dimanche 4 août 2019

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Aujourd’hui c’était un magnifique après- midi sur la plage du pied du courant, un lieu magique, j’y ai rencontré Gilbert Lévesque le fondateur du musée Louis Hémon à Péribonka au Lac Saint-Jean. J’ai pas raté l’occasion de lui dire que c’était le lieu de naissance de la matriarche de votre humble serviteur. Monsieur Lévesque m’a raconté quelques anecdotes dont sa profonde amitié avec la fille de Louis Hémon et aussi la mystérieuse disparition sur le bord de la track… C’était enrichissant comme rencontre monsieur Lévesque est très sympathique… Je vais vous parler un peu du lieu où ça se tenais, des différentes cabanes, des chaises et de son trottoir en bois, les couleurs du site qui font pensés aux installation de bord de mer, un lieu très convivial tout près de chez moi, tout ça fréquenté par des familles, des couples qui s’assoient autour des tables et discutent en écoutant de la musique vintage, on y rencontre aussi de jolies demoiselles habillées pour la saison… On m’a donné quelques conseils pour la rédaction de ce blog qui s’apparente à mon journal… Je fais toujours à ma tête parce que je préfère toujours vous écrire sur mon senti… Je comprends que le site du pied du courant c’est pour redonner vie au bord du fleuve dans un quartier désavantagé… Je pense aux lecteurs qui s’inquiètent, la semaine passée j’ai connus un passage à vide, c’est pour ça que je suis sortis aujourd’hui pour trouver un peu d’inspiration… Demain matin j’ai une réunion du groupe d’entraide… Je racontais à monsieur Lévesque mes différentes visites au Lac-Saint-Jean qui me permettaient pas de rien voir parce que j’étais trop fou… La plage à aussi un petit air de foire, à l’ombre on y est bien c’est frais… Les femmes avec des tatouages me fascinent… Je suis heureux de ma journée, je suis pas rester seul à m’apitoyer, j’ai rencontré des amis, c’étais bien… Y’a un petit défaut dans tout ça au bar la limonade est chère, trois dollars avant le pourboire pour un petit verre… J’ai aussi discuté avec un ainé qui avait travaillé partout autour du monde, un français qui travaillais dans l’hôtellerie… Je sais pas comment dire il nourrissait et préparais la bouffe pour différent camps, il avait été agent de bord aussi… Un monsieur aussi très sympathique. Voilà, lentement le soleil se couche… C’était un dimanche heureux, je dis merci à l’ami agent de programmation pour l’invitation… C’est la fin des vacances de la construction, demain matin tout le monde au boulot mais je crois que mon lecteur technicien de la Rolls-Royce est encore en vacance et s’est loué un chalet avec sa douce... Bon encore quelques mots, je vais peut-être vous revenir plus tard. C’est déjà août mais y’a encore de la place pour le beau temps… Je suis rendu à la chute, à l’épilogue c’est toujours difficile. J’essaye de terminer sur le bon ton. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Ciao!!!

Bernard


samedi 3 août 2019

Au présent


Bonsoir! Bonjour!  Minuit quarante-cinq, quelques jours encore et ce seras mon anniversaire de sobriété, vingt-six ans sans consommer. Elles sont à moi ces années, j’ai réussis à repousser le monde sordide de l’alcool et des drogues j’en suis très heureux… J’arrive à vivre sainement je vous dis pas que j’habite un château mais c’est mieux que c’était… Me suis préparé un café il me reste plus de lait… J’ai que les propos insignifiants du quotidien en tête ai mangé un sandwich aux tomates et deux gâteaux au caramel…Dimanche en fin d’après-midi je vais aller voir la médiathèque vivante sous le pont Jacques-Cartier… Une heure du matin y’a plus de passant que dans la journée je me demande ou ils vont… Souvenir de cette époque où inconscient je me ramassais chez m’importe qui, je pense à ce chauffeur de taxi qui avait accepté que je le paye avec mes bijoux, c’est terrible j’ai beau me fouiller la tête j’ai toujours les mêmes souvenirs, la rue Saint-Hubert jusqu’à Jean-Talon et vers l’ouest dans la petite Italie jusqu’à la maison à cette époque j’ai connus de grands grandes malades qui se sont suicidés… J’étais malhonnête j’avais besoin d’argent pour consommer, j’arrivais pas à arrêter je vous raconterai pas mes problèmes sexuel mais ça faisait très mal… Je me rétablis, je me rétablis là aussi… C’étais y’a longtemps ma pauvre vie à plus grand-chose en mémoire, la nuit dans les bars à boire pour essayer d’endormir la machina… C’est endroit-là c’est pas fait pour discuter à la fin j’allais dans les bars latino c’était pas mieux… Le jour j’allais dans les bistros rue Saint-Denis au sud de Mont-Royal y’avait souvent des histoires de vélo volé… Fallait cacher sa bicyclette sur le Plateau. Parfois je faisais un ou deux graffitis dans les toilettes… Quelle vie de piochon! Vous voyez c’est toujours la même chose, la même histoire, y’avait aussi dans la couronne nord un petit bar ou j’allais tuer le temps, j’y rencontrais souvent les copains, les plus niais sont ceux qui n’y était pas parce qu’il disait que c’était un bar homo… Le lendemain j’avais toujours mal faut que je me rappelle… Ça fait longtemps, c’est terminé j’étais toujours fauché… Je trouvais quand même le temps de lire dans tout ça, les travailleuses sociales m’aimaient pas beaucoup… Vous avez peut-être de beau souvenirs, c’est plus fort que moi ça reviens toujours à ça, les nuits dans les bars et les bistros je m’en ennuie pas… Laissez moi là, je mérite ça… Ouais! Insomnie comme souvent… J’irai pas aujourd’hui perdre ma vie en cherchant madame Goodbar… Il est un peu tard pour trouver une relation sérieuse… Parfois je pense à mes activités à l’institut, je sais pas comment en finir… Je me suis enfermé dans le rétablissement. C’est la chute l’épilogue pour cette nuit. J’essaye de finir d’une façon originale ça m’a fait plaisir de vous écrire. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!

Bernard


Au présent


Bonjour! Bonsoir! Je rêve au terroir français, j’aimerais beaucoup le visiter, les différents pays. J’ai le souvenir de Besançon un site majeur Vauban au patrimoine mondial  de L’Unesco… Je sais pas si c’est parce que j’ai vieillis quand je vois des belles choses je pleure… C’est mon senti qui est pas totalement mauvais au prise avec les émotions… Je repartirais pour la France avec une amie mais je crois que ça se fait pas, je la connais pas assez, je m’invente des histoires… Cet après-midi chez moi ça sent bon la fine cuisine, ça me rappelle des départs… Demain dimanche y’a une petite foire au Pied-du-Courant, je vais aller y faire un tour… Je sais pas si à soixante-trois ans ont peu me considérer comme un vieux, j’ai des souvenirs que les plus jeunes n’ont pas… Aujourd’hui j’ai pas beaucoup mangé, j’avais pas envie de faire la cuisine… Je sais quand même pas d’où vient ce parfum de bouffe… Des mots pour traduire mon état d’esprit comment vous dire ces samedi solitaire, ces après-midi songeur… C’est bien de vouloir me faire plaisir quand j’écris mais je veux le faire à vous aussi. Aujourd’hui c’était lecture de LaPresse+ et visionnement de l’émission de télé Des Racines et Des Ailes, encore des images magnifiques de Toulouse… J’écoute mon babillage intérieur, y’a des événements que j’écris pas c’est trop dramatique et ça arrive trop souvent… Je préfère pensés à la beauté du monde c’est plus positif… Parfois une prière devant un retable ça amène la paix, ça réconcilie on en a jamais assez d’esprit… Je cherche où diriger mon senti, mes pensées, le défi c’est de ne pas répéter. Souvent la nature me manque… Je pense au feu de camp que fait mon lecteur chauffeur d’autobus de la couronne nord dans sa cour, c’est surement relaxant… Voilà! La journée passe et je vous écris en même temps que je vieillis. « Ne tuons pas la beauté du monde » une grande chanson malheureusement toujours trop actuelle   https://www.youtube.com/watch?v=yfuCMGZcHtw  dans ma tête y’a une sorte de silence qui s’impose, les mots épars se superposent et finissent par faire des phrases que je voudrais libératrice… Souvenir du train en Europe, en Italie entre Milan et Trieste et en France entre Paris et Lille et Besançon et Lille… Dans le Train à Grande Vitesse j’ai discuté avec un kabyle sympathique, il était chauffeur d’autobus, je vous l’ai déjà écrit je me répète… Je pense qu’écrire ça vaut bien une séance de yoga, je m’allongerai pas sur le tapis, y’a quand même la spiritualité, un mantra, une prière et voilà je cherche encore la paix. Quand je voyage je veux pas faire de cure géographique juste découvrir d’autre lieu. Je dirai pas d’autre culture je suis jamais assez longtemps. Voilà! J’en suis presque à la chute à la conclusion pour celui-là encore une fois. L’épilogue c’est jamais facile pourtant c’est toujours les mêmes mots. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!!

Bernard

Au présent


Bonsoir! Bonjour! L’équipe de football locale a perdus en supplémentaire hier, moi j’ai décidé d’arrêter de manger hier j’ai été malade j’ai fait une indigestion… J’ai discuté un peu avec mon lecteur de Deux-Montagnes, il comprend ce que je veux faire avec ce blog amené ça au niveau de la littérature… Je sais bien qu’avec internet et les réseaux sociaux tout le monde est sollicité de partout. Disons que je vous demande de prendre ça comme une pause littéraire, je sais c’est pas facile j’essais de mettre en avant le vrai l’authentique, mon senti… Je pense que le médium se prête bien à ça… J’ai de la difficulté a amener ça à un autre niveau, à nivelé par le bas je suis probablement prétentieux… Je sais pas si mes nombreux textes vont être présent pour l’éternité… Ma prosodie est pas à un niveau simple… Je sais pas si ça vous touche comme le ferais un livre, un texte imprimé où si je suis plus près. Vous savez je suis là, je veux pas nécessairement interagir, c’est pas un roman interactif, les éditeurs sont pas près pour ça… Beaucoup aimé ma discussion avec  mon lecteur, ça me rend les choses plus claire pour ce que je veux faire pour moi… Je sais que ça apparait narcissique mais je crois que l’écriture libère comme disait un autre de mes lecteurs. Pour le senti je me suis couché tard ce soir j’ai pas très bien dormis, j’ai somnolé une partie de la nuit… Hé oui j’écris pour moi quoi que hier j’étais dans la paranoïa… Parfois j’ai peur je pense au cannabis qui est devenu légal, au cocktail que ça peut faire mélangé à l’alcool chez les plus jeunes, la dope je crois peut vous donner une façon de penser une façon d’agir malsaine… C’est encore la même thématique ça va prendre un nouveau voyage quoi sexe and drug and rock’n’rolll on a pas fait mieux depuis Shakespeare… Je me suis couché anxieux j’en bave… J’entends siffler dehors  le climatiseur est arrêté il fait frais, la nuit avance et mon senti lui refuse de dire un mot… Quand je suis loin de la psychose, que je décompense pas je refuse d’appeler ça une écriture schizophrénique… Je sais mon écriture intéresse pas le commun des mortels surtout que ceux qui auraient besoin de lire savent pas… Je la répète souvent l’histoire de l’analphabète… Viens de boire un jus d’orange du genre qu’ils offrent au petit déjeuner à l’hôtel… Cette écriture, cette « littérature » permet de faire des demandes express mais moi je me suis donné comme règle de jamais faire de demande ici, je préfère que ce soit dans un seul sens… Voilà pour moi le vieil anarchiste resté accroché à ces années scolaires du secondaire et à « Libre enfant de Summer Hill ». Voilà c’est la chute, j’ai toujours de la difficulté à terminer quelques mots encore. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!!

Bernard

vendredi 2 août 2019

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Je vous écris du matin pour remercier les encouragements. Mon senti est pas très présent le matin, je pense toujours à un départ, l’émotion est là mais le voyage est pas pour tout de suite… Je pense à ce drame chez les Kennedy on a beau être nanti le malheur frappe… Moi dans deux semaines ça feras vingt-six ans que j’ai arrêté toute consommation d’alcool et de drogue. Je suis fier de moi un jour à la fois… Je pense à tous ces regrettés amis qui m’ont aidé… Aujourd’hui je fais la différence entre la sobriété et la consommation. Je me souviens de ces lendemains psychotiques où je me rendais à l’hôpital parce que le seul désir que j’avais étais celui de mourir… Je me rétablis, j’ai de bons amis, j’aime bien les aider si je peux… Je suis impliqué à différents niveaux en santé mentale… C’est certain que la schizophrénie disparait pas complètement mais elle s’atténue… Y’a longtemps que l’ambulance est pas venue me chercher pour me rendre à l’urgence de l’hôpital, là aussi malgré tout y’a des gens qui m’ont beaucoup aidé… Le temps était long à l’urgence psychiatrique de l’hôpital, j’attendais la consultation avec le psy… On me donnait un lit et c’était comme dans les limbes… Maintenant j’essais d’éviter de me rendre là, même pour une visite à un ami… Je suis bien chez moi, je suis pas riche mais j’en ai assez pour faire quelques voyages heureusement j’ai jamais perdus le droit d’avoir un passeport. Je réitère encore à ceux qui m’ont connus y’a longtemps, j’ai changé de vie je ne bois plus… Je veux juste dire que je fait des amendes honorables à ceux à qui j’ai pu faire du mal… Ouais! Je reviens à ça… Je crois quand même que celui qui a payé le plus cher pour cette vie c’est moi… Y’avait ces psychoses la nuit dans la maison de chambres, les voisins qui criaient et buvaient et moi toujours perdus… Je téléphonais pour savoir combien coutais une thérapie contre l’alcool, c’était inabordable, j’ai donc arrêté en fréquentant différents groupes… J’ai beaucoup écouté ça m’a fait du bien moi et ma grande gueule… Je suis content, je reste paranoïaque mais j’ai moins peur… Je pense aux gars hospitalisés à l’institut universitaire de santé mentale de l’est de Montréal, c’est tellement long on pense qu’on s’en sortiras jamais, si vous me lisez je veux juste dire que vous êtes très courageux… Si vous pensez en finir pour toujours n’hésitez pas demandez de l’aide, elle est là la force… Parfois je passe encore par là mais j’appelle j’en parle et je me rend compte que je suis privilégié… J’ai plus grand-chose à vous écrire pour ce matin. J’en suis presque à la chute à l’épilogue. Je vais juste en finir comme toujours en vous remerciant d’avoir lu, la conclusion c’est toujours difficile, quelques mots encore et je termine. Je suis très content de savoir que vous me lisez. À la prochaine j’espère!!!

Bernard

jeudi 1 août 2019

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Parfois je sens l’inutilité de tout ça pourtant quand je termine je suis satisfait… J’aime bien vous écrire c’est un grand bonheur même si on considère pas ça comme de la « vrai » littérature… Les éditeurs se font rare pour les fêlés de la caboche comme moi… Je suis jamais certain de comment vous dire, vous écrire… Puisque c’est de mon senti qu’il s’agit parfois je sens cette expérience d’écriture sur le bord de la fin mais je sais pas à quoi je vais occuper ces quelques heures de « création ». Vous savez tous que je me débat avec la morbidité de la maladie mentale ce blog m’aide à survivre… C’est beaucoup mieux que n’importe quelle bébelle n’importe quel médicament cette envie d’en finir est une partie constituante de la maladie si y’avait pas ça je serais le plus heureux des hommes semble que c’est le défaut dans ma carapace… J’ai jamais su comment vivre mais j’ai toujours  été curieux de voir où j’allais, quelqu’un  m’a déjà dis que c’est un signe d’intelligence, faut voir… L’idée c’est pas de demander c’est de voir et de savoir ce que je peut donner… Ça vous embête peut-être que j’écrive à ce propos je préfère faire ça pour combattre l’idée de mort. J’ai hâte de partir je sais pas vers où, je crois pas que ce seras en voyage organisée mauvais souvenir de celui que j’ai fait à New-York https://legoulag.blogspot.com/2017/05/au-present.html  Voilà! Je viens de gosser pour trouver un texte sur New-York je l’ai perdus. Y’en a beaucoup trop de textes je vais devoir réduire le rythme, Je termine là-dessus!

Bernard

Au présent


Bonjour! Bonsoir! J’ai fait une sieste, ce matin à la radio y’avait un auteur qui n’aimait pas qu’on parle de résilience, l’animateur lui n’appréciait pas qu’on fasse les choses par passion… Je sais pas, moi je me rétablis et j’essaye d’écrire, je vous raconte mon senti vous le savez… Je suis pas résilient mais en rétablissement, un hypersensible… Je manie pas très bien le discours… Parfois je me présente devant un public pour dire que c’est possible de se rétablir pour briser le stigmate aussi… Aujourd’hui c’est la journée du dépôt, je reste à la maison, j’ai pas un immense champ lexical… J’essais de vous traduire mon monde intérieur, semble qu’il y a encore de la place pour la poésie et pour la prosodie aussi… J’écoute cette voix d’affamé toujours heureux d’avoir de quoi manger, je rêve encore de partir remplir ma vie d’exotisme… Je sais on préfère le quotidien local, aux pays étrangers. Mon discours reste toujours québécois mais faisandée d’ailleurs, je suis incapable d’écrire de nommer les expressions maisons… Aujourd’hui j’entends des cloches, les vacances sont presque terminées. Je devrais arrêter tout ça, l’écriture ça me brise les bras, les vrais écrivains ont toujours la bonne phrase… Parfois à la radio j’entends des choses choquantes… Comment vous dire que ceux qui se font suer ont pas le temps d’être poète… Vous avez pas le temps de faire des vers sur une chaîne de montage, tout au plus des dessins pornos dans les toilettes de l’atelier… Voilà ma poésie, une poésie de chiotte commune qui n’intéresse que les lecteurs avinés endormis cherchant le repos assis sur une cuvette, le poète veux toujours libérer le journalier que vous êtes, rien de délicat… Pourtant y’a des lieux sur cette planète, des lieux de poésie contrefaite et même surfaite… Voilà pour moi… Jusqu’ici j’ai évité la cellule, je me suis tourné loin du monde criminel… Reste que je suis toujours un prestataire, ça n’a rien de poétique, je lis toujours loin des cours d’école… Je sais pas si je réussis à composer une prosodie potable… Je ne suis pas dans les médias beaucoup plus dans l’immédiat, beaucoup de poète mais peu d’élu à la grande table des mots… C’est pas fort, c’est pas fort… Quand il ne reste plus rien malheureusement on se tourne vers la poésie, poète par défaut un beau nono… Bon! J’ai juste envie de me dénigrer de me descendre… Me trouver un nom par manque d’estime… Je sais pas trop ce que je cherche à vous dire, je pense au poète en dialogue avec l’intemporel… Je suis trop vieux j’aurai lu et ne seras resté que ces quelques mots… Lentement je vais essayer de terminer décemment cette prose, j’ai pas dis grand-chose, quand j’écris je pense toujours à nos regrettés grands poètes. Ils ont tout dis, je ne peux reprendre leurs discours. C’est pas facile d’être original. Voilà c’est la chute, l’épilogue comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!!

Bernard