… J’attends toujours le remboursement de mes frais de voyage à Québec… Hier j’ai raconté mon histoire dans la maladie à des employés, j’espère que je les ai aidée, j’étais avec une collègue qui parlait de stigmatisation comment elle est là où on s’y attends le moins, à l’institut!  Y’avait aussi la difficulté à bien se faire soigner comme travailleur en santé mentale… Je crois que les soins professionnel en santé mentale c’est le bout du rouleau… Après c’est l’enfer d’où il est très difficile de se rétablir… Hier j’ai pas été dédommagé je devrai attendre à vendredi… C’est la nuit j’essaye de rester éveillé… Hier à la télé j’ai vue une publicité du Diamant à Québec, la nouvelle salle de spectacle de Robert Lepage de la lutte au classique il semble ratisser large… Aujourd’hui c’est tranquille j’ai rien à part une dernière visite à l’ami Michel maintenant décédé… J’ai envoyé le texte de présentation que je vais faire à la journée de l’Éthique en janvier à l’hôpital Sainte-Justine, j’ai peur que ça ne convienne pas… Y’a un gars qui m’a parlé de Michel et de Pinel, il m’a dit que c’était un criminel comme si je le savais pas rien n’empêche c’était mon ami… J’ai beaucoup de difficulté, je crois même que j’en suis incapable, à écrire d’une façon, d’un format professionnel… C’est ça… J’espère quand même qu’on va m’accepter pour la journée de l’Éthique… J’ai hâte qu’on me dise ce qu’elles en pensent… Souvenir d’une enfance ou je n’aimais regarder que les dessins animés à la télé… Le patriarche disait qu’il n’y avait que ça de vrai… Hier à la présentation je m’y attendais pas on était deux je crois que le message à passer… C’est difficile de décrire une psychose, cette peur et cette lecture des plaques d’automobiles qui nous dépassaient tout en croyant qu’ils allaient  nous tuer. Cette peur des convois funéraire je crois que c’était de la psychose… Ça sent bon, y’a un parfum de soupe… Ce soir je vous illustre ça encore avec la statue de Pinel à Paris je crois que c’est dans la thématique… Il est passé minuit je vais bientôt terminer… J’entends les bruits de la nuit comme si un preneur de son de l’Office National du Film avec sa Nagra était passé par là… Encore le souvenir d’être tellement intoxiqué je croyais que je jouais dans un film fallait être vraiment fou… Voilà! Encore quelques mots pour une chute digne de ce nom… Je dors debout en essayant de terminer, ce seras la conclusion d’un gars qui sait pas où il s’en va, c’est la partie la plus difficile. N’hésitez pas à faire vos commentaires c’est toujours bienvenue. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Nous y sommes à la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!

Bernard


dimanche 1 décembre 2019

Test


Bonsoir! Bonjour! J’ai beaucoup de choses en tête pourtant j’arrive pas à les écrire, ce soir ça sent pas bon plus tard j’irai prendre une douche et je me parfumerai… Les passages sur la passerelle ont cessé, la voisine est silencieuse, je crois qu’elle n’est pas là… Ça y est j’ai pris une douche et je me suis parfumé encore une semaine occupé qui commence, lundi je partage mon vécu psychiatrique avec les employés de l’institut mardi j’assiste aux funérailles d’un ami et collègue, mercredi en matinée je suis au Théâtre du Nouveau Monde pour assister à la pièce Fleuves de Sylvie Drapeau jeudi je crois que je suis libre et vendredi c’est une journée de formation pour le Centre d’apprentissage Santé et Rétablissement (Recovery College) Ça lâche pas j’ai peur de me brûler… J’ai envoyé mon texte pour la journée Éthique et Santé Mentale à l’hôpital Sainte-Justine en janvier. J’ai un peu peur qu’on l’accepte pas à cause de ma tonalité qui est pas très bonne, j’attends toujours le remboursement des frais engagé pour le Forum santé mentale à Québec… Cette année je fais pas de voyage je suis trop occupé, je l’ais dis à l’amie agent de voyage… Je vais remettre ça à l’automne prochain… C’est assez étonnant comment ça s’agite le soir dans et autour de l’édifice… Je vais peut-être sortir de Montréal pour la formation, Sherbrooke? Trois-Rivières? Drummondville et encore ailleurs… J’aimerais beaucoup qu’on me demande pour une formation comment vivre avec la schizophrénie… Viens d’écouter un conférencier sur le rétablissement je dis à peu près la même chose mais autrement… D’accord pour dire que le rétablissement est unique à chaque personne… J’ai comme l’impression qu’en santé mentale bientôt y’auras plus de soignants que de soignés… Souvenir d’hospitalisation où je trouvais le temps long, j’avais hâte de retourner à mon quotidien, à mes soucis… Je pense aussi à ce maudit alcool que j’ai longtemps trainés comme un boulet… J’utilisais ça comme médicament mais est venus un moment où ça ne fonctionnais plus ça me menais direct à la psychose… Encore dans cette thématique… Je partais dans la nuit inconscient du danger, je disais à personne où j’allais ça faisait partie de mon plaisir vivre seul dans la nuit, à la fin on me battais et m’assommais j’étais sur le trottoir une fracture au bras… Ouais! Les prestataires terminent la fin de semaine on rentre à la maison et on va manger son pain rassis, plus une maudite cenne, c’est vraiment malade cette description qui reviens toujours ces histoires de bière… Bon! Là on est vraiment lundi, j’ai vidé la boîte de biscuits feuilles d’érable… J’arrive à la conclusion, les histoires d’alcool c’est moins rare que les histoires d’amour, souvent le héros pars on ne sait pour où il a les beuveries discrètes c’est triste mais les aventures se vivent rarement à l’église quoi que y’a toujours le confessionnal. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!

Bernard

samedi 30 novembre 2019

Révérence


Bonsoir! Bonjour! J’ai rêvé, je discutais avec une femme qui amenait ses enfants au parc, c’était l’été… Décembre déjà, Noël bientôt… Ça passe si vite je vieillis… Je vous écris du samedi soir https://www.youtube.com/watch?v=F23zO81OQx0 . Ce soir j’ai pas le propos, prétentieux j’ai déjà rêvé d’un appartement à Outremont, snob pas à peu près la vie m’a rabattue le caquet je vie maintenant dans le goulag occidental ou si vous préférez le Centre-Sud… Souvenir de mes belles idées de jeunesse qui ont fait comme les saisons elles sont passées. J’ai pas étudié mais il me reste quand même le centre d’apprentissage santé et rétablissement (Recovery College).  Un poème :

Mal amanché

Au montant du grenier

Le cable est slack

L’espoir s’endort

Comprendre…

Voilà c’est court mais ma « vocation » première c’est pas la poésie épique lyrique… Je me souviens d’une époque de gros rock c’était la fin des années quatre-vingt je m’épivardais dans un bar, j’y passais la nuit, il n’en reste plus rien d’ailleurs plusieurs des endroits où j’ai bu sont disparus. J’ai dormis un peu, parais que le night life est en baisse, y’a de moins en moins de bar et de discothèque mais j’ai constaté qu’il y a de plus en plus de brasseries maison. Je change de sujet assez parler de ces endroits mal famés. J’arrive pas à écrire sur autre chose, le jour c’était la routine du boulot pour ensuite tomber sur l’assurance chômage et la vie dans une maison de chambres avec des voisins digne de la caricature, à l’entrée une vieille matrone qui contrôlait tout, un shylock qui faisait affaire avec les différents chambreurs, un étage pour les femmes un autre pour les hommes, une ancienne dame de la haute devenue alcoolique, sénile et incontinente et différents personnages qui bataillaient avec leurs démons… J’y arrive pas comme si en dehors de ce monde y’avait pas de vie partout où je suis allé c’était l’alcool et même à l’hôpital les patients se faisaient livrer de la dope… Je vous entretiendrai pas des boulots de huit heures par jours cinq jours par semaine de la platitude, une fois au bar je rêvais d’être serveur ça semblait amusant et bien payé, j’ai même pas réussis à être bus-boy… C’est fou comment avec le temps on voie ça d’un autre œil… Le vieux bonhomme un peu pédé rêvait d’avoir un camion de livraison de bière à sa porte, il me demandait  souvent comment étais ma vie sexuelle, il est mort avant l’arrivé du camion de toute façon il avais pas de quoi le payer… Fallait que j’en sorte j’y serais mort,  vingt-six ans après ils sont probablement tous mort… Quelques mots encore, malheureusement c’est toujours le même propos c’est ce qui m’a marqué. J’étais vraiment dans le bas de la ville… Comme j’écrivais plus tôt y’a plus de night-life les gens boivent à la maison, moi j’en étais incapable. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!

Bernard


Flow


Bonsoir! Bonjour!  Samedi, dans la rythmique des jours c’est la plus belle journée… Je sais que ce matin quelques un d’entre vous ont la gueule de bois. Vous avez cherché toute la nuit mais vous avez pas trouvé l’âme sœur plus la nuit avançait  plus y’avait que des garçons, comme vous n’êtes pas de ce genre-là vous avez bu seul… Cette nuit y’a personne près de vous… Je crois que c’est mieux comme ça vous risquez pas d’attraper des morpions. J’ai remarqué qu’avec le temps la libido est moins forte… Encore et toujours ce même thème… J’ai jamais vu rien de moins constructif. J’ai peur de parler de ces barmaids qui ailleurs dansaient nues… Rien de nouveau dans la nuit, toujours le même drum’n’base… Vous m’avez dis l’écriture quelque format que çe sois ça reste de l’écriture quand même y’en a qui ont la patte plus douce et d’autre qui vous vouent aux enfers parce que vous écrivez sur la plateforme blogue… Hier je me suis gâvé de pudding au chômeur… Je crois que les partys de bureaux sont commencé, y’en a qui partent en voyage et n’y participeront pas… Je vous vois flirtez avec la secrétaire… Cette nuit je vais vous illustrez ça avec le Starbucks du centre-ville de San Francisco, tout en bois c’est très beau… Je pense que cette année y’auras pas de voyage je suis trop occupé, formation et présentation… Sur Facebook je vois que mon ami historien de l’art met en doute la paternité d’une œuvre attribuez à Claude Monet, c’est lui l’expert mais le tableau est quand même très beau. Bon! Ça va mal voilà l’autodénigrement qui recommence. Je termine le blogue et après je me met au travail pour ma présentation en Janvier. Je sais pas si l’amie en charge des relations publiques à l’hôpital Sainte-Justine me lis, mais je la remercie… C’est assez fatigant cette « fluctuation » entre la voix qui me dis que je suis un bon à rien et l’autre un génie… C’est gênant d’écrire ça… J’ai une toune du premier long jeu solo de Paul McCartney, non c’est de l’album Blanc des Beatles ça s’appelle Mother nature’s son https://www.youtube.com/watch?v=TMMiXjwhODU ça me trotte dans la tête c’est très beau. L’album blanc comme beaucoup d’autre musique que je réécoutais en boucle du fond de mon adolescence turbulente ça m’apaisait… Souvenir, j’écoute plus beaucoup de musique, j’ai pris de l’âge, suis maintenant un bonhomme… Encore cette nuit le temps file et je vieillis… Je pense à ce voisin audiophile qui écoute des soixante-dix-huit tours avec un appareil haute-fidélité à la fine pointe… Voilà! Je suis presque rendu à la conclusion pour cette nuit, quelques mots encore pour une finale décente, c’est toujours étonnant comment je ne dis rien quand je termine. Voilà c’est comme au bar il est trois heure on ferme, last call! Je sais pas si les grosses bouteilles de bière existent encore j’en aurais commandé deux. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine!!!

Bernard