mardi 17 septembre 2019

Au présent


 Bonsoir! Bonjour! Je remercie tout ce beau monde pour leurs commentaires. Je crois dans la lecture quand même vous ne liriez que ce que j’écris… J’essais de me trouver une thématique. J’aimais bien jouer dans la cour de la maison rue des érables à Dolbeau… J’essais de penser à ce que je raconterais au regretté patriarche si il était vivant, pas grand-chose il tournait toujours autour du pot sans rien dire, impossible d’avoir un échange c’était pas le genre à parler des vrai choses… Même à ses derniers jours il ne disait rien… Si je me fie aux statistiques je devrais vivre à peu près aussi longtemps que lui… Ce soir c’est le Bal des Lumières pour ceux qui veulent financer la recherche en santé mentale…Y’a quelques années je représentais les patients partenaires à cette fête on m’avait loué un tuxedo… J’étais monté sur la scène où on m’avait présenté, j’étais de glace j’avais pas dit un mot, parfois je crois que la santé mentale c’est pas la même chose au Québec qu’au Canada Anglais... Je sais pas si le délire schizophrénique est le même pour un francophone qu’un anglophone… J’ai pris une douche me suis parfumé ça fait du bien, la blessure que j’ai dans la main me fait penser à du bacon… Chose certaine je suis prolifique, j’essais d’être sur différent média au risque qu’on me dise que je suis partout… Je mange des chips crème sure et oignon, ils sont très bon… Me suis ouvert une cannette de Sanpellegrino à l’orange ça fait du bien, c’est le genre de boisson qui me rappelle le voyage… Ce matin je vais écouter Radio-Canada Première l’émission de Masbourian je veux savoir si on va m’y entendre… J’avance lentement dans ce texte, la super maman est bien gentille de m’encourager… Je me souviens avoir dit au regretté patriarche que le psychiatre me donnerais jamais mille dollars pour me rétablir… Le patriarche avait pas dit un mot je sais pas comment j’aurais pu faire parler cet homme… Ça a été long avant que j’apprenne à pensés… Dehors cette nuit c’est tranquille, je me souviens jamais du prénom de la nouvelle intervenante… Je l’ai c’est Sabrina elle est très sympathique… J’essais de m’ouvrir l’âme et le cœur pour vous dire comment parfois c’est difficile le senti l’émotion… Quand même ça va beaucoup mieux, malade à vingt ans c’est jamais drôle… Je pense au confort du train Italien entre Milan et Trieste y’a un de mes lecteurs qui s’en souviens certainement à l’époque il était directeur-adjoint… J’ai pas sommeil je vais pouvoir terminer cette nuit… Quelques mots encore pour demander de la sérénité à ma force supérieure, une sorte de prière « home made » je vous l’écris pas je veux que ça reste une pensée intime… C’est presque la chute, quelques mots encore j’espère que ça vous auras fait plaisir mais oui l’épilogue comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Quelques mots encore, à la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!

Bernard

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Je démarre avec ça https://www.facebook.com/CapsuleMyosis/videos/386431242070949/ vous me direz ce que vous en pensez… Je crois que mes post s’affichent plus… Quand je vous sens absent c’est pas bon pour ma santé mentale… À la limite je comprends que vous en ayez assez de me lire. Mes derniers écrits remontent à ce matin… La caissière et l’emballeur du supermarché étaient sympathiques. Deux dames agées discutaient dans l’allée des fruits et légumes, j’ai tout de suite pensés à la matriarche, faut leur faire attention… J’étais pas à la radio ce matin j’écouterai demain. J’écris trop, je me répète c’est difficile. Je racontais que j’avais cessé de boire parce que j’étais tanné de manger des volées. J’ai mis de l’alcool à friction sur la plaie que ma laissé la brûlure, c’est très douloureux… Quand je me blesse comme ça c’est comme si je l’avais mérité, une sorte de punition et en plus en tuant une mouche sur la fenêtre je me suis ouvert un doigt, ça saignait… Vous trouverez pas plus grande niaiserie que ce que j’écris là… Je vais laisser sécher la plaie… Je dois réfléchir à ce que je vous écris, toujours question de mon senti, une autre sorte de blessure que la brûlure… Je veux pas vous raconter de mensonge je tiens à une écriture vrai… C’est toujours un bel après-midi ensoleillé, je cherche à faire une métaphore à l’époque je mélangeais ça avec le lapsus que je faisais souvent dans mon ivresse… Je gagne un peu tous les jours en restant sobre… Je veux pas me cacher derrière une écriture remplie de défaut, ni m’excusez parce que je n’ai jamais vraiment étudié… Parfois j’ai mal aux mots trop encarcanné, à vouloir être simple je suis compliqué… Je sais pas pourquoi je suis ému quand je pense à la France…  Je veux juste écrire à partir de ce que je suis sans trop y mettre d’emphase… Je vous parlais je crois de l’écriture crû… C’est un peu ça bien que parfois c’est le travail qui gagne… Je suis gauche j’ai pas la patte… Voilà! Y’a longtemps que je m’étais pas auto-dénigré comme ça… J’arrête si j’étais une grande plume ça se saurais, je sais pas comment conjuguer le plus-que-parfait… Je trouve plus je trouve pas n’hésitez pas à commenter la vidéo du début… Cet après-midi avec le vieil ami on a parlé voyage, c’était bien… On est allé manger au chic Miami rue Sherbrooke… Un décor kitch… Voilà! Ce sont les derniers mots qui arrivent en tout cas on pourras pas dire que j’ai pas écris… La blessure du senti me fait moins mal quand j’ai presque finis pour le moment. Les phrases sont pas très belles, je me précipite dedans comme si il n’y avait qu’elles… Cette écriture c’est presque une agonie, la mort des mots. Je termine en essayant de conclure de belle façon. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Encore quelques mots puisque l’épilogue n’arrive pas. À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!

Bernard

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Je suis pas très inspiré cette nuit. Vic Vogel est décédé, je me rappelle l’avoir croisé sur Saint-Denis on avait un peu discuté c’était y’a longtemps… Faut se rendre à l’évidence nos ainés décèdent après ce seras notre tour… J’aurai réussis à écrire trois ou quatre petits mots… Ai mangé quelques biscuits, j’aimerais entendre ce matin l’entrevue que j’ai donné à l’émission Masbourian à Radio-Canada… Je referai pas ma vie, c’est difficile de garder ses distances sur le blog… Je l’ai déjà tout écris ma vie, me réinventer c’est une difficulté… Je me fouille l’âme le senti, hier j’ai discuté voyage avec le camarade, il préférerais la Thaïlande au Vietnam son gars y vie, mais avant il veut aller voir sa fille sur la côte ouest américaine, ça fait des mois sinon des années qu’il m’en parle il part jamais… C’est la matinée cette nuit j’ai dormis, je crois être un peu dépressif… J’essaye encore une fois de vous écrire quelque mots. Je crois que plusieurs d’entre vous en ont assez de me lire… Je m’en veux de pas avoir écrit cette nuit, je sais pas à quoi je veux en venir avec ces écritures, je crois que j’ai raté l’entrevue que j’ai donné à Radio-Canada… L’ami va passer me chercher, on va se rendre à une réunion… Je trouve pas, je trouve plus, y’a pas de formule magique je suis dans un creux… Ce matin je me rappelait que je faisais mon lit tous les matins depuis plus de vingt-cinq ans… Des bêtises! J’écris que des bêtises! Ce matin y’a un parfum d’orange… J’aime bien les hôtels avec le petit déjeuner compris… J’ai terminé mon café du matin, je vais acheter un litre de lait, je crois que je vais réussir à écrire quelque chose, dehors on entend le marteau piqueur… J’en ai trop demandé j’ai perdus plusieurs lecteurs lectrices…  Les gens ont pas que ça à faire lire ma « prosodie »… J’espère que l’ami historien de l’art est encore parmi mes lecteurs… Quand même ma lectrice privilégié est toujours là, j’apprécie… Je me souviens quand j’étais dans la vingtaine je voulais être cool pendant que d’autre travaillait à se fabriquer un avenir, je trainais dehors sans trop savoir quoi faire parfois on essayait de faire de la musique mais j’ai pas appris… Parfois j’étais dans un état qu’on pourrais appeler de « béatitude » confortable… Je me souviens plus vous avoir raconté mes balades à vélo sur la montée Masson jusqu’à la rue Sainte-Marie à Mascouche pour aller vers l’est jusqu’à la petite Mascouche et revenir en roulant solide jusqu’à Terrebonne, j’aimais tellement ça… Le sport j’ai abandonné ça à cause de la maladie, c’est malheureux j’ai jamais pu reprendre… Je suis presque rendu à la chute, je vais essayer de terminer avec quelque chose de correct… J’ai de la peine ce matin mais comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Encore quelque mots, à la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!

Bernard

lundi 16 septembre 2019

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Après-midi calme, j’attends des nouvelles de mes lecteurs de Gatineau en Provence… J’essais d’écrire quelque chose d’intéressant à partir de mon senti… Écrire y’a quelques temps de ça c’était l’apanage du médecin, je crois qu’ils entendaient tellement d’histoires malheureuses fallait bien qu’ils les ventile quelque part… Le médecin et le curé c’est deux hommes-là ont longtemps avisé le commun… Je pense aussi aux sœurs aux religieuses qui gardaient les malades. Gamelin c’était là qu’on gardait les différents, de nos jours la plupart sont laissés à eux même et encore on ose pas s’avouer avoir une maladie mentale… Vous connaissez l’histoire, j’ai une difficulté c’est quand on dit qu’un adulte est abandonné. J’essais de voir la maladie mentale autrement que par mon prisme à moi. Y’a tout ceux qui prenaient des moyens illicites pour devenir riche, tout ceux qui comme on dis se ramassaient dans des endroits où ils n’avaient pas d’affaire… Tavernier ça gardais son monde tranquille, quelques bières la paix rien de trop difficile… Pourtant pour moi la taverne est devenu difficile, trop d’alcool c’était un départ de schizophrénie, trompez vous pas c’est pas un dédoublement de personnalité ce sont les hallucinations dans la lourdeur du quotidien… La semaine passé à l’institut un pair qui venait d’éteindre sa cigarette m’a demandé si je rendais visite à quelqu’un où si j’étais un malade, j’ai pas su lui répondre autre chose que j’étais pas hospitalisé… Parfois je me questionne sur la déficience intellectuelle le rôle qu’elle joue dans la maladie mentale… Je sais pourquoi j’ai pris ce chemin des soins, j’avais des mauvaises pensées, des idées déraisonnées, mon senti était déséquilibrés… C’est rien de trop beau à raconter, le psychiatre me disait de me présenter à l’hôpital si ça n’allait pas… Y’avait aussi cette jolie femme qui me faisait remplir des questionnaires de l’hôpital Pinel, heureusement j’y ai jamais été enfermé… Tout à coup j’ai de la peine je raconte toujours la même histoire, je peux pas réinventer ma vie… Je fuyais, je ne sais où, j’arrivais jamais dans un endroit où j’avais la paix. J’étais brisé je savais pas où me poser…  Maintenant je suis heureux de partir mais aussi de revenir, dans mon milieu avec mes pairs… J’essais de répondre à la question de Facebook à quoi je pense? Je sais pas si ça va apparaitre chez vous. Ça me fait mal cet après-midi, je réalise pas que j’ai soixante trois ans… Ce que je vous ai écris c’est mon senti, mon parcours de sensible qui essaye de mieux vivre, c’est souvent la même chose… Je sais pas ce qu’est devenu mon dossier psychiatrique… C’est pas le genre de littérature que je veux lire, je pleurais dans le bureau du psy, semble qu’il me comprenait. J’aurai pleuré longtemps… Voilà! Je termine avec une chute que je voudrais différente. Quelques mots encore pour vous donner à lire. Ça y est je vous ai encore raconté, merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!

Bernard

dimanche 15 septembre 2019

Au présent


Bonsoir! Bonjour! C’est presque lundi, une autre semaine qui commence encore et toujours le boulot quoi que j’ai affaire à plusieurs retraités. Je crois que vous n’aimez pas quand je donne mon opinion sur des sujets controversés pourtant… Cette nuit je vais vous mentionner une exposition qui avait lieu du deux mars au quatorze avril à la maison de la culture Mercier, ça s’intitule d’Entrée de jeu une œuvre de José Luis Torres un artiste qui vit et travaille au Québec depuis deux mille trois, il a un baccalauréat en art visuel, une maitrise en sculpture et une formation en architecture. Y’a trois mots qui peuvent définir l’œuvre, couleur, humour, interaction on peut aussi parler d’une utilisation  iconoclaste de matériaux recyclés. Une interrogation sur le rapport à l’objet, un archipel de formes, une fugue, cascade d’objets en équilibre et une cabane réinventée. L’artiste cherche à stimuler le rapport établi entre le lieu d’accueil, l’œuvre et l’individu qui interagit. C’est une pratique essentiellement motivés par des détournements de sens, le spectateur invités à regarder à explorer l’œuvre physiquement. Je me suis beaucoup amusé… Malgré tout ce que je peux en dire de l’art j’aime ça, je trouve souvent de l’intelligence dans les œuvres. Y’a des peintures des sculptures plus pensées que l’art crû mais qui m’intéressent, on y trouve parfois un soupçon de pratique enfantine, on peut dire naïve je crois… Lundi, je sais pas si l’entrevue que j’ai donné vendredi va être diffusé ce matin, je vais écouter l’émission, j’ai pas beaucoup parlé… Cette nuit je suis bien réveillé je m’étais couché tôt, mon senti est tranquille… Je sais pas pourquoi viens toujours un moment où je veux m’auto-dénigrer où je perds la conscience de ma « valeur » une sorte d’orgueil à l’envers… J’essais le plus souvent de vous laisser juge… En ce moment j’aimerais écrire de la poésie…

Comme un sauvage

Sans lumière

Il ravage

Sans la poussière

Le millage

La lumière

La plage

Peu fière…

C’est pas fort, des vers de mirliton… Je sais pas si la machine on peut appeler ça de l’art… Y’a toujours le désir c’est pas suffisant… Je sais pas ce que j’attends de cette écriture, rien c’est simplement parce que j’aime ça… Ça me permet aussi de survivre de chasser les pensées mortifères. J’aime quand même beaucoup regarder les caractères qui apparaissent dans l’écran pour moi c’est un peu comme de l’animation… Je suis loin de la calligraphie des moines… Parfois j’oublie qu’écrire ça exige une réponse, je sais que vous êtes là et j’aime ça… Encore une fois… À chaque mot je réussis un peu, j’écris et je dis en oubliant la poésie… Je vais essayer de terminer d’une façon différente d’amener le désir vers vous, une finale enchanteresse même si c’est pas très beau,  ce seras ma nuit, ma nuit blanche… Y’a des adverbes que je veux plus utiliser. Merci d’avoir lu jusque-là!!! Je termine, j’essaye de faire différent… À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!!

Bernard


Au présent


Bonjour! Bonsoir! Une odeur de parfum… J’ai rien à écrire mais je dois continuer… Aujourd’hui c’est le grand prix cyclistes de Montréal… Je pense à cette artiste amérindienne qui dis s’inscrire dans la lignée du Refus Global, il est un peu tard… Ça fait longtemps déjà, l’art ne parle plus ce langage selon moi, il est déjà rendue ailleurs et laisse ce discours derrière… Je pense aux artistes qui ont étudié versus ceux de l’art crû… On ne met plus l’institution en doute on travaille avec elle… Le défi est là celui d’encore une fois révolutionner l’école… En ce moment ça fait de belles pages pour le journal c’est bien accepter c’est admis... Je comprends que les autochtones se doivent de refuser le monde des blancs qui ont souillés leurs terre mais la révolte à partir des institutions que plus personnes ne questionne?!!! Je suis probablement pas assez savant pour articuler un discours, j’ai pas appris, l’artiste a appris pourtant elle mord la main qui l’a nourris, on se demande d’où elle vient avec sa vision bourgeoise de l’art… Mon discours est mal articulé c’est moi qui est abrutis de n’avoir pas étudié encore une fois quand on expose dans de grandes galeries il est où le refus… Je préfère me tenir du côté du Douanier Rousseau et d’Arthur Villeneuve de Dubuffet aussi… Littéralement c’est difficile ces gens là peignaient ils n’élaboraient pas un discours… Oui crû! C’est quand même difficile d’écrire de cette façon, moi je me contente d’écrire vous en ferez ce que vous voudrez, parfois ça m’apaise d’écrire, crû mais pas cruel… J’écris et je pense aux illusions perdues d’Honoré de Balzac… Ça décris bien un certain monde des arts, de la littérature… Je constate qu’à ne vouloir blesser personne on écris rien… Pauvre fou la dame à bien le droit d’articuler un discours de créer une œuvre pourtant… Je pense à l’ami historien de l’art qui dois certainement me trouver ridicule, pourtant je lis j’essais de comprendre j’y arrive pas, je devrais m’en tenir à l’art africain, le monde moderne j’y comprends rien, quand on se réclame du refus global c’est comme si Andy Warhol n’avait pas existé… Je sais pas, me semble qu’il y avait pas que du refus dans la façon de réinventer le langage de Claude Gauvreau, une langue qui coupait qui faisait mal, c’était un être immense… Je pense au pays si petit plutôt que de s’en prendre encore aux curés qui ne font plus rien faudrait peut-être s’en prendre aux fonctionnaires pour qu’ils nous aident à mieux vivre… Le refus global de notre artiste amérindienne est je crois celui des pensionnats autochtones de ces enfants déracinés et abusés… Ce sont mes frères et mes sœurs, j’écris ça parce que la maladie m’a longtemps institutionnalisés… De toute façon y’a pas d’art blanc comme neige, on nous a tous salis. Je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! Quelques mots encore pour terminer dans une chute de blessés. À la prochaine j’espère!!!

Bernard

Au présent


Bonsoir! Bonjour! J’ai regardé le match de football, l’équipe locale a perdue de peu… C’est dimanche, je me souviens du temps où on était pas câblé chez le patriarche, j’aurais bien aimé pour regarder Saturday Night live c’était une excellente émission de variété où parfois on pouvait voir différent groupes de rock mythique… Parfois la gang se ramassait au bar, Le Saint-François-Xavier, on s’amusait et rigolait en écoutant l’excellente musique du Disc-Jockey JF… Déjà à cette époque je m’enfonçais dans la schizophrénie je ne vivais plus… L’alcool me défaisait… C’était y’a longtemps, j’étais encore jeune je ne dormais qu’imbibé d’alcool… Plus tard pendant mon séjour dans La Petite Patrie, Villeray et Rosemont je fréquentais un bar où on m’avait dis qu’il y avait de gentilles universitaires, j’avais mordu à l’hameçon du Hazard y’a toujours eu plus de gars que de filles, c’était un bar excentré par rapport au Quartier Latin y’a des soirées où les gens attendait en file pour y entrer… La soirée commençait à vingt-deux-heure je ne dormais jamais… Je suis encore étonné du peu de vocabulaire dont j’avais besoin, une Belle Gueule! Un scotch double pas de glace! C’était la formule magique y’a plus de trente ans… J’ai rêvé avec, mis en scène, les autochtones de l’époque c’était digne de la campagne électorale d’aujourd’hui… Je me rappelle plus ce qu’il y avait dans ce cauchemar qui m’a réveillé c’est probablement quelque chose qui venait toucher mon senti… Il fait frais j’ai arrêté le climatiseur c’est mieux comme ça… Pris une douche me suis parfumé, je pense à mes lecteurs de Gatineau en Provence c’est magnifique.,. Parfois je regarde des émissions voyage à la télévision ça me donne vraiment envie de partir… Hier j’ai regardé les éditions Marvel de bandes dessinées, je vais y retourner et en acheter une… Les dessins et les couleurs sont extraordinaire… Je manque de qualificatif, on classe cette littérature parmis celle des enfants mais je vois pas lequel pourrais se la payer à ce prix là… Je vais attendre le mois prochain en espérant que cette idée fixe me quitte… Je veux faire des économies pour partir, mon amie agent de voyage est supposé me revenir avec le voyage au Vietnam… Je sais pas, je sais plus, peut-être acheter un guide de voyage sur le Vietnam… Le train avec fauteuil entre Hanoi et Saigon à l’air pas mal… J’avais changé d’idée mais j’y reviens, c’est quand même pas une bonne idée de partir là-bas seul… Parfois je réussis à écrire des textes plus fort que celui-là… Cette nuit c’est pas tellement intense… J’ai vu que j’étais pas le seul à repasser par Henri David Thoreau… Une littérature faite du calme de Cape Cod l’hiver… J’en suis presque à la chute, je pense encore au voyage… Je veux pas coucher dans des dortoirs… Lentement je termine, dehors quelqu’un chante pour se donner du courage… Voilà c’est l’épilogue la conclusion, merci d’avoir lu jusque-là!!! Comme toujours je souhaite vous revoir. À la prochaine j’espère!!!

Bernard