jeudi 17 octobre 2019

Au présent


Bonsoir! Bonjour! J’hésite à vous écrire c’est présentement la soirée de jeudi  à vendredi. Cet après-midi on s’est bien préparé pour la présentation de Reprendre Pouvoir au colloque de l’Association québécoise de réhabilitation psycho sociale… Le vent semble tombé, la pluie a cessé, hier je lisais que aujourd’hui  la poésie ça pouvait être n’importe quoi, je suis pas d’accord faut que ce soit touchant. J’ai pas envie de vous donner un cours mais il faut écrire avec une sensibilité… Parfois ça prend un effort de compréhension, y’a un peu d’expressionnisme et d’impressionnisme et même du surréalisme je vais essayer de vous en écrire un

 Mal amanché

Caillé

Suivre les malheurs

D’un fromage

Niaiseries

D’un intérieur fermenté

Mousseux

Le mal le malaise

La douleur d’un malheureux

La chaleur d’un peureux

À trop vouloir

La poésie on écris rien

Il y eut de beau vers de guerre

Guère attendu par la mer

Je dis dans une expression finale

Mort à moi

Maure soldat



Voilà! Je sais pas si c’est réussis j’aurai essayé, ces mots-là viennent de mon senti y’a toujours un travail sur l’expression quand j’écris comme ça je commets un sacrilège, je manque de respect au grand poète… Disons que j’ai la révolte un peu plate, iconoclaste de salon. Je me demande toujours pourquoi nos grands poètes finissent toujours leurs jours si tôt défenestré… Si ce n’était que d’écrire ce serait déjà beau mais ça prend la grande œuvre avec orgueil… J’essaye d’être original sans prendre le vocabulaire de l’autre… Je pense au pastiche j’y suis pas du tout… Ce matin je rencontre le médecin pour essayer de prendre les moyens de faire disparaitre ces pensées négatives ces pensées de mort, pourtant je vous avoue que c’est ça mon moteur d’écriture… L’automne à part les couleurs des arbres y’a plus rien de lumineux… C’est toujours mon senti tracé à gros traits… J’écris puisque dire ne suffit plus… Je veux pas entrer dans le monde des tatoués intégrals, ils font partie de mes psychoses. Ces toujours mon senti, je peux pas vraiment dire que c’est de l’autofiction ça vient de ma tête de mon ciboulot et c’est vrai en tout cas je l’espère… L’authenticité c’est un défi à relever, être vrai, la véracité dans la « littérature »… Ce soir je me suis couché tôt, j’arrive à vous écrire, hier j’ai un peu discuté de ma virée aux pommes à Frelishburg. J’y étais pas resté longtemps, je vous ai déjà raconté, c’est une histoire qui me reviens à chaque automne… Quelques mots encore, j’en suis presque à l’épilogue à la conclusion, la nuit on entends toujours la musique qui sort des automobiles, je pense aux Beatles on était trop pauvre pour écouter les Rolling Stones peut-être moins en révolte avec nos parents… Je sais pas pourquoi je termine et j’ai de la peine, j’aurai écris encore une fois, vous étiez où moi j’étais là, comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!

Bernard

mercredi 16 octobre 2019

Au présent


Bonsoir! Bonjour! C’est le début de la nuit je vous écris, les envois que certaines d’entre vous m’ont fait m’ont beaucoup touché, des lectrices attentives… J’y vais encore avec mon senti… J’ai hâte de me rendre au Forum santé mentale à Québec, cette nuit la schizophrénie me laisse tranquille faut dire que l’environnement est propice à la tranquillité pas de musique à haut volume ni de bruit nocturne moi aussi j’essaye de pas déranger. Je réussis à m’apaiser, j’ai presque perdus les souvenirs des psychoses la tension que je vivais cet enfer psychotique, mon corps surmenés qui me parlait… Mon insomnie n’étais pas la même une faite d’angoisse d’anxiété de voix et d’agitation et l’autre aujourd’hui que j’accueille avec sérénité et paix et où j’arrive à vous écrire calmement… Une chose me torture je me dis souvent que je suis peut-être pas un vrai schizophrène pourtant je réussis pas à me défaire de ce désir de mourir qui est, je le sais, partie constituante de cette maladie… Je me suis placé en situation d’attente, on devrais me livrer les bottes que j’ai commandées…  Bientôt dans une minute je vais vous écrire de minuit, je pense au Around midnight de Miles Davis https://www.youtube.com/watch?v=GIgLt7LAZF0  Je sais qu’il est pas le seul à l’avoir joué juste à penser au film ça accompagne bien ma nuit… Ça fait une musique qui parle je suis fertile autour de minuit, cette ambiance cool du jazz qui rompt avec le be bop et qui marque bien la nuit, la solitude à regarder par la fenêtre les voiture passées sous la pluie de l’automne… Je pense à certains musiciens qui rêvaient plus de voiture de luxe que de développer leurs art, ils avaient pas le génie ni le talent pour marquer le jazz de leurs signatures y’avait qu’un Miles Davis… J’aimerais que vous lisiez ce texte en écoutant cette musique je sais pas si ça le fait… La musique de la nuit m’accompagne, y’a rien de plus jazz que la solitude nocturne, la marche sur une rue déserte en regardant les fenêtres des logements s’allumer et s’éteindre croiser parfois l’éclairage au néon d’un bouchon, la porte s’ouvre et on entends les clients à l’intérieur on passe son chemin sans oser entrer… Essayer de fredonner un air pour se rassurer et marcher dans la nuit parce qu’il y a rien… Un klaxon, un éclat de rire gras, les filles qui travaillent, on passe vite dans le quartier chaud… Bleu, c’est bleu jazz contemporain, on relève son col il pleut fort et on passe son chemin y’a plus d’autobus on regarde passé les taxis on a pas les moyens on est pas pressé de rentrer dans ce désespérant chez soi… Il est vraiment tard on se cherche un « blind pig » pour finir la nuit, on va suivre les prochains qui vont sortir d’un bar qui ferme. On entre on s’assois ça sent la sueur et l’alcool… Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!!

Bernard

mardi 15 octobre 2019

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Je sais pas si  c’est possible de passer de la psychose à  la névrose. L’ami  me parlait du surmoi  me semble que ça m’en fait lourd à trainer, mais c’est bien cette intériorisation de l’autorité qui je crois me mène à cette névrose paranoïaque… C’est bien de le savoir ,mais qu’est-ce que je fais avec… Je prie mais il me semble que c’est pas suffisant on est sortie de la glorieuse époque de l’analyse transactionnelle et pour la psychanalyse on vie pas dans un pays qui y crois… Je suis toujours étonné de voir la proximité de la Maison Saint-Jacques avec les débits  de boisson, plusieurs à la sortie s’en vont à la bière… Cette nuit comme souvent je vous fait le portrait de mon senti de mon monde intérieur… Je pense à ceux qui vont en thérapie et en sorte avec l’apparence du rétablissement, bien rasé bien peigné, de beaux habits mais c’est que la façade avant la prochaine psychose la prochaine rechute… De toute façon pour moi l’analyse et la psychanalyse c’est nébuleux, je préfère écrire je me soigne et je dépense pas une fortune, les analysés ont souvent un rapport ambivalent avec l’argent, l’idée d’être absent à mon analyse et de devoir quand même payer me rebute faut quand même dire que les soins psychologiques sont souvent payé par les assurances quand même les patients sont assidus ne serait-ce que pour pleurer et tout de suite après recommencé leur maneige… J’illustre ça avec une photo de la matriarche, de mon lecteur de Deux-Montagnes et de moi  même à L’Oratoire Saint-Joseph… Souvent quand un alcoolique deviens abstinent on crie au miracle, je sais pas si parmis les béquilles et prothèses des miraculés on a laissé une place pour les mercis des abstinents… Hier j’ai raconté à l’intervenante comment j’aimais marcher dans les sentiers en forêt… Je vous ai pas raconté que je me suis acheté des bottes de marche un modèle semblable à celui que j’ai déjà eu confortable et solide… J’ai hâte de les avoir. Encore aujourd’hui je suis sobre et c’est tant mieux, ça fait moins mal que se saouler soir après soir… Parfois je pense à la promiscuité malsaine dans cette minuscule chambre que je louais, c’était difficile et violent… Plusieurs croyait que j’allais y rester, le souvenir est toujours vivace c’est ce qui me garde abstinent. Souvenir de la regretté Myra Cree et de son embarquement, de son embarquement pour si tard aussi des émissions radio extraordinaire. Écrire c’est le seul bricolage que je peux faire sans déranger personne, il est pas question de coup de marteau juste de taper sur le clavier, tout à coup un gentil parfum ça fait du bien… Quelques mots encore abandonnez moi pas là, laissez-moi pas avec ça c’est plus fort que moi. Je me laisse aller dans les « bonnes » pulsions. Comme toujours je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! Ça y est c’est terminé, à la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!!

Bernard

lundi 14 octobre 2019

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Je suis de retour ça me manquait trop. Y’a toujours cette insomnie, c’est toujours mon senti vue du même angle. J’ai commencé un cahier en parallèle, une brève pause, vous semblez pas vraiment tenir à ce que j’écrive sur mon blog… Je sais pas trop quoi faire ni comment. Je perds la main  c’est difficile de recommencer. J’ai eu le temps de lire un recueil de bandes dessinées du Capitaine América, de magnifiques dessins... Je vais vous raconter mon rapport avec la police qui je crois me harcèle, je pense qu’ils aiment pas que je tienne un blog, hier ça faisait quelques jours que j’avais pas vu de voiture de patrouille en rentrant chez moi j’ai aperçu un policier qui portais des pantalons brun pas réglementaire… Les mêmes que ceux portez par les employés d’entretien ménager. Il rendait peut-être visite à un voisin en crise… Parfois je crois que c’est eux qui rentrent chez moi déplacé de petites choses pourtant les voisins m’avertiraient… Mon senti change pas je veux toujours arrêter de souffrir… Je sais vraiment pas quelle attitude avoir… Parfois j’ai juste envie de mourir… Pourtant j’essaye de me rétablir je voyage un peu pour aller mieux pas pour faire ma vedette… Ouais! Ça tout l’air que c’est la fin du monde, je sais vraiment pas quoi faire je recycle  je prends le transport en commun, je sais c’est pas assez,  il me reste plus longtemps à vivre… Viens de regarder une jolie vidéo de guitar hero avec Robin Trower et son Bridge of Sigh. Je me rappelle le trente trois tours était sortis en même temps que celui de Beau Dommage, tout nouveau aussi, j’avais prêté les deux disques à un ami pas trop rocker plutôt pédophile qui préférait Beau Dommage, il m’a rendu les disques et je l’ai plus jamais revu et c’est tant mieux… Souvenir de cette adolescence où je montais dans la voiture de n’importe qui… Je pense qu’après mon expulsion du juvénat mes parents ont laissé tomber pour ce qui est de mon éducation… J’ai soixante-trois ans je sais pas pourquoi je pense encore à ça… Je devrais aller vivre dans un village français et oublier tout ça, écrire autre chose et oublier mes malheurs… Je suis pas nostalgique c’est que je savais pas j’ai appris, je suis un peu vieux pour recommencer ma vie, je voudrais juste la continuer ailleurs et d’une autre façon… Vous savez je crois qu’il y a quelque chose de puéril dans la maladie mentale, on reste longtemps des enfants… Je cherche comment dire ma pension de l’état… J’ai peur ça passe si vite, les dernières années je les ai pas vues… Voilà! Encore une fois je suis de retour, j’espère que vous trouvez  agréable mon écriture. C’est le plus difficile qui se présente comment terminer? Dehors les camions passent on dirais qu’ils font du bruit par exprès enfin comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!

Bernard

mercredi 9 octobre 2019

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Je me questionne sur la durée et la pertinence de mon blog. Dernièrement c’était comme un baroud d’honneur, je pense à cesser de vous écrire… Je suis épuisé, un peu à cause de toute la répétition que je vous fait… Une pause seras pas de trop je peux peut-être réussir à me renouveler… J’ai de la peine à vous dire que j’arrête mais j’ai l’esprit en morceau… Je perds confiance et bientôt je commence une formation au centre d’apprentissage santé et rétablissement… Je dois me prendre en douceur ce seras pas d’avance si je suis hospitalisé… Ce matin j’étais au bord des larmes, je suis perdus… Quand bien même je vous raconterais tout à quoi bon? Parfois je crois que c’est le retour de la maladie, j’ai pas été prudent… Je vous abandonne pas je prends juste une pause… J’ai pas à écrire sur le rétablissement de l’autre je dois réfléchir sur le mien… Parfois dans la maladie, la paranoïa j’ai l’impression qu’on se sert de moi pour me brûler… C’est que ça de la maladie y’a personne qui viens me solliciter chez moi… Je suis ému parfois je trouve que la vie est dure… Je vous remercie encore de prendre le temps de me lire, j’abandonne là! Il vas peut-être y avoir une prochaine je sais pas. Merci!

Bernard

mardi 8 octobre 2019

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Pas d’illuminations cette nuit, ai démarré le climatiseur parfois je viens vite à la conclusion que je suis pas Arthur Rimbaud. La poésie a besoin de la fougue de la jeunesse et de se nourrir du malheur pourtant à l’époque de ma vive schizophrénie j’avais pas de mots pour écrire la douleur faut dire que j’étais occupé à vivre avec parfois le désir d’en finir… Je cherche le sens à donner à tout ça, je veux pas vous endormir sous des textes moyens… Je cherche le nouveau et le beau en sachant que tout à été écris mais pas par Bernard Saulnier… Mon nom et celui du grand poète dans le même paragraphe faut le faire, je suis pas plus Rimbaldien qu’il faut… Souvent et c’est grave on laisse la poésie aux enfants mais l’invention d’un discours c’est tellement important… Les poètes! « De pauvres fous! » Dans mes nuits de délire j’ai croisé l’envoyé du démon avec sa redingote et ses gants blanc, j’ai eu peur je lui ai pas parlé… Il était là je crois pour acheter une âme. Je suis certain que vous la croyez pas cette histoire-là… Mais je l’ai vraiment vue il ressemblait à la mort… Raffiné il était pas à l’image des anges de l’enfer. Je vous écris ça et je sais pas pourquoi je pense à Robert Johnson et à Crossroad ce classique du blues, de la musique américaine… Plus tard y’a aussi eu l’Hôtel California, à San Francisco j’étais pas loin… Tranquillement je me prépare un petit voyage à Québec pour la fin du mois, un forum santé mentale… Je sais pas si je vais rencontrer des employés de l’institut… Cette nuit je prends tout mon temps, je vous ai pas encore parlé de mon senti… Le band musical c’était les Eagles… Je suis conscient de n’avoir vendu mon âme à personne, je suis maintenant vieux et j’ai les douleurs qui vont avec… Je vais regarder un peu plus les détails du Forum, y’a des voix dans la nuit, ce sont pas celle de la schizophrénie, parfois je pense au psychiatre qui me traitais, il est à la retraite je crois qu’il est malade. Tout à coup cette nuit y’a un parfum de soupe… Que j’aimerais ça! Que j’aimerais dont ça être un vrai artiste… Bon je vais faire comme si et explorer mon senti artistique… Certains explorent leurs racines autochtones moi c’est plutôt mon vécu schizophrénique, mon senti d’hypersensibilité qui vaux bien un statut d’amérindien… Je me recouche pas tout de suite, je termine avant… Tranquillement je me berce sur la chaise devant l’écran, y’a toute cette vie qui grouille la nuit, passé minuit plusieurs finissent de travailler… Je voulais vous parler de mon senti avant de terminer, cette nuit je trouve pas c’est sans douleur, j’écoute dehors quelqu’un tousse son angoisse… Voilà! C’est la chute, déjà, j’essaye toujours… Comme toujours je vous remercie d’ avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!!

         Bernard




Au présent


Bonsoir! Bonjour! C’est la nuit je suis encore au prise avec l’insomnie  quoi que je me suis couché tôt… Hier j’ai téléphoné à ma lectrice privilégiée parfois rien ne vaut une conversation de vive voix… Il est presque minuit, dehors y’en a un qui tousse il étouffe… Fumer c’est pas une bonne idée à moins que tu veuille te cracher les poumons… Voilà c’est maintenant la nuit, je veux pas faire trop de bruit. Je sais pas si je vous ai déjà raconté cette fois où j’ai failli mourir, je montais une piscine hors terre j’avais les pieds dans l’eau très froide j’ai attrapé un coup de froid, la même journée je suis monté en moto à Saint-Rock-de-Mékinac, j’ai eu encore froid c’était l’automne. J’ai couché sur le plancher d’un chalet pas chauffé, j’ai gelé… Que pensez-vous qu’il est  arrivé j’ai attrapé une pneumonie carabinée j’ai faillis en mourir, heureusement je suis allé voir le médecin, il m’a soigné… Le gars il voulait vraiment me tuer…. C’est vieux tout ça des souvenirs de plus de quarante ans… Je pense au regretté patriarche qui dans mon enfance nous racontait ses rêves avec des personnages plus grands que nature, c’était toujours l’époque où il travaillait dans le bois, dans les chantiers… Parfois le patriarche et la matriarche échangeaient acrimonieusement sur des cousins qu’ils avaient connus dans leurs jeunesses, c’était une sorte d’empoignade du langage comme si ils avaient besoin de ça pour vivre c’était mon enfance je comprenais pas toute les émotions qu’il y avait là-dedans… Je mange des clémentines, elles sont juteuses à souhait, cette nuit j’en fait un peu trop avec cette écriture je devrais garder ça simple et revenir à mon senti, je suis pas orfèvre je grave pas le cuivre, c’est juste des mots sur un écran…  Mon senti je crois qu’il est là pour montrer l’exemple raconter le rétablissement sa possibilité… Je veux pas radoter… Je sais pas pourquoi la nuit on entend discuter les gens sur la rue et pas le jour, une autre musique me trotte dans la tête je sais pas ce que c’est… Mardi déjà, dans mes insomnies c’est comme si je ne vivais que de l’angoisse… Bientôt moi aussi je ne serai plus qu’un souvenir les petits enfants seront devenus grands, j’espère qu’ils se rappelleront du bonhomme qui aimait écrire. Me suis recouché ai  rêvé a ce couple d’amis qui collectionnait les voitures, ils en avaient une dans le rêve, une grosse voiture rouge décapotable qu’ils m’avaient demandé de surveiller… J’ai encore sommeil, la nuit est avancée, je suis toujours content de voir que vous prenez la peine de commenter. Ai parlé des pommes que j’aime pas avec la matriarche elle m’a conseillé d’en faire de la compote c’est pas une mauvaise idée.  Ces jours d’automne pluvieux que je déteste et où j’ai passé quelques malheureux jours à cueillir des pommes. Voilà je suis presque à la chute, merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!

Bernard