dimanche 22 septembre 2019

Au présent


Bonjour! Bonsoir! L’équipe  locale a arraché la victoire par un point hier. On a de bons joueurs cette année… Je sais pas pourquoi je suis triste ce dimanche. J’aimerais ça être rigolo mais j’y arrive pas… Demain réunion du groupe d’entraide… Y’a tant de bons écrivains j’essais de faire mon chemin là-dedans… Je vous demande de me lire c’est beaucoup dans toute cette présence éditoriale… J’essais toujours de partager mon senti… Y’auras toujours des gens pour me dévaloriser… Je pense à ce gars qui tenait un bistro y’a longtemps, j’y perdais mon temps sous ses insultes… Je crois qu’il y a encore des gens qui veulent me démolir… Faut pas que j’en fasse de cas, ça peut être ma paranoïa. Ces jours ci c’est l’écologie, je sais pas quoi faire de plus je devrais pas voyager les avions produisent beaucoup de CO2 par passagers, pourtant j’ai pas de voitures je recycle, j’essais d’utiliser le moins de plastique possible, je marche… C’est difficile d’être « pur »… Je pense à la viande on voudrais pas que j’en mange! Je serais bien curieux de savoir le taux de pollution de ces microbrasseries pour baba cool… Je vous pondrai pas un grand texte… J’irai pas vers la politique y’en a beaucoup un peu partout… Aujourd’hui c’est humide, toujours le désir de nommer la douleur, le malaise, le mal… Pour l’arracher à mon âme et finir par trouver un certain bonheur…Je crois qu’on écris bien que dans la peine… Je voudrais bien raconter mais la mémoire me fait défaut, je pense à ces lieux tout noir en plein jour que je fréquentais… Les tables étaient toutes occupées, ça discutais je ne sais quoi, je m’accotais au bar et j’attendais sans discuter avec personne, seul, c’est encore ma thématique… Vous vous demandez surement pourquoi j’écris et je vous envois ça? C’est pour créer quelque chose de mon cru qui n’est pas passé par d’autre sur les médias sociaux, même la photo… J’écris et je pense à un et à l’autre… J’ai de l’affection pour un et pour l’autre ils m’ont vu dans mes plus mauvais moments et sont restés mes amis… Je viens de lire un peu sur les pairs-aidants, je vais essayer de me former… J’aime bien dire que je suis une personne en rétablissement mais il semble que ça soit pas suffisant… En ce moment y’a un parfum de retour à l’école primaire que rapporterais des enfants… C’est mon senti de l’instant… Je sais pas si ce que je vous écris c’est très utile, c’est pas très académique… Je suis inscrit au Centre d’apprentissage santé et rétablissement, j’attends des nouvelles, je pense que je vous l’ai déjà écrit. J’ai peur de passé tout droit… La première formation auras lieu à la fin octobre, j’ai hâte d’avoir des nouvelles… Je vous écris comme à des amis… Voilà! C’est la conclusion, j’espère que ça vous plait comme texte. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!

Bernard

vendredi 20 septembre 2019

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Septembre tire à sa fin, l’automne déjà. Je vous écris ça et je vais regarder l’émission Des Racines et Des Ailes mais pour l’instant je m’attaque à mon senti. Avant tout je me suis douché et parfumé, j’aime ça… Je pense aux maisons de chambres aux gars qui accrochent des pin-ups… Certains y vont même avec la pornographie du magazine Penthouse. J’ai pas grand-chose à dire là-dessus autre que j’en ai plus envie. Ça me dégoutte pas ça me dis rien me semble que c’est pas ça une vie sexuelle. J’espère que j’éxaspère pas mesdames avec mes propos. Pendant ce temps dehors quelqu’un crie… Je sais pas si les gars lisent les articles de magazines porno, souvent c’était parsemé d’expressions sexuelles dégueulasses ça fait de la mauvaise « littérature » à l’époque les gars parlaient avec ces expressions… Faut être bien seul… Une adolescence qui dure longtemps, ces images vient un moment où ça fait mal… Ce magazine est tabou, on est plus à l’époque où on regardait les femmes en sous-vêtements dans les catalogues… Je pense aussi à certaines revues sur les motos avec des femmes déshabillées. Maintenant on retrouve tout ça sur internet où à la télévision sur demande.  Vous vous demandez surement où je prends mes informations, c’est qu’on en parle un peu partout… Dehors une fille passe elle crie conniaud, surement une travailleuse du sexe y’en a quelques une dans le coin… Je crois que l’écrivain Charles Bukowsky publiait dans ces revues… C’était assez difficile d’y trouver un tissu d’honorabilité c’est pas la liberté c’est la décadence… Petite anecdote, à la maison des femmes pas loin quelqu’un avait étendu dans l’entrée un poster sans équivoque d’une femme nue… Pour faire mal, ces femmes ont beaucoup de courage. J’ai longtemps souffert d’un déséquilibre de ma sexualité, ça aussi c’est du domaine de mon senti que je dois soigner pour pas écoeurer. Je ne lis plus ces cochonneries je préfère les bouquins et l’écriture prends pas mal de mon temps… Disons que j’aimais bien Norman Mailer et Philip Roth… Je veux pas trop m’avancer mais je crois qu’ils ont publiés au début dans ces revues… Je pense au Québec aux publications de création, je serai jamais publié y’a pas de commanditaires et elles sont trop correctes… Cette nuit c’est mon senti sans pornographie, j’aime pas ça, je préfère les femmes bien vivantes pas sur un bout de papier. Je pense aux transformations de la puberté, à comment ça peut faire mal, à l’alcoolique qui cherche quelqu’un avec qui coucher et qui n’y arrive pas. Dans ces magazines y’a des publicités de booze, le « bonheur » au fond d’une bouteille… Je sais pas si y’a encore des publicités de cigarettes… Voilà! Je termine je vais lire le journal. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Abandonnez pas c’est terminé. C’est la chute, l’épilogue, la conclusion, je sais plus quoi dire pour terminer mon radotage. À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!!

Bernard

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Ce midi j’ai cuisiné un bouilli ça sent bon et il est délicieux. C’était pour l’amour du lard pas pour l’amour de l’art… Quand je cuisine je suis fier de moi, ça ressemble beaucoup à ce que la matriarche nous cuisinait quand j’étais enfant… Ce matin au supermarché tout le monde étais sympathique, j’en ai profité pour faire provision de légumes. Je vous écris pas un recueil de cuisine raisonnée… C’est plus ce que ça sent que mon senti, il est quand même o.k. j’arrive à écrire sans trop pleurer… Lundi on auras la nouvelle intervenante permanente. C’est bien, lentement le mois de septembre passe et je prends toujours de l’âge… Je crois que j’ai une lectrice qui s’en va en France avec sa sœur bientôt. Je lui souhaite bon voyage… Je laisse mes idées de départ de côté… Aujourd’hui c’est encore beau temps… J’arrive toujours plus à l’expression de mon senti la nuit… Je crois que j’ai déplu au chargé de projet primauté de la personne, j’ai rédigé dans le compte rendu d’une réunion ce qu’on avait dit… Enfin c’est pas très grave, si ça tiens encore je vais présenter mon blog à un colloque santé mentale et informatique… Le propos c’est le mien je me stigmatiserai pas, j’arrive pas à calmer ce saudit discours diminutif qui me trotte dans la tête… J’aime toujours les photos de voyage de mes amis de Gatineau… Parfois je vous écris et je me sens brisé… Pourtant l’écriture devrais me remonter. Tout à coup je pense à mon lecteur de Deux-Montagnes collectionneur de voitures, je sais pas si comme moi il a des problèmes d’estime de soi? Je crois pas… En France il est vingt-et-une heure quinze, les amis se sont baladé toute la journée ils sont surement fatigué. C’est vrai que là-bas on mange plus tard… Sur les photos j’ai été étonné de voir qu’il y avait de l’eau dans la rivière. Je retourne à mon senti, je suis un peu comme le canard dans les dessins animés qui pleurait tout le temps… C’est toujours une question de sentiment comment on vie avec même si parfois ça fait mal… Je taille mon âme, sculpte mon senti, la douleur travaille tout ça pour me laisser hilare puisqu’il faut bien en rire… Je sais je suis sensible et J’arrive à écrire mon senti parfois je me réjouis quand le malaise me quitte. Ouais! Le bonhomme vieillis, il auras trainé sa schizophrénie une longue partie de sa vie… J’ai pas hâte d’être en centre hospitalier et de soins de longues durés. Je suis dépassé… Je me cherche une femme avec une jupe en macramé… C’était y’a longtemps tout ça, j’ai jamais voulus être artisan. C’est pas tout d’être franc faut savoir quel propos tenir comment mettre des mots sur son senti. Voilà! Encore une fois j’y serai arrivé. J’espère que ça vous plait. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! C’est la chute encore quelques mots à la prochaine je l’espère!!!

Bernard

jeudi 19 septembre 2019

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Gentil matin y’a beaucoup de circulation automobile… Souvenir d’une époque où je vivais dans un quartier populaire, Rosemont neuvième avenue coin Dandurand. Je rentrais en taxi fauché comme les blés pendant que les voisins et la duchesse discutaient sur le balcon… J’ai sommeil, j’essais de rester debout pour vous écrire. Hier j’ai un peu parlé de voyage avec l’ami historien de l’art on a un peu lancé dans l’air l’idée d’un départ commun, je ne sais quand ni pour où, je vais laisser l’idée faire son chemin… Parais que Florence c’est un peu comme la Floride des Européens… Je peux pas vraiment vous en parler je suis jamais allé, je vais vous illustrer mon texte de cette nuit avec une photo prise à Milan en Italie aussi, le bistro sur la place… Je me tiens plus droit sur ma chaise ça me garde réveillé, je pense aux vendeurs de parapluie… Demain matin je dois sortir faire des courses je vais probablement aller chez Archambault m’acheter de la lecture j’ai terminé un roman… C’est assez dérangeant de voir qu’il ne m’arrive rien j’arrive pas à composer de belles histoires… Je ne m’assois plus aux terrasses des cafés de Montréal, y’en a pour qui c’est le signal d’une rechute, c’est de la médisance… Je sais pas si ma lectrice en voyage a pris le temps de visionner les vidéos dans lesquels j’apparais  j’aimerais bien avoir ses commentaires… C’est étonnant cette recherche d’amour dans les médias sociaux on y arrive pas toujours… Hier comme à mon habitude j’ai fait la sieste pour ensuite rédiger après j’ai regardé les actualités à la télé dont je ne vous parle pas parce que je veux pas en rajouter, j’ai aussi regardé le jeu Questions pour un champion que j’aime bien et j’ai terminé avec le bulletin de France deux qui m’intéresse toujours… Je sais pas si j’écris un français correct compréhensible par nos cousins français, je fais mon possible… J’essais de la soigner ma langue j’ai longtemps parlé avec un sacre, un juron à tous les deux mots c’étais pas très beau. On est maintenant passé à vendredi j’écris rien d’exquis… C’est toujours la nuit des gens discutent dehors, ils ont pas l’air d’être conscient que je les entends… Les souvenirs du bar où je passais la nuit disparaitrons jamais, l’été en fin d’après-midi les fenêtres étaient ouvertes ont pouvait voir les gens arriver pour prendre une bière… Souvenirs encore d’un camarade qui  m’avait reconduit tout près de l’accueil Bonneau, il savait que j’avais besoin d’aide mais il ne m’en parlait pas une fois seul je me rendais toujours au bar… Ça fait longtemps tout ça, la fortune m’a pas souris mais je suis heureux d’être sobre depuis un bon moment… Assez parler de ce sujet! J’en sors pas… J’arrive lentement à la chute… Je sais jamais comment terminer d’une façon originale, comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Lâchez moi pas c’est la conclusion. À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!!

Bernard

ierh

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Un temps et une lumière superbe, une journée et après le week-end la nouvelle intervenante que j’aime bien va être là… J’économise encore pour mieux partir bientôt. Étonnez-vous pas il est toujours question de mon senti,  parfois je crois que je suis pas assez minutieux… J’ai fait la sieste y’a des moments où je suis plus inspiré… J’essais de me rappeler… Je disais et je crois toujours que je sais pas si je suis un artiste https://www.youtube.com/watch?v=gZ010IBJ1w8  vous pouvez visionner ça si vous voulez en savoir plus sur moi. C’est mon senti de ce moment là… Ce matin c’était une belle matinée que j’ai passé à discuter avec mon ami historien de l’art, toute les fois que je le rencontre j’en apprends toujours un peu plus… Le chanceux s’en va à Florence, il va avoir beaucoup de choses à raconter à son retour… Je retourne à mon senti, à ces avions les Boeing 737 Max qui vont bientôt être de retour dans les airs… À un moment je serai de retour à l’aéroport… Je suis toujours les amis en Provence, c’est beau… J’ai marché un peu dans mon quartier ce matin, c’est pas mal, le parc Jos Montferrand en face aussi… Je m’excuse je suis pas très inspiré, parfois les mots sont pas là pour montrer ma sensibilité… On dis souvent que c’est pas bien pour les hommes la sensibilité pourtant c’est une dimension que je ne me lasse jamais d’explorer… Toujours les mots sur le senti… Parfois je fais un peu de mémérage, je connais pas grand-chose je dois l’assumer… Je pense à cette dame qui m’entendais m’auto-dénigrer, elle disait il fait de la réclame elle avait bien visée… Pourtant, l’émotion, le sentiment sont toujours là… Je veux aller trop vite j’écoute le silence est loin… Jeudi soir, y’en a qui vont aller veiller, j’ai fait ça longtemps et j’ai eu de la difficulté à m’en sortir. Je passais au guichet et je me rendais à la taverne pour le reste vous connaissez l’histoire… Je cherche, à trop chercher on a voulu se vendre, se vendre mais y’avait personne pour acheter on a essayé d’être tendre mais la débâcle est arrivée, plus rien à prendre de douleur inondée je pense à la salamandre une bête oublié… Ma lectrice privilégié est en Provence elle m’a rappelé l’émission de télé que je vais enregistrer… À l’époque j’écrivais longtemps avec le rythme, c’est devenus plus difficile j’essaye toujours d’écouter la musique… Je pense à vous tous qui me lisez, parfois c’est sur le ton de la confidence d’autre fois j’ai le cœur arraché… Chez moi c’est toujours l’autre qui est un grand poète, la poésie est toujours en haut d’un escalier et encore sur les murs des toilettes. Voilà j’ai torché ce « papier » vous pouvez l’imprimer. Quelques mots encore avant de m’arracher les ongles faute d’être inspiré. Je pense au sympathique enseignant du cours de discours poétique. Voilà je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine!!!

Bernard

mercredi 18 septembre 2019

Au présent


Bonjour! Bonsoir! J’ai lu quelques part que les écrivains souffraient d’insomnie, quand même la nuit, son calme permet d’être créatif… Il reste toujours un peu d’angoisse mais ça se place dans la narration. Épistolier j’oublie pas que j’écris à plusieurs j’essais de rester intime… Je pense au désarroi des docteurs Ferron et Bigras, ils avaient souvent mal pour l’autre leur pratique c’était souvent la détresse humaine…  Vous savez surement mieux que moi… J’ai aussi souvenir du psy qui à la fin de sa carrière, à sa retraite a commencé à écrire mais il était un peu tard pour changer les choses… La littérature c’est bien peu dans les problèmes du monde on croit toujours qu’il en est à la toute fin… Je réfléchis toujours sur la lourdeur de la schizophrénie, j’hésite à l’écrire mais toute la souffrance du non-dit, à mettre en parole on aurait voulu guérir mais on y arrivait pas… Pour moi aussi il est un peu tard pour la révolte , souvenir de mes débuts, du sofa dans le salon des amis, j’arrivais pas à travailler j’étais pas rescapé… J’ai de la difficulté à ne pas penser au passé, si je l’avais laissé faire il m’aurait tué… J’ai survécu avec un litre de vin par mois et la bière que les gars apportaient parfois… Ça commence à faire longtemps tout ça à l’époque la poésie j’y arrivais pas j’étais défait, je souffrais. Parfois je me dis que j’en aurai jamais finis de ces longs retours sur le passé… J’étais paralysé… Je reviens toujours sur l’angoisse comment elle m’a brûlé,  je cherchais la protection je l’ai jamais trouvé… Je pense à ce gars qui trainait ses coquerelles avec lui… La vermine c’est pas très littéraire pas très intérieur… Les médecins savaient nommer ils avaient des notions de latin, à leurs époque on apprenait le grec et le latin… La vieille école du cours classique et des jésuites… Ce que j’écris cette nuit ça pourrais aussi s’intituler des regrets, je faisais de mon mieux et j’y arrivais pas parfois les patrons étaient des bourreaux impossible de travailler tranquille dans ces conditions-là semble que que quel que soit la job que tu fasse y’a toujours quelqu’un pour t’étriver… Ce qui me fait préférer la solitude chez moi à une présence dans les petits ateliers… Quand j’étais écoeuré je quittais, c’est comme ça que je me suis ramassé itinérant… Je sais pas si je suis responsable de tout ce qui m’est arrivé… Maintenant que j’en ai finis me reste plus qu’à mourir… Voilà encore quelques mots avant l’épilogue, souvenir aussi de travailler seul à l’entretien ménager, j’étais vraiment perdus… Lentement j’arriverai bien à terminer, je sais pas trop comment je vais vous laisser, je pense à ces gars qui une fois arrivé à la retraite se sont suicidé… C’est l’épilogue comme toujours quelques mots pour vous remercier d’avoir lu jusque-là!!! Je termine lâchez pas, à la prochaine je l’ espère, cette nuit j’étire la sauce. Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!!

Bernard










Au présent


Bonjour! Bonsoir! Je vais vous écrire ça avec le flow cet après-midi, je suis content mes lecteurs sont tous là. Il fait un temps superbe, j’ai démarré le climatiseur… J’ai téléphoné et parlé à la matriarche qui est en forme. Je sonde mon âme pour y trouver matière à écriture… Beaucoup aimé les photos du passage à Baux de mes lecteurs. Van Gogh ça aussi c’est pas rien… Je me fouille l’intérieur pas besoin d’être toujours triste… C’est important d’écrire, de dire le doux parfum qui embaume le studio… Parfois je pense à mon âge et j’y crois pas… Le temps à filé et file encore… Je cherche à faire un lien entre mon écriture et ma santé mentale, je crois que c’est une question de discipline… J’aime pas qu’on me fasse un doigt d’honneur sur facebook… La révolte ça dure un temps on finis par se calmer avant de finir en prison. Ça me fait mal quand je vois ça… Je dirais à mon lecteur de lire Jean Genet c’était un voleur de grand talent. La passion cette chose intense qui parfois vous brûle et vous fait commettre des gestes imprudent, quand l’autre quitte et vous laisse avec votre amour passionné, ça fait mal à l’affect déglingué… J’ai envie de te dire de te calmer on sait tous qui te manque, qui t’a manqué… Imagine toi qu’à nous aussi… Ça me fait mal quand tu fait ça, je me cherchais une raison pour la douleur là voilà… Je la dis deux fois la douleur parce qu’elle est au cœur et à l’âme… Les mêmes mots pour dire j’en viens jamais à bout… Je continue avec regret, j’ai pas de leçon à donner à part peut- être que parfois la vie est malaisée, viens un moment où il faut arrêter. Partir mais pour où? Et pourquoi? On traine sa détresse partout où on va, j’aurai essayé les mots tout comme toi… J’essaye de vous amener avec moi pendant que vous rentrez à la maison… La circulation est dense on se demande qui rentre qui sort… Y’a rien de très émotif là-dedans… Ce soir c’est le Bal des lumières, une pensée pour ceux qui sont dehors et ont besoin de soins… Je serai pas là, je préfère écrire chez moi de toute façon je peux pas contribuer. Les bals et les cocktails parfois ça peut aider. Aujourd’hui la schizophrénie m’a un peu laissé tranquille… Je ne prendrai pas la rue même pour manifester y’a des promesses écologiques que je peux pas respecter… Pourtant j’essaye je voudrais en faire plus mais j’ai toujours la paranoïa du persécuté… J’en suis presque à la chute j’ai finis de raconter. J’avais mal mais je suis un peu délesté. J’y arrive encore cet après-midi , j’ai toujours la même façon de terminer, la jeunesse écris bien moi je suis un peu pied. Voilà je termine à ma façon habituelle en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!!

Bernard