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Bonjour!
Bonsoir! Je m’inquiétais à propos du format d’un document que je reçois. Je
pensais que j’étais le seul mais le voisin aussi a le même format… La voisine d’en
bas la chinoise est déménagée… C’est toute l’action dans l’édifice pour le
moment, c’est l’été août arrive… J’essais de vous écrire quelque chose, je sais
pas si ça seras fort… Je pense aux amis qui ont eu des accidents cérébraux
vasculaire… Je sais pas comment ils s’en tirent avec l’écriture? L’écrivain avait de la difficulté avec l’ordinaire,
les péquenots qui s’enlisent dans la routine… Le commun des mortels n’a que ça
la mort… J’aime pas beaucoup l’attitude de baba cool, je sais faut pas l’écrire
moi je suis qu’un bum… J’ai cessé d’écouter de la musique, j’en ai trop entendu
quoi que j’aime bien les vieux classiques rock… J’écoute le dernier Springsteen,
Western Stars, ça me touche y’a quelque chose dans cette musique là… Je pleure
un peu… L’évidence c’est que je suis américain, je vie en Amérique du nord… Je
sais pas comment vous raconter que le centre-sud est aussi très américain… Je
me fait pas d’accroire l’Europe est loin, quand même l’Amérique est grande. Le
Québec, le nord c’est aussi la solitude des grands espaces, de la forêt… Là-bas
en haut de la carte on ne peut s’y rendre qu’en avion, Western Stars c’est une
musique de cow-boys pour le festival de Saint-Tite ça raconte, les trucks, les
routes et les trucks stops… Des portraits aussi comme Springsteen sait si bien
les faire. À l’écoute la première fois ça le fait pas mais ensuite c’est très touchant…
Ça accompagne bien la solitude, les longues journées d’été où on ne sait que
pleurer, toujours cette idée du highway… Au nord de Nashville… Je les vois
assis au bar du truck stop sifflant lentement une bière pas pressé de partir
parce que pas pressé de revenir… Au truck stop y’avait cette femme qui voulais
m’envoyer à la guerre plutôt que de glander au bar de la grande Amérique. Je me
vois encore faire du pouce, hitch hiking, pour aller je ne sais où juste
regarder le temps… et manger de la poussière… Parfois sur l’asphalte sur la
route on essais de tuer l’émotion, mais il faut la vivre sans toujours avoir
raison. Le ciel s’est couvert et on entend gronder les camions qui ne s’arrêtent
pas, de toute façon on s’en va nowhere et pourquoi pas… Parfois on sait pas
quand s’arrêter on couche sous un viaduc où dans le fossé, fatigué la tension à
l’extrémité… Tout ça c’est à l’ouest à l’est la Nouvelle-Angleterre est très
urbaine… J’ai mis mon pied à terre je ne traine plus le long des autoroutes…
Ici y’a pas de désert juste un fleuve le long de la route. Voilà! C’est la
chute, je partirais mais c’est du luxe… C’est l’épilogue, comme toujours je
vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Quelques mots encore pour bien finir. À
la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!
Bernard

Bonsoir! Bonjour!
Me voilà dans la nuit je cherche quoi écrire… J’ai rêvé à un camarade décédé…
Je vous illustre ça avec une œuvre de deux mille neuf de Daniel Vincent Bernard
intitulé Manana en câble coaxial béton et acier créé dans le cadre du
cinquantième anniversaire des habitations Jeanne-Mance… Je me suis toujours
intéressé à l’art urbain tenté de saisir et de comprendre, Manana c’est
peut-être demain une main qui nous élève qui nous soutien vers un futur
meilleur des appartements qui font grandir qui transforment le tissu urbain… Ce
respir ce souffle qui reviens quand on arrive dans une habitation à loyer
modique pour les ainés. C’est juste mon point de vue mon senti de cet art… Les
habitations Jeanne-Mance qui ont longtemps été au cœur du quartier latin et du
Red light et qu’avec d’autre
institution, Université du Québec à Montréal, Collège d’enseignement général et
professionnel du Vieux Montréal pour n’en nommer que deux ont réussis à
transformer le tissu urbain. Une main qui supporte qui soulève… Étrangement j’ai
longtemps fréquenté le quartier latin mais j’ai jamais rencontré personne qui
habitais là… Une sculpture avec du matériel moderne qui me fait penser que j’ai
jamais été capable de gosser un bout de bois, la main support et labeur… Dans
la nuit de dimanche à lundi on a brisé ce bel idéal à coups de poignards on
reviens au quartier dur et louche du centre d’ailleurs je m’y suis fait voler une tablette
électronique… La nuit est encore dure rue Saint-Denis, je sais pas si les gangs
qui la fréquentent viennent des habitations… On y croyait on y crois encore on
veut pas tomber dans le désespoir… Cette nuit j’entends beaucoup de voix et de
musique… Les quartiers du centre-ville ont toujours été difficile… Je souhaite
que la main réussisse à soulever l’altérité… C’est une main qui nous pousse
vers le mieux vers le ciel, une main de géant qui a toujours fréquenté ces rues…
Vous voyez c’est mon senti cette nuit autour d’une broderie en câble co-axial…
Ça joue dur dans le centre sud, c’est la raison pour laquelle j’ai nommé le
Goulag, un lieu d’exil de déportation qui demande mieux… Je pense au mobilier
urbain à comment il peut bonifier le quartier… Je sais bien que les gangs ne
veulent que de l’argent, au centre-ville les valeurs sont pas les bonnes, j’espère
qu’on me la tend cette main, qu’on me soutiens…
Y’a la main et ce qui était la main pas loin, le red light maintenant
transformé… Les gars cherchent l’argent facile, c’est quand même épeurant ces
coups de poignards je crois quand même que la main elle est vierge… Elle pousse
vers les cieux… J’en suis presque à la chute, j’ai écris sans trop savoir sur
cette sculpture ce n’est que ce qu’elle évoquais
pour mon senti… Plutôt que se poignarder
vaux mieux tendre la main. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!!
À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!!
Bernard

Bonjour!
Bonsoir! Pas de réunion ce matin, hier le Bell m’a téléphoner pour réduire ma
facture de communication ça devrais être O.K. Ce matin je suis allé au
supermarché, il fait très chaud… On a pas toujours le souvenir de comment c’est
la canicule, on a la mémoire courte comme on dis… Je souhaite un bon retour à
la famille de mon neveu à Hull, je sais même pas si ils me lisent… Tout le
monde est revenus de vacance on reviens à la normale… Je suis les conseils du
ministère je reste au frais et je bois beaucoup d’eau… Je suis allé voir si j’avais
du courrier… J’espère que vous appréciez encore de me lire, moi j’essaye
toujours d’apporter du nouveau avec mon senti… Je lis pas trop les chroniques
gourmandes dans le journal, ils y parlent trop de vin et je peux pas en boire…
Je suis un de ceux qui a le vin triste… En ce moment je lis des extraits du
journal du regretté Hank toute une plume, il avait laissé la machine à écrire
pour l’ordi à soixante-douze ans faut le faire… Il avait aussi diminué l’alcool
bien qu’il aimait vider les bouteilles en bonne compagnie… Je suis loin de mon
senti je vous parle pas de moi… Les écrivains que je connais et que j’ai
rencontré font dans l’humour et dans la télé… Je sais pas si c’est de vrais
écrivains… Je préfère ceux qui écrivent des livres. Pourtant moi j’arrive pas à
être édité… J’ai toujours la même
tonalité qui tourne autour de mon senti, je révolutionnerai pas l’écriture, le
mode, le ton… J’ai pas de proposition. Je veux pas être scripteur juste écrire
en essayant de pas trop m’arracher l’âme… Je suis déjà vieux pour avoir des
ambitions littéraires. Ça reviens toujours à ma pensé pour ceux qui ne savent
ni ne veulent pas lire… Jusqu’ici j’ai
tenu le coup avec la lecture et l’écriture je vais continuer… Je me suis
préparé un café… Je vois encore les écrivains ivrognes qui écrivent leurs
delirium tremens… Semble que ce sont de vieux mots pour dire la psychose…
Encore une fois je retombe dans mes démons de prédilection, je sais pas si on
peut écrire ça… Un vingt-six onces par jours c’était suffisant… J’admire plus
ces gens incapable de « travailler » à jeun faisant l’éloge de l’alcool…
J’en ai connus qui se cachaient pour boire leurs gros gin. Rien de productif… En fait je buvais de la bière avec un scotch
double pas de glace, soir après soir je travaillais que pour ça… Avant d’arrêter
j’ai écopé ma barque coulais et près de moi on laissait faire, j’ai toujours
trouvé étrange que dans un monde où on buvais tant que ça personne voulait
arrêter… Bon! Je vais terminer ça là-dessus, je vous en aurai parlé de l’alcool,
j’espère ne pas vous avoir trop fatigué. Comme toujours je termine en vous
remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!!
Ciao!!!
Bernard

Bonsoir!
Bonjour! Aujourd’hui avant de passer au senti j’ai fait un peu de plomberie. J’ai
débloqué la cuvette… Pas de sortie ce lundi matin, on avait pas quorum. Me suis
préparé un café, j’ai beaucoup apprécié vos commentaires sur le texte précédent…
Je pense à l’auto-sport de mon lecteur de Deux-Montagnes, méchante machine… J’écoute
ce que ça me dis, comment travailler sur le bâtis. Il fait très chaud. Je dis
merci au climatiseur, je pense au vieux Hank dans son bain tourbillon après une
séance d’écriture… À la fin il était bien il vivait de ses écrits… Il se
permettais quelque considération psychosociale. Cette semaine c’est la paye,
les shylocks et les pawnshops vont se faire aller… On emprunte jusqu’au premier
du mois… Le climatiseur viens de s’arrêter automatiquement. J’aime pas beaucoup
jeter ma bile sur mes collègues pas plus que les imiter… Y’a des logements à
louer mais ils sont pas abordables, hier y’avait quelqu’un dans l’édifice qui
déménageait… J’ai encore l’atmosphère du film dans la tête… J’aime bien en
avion avoir ma place du côté de l’allée, on se fait servir on dirais que le
personnel est plus gentil au retour qu’à l’aller. Je vais attendre plus longtemps avant de
partir… Peut-être trouver quelqu’un pour partir avec moi… Hier j’ai eu le
souvenir d’être partis sur un road trip avec un copain, Charlevoix pour ensuite
revenir par la Beauce, Acton Vale je crois et les cantons de l’est si je me
souviens bien on était passé par Asbestos… Ça aussi c’est en Estrie maintenant
je me souviens de Saint-Georges-de-Beauce… Je m’égare je suis loin de mon senti
je crois que le copain était malade lui aussi, il va apprécier la légalisation
du cannabis il ne croyait qu’à ça pour se soigner, il était devenus paranoïaque
et semblait pas conscient de sa psychose avec son couteau… Je pense que en me
rétablissant on croyais que je voulais mourir , j’en sortais de l’enfer de la
mort je voulais me rétablir… Y’a des copains comme ça que j’ai « perdus »,
ils étaient trop sérieux dans leurs délire ça a pris un moment avant que je le
réalise… Ça fait longtemps tout ça, je sais pas trop comment et pourquoi j’étais
rendu là? Le climatiseur viens de redémarrer, c’est bien, c’est une façon de me
soigner… Ma lectrice secrétaire de syndicat à la retraite m’a conseillé les
voyages en petit groupe à partir d’Aix-en-Provence… Je sais pas… Souvenir d’avoir
travaillé sur des pièces d’avion comme mon lecteur technicien à la Rolls Royce…
Maintenant je voyage bien que les médias veuillent qu’on se sente coupable de
prendre l’avion, on utilise trop de pétrole selon eu et le tourisme qui à les
écouter est une malédiction, on oublie qu’il y a des endroits où les gens ne
vivent que de ça… Je pense à ces bistros ces cafetiers où on prend plaisir à siroter
un café. Voilà c’est la chute, comme toujours je vous remercie d’avoir lu
jusque-là!!! À la prochaine!!!
Bernard


Bonjour!
Bonsoir! Cet après-midi je me suis fait un cadeau, j’ai regardé un film des
héros Marvel du regretté Stan Lee. Ils m’ont toujours fait tripper ces supers
héros… La dernière fois que j’avais regardé un film comme ça c’est dans l’avion
à mon retour de San Francisco… C’est très distrayant comme film… Faut pas se
déranger avec les lois de la physique et les métamorphoses. Y’a du suspense mon
senti est tout au visionnement… J’ai toujours hâte de prendre l’avion, je pense
à mon prochain départ… Je me vois encore attendre bien en avance à l’aéroport,
j’ai encore rien de réservé ce seras je ne sais où le printemps prochain… Je
souhaite un bon retour aux lecteurs de Hull. J’ai lu un article ou encore une
fois on disait pas aimer les touristes quand ils visitent les incontournables.
Je vous avoue que pour moi c’est difficile de sortir des sentiers battus quoi
que j’aime bien m’asseoir dans un parc ou à une terrasse en retrait… Tout ce qu’on
raconte sur les monuments ça m’enlève le désir d’aller les voir. Aujourd’hui
aussi il fait très beau, on conseille aux personnes souffrant de maladie
mentale de rester au frais à l’intérieur… Demain j’ai une réunion, y’a surement
beaucoup de monde à la plage mais sortir seul je trouve pas ça amusant… Je
délire pas trop, c’est bien mais je suis quand même certain qu’il y a des gens
qui magasinent dans les environnements climatisés. Les actualités me dérangent
tant d’accidents, tant de morts c’est rien d’encourageant… J’aimerais bien
avoir la patte d’un journaliste, d’un chroniqueur… Les supers héros c’est je
crois de l’ordre de la mythologie, on a grandis avec eux c’était assez
mystérieux… Je me souviens aussi des DC Comics, Batman et Superman. On avait
tellement hâte de voir la série à la télévision on savait que les américains
les tournaient… Parfois je regardais ça sur la chaîne embrouillé de Burlington
chez le voisin… Y’a ça d’amusant d’avoir vieillis et d’avoir gardé son cœur d’enfant…
Je pense aussi au Fantastic Four, on nous présentait les dessins animés à la
télévision au retour de l’école… J’ai appris un peu d’anglais à lire ça… Y’avait
aussi Gotham city la ville de Batman, on
rêvait tant d’avoir son costume… J’étais pas mal schizophrénique dans mon désir
de devenir un super héros et de punir les vilains… J’en ai lu longtemps des
bandes dessinées. Mon écriture est pleine de disgression, des aéroports aux
avions et à tous ces champions. Je vais vous illustrer ça avec une photo
urbaine, la ville que protégeais, Superman, Batman et Robin quand même faut pas
oublier que les superhéros avaient le pouvoir de protéger le monde entier… Les
DC comme les Marvel… J’ai pas le senti très inspiré, je crois quand même que je
vais y arriver. J’en suis presque à la chute, à la conclusion, quelques mots
encore pour terminer comme toujours en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!!
À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!
Bernard

Bonsoir!
Bonjour! Je crois que parfois mes humeurs vous irritent… Je fais erreur ma
fidèle lectrice y va toujours d’un j’aime ou d’un commentaire… Hier j’ai
regardé pour une deuxième fois un film de Des Racines et des ailes. C’est sur l’Aude
et les pays Catalan, Carcasonne la magnifique… Un ami m’a téléphoné, on se
disait qu’après être allé en Europe une
fois c’est difficile de ne pas vouloir y retourner, je me demandais si c’était
possible de louer un scooter où une mobylette pour me balader en Provence? Le
prochain voyage ça pourrait être une semaine à Paris et une semaine en
Provence, ce serait bien… Pendant ce temps-là ici, le climatiseur fonctionne
très bien… Ce soir j’étais un peu perdus j’avais oublié que c’était soirée de feu
d’artifice… Je pense au fromage français, c’est pas donnée mais c’est bon, faut
pas oublier qu’ici aussi on commence à en faire du bon… C’est déjà dimanche, j’aimerais
beaucoup prendre un café sur la terrasse d’un café de la France profonde… Mais
pour le moment je suis dans le goulag Montréalais, on nous distrait avec des
pétarades de feu… Le quartier latin, le plateau voilà les endroits où il y a des
terrasses… Cette nuit on se réjouit d’être en vacance. Mon premier voyage
Outre-mer c’était en avril avant les jeux d’Albertville, j’étais dans la
trentaine… Bon assez de follerie je reviens à mon senti, dans ma paranoïa je
crois que les voitures klaxonnent à cause de moi… La nuit comme ça me viens des
odeurs de boulangerie, de pain frais mais le boulanger est encore loin… C’est
surement très chaud près du four… Souvenir de cette fille qui dansait trop
bien, on voyait bien qu’il y avait quelque chose qui clochait, une victime d’un
abus? Sa façon de danser était très sexy… C’est une des dernières fois où je
suis allé dans un bar, j’étais déjà trop vieux pour ça, j’étais devenu sérieux…
Souvenir du Ciné-club de Radio-Canada maintenant on peut regarder un film quand
on veut comme on veut et celui qu’on veux… Fifty seven channels (nothin’s on) https://www.youtube.com/watch?v=YAlDbP4tdqc
ça a vieillis, je sais plus combien de canal télé on peut avoir et je
compte pas l’internet… Je pense qu’on vit dans une époque de névrose, sinon de
psychose de la communication. C’est la nuit de samedi à dimanche on rentre plus
tôt pour du vrai repos, on prend des vacances de ça… Je veux pas me faire du
cinéma, y’en a des millions qui font comme moi pourtant ça me dis que c’est la
bonne chose à faire… Bon! Ça y est on y va pour la chute, malgré tous les
accidents aériens je rêve encore de départ en avion. Encore quelques mots et c’est
l’épilogue, la conclusion… Je sais pas comment terminer mon senti est muet, l’angoisse
se tait, Voilà!!! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! J’en
ferai pas trop pour la conclusion, ce soir encore une fois je vous remercie d’avoir
lu jusque-là!!!
Bernard

Bonsoir!
Bonjour! J’ai redémarré le climatiseur. Je crois que ça va être difficile de
vous écrire ce matin. Je croyais être plus avancé dans la matinée. Bon! J’y
vais avec mon senti, semble que ça vous plait… Je trouve pas de nouveaux sujets
avec lequel je pourrais bloguer… Y’a ça ce refus d’appeler ça un texte une
chronique, dans les journaux on parle souvent des analphabètes à les lire je
devrais me sentir coupable de savoir lire et écrire. J’ai dormis un peu… Semble
que cette sensibilité pour l’écriture c’est mal vue, on y préfère la bière et
la dépression. Écrivain c’est ce que j’ai toujours voulus être, j’écris je
prends les moyens, je me vois encore faire des gribouillages incompréhensibles
dans un cahier. J’étais dans un bar de la rue Saint-Laurent… Je veux pas écrire
de casse-tête… Ce matin c’est la chronique voyage dans LaPresse+ et j’ai
enregistré les Racines et des Ailes de jeudi, je vais visionner ça c’est
intéressant… Je sais pas si ça peut me causer des préjudices de vous raconter
tout ça… Encore cette nuit avec le beau temps les terrasses sont remplies, je
me vois encore me faire jeter dehors par une équipe de malfrats. Je me relis et
tout ce que je vois c’est des visions du passé… Je pouvais pas écrire avant d’avoir
vécu, mon senti s’est réalisé dans le temps, c’est pas dans les bars qu’on
écris ce sont juste des trous à rats. Des repaires de criminels et de désoeuvrés,
tout ce cash pour payer sa bière on sait pas trop d’où il vient. Le bon payeur
s’occupait de ses obligations et si il en restait il allait le boire. Ça me
fait chier je suis toujours dans ce thème, je vais essayer de rebrousser chemin…
J’ai vidé le sac de chips, Je trouve pas je trouve plus, j’accroche sur ce qu’on
fait la nuit quand on veux pas rester seul, c’est pas de la très bonne
compagnie je m’y suis jamais fait d’amis… Souvenir de ce couple de travailleur
en santé mentale, ils étaient bien habillé tout propre ça m’avais touché. Mes
valeurs étaient faussé comme on dis « l’habit ne fait pas le moine »
je m’était empressé de m’en faire des amis… Quoi que ça veuille dire… Mon senti
je l’investi encore en santé mentale mais je suis honnête, ça change beaucoup
de chose, j’évite la psychose… Il est deux heure du matin, quand j’étais très
souffrant à cette heure-là je signalait le neuf un un, on envoyait la police
pour ensuite faire venir l’ambulance. Je vous écris je suis content j’évite ça…
Voilà! Je vais essayer d’y aller rapidement, de terminer avec le bon sens… C’est
pas simple, quelques mots encore, je sais pas si ce que j’écris à de la valeur,
vous lisez quand même… C’est la chute l’épilogue, je termine comme toujours de
la même façon. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!!
Au revoir!!! À bientôt!!! Arrivederci!!! Ciao!!!
Bernard