Bonjour!
Bonsoir! Je sais pas comment vous écrire ça, je me sent bizarre ces jours ci,
surtout le matin… Pourtant j’ai pas à m’en vouloir, j’espère que j’ai pas
blessé l’ami historien de l’art… Cet après-midi je me tiens au frais, ça donne
dans l’insignifiance ce que j’écris… J’envie mes lecteurs qui s’en vont en
Provence cet automne moi je me contente de regarder la France à la télévision,
j’irai peut-être au printemps prochain. Ces jours ci j’entends surtout les
plaintes de ceux qui croient qu’il y a trop de touristes… Y’a même des îles
dans le pacifique qui limitent le nombre de touristes. Je sais qu’il y a des
voyageurs qui ne vont que là dans les destinations exotiques…Je sais pas
pourquoije suis triste une tristesse
étrange que j’arrive pas à décrire, je sais pas si juste le fait d’exister ça
peut blesser quelqu’un… Voilà toute ces bébelles c’est bien amusant mais il
faut en faire quelque chose qui se tiens…Je viens de laver la vaisselle et j’ai
tué une mouche c’est tout de même pas ça qui me rend triste… On en est qu’au
début août il va faire encore chaud… Je me répète je cherche une destination…
Je vous écris ça au son du climatiseur qui ronronne, parfois j’ai ce qu’ils
appellent des cravings, le goût de consommer mais je m’écoute pas ça va passer,
je sais que ça disparaitras jamais complètement… C’est encore du vieux stock
que je vous écris là… Je prends mon temps, je cherche la prosodie, la musique
des mots que j’ai perdus que je n’entends malheureusement plus, si j’avais su
si j’avais su je serais resté crû… Parfois j’en peu plus… Je crois qu’encore aujourd’hui je vais y
arriver, j’ai un nouveau voisin au-dessus, semble qu’il aime la musique je lui
ai juste dis de pas marcher trop fort… Je crois que les enfants commencent l’école
à la fin août , je reviens avec ce papier pour couvrir les livres, rouge et
bleu, que la matriarche devait acheter. Au début c’était pas trop difficile je
me fiait sur ma sœur qui avait un an de plus que moi… Je crois vous avoir déjà
écrit sur ces problèmes que j’avais avec les réglettes, je sais pas comment
mais c’est disparus. Je pense que je le sais pourquoi je suis triste, une autre
année de passé, je vieillis… Hé oui! Je prie!Souvenir de ce diner à la Havane à Cuba, ce gars enfantin qui avait ris
de mon prénom Bernard quand je m’étais présenté, parfois y’a des idiots… Bon!
On y est presque à la fin de celui-là aussi, je vous raconte, je vous raconte c’est
comme si j’avais jamais finis. Ça vient toujours de l’accueillant Goulag dans
la chaleur et le bitume, j’ai mangé une pomme me suis étouffé avec… C’est la
chute, l’épilogue comme toujours la même conclusion… Je vous remercie d’avoir
lu jusque-là!!! Quelques mots encore pour une finale essoufflée!!! À la
prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!
Bonsoir! Bonjour! Très heureux d’avoir reçu
tout ces vœux de bonne fête, je vois qu’il y a du monde qui me lisent… Comme je
racontaisà mon lecteur de Deux-Montagnes
j’ai pas trouvé moyen d’arrêter le temps mais j’essais de faire des choses qui
me font plaisir… Écrire malgré tout c’est ça qui me rend heureux… J’essais d’y
aller avec un senti véridique. On m’a pas voler mon enfance j’aimais bien jouer
aux cow-boys et aux indiens, fabriqué des arcs avec une corde tendue sur une
branche d’arbre recourbé, le plus étrange c’est que je réussissais à tirer des
flèches les gars avaient peur… Je me cachais dans une cabane à quelquespieds dans les airs parfois pour être plus
indiens on montait une tente mais quand la chaleur plombait dessus c’était
intenable… Ces endroits là où onjouais derrière la maison paternelle ça n’existe plus, c’était
des lotissements où on à fait des rues et bâtis des maisons quand même le
terrain de jeux était pas loin… Je crois que j’étais la première génération à
fréquenter l’école secondaireArmand
Corbeil sur les mêmes terrains un peu plus à l’ouest… Parfois en vrai petits
bums on entrait s’amuser dans les maisons en construction… C’était bien on
avait les parcs et les terrains vagues pour s’amuser… J’ai pris de l’âge
là-dedans suis partis assez vieux de la maison du patriarche, j’étais malade j’avais
tellement peur j’arrivais pas à quitter mais il le fallait coûte que coûte… Ça
fait plusieurs années tout ça y’a de l’eau qui a coulé sous les ponts… Parfois
c’étais comme dans le chef-d’œuvre du regretté André Melançon, La guerre
des tuques, on avait nos petites guerres fratricides entre bandes rivales…
Cette époque-là ce sont mes meilleurs souvenirs. J’ai grandis et ça s’est gâté
dans cette adolescence détesté. La folie avait commencé ça s’est gâté jusqu’à
me faire hospitaliser, j’ai perdus tout mon temps passant d’une job à l’autre
pour finalement devenir prestataire de l’aide sociale mais j’ai pas arrêté là
de me chercher une job, je suis quand même resté malheureux… J’ai commencé à
aller mieux quand j’ai fait remplir des papiers d’invalidité mon rétablissement
à commencer, maintenant je m’occupe de mes pairs je raconte mon histoire,
comment maintenant je conjugue avec la maladie… Parfois on me demande si je
rends visite à la matriarche sur la couronne nord, je réponds non j’ai trop de
mauvais souvenirs… Y’a un moment d’hiver où j’ai eu du plaisir je faisait du
ski de fond je vous l’ai surement déjà écris c’était quelques années avant que
la schizophrénie s’empare de moi… Bon! On approche de la chute, la couronne
nord a changé, je me souviens plus, à part le Vieux Terrebonne de quoi ça a l’air…
Je crois que c’est une banlieue comme les autres… Voilà! C’est presque terminé
j’ai qu’à vous écrire un épilogue, une conclusion malheureusement elle best pas
différente des autres. Merci d’avoir lu jusque-là!!! Lâchez pas là c’est pas
encore terminé. À la prochaine j’espère!!!
Bonjour! Bonsoir! Je vais commencer par vous
remercier de vos vœux de joyeux anniversaire. Vous êtes tous cher à mon cœur.
Je suis heureux de savoir que vous êtes tous là… J’essais de trouver quelque chose
de différent à vous écrire… Je peux vraiment pas dire que je suis seul… Mon
senti est en paix aujourd’hui soixante-trois ans et pas trop d’ennuis… J’essais
de chasser la répétition dans ce que j’écris… Je pense encore et toujours au
voyage… Je vais avoir un automne occupé avec mes activités santé-mentale,
parfois on préfère nous désigner comme patient partenaire plutôt que personne
en rétablissement. Voilà, j’écris aussi pour toi qui viens d’arriver sur ce
blog juste pour te faire savoir que c’est
possible de se rétablir… Je sais que pour certain le travail est une notion de
rétablissement mais moi je crois plus à l’implication sociale. J’essaye d’aider
sans me cacher en combattant la stigmatisation. Je veux battre l’ère du temps
criminelle et dédire l’affirmation de malade mental qui tue… Je veux écouter
sans blâmer et sortir des clichés, des stigmates, juste être une bonne
personne. C’est certain que hors du drame y’a pas grand-chose à dire, les gens
heureux n’ont pas d’histoire… Je trouve quand même important de vous écrire…
Surtout ne pas être victime, je cherche comment dire ce que font plusieurs que
c’est la faute de la maladie de la schizophrénie, agir en personne responsable
qui se rétablis… Puisque c’est mon anniversaire, je crois que la vie m’a donné
une bonne leçon y’a des choses que je ne ferai plus… C’est quand même un sujet
difficile faut se tenir éloigné de la psychose… Je pense aussi au délire
paranoïaqueà ce sentiment de complot,
se ramener en affirmant n’être pas si important que ça… Ne pas dénier la
maladie accepter les soins… Y’a plein de choses comme ça qu’il faut prendre en
compte, je vous l’ai surement raconté ailleurs… Je sais plusieurs d’entre vous
préfèrent l’évocation poétique où prosodique mais je cherche à être vrai, pas
dans la fumisterie… Là je pense à la peur à comment elle est présente chez
certaines personnes, c’est idiot mais le parano fait peur… Y’a la notion du « normal »
comment elle est pas déterminé quand on pose cette question c’est tu normal? Qu’est-ce
que ça veut dire? L’angoisse, l’anxiété sont parfois nécessaire je crois…Comme en ce moment je sais plus trop quoi
vous écrire. Je vais revenir avec les voyages, j’espère bien encore partir je
ne sais où, j’adore toujours les avions et les aéroports… Voilà je suis presque
à la chute, j’espère que mon écriture vous parait pas trop folle quand je veux
terminer je sais jamais comment… Pour ceux qui souffrent n’hésitez pas à vous
faire soigner, ça va aller mieux… Les soins c’est pas de ça que vous devez
avoir peur, vous avez le droit de vivre. C’est la chute, la conclusion, comme
toujours merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au
revoir!!! À bientôt!!!
Bonjour!
Bonsoir! J’ai passé la fin de l’après-midi et le début de la soirée à dormir, j’ai
raté quelques émissions de télé que je voulais regarder… Je crois qu’il fait
chaud dehors le climatiseur n’arrête pas, j’ai regardé si y’avait une diffusion
en reprise de certaines émissions, semble que non… Ça fait pas un texte riche,
je me parle ce soir, j’ai besoin de courage… J’hésite à vous l’écrire mais c’est
mon soixante troisième anniversaire de naissance c’est fou comment ça passe
vite… Je suis tout mêlé dans le temps… Le climatiseur s’est arrêté je crois que
je devrais arrêter de m’intéresser au monde ménager et passés au monde sensible…
Voilà la difficulté, des mots pour le senti, y ‘a longtemps déjà je sais
pas ce que les fonctionnaires avaient décidé ce que je ferais de ma vie… Je
crois qu’on avait bien vu que je serais un artiste inconnus… Toujours au même
endroit, toujours le même propos de l’écrivain sans diplôme…Je crois que j’aurais du rester à l’atelier,
j’ai pourtant passé beaucoup de temps à consulter un psychiatre, une folie
virulente! En ce moment je me rétablis… Parfois y’a des gens qui m’adressent la
parole avec des mots que je comprends pas… C’est peut-être la schizophrénie… Je
remercie ma lectrice dédié pour la carte d’anniversaire et les photos… J’aurais
tant aimé être un vrai poète gagner des prix, profiter des subventions du
conseil des arts… En septembre je vais parler du monde numérique et de la santé
mentale… Mercredi milieu de la semaine, je suis désoeuvré mais je vous écris.
Je sais pas pourquoi je pense au diabolique… J’ai des pensées morbides, les
yeux me ferment tout seul j’ai sommeil… Je vais vous illustrer ça avec un
commerce du quartier chinois à San Francisco… Le roulement des employés
à l’institut est énorme y’a que nous qui sommes assez fous pour y rester…
Souvenir d’une douce qui ne manquait pas de moyens et qui se louait toujours des
appartements dans Villerayrue
Saint-Denis… Villeray j’ai passé un bout de ma vie dans ce quartier ,c’ était
la déchéance une nuit je couchais à un endroit l’autre ailleurs… Ce quartier-là
me fait penser à la mort… Cette nuit y’a un parfum, ça sent bon… Bon! Je me
dénigrerai pas, je vaux autant que n’importe qui… Je me suis inventé une vie
dans le Centre-Sud que je nomme encore le Goulag… Souvenir de l’angoisse
extrème, la peur, la paranoïa… J’espère que le climatiseur va démarrer… Pour ce
qui est de mon senti j’attends à demain… Le climatiseur est repartis… La chute
approche, toujours le même problème de finale, j’hésite à écrire parfois ça me
fait mal… C’était la nuit de mardi à mercredi. Quelques mots encore sans trop
forcer, ça reste toujours que j’espère écrire de la prosodie, je veux rester
près de mon senti. Voilà je suis rendus à l’épilogue, comme toujours je vous
remercie d’avoir lu jusque-là!!! Encore une phrase, à la prochaine je l’espère!!!
Au revoir!!! Ciao!!!
Bonjour! Bonsoir! Je pense aux autoroutes de
Boston peut-être à cause de l’accident d’hier à Laval, toutes ces villes à l’est
et en Nouvelle-Angleterre sont souvent victimes d’accidents je crois… J’ai pas grand-chose
à écrire à ce propos sauf que les gens devraient être plus prudents. Je suis
loin de mon senti… Y’a toutes ces tueries à l’arme à feu et ils ne font rien,
tout le monde peut acheter une arme… Je suis pas un pamphlétaire mon discours
est assez ordinaire… Aujourd’hui c’est encore grand soleil, magnifique… Y’a
encore des gens en vacance moi j’ai quelques activités… Hier soir j’ai regardé
une émission Des Racines et des Ailes sur les grandes routes des Alpes c’est
magnifique, j’irais bien… Je laisse le climatiseur fonctionner tout seul pour
le moment il est arrêté, le thermostat est bas… Y’avais aussi une émission sur
les petits trains de France ça aussi c’est extraordinaire, de vieux trains à
vapeur que des bénévoles entretiennent pour parcourir le sud de la France… Je
sais que mes lecteurs de l’Outaouais s’y rendent bientôt, j’irai bien à un
moment où l’autre… Mon senti cet après-midi c’est toujours de départ qu’il s’agit…
Cape Cod, la campagne de Nouvelle-Angleterre c’est pas mal… Je dors mal, je
vous écris et j’ai sommeil, je ferai pas la sieste… J’essaye de me démêler
entre La France et la Nouvelle-Angleterre, c’est certain qu’il y a plus de
gothique dans le sud Français… Boston et sa campagne c’est moins historique… À
l’école j’ai toujours aimé les sciences humaines l’histoire comme la
géographie, si j’avais prolongé des études j’aurais fait de la sociologie même
si les enseignants disaient que ça mène à rien… Il fait vingt-sept dans le
studio et c’est humide. Je ferais bien un road trip en France… C’est comme ça
mon senti cet après-midi. Souvenir des éléphants de Chambéry… C’était à mon
premier voyage en France avec la douce de l’époque, le patriarche avait
contribué monétairement… Je radote encore. Je sais plus trop quoi vous raconter…
J’étais dans la région Rhône-Alpes pour une semaine et ensuite je suis remonté
à Paris, ça fait longtemps… Y’a tout ce qu’on dis maintenant sur les touristes
d’un côté on trouve qu’il y en a trop et de l’autre on nous dis de pas laisser
la terreur nous avoir. C’est certain que les « attraits » touristique
pour moi ça vaux pas siroté un café à la terrasse d’un bistro et de laisser le
temps passé. Faire des balades à pieds dans Paris c’est bien aussi, marcher
dans des petites villes de province regarder l’architecture et visiter les
églises. Vous voyez je suis nostalgique… Je vais repartir. Si jamais ça vous
intéresse de partir avec moi laisser moi un message. Voilà! Quelques mots
encore, je pense à mon prochain voyage, c’est la chute la fin l’épilogue
toujours difficile. Comme toujours c’est la même idée de vous remercier pour
avoir lu jusque-là!!! Lâchez-pas on y arrive, ce seras pas long. À la prochaine
je l’espère!!! Au revoir!!!
Bonsoir! Bonjour! Je suis debout et je m’attelle
comme un vieux cheval, les sangles sont pesantes et le harnais me blesse quand
je trotte, ça fait pas de grandes courses
surtout quand on sait que dans pas longtemps on va vous vendre pour la viande.
On appelle ça le stress du vieux cheval, j’ai jamais pu être végan toujours
étonné de rayer la viande de l’alimentation sans jamais lever le petit doigt
contre l’alcool… Je pense que la carcasse de mon bœuf avant d’être dépecée à
plus beaucoup d’état d’âme… Je sais plus par où commencer pour sauver la planète…
Le vieil étalon henni de peur quand… Le steak côute cher peut-être à cause de
cette peinture de Rembrandt… Pauvre cheval à force de me faire fouetter ma
viande est devenue toute raide. Je sais aujourd’hui c’est finis c’étais ma
dernière course et on achève bien les chevaux… Je pense à mon grand-père
maternel qui me disait que dans sa jeunesse pour gagner sa vie il vendait des
chevaux… Ils vont m’abattre je crois qu’avant je vais redevenir humain et que j’aurai
pas peur de dépecer où d’en être à l’abattoir… J’ai peur du sang pourtant je
mange du boudin et des abats… Dans notre société moderne de l’image c’est
quelques chose qu’ on vois pas beaucoup des animaux qu’on conduis à l’abattoir
ou qu’on abat carrément, on vois plus les carnages des êtres humains américains…
L’autre jour dans une manifestation à la radio j’ai entendu un français parler
de « végan de merde ». Quand je passe à la boucherie du supermarché
je suis toujours étonné de voir cette quantité de viande… Pourtant on nous a
élevé comme ça avec de bons de beaux morceaux de viande, je sais pas quel orientaliste
asiatique a décidé que c’était pas bon pour les nord-américains… Trop de voyages
au Indes en asie, je sais pas comment vous écrire, ça dois quand même être
moins fort qu’avant, le restaurant Commensal à fermé ses portes y’a un bout de
temps… Vous avouerez quand même avec moi que c’est bon la charcuterie et là on
pense au neveu charcutier… Y’a pas longtemps j’ai rêvé que je dépeçais, je veux
pas revenir dans mon karma de pièce de viande. Je veux pas en finir tout de
suite… Ouais! Y’a de la confusion disons que je suis boucher, cheval et pièce
de bœuf… Y’a longtemps que j’ai acheté un vrai steak je trouve ça cher…Voilà!
Je vous aurai encore demandé toute votre attention… Je pense à ce monsieur qui
a étudié à l’école culinaire de Paris, c’est pas rien on a du lui montrer comment
préparé une pièce de viande… C’est la toujours aussi difficile chute, toutà coup l’angoisse m’attaque j’y vais sans
trop me battre. Je pense aux langues dans le vinaigre, encore de la viande mais
celle là je l’ai abandonné. Ouais! Je termine en vous remerciant d’avoir lu
jusque-là!!! Quelques mots encore pour terminer, à la prochaine je l’espère!!!
Au revoir!!! Ciao!!!
Bonjour!
Bonsoir! J’arrive d’une réunion avec mon groupe d’entraide, dehors il faittrop beau c’est pas permis. J’ai marché sur
du Havre d’Ontario à Sainte-Catherine, j’essaye d’être vrai avec mon senti… Je
suis bien au frais chez moi… Suis revenus en métro avec les copains, ils sont
sympathiques… Veux veux pas des jours comme ça ça me fait pensez à mon enfance
quand je jouais dehors dans le champ a attrapé des sauterelles… Je l’oublie pas
cette enfance j’avais du plaisir à écouter les grillons… Parfois comme c’était
aussi les marais y’avait des maringouins onse faisait piquer… On jouait aussi au baseball avec les gars, on était
pas beaucoup quatre où cinq mais on s’amusait… Souvent on montais sur le coteau
après le marais… Une enfance pas compliqué avec des jeux simples, parfois je
m’assoyais à l’ombre d’un érable et je lisais des bandes dessinées… Je vous ai
déjà trop parlé des balades à bicyclette… Je me souviens aussi qu’on marchais
dans la rivière des Milles Îles quand elle était basse… On traversais jusqu’à
l’île Saint-Jean. Quelque fois aussi je cueillais des fleurs pour la
matriarche. Je crois que dans une ou deux semaines c’est la rentré, on va aller
magasiner le matériel scolaire et des vêtements neufs pour être propre…
Souvenir de cet arbre tombé dans le champ, on l’appelait la bûche sacrée pour
nos petits rituels amusants… La fin de semaine avec les parents on partais
toute la famille pour Saint-François-du-Lac chez l’oncle, on dormais dans la
tente roulotte et le jour on jouais dans le poulailler abandonné… J’aimais bien
le chien Rex mais moins la bécosse, on jouait pas trop autour du puit de peur
de tomber dedans… L’oncle travaillait à sa maison parfois le patriarche lui
donnait un coup de main, nous on s’amusait avec un vieux chapeau de feutre on
disait que c’était un vrai chapeau de cow-boy… Bon! J’ai des problèmes avec
word, je me sens coupable d’évoquer mon enfance, le grand censeur me met des bâtons
dans les roues… Le climatiseur s’est arrêté, on aimait bien dormir au frais
dans la tente roulotte c’était rare parce que nous les plus vieux on avait
notre tente et nos matelas… Ça a passé tellement vite ce temps là… Parfois je
lisais les revues des filles et de tante sans oublier les Martines qui étaient
pas vraiment pour moi. Ça me gardait calme sans crise d’asthme… J’aimais pas
vraiment la route vingt y’avait rien à voir parfois on était récompensé la
matriarche achetait du fromage en grain… Tout ça se sont de vieux souvenirs qui
n’intéressent personne… Le patriarche a finis par acheter une maison l’autre
bord de la route qui menait chez l’oncle… Voilà! Je suis rendus à la chute,
encore quelques mots mais oui on jouais dehors on s’inventais des jeux d’aventures,
de chevalier et de roi sous le pont… C’est l’épilogue je termine toujours à ma
façon. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!!
Au revoir!!! Ciao!!!