Bonsoir! Bonjour! Je remercie tout ce beau
monde pour leurs commentaires. Je crois dans la lecture quand même vous ne
liriez que ce que j’écris… J’essais de me trouver une thématique. J’aimais bien
jouer dans la cour de la maison rue des érables à Dolbeau… J’essais de penser à
ce que je raconterais au regretté patriarche si il était vivant, pas
grand-chose il tournait toujours autour du pot sans rien dire, impossible
d’avoir un échange c’était pas le genre à parler des vrai choses… Même à ses
derniers jours il ne disait rien… Si je me fie aux statistiques je devrais
vivre à peu près aussi longtemps que lui… Ce soir c’est le Bal des Lumières
pour ceux qui veulent financer la recherche en santé mentale…Y’a quelques
années je représentais les patients partenaires à cette fête on m’avait loué un
tuxedo… J’étais monté sur la scène où on m’avait présenté, j’étais de glace
j’avais pas dit un mot, parfois je crois que la santé mentale c’est pas la même
chose au Québec qu’au Canada Anglais... Je sais pas si le délire
schizophrénique est le même pour un francophone qu’un anglophone… J’ai pris une
douche me suis parfumé ça fait du bien, la blessure que j’ai dans la main me
fait penser à du bacon… Chose certaine je suis prolifique, j’essais d’être sur
différent média au risque qu’on me dise que je suis partout… Je mange des chips
crème sure et oignon, ils sont très bon… Me suis ouvert une cannette de
Sanpellegrino à l’orange ça fait du bien, c’est le genre de boisson qui me
rappelle le voyage… Ce matin je vais écouter Radio-Canada Première l’émission
de Masbourian je veux savoir si on va m’y entendre… J’avance lentement dans ce
texte, la super maman est bien gentille de m’encourager… Je me souviens avoir
dit au regretté patriarche que le psychiatre me donnerais jamais mille dollars
pour me rétablir… Le patriarche avait pas dit un mot je sais pas comment
j’aurais pu faire parler cet homme… Ça a été long avant que j’apprenne à
pensés… Dehors cette nuit c’est tranquille, je me souviens jamais du prénom de
la nouvelle intervenante… Je l’ai c’est Sabrina elle est très sympathique…
J’essais de m’ouvrir l’âme et le cœur pour vous dire comment parfois c’est
difficile le senti l’émotion… Quand même ça va beaucoup mieux, malade à vingt
ans c’est jamais drôle… Je pense au confort du train Italien entre Milan et
Trieste y’a un de mes lecteurs qui s’en souviens certainement à l’époque il
était directeur-adjoint… J’ai pas sommeil je vais pouvoir terminer cette nuit…
Quelques mots encore pour demander de la sérénité à ma force supérieure, une
sorte de prière « home made » je vous l’écris pas je veux que ça
reste une pensée intime… C’est presque la chute, quelques mots encore j’espère
que ça vous auras fait plaisir mais oui l’épilogue comme toujours je vous
remercie d’avoir lu jusque-là!!! Quelques mots encore, à la prochaine je l’espère!!!
Au revoir!!! Ciao!!!
Bonjour!
Bonsoir! Je démarre avec ça https://www.facebook.com/CapsuleMyosis/videos/386431242070949/
vous me direz ce que vous en pensez… Je crois que mes post s’affichent plus…
Quand je vous sens absent c’est pas bon pour ma santé mentale… À la limite je
comprends que vous en ayez assez de me lire. Mes derniers écrits remontent à ce
matin… La caissière et l’emballeur du supermarché étaient sympathiques. Deux
dames agées discutaient dans l’allée des fruits et légumes, j’ai tout de suite
pensés à la matriarche, faut leur faire attention… J’étais pas à la radio ce
matin j’écouterai demain. J’écris trop, je me répète c’est difficile. Je
racontais que j’avais cessé de boire parce que j’étais tanné de manger des
volées. J’ai mis de l’alcool à friction sur la plaie que ma laissé la brûlure,
c’est très douloureux… Quand je me blesse comme ça c’est comme si je l’avais
mérité, une sorte de punition et en plus en tuant une mouche sur la fenêtre je
me suis ouvert un doigt, ça saignait… Vous trouverez pas plus grande niaiserie
que ce que j’écris là… Je vais laisser sécher la plaie… Je dois réfléchir à ce
que je vous écris, toujours question de mon senti, une autre sorte de blessure
que la brûlure… Je veux pas vous raconter de mensonge je tiens à une écriture
vrai… C’est toujours un bel après-midi ensoleillé, je cherche à faire une
métaphore à l’époque je mélangeais ça avec le lapsus que je faisais souvent
dans mon ivresse… Je gagne un peu tous les jours en restant sobre… Je veux pas
me cacher derrière une écriture remplie de défaut, ni m’excusez parce que je n’ai
jamais vraiment étudié… Parfois j’ai mal aux mots trop encarcanné, à vouloir
être simple je suis compliqué… Je sais pas pourquoi je suis ému quand je pense
à la France…Je veux juste écrire à
partir de ce que je suis sans trop y mettre d’emphase… Je vous parlais je crois
de l’écriture crû… C’est un peu ça bien que parfois c’est le travail qui gagne…
Je suis gauche j’ai pas la patte… Voilà! Y’a longtemps que je m’étais pas auto-dénigré
comme ça… J’arrête si j’étais une grande plume ça se saurais, je sais pas
comment conjuguer le plus-que-parfait… Je trouve plus je trouve pas n’hésitez
pas à commenter la vidéo du début… Cet après-midi avec le vieil ami on a parlé
voyage, c’était bien… On est allé manger au chic Miami rue Sherbrooke… Un décor
kitch… Voilà! Ce sont les derniers mots qui arrivent en tout cas on pourras pas
dire que j’ai pas écris… La blessure du senti me fait moins mal quand j’ai presque
finis pour le moment. Les phrases sont pas très belles, je me précipite dedans
comme si il n’y avait qu’elles… Cette écriture c’est presque une agonie, la
mort des mots. Je termine en essayant de conclure de belle façon. Comme
toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Encore quelques mots puisque
l’épilogue n’arrive pas. À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!
Bonsoir! Bonjour! Je suis pas très inspiré
cette nuit. Vic Vogel est décédé, je me rappelle l’avoir croisé sur Saint-Denis
on avait un peu discuté c’était y’a longtemps… Faut se rendre à l’évidence nos
ainés décèdent après ce seras notre tour… J’aurai réussis à écrire trois ou
quatre petits mots… Ai mangé quelques biscuits, j’aimerais entendre ce matin l’entrevue
que j’ai donné à l’émission Masbourian à Radio-Canada… Je referai pas ma vie, c’est
difficile de garder ses distances sur le blog… Je l’ai déjà tout écris ma vie,
me réinventer c’est une difficulté… Je me fouille l’âme le senti, hier j’ai
discuté voyage avec le camarade, il préférerais la Thaïlande au Vietnam son
gars y vie, mais avant il veut aller voir sa fille sur la côte ouest
américaine, ça fait des mois sinon des années qu’il m’en parle il part jamais… C’est
la matinée cette nuit j’ai dormis, je crois être un peu dépressif… J’essaye
encore une fois de vous écrire quelque mots. Je crois que plusieurs d’entre
vous en ont assez de me lire… Je m’en veux de pas avoir écrit cette nuit, je
sais pas à quoi je veux en venir avec ces écritures, je crois que j’ai raté l’entrevue
que j’ai donné à Radio-Canada… L’ami va passer me chercher, on va se rendre à
une réunion… Je trouve pas, je trouve plus, y’a pas de formule magique je suis
dans un creux… Ce matin je me rappelait que je faisais mon lit tous les matins
depuis plus de vingt-cinq ans… Des bêtises! J’écris que des bêtises! Ce matin y’a
un parfum d’orange… J’aime bien les hôtels avec le petit déjeuner compris… J’ai
terminé mon café du matin, je vais acheter un litre de lait, je crois que je
vais réussir à écrire quelque chose, dehors on entend le marteau piqueur… J’en
ai trop demandé j’ai perdus plusieurs lecteurs lectrices…Les gens ont pas que ça à faire lire ma « prosodie »…
J’espère que l’ami historien de l’art est encore parmi mes lecteurs… Quand même
ma lectrice privilégié est toujours là, j’apprécie… Je me souviens quand j’étais
dans la vingtaine je voulais être cool pendant que d’autre travaillait à se
fabriquer un avenir, je trainais dehors sans trop savoir quoi faire parfois on
essayait de faire de la musique mais j’ai pas appris… Parfois j’étais dans un
état qu’on pourrais appeler de « béatitude » confortable… Je me
souviens plus vous avoir raconté mes balades à vélo sur la montée Masson jusqu’à
la rue Sainte-Marie à Mascouche pour aller vers l’est jusqu’à la petite
Mascouche et revenir en roulant solide jusqu’à Terrebonne, j’aimais tellement
ça… Le sport j’ai abandonné ça à cause de la maladie, c’est malheureux j’ai
jamais pu reprendre… Je suis presque rendu à la chute, je vais essayer de
terminer avec quelque chose de correct… J’ai de la peine ce matin mais comme
toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Encore quelque mots, à la
prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!
Bonjour!
Bonsoir! Après-midi calme, j’attends des nouvelles de mes lecteurs de Gatineau
en Provence… J’essais d’écrire quelque chose d’intéressant à partir de mon
senti… Écrire y’a quelques temps de ça c’était l’apanage du médecin, je crois
qu’ils entendaient tellement d’histoires malheureuses fallait bien qu’ils les
ventile quelque part… Le médecin et le curé c’est deux hommes-là ont longtemps
avisé le commun… Je pense aussi aux sœurs aux religieuses qui gardaient les
malades. Gamelin c’était là qu’on gardait les différents, de nos jours la
plupart sont laissés à eux même et encore on ose pas s’avouer avoir une maladie
mentale… Vous connaissez l’histoire, j’ai une difficulté c’est quand on dit qu’un
adulte est abandonné. J’essais de voir la maladie mentale autrement que par mon
prisme à moi. Y’a tout ceux qui prenaient des moyens illicites pour devenir
riche, tout ceux qui comme on dis se ramassaient dans des endroits où ils n’avaient
pas d’affaire… Tavernier ça gardais son monde tranquille, quelques bières la
paix rien de trop difficile… Pourtant pour moi la taverne est devenu difficile,
trop d’alcool c’était un départ de schizophrénie, trompez vous pas c’est pas un
dédoublement de personnalité ce sont les hallucinations dans la lourdeur du quotidien…
La semaine passé à l’institut un pair qui venait d’éteindre sa cigarette m’a
demandé si je rendais visite à quelqu’un où si j’étais un malade, j’ai pas su
lui répondre autre chose que j’étais pas hospitalisé… Parfois je me questionne
sur la déficience intellectuelle le rôle qu’elle joue dans la maladie mentale…
Je sais pourquoi j’ai pris ce chemin des soins, j’avais des mauvaises pensées,
des idées déraisonnées, mon senti était déséquilibrés… C’est rien de trop beau
à raconter, le psychiatre me disait de me présenter à l’hôpital si ça n’allait
pas… Y’avait aussi cette jolie femme qui me faisait remplir des questionnaires
de l’hôpital Pinel, heureusement j’y ai jamais été enfermé… Tout à coup j’ai de
la peine je raconte toujours la même histoire, je peux pas réinventer ma vie…
Je fuyais, je ne sais où, j’arrivais jamais dans un endroit où j’avais la paix.
J’étais brisé je savais pas où me poser… Maintenant je suis heureux de partir mais
aussi de revenir, dans mon milieu avec mes pairs… J’essais de répondre à la
question de Facebook à quoi je pense? Je sais pas si ça va apparaitre chez
vous. Ça me fait mal cet après-midi, je réalise pas que j’ai soixante trois ans…
Ce que je vous ai écris c’est mon senti, mon parcours de sensible qui essaye de
mieux vivre, c’est souvent la même chose… Je sais pas ce qu’est devenu mon
dossier psychiatrique… C’est pas le genre de littérature que je veux lire, je
pleurais dans le bureau du psy, semble qu’il me comprenait. J’aurai pleuré
longtemps… Voilà! Je termine avec une chute que je voudrais différente.
Quelques mots encore pour vous donner à lire. Ça y est je vous ai encore
raconté, merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au
revoir!!! Ciao!!!
Bonsoir!
Bonjour! C’est presque lundi, une autre semaine qui commence encore et toujours
le boulot quoi que j’ai affaire à plusieurs retraités. Je crois que vous n’aimez
pas quand je donne mon opinion sur des sujets controversés pourtant… Cette nuit
je vais vous mentionner une exposition qui avait lieu du deux mars au quatorze
avril à la maison de la culture Mercier, ça s’intitule d’Entrée de jeu une œuvre
de José Luis Torres un artiste qui vit et travaille au Québec depuis deux mille
trois, il a un baccalauréat en art visuel, une maitrise en sculpture et une
formation en architecture. Y’a trois mots qui peuvent définir l’œuvre, couleur,
humour, interaction on peut aussi parler d’une utilisationiconoclaste de matériaux recyclés. Une
interrogation sur le rapport à l’objet, un archipel de formes, une fugue,
cascade d’objets en équilibre et une cabane réinventée. L’artiste cherche à
stimuler le rapport établi entre le lieu d’accueil, l’œuvre et l’individu qui
interagit. C’est une pratique essentiellement motivés par des détournements de
sens, le spectateur invités à regarder à explorer l’œuvre physiquement. Je me
suis beaucoup amusé… Malgré tout ce que je peux en dire de l’art j’aime ça, je
trouve souvent de l’intelligence dans les œuvres. Y’a des peintures des
sculptures plus pensées que l’art crû mais qui m’intéressent, on y trouve
parfois un soupçon de pratique enfantine, on peut dire naïve je crois… Lundi,
je sais pas si l’entrevue que j’ai donné vendredi va être diffusé ce matin, je
vais écouter l’émission, j’ai pas beaucoup parlé… Cette nuit je suis bien
réveillé je m’étais couché tôt, mon senti est tranquille… Je sais pas pourquoi
viens toujours un moment où je veux m’auto-dénigrer où je perds la conscience
de ma « valeur » une sorte d’orgueil à l’envers… J’essais le plus
souvent de vous laisser juge… En ce moment j’aimerais écrire de la poésie…
Comme un
sauvage
Sans lumière
Il ravage
Sans la
poussière
Le millage
La lumière
La plage
Peu fière…
C’est pas
fort, des vers de mirliton… Je sais pas si la machine on peut appeler ça de l’art…
Y’a toujours le désir c’est pas suffisant… Je sais pas ce que j’attends de
cette écriture, rien c’est simplement parce que j’aime ça… Ça me permet aussi
de survivre de chasser les pensées mortifères. J’aime quand même beaucoup
regarder les caractères qui apparaissent dans l’écran pour moi c’est un peu
comme de l’animation… Je suis loin de la calligraphie des moines… Parfois j’oublie
qu’écrire ça exige une réponse, je sais que vous êtes là et j’aime ça… Encore
une fois… À chaque mot je réussis un peu, j’écris et je dis en oubliant la
poésie… Je vais essayer de terminer d’une façon différente d’amener le désir
vers vous, une finale enchanteresse même si c’est pas très beau,ce seras ma nuit, ma nuit blanche… Y’a des
adverbes que je veux plus utiliser. Merci d’avoir lu jusque-là!!! Je termine, j’essaye
de faire différent… À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!
Ciao!!!
Bonjour!
Bonsoir! Une odeur de parfum… J’ai rien à écrire mais je dois continuer…
Aujourd’hui c’est le grand prix cyclistes de Montréal… Je pense à cette artiste
amérindienne qui dis s’inscrire dans la lignée du Refus Global, il est un peu
tard… Ça fait longtemps déjà, l’art ne parle plus ce langage selon moi, il est
déjà rendue ailleurs et laisse ce discours derrière… Je pense aux artistes qui
ont étudié versus ceux de l’art crû… On ne met plus l’institution en doute on
travaille avec elle… Le défi est là celui d’encore une fois révolutionner l’école…
En ce moment ça fait de belles pages pour le journal c’est bien accepter c’est
admis... Je comprends que les autochtones se doivent de refuser le monde des
blancs qui ont souillés leurs terre mais la révolte à partir des institutions
que plus personnes ne questionne?!!! Je suis probablement pas assez savant pour
articuler un discours, j’ai pas appris, l’artiste a appris pourtant elle mord
la main qui l’a nourris, on se demande d’où elle vient avec sa vision
bourgeoise de l’art… Mon discours est mal articulé c’est moi qui est abrutis de
n’avoir pas étudié encore une fois quand on expose dans de grandes galeries il
est où le refus… Je préfère me tenir du côté du Douanier Rousseau et d’Arthur
Villeneuve de Dubuffet aussi… Littéralement c’est difficile ces gens là
peignaient ils n’élaboraient pas un discours… Oui crû! C’est quand même
difficile d’écrire de cette façon, moi je me contente d’écrire vous en ferez ce
que vous voudrez, parfois ça m’apaise d’écrire, crû mais pas cruel… J’écris et
je pense aux illusions perdues d’Honoré de Balzac… Ça décris bien un certain
monde des arts, de la littérature… Je constate qu’à ne vouloir blesser personne
on écris rien… Pauvre fou la dame à bien le droit d’articuler un discours de
créer une œuvre pourtant… Je pense à l’ami historien de l’art qui dois
certainement me trouver ridicule, pourtant je lis j’essais de comprendre j’y
arrive pas, je devrais m’en tenir à l’art africain, le monde moderne j’y
comprends rien, quand on se réclame du refus global c’est comme si Andy Warhol
n’avait pas existé… Je sais pas, me semble qu’il y avait pas que du refus dans
la façon de réinventer le langage de Claude Gauvreau, une langue qui coupait
qui faisait mal, c’était un être immense… Je pense au pays si petit plutôt que
de s’en prendre encore aux curés qui ne font plus rien faudrait peut-être s’en
prendre aux fonctionnaires pour qu’ils nous aident à mieux vivre… Le refus
global de notre artiste amérindienne est je crois celui des pensionnats
autochtones de ces enfants déracinés et abusés… Ce sont mes frères et mes sœurs,
j’écris ça parce que la maladie m’a longtemps institutionnalisés… De toute
façon y’a pas d’art blanc comme neige, on nous a tous salis. Je termine en vous
remerciant d’avoir lu jusque-là!!! Quelques mots encore pour terminer dans une
chute de blessés. À la prochaine j’espère!!!
Bonsoir!
Bonjour! J’ai regardé le match de football, l’équipe locale a perdue de peu… C’est
dimanche, je me souviens du temps où on était pas câblé chez le patriarche, j’aurais
bien aimé pour regarder Saturday Night live c’était une excellente émission de
variété où parfois on pouvait voir différent groupes de rock mythique… Parfois
la gang se ramassait au bar, Le Saint-François-Xavier, on s’amusait et rigolait
en écoutant l’excellente musique du Disc-Jockey JF… Déjà à cette époque je m’enfonçais
dans la schizophrénie je ne vivais plus… L’alcool me défaisait… C’était y’a
longtemps, j’étais encore jeune je ne dormais qu’imbibé d’alcool… Plus tard
pendant mon séjour dans La Petite Patrie, Villeray et Rosemont je fréquentais
un bar où on m’avait dis qu’il y avait de gentilles universitaires, j’avais
mordu à l’hameçon du Hazard y’a toujours eu plus de gars que de filles, c’était
un bar excentré par rapport au Quartier Latin y’a des soirées où les gens
attendait en file pour y entrer… La soirée commençait à vingt-deux-heure je ne
dormais jamais… Je suis encore étonné du peu de vocabulaire dont j’avais
besoin, une Belle Gueule! Un scotch double pas de glace! C’était la formule
magique y’a plus de trente ans… J’ai rêvé avec, mis en scène, les autochtones
de l’époque c’était digne de la campagne électorale d’aujourd’hui… Je me
rappelle plus ce qu’il y avait dans ce cauchemar qui m’a réveillé c’est probablement
quelque chose qui venait toucher mon senti… Il fait frais j’ai arrêté le
climatiseur c’est mieux comme ça… Pris une douche me suis parfumé, je pense à
mes lecteurs de Gatineau en Provence c’est magnifique.,. Parfois je regarde des
émissions voyage à la télévision ça me donne vraiment envie de partir… Hier j’ai
regardé les éditions Marvel de bandes dessinées, je vais y retourner et en
acheter une… Les dessins et les couleurs sont extraordinaire… Je manque de qualificatif,
on classe cette littérature parmis celle des enfants mais je vois pas lequel
pourrais se la payer à ce prix là… Je vais attendre le mois prochain en espérant
que cette idée fixe me quitte… Je veux faire des économies pour partir, mon
amie agent de voyage est supposé me revenir avec le voyage au Vietnam… Je sais
pas, je sais plus, peut-être acheter un guide de voyage sur le Vietnam… Le
train avec fauteuil entre Hanoi et Saigon à l’air pas mal… J’avais changé d’idée
mais j’y reviens, c’est quand même pas une bonne idée de partir là-bas seul…
Parfois je réussis à écrire des textes plus fort que celui-là… Cette nuit c’est
pas tellement intense… J’ai vu que j’étais pas le seul à repasser par Henri
David Thoreau… Une littérature faite du calme de Cape Cod l’hiver… J’en suis
presque à la chute, je pense encore au voyage… Je veux pas coucher dans des dortoirs…
Lentement je termine, dehors quelqu’un chante pour se donner du courage… Voilà
c’est l’épilogue la conclusion, merci d’avoir lu jusque-là!!! Comme toujours je
souhaite vous revoir. À la prochaine j’espère!!!