samedi 27 juillet 2019

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Je crois que parfois mes humeurs vous irritent… Je fais erreur ma fidèle lectrice y va toujours d’un j’aime ou d’un commentaire… Hier j’ai regardé pour une deuxième fois un film de Des Racines et des ailes. C’est sur l’Aude et les pays Catalan, Carcasonne la magnifique… Un ami m’a téléphoné, on se disait qu’après  être allé en Europe une fois c’est difficile de ne pas vouloir y retourner, je me demandais si c’était possible de louer un scooter où une mobylette pour me balader en Provence? Le prochain voyage ça pourrait être une semaine à Paris et une semaine en Provence, ce serait bien… Pendant ce temps-là ici, le climatiseur fonctionne très bien… Ce soir j’étais un peu perdus j’avais oublié que c’était soirée de feu d’artifice… Je pense au fromage français, c’est pas donnée mais c’est bon, faut pas oublier qu’ici aussi on commence à en faire du bon… C’est déjà dimanche, j’aimerais beaucoup prendre un café sur la terrasse d’un café de la France profonde… Mais pour le moment je suis dans le goulag Montréalais, on nous distrait avec des pétarades de feu… Le quartier latin, le plateau voilà les endroits où il y a des terrasses… Cette nuit on se réjouit d’être en vacance. Mon premier voyage Outre-mer c’était en avril avant les jeux d’Albertville, j’étais dans la trentaine… Bon assez de follerie je reviens à mon senti, dans ma paranoïa je crois que les voitures klaxonnent à cause de moi… La nuit comme ça me viens des odeurs de boulangerie, de pain frais mais le boulanger est encore loin… C’est surement très chaud près du four… Souvenir de cette fille qui dansait trop bien, on voyait bien qu’il y avait quelque chose qui clochait, une victime d’un abus? Sa façon de danser était très sexy… C’est une des dernières fois où je suis allé dans un bar, j’étais déjà trop vieux pour ça, j’étais devenu sérieux… Souvenir du Ciné-club de Radio-Canada maintenant on peut regarder un film quand on veut comme on veut et celui qu’on veux… Fifty seven channels (nothin’s on) https://www.youtube.com/watch?v=YAlDbP4tdqc  ça a vieillis, je sais plus combien de canal télé on peut avoir et je compte pas l’internet… Je pense qu’on vit dans une époque de névrose, sinon de psychose de la communication. C’est la nuit de samedi à dimanche on rentre plus tôt pour du vrai repos, on prend des vacances de ça… Je veux pas me faire du cinéma, y’en a des millions qui font comme moi pourtant ça me dis que c’est la bonne chose à faire… Bon! Ça y est on y va pour la chute, malgré tous les accidents aériens je rêve encore de départ en avion. Encore quelques mots et c’est l’épilogue, la conclusion… Je sais pas comment terminer mon senti est muet, l’angoisse se tait, Voilà!!! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! J’en ferai pas trop pour la conclusion, ce soir encore une fois je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!!

Bernard


vendredi 26 juillet 2019

Au présent


Bonsoir! Bonjour! J’ai redémarré le climatiseur. Je crois que ça va être difficile de vous écrire ce matin. Je croyais être plus avancé dans la matinée. Bon! J’y vais avec mon senti, semble que ça vous plait… Je trouve pas de nouveaux sujets avec lequel je pourrais bloguer… Y’a ça ce refus d’appeler ça un texte une chronique, dans les journaux on parle souvent des analphabètes à les lire je devrais me sentir coupable de savoir lire et écrire. J’ai dormis un peu… Semble que cette sensibilité pour l’écriture c’est mal vue, on y préfère la bière et la dépression. Écrivain c’est ce que j’ai toujours voulus être, j’écris je prends les moyens, je me vois encore faire des gribouillages incompréhensibles dans un cahier. J’étais dans un bar de la rue Saint-Laurent… Je veux pas écrire de casse-tête… Ce matin c’est la chronique voyage dans LaPresse+ et j’ai enregistré les Racines et des Ailes de jeudi, je vais visionner ça c’est intéressant… Je sais pas si ça peut me causer des préjudices de vous raconter tout ça… Encore cette nuit avec le beau temps les terrasses sont remplies, je me vois encore me faire jeter dehors par une équipe de malfrats. Je me relis et tout ce que je vois c’est des visions du passé… Je pouvais pas écrire avant d’avoir vécu, mon senti s’est réalisé dans le temps, c’est pas dans les bars qu’on écris ce sont juste des trous à rats. Des repaires de criminels et de désoeuvrés, tout ce cash pour payer sa bière on sait pas trop d’où il vient. Le bon payeur s’occupait de ses obligations et si il en restait il allait le boire. Ça me fait chier je suis toujours dans ce thème, je vais essayer de rebrousser chemin… J’ai vidé le sac de chips, Je trouve pas je trouve plus, j’accroche sur ce qu’on fait la nuit quand on veux pas rester seul, c’est pas de la très bonne compagnie je m’y suis jamais fait d’amis… Souvenir de ce couple de travailleur en santé mentale, ils étaient bien habillé tout propre ça m’avais touché. Mes valeurs étaient faussé comme on dis « l’habit ne fait pas le moine » je m’était empressé de m’en faire des amis… Quoi que ça veuille dire… Mon senti je l’investi encore en santé mentale mais je suis honnête, ça change beaucoup de chose, j’évite la psychose… Il est deux heure du matin, quand j’étais très souffrant à cette heure-là je signalait le neuf un un, on envoyait la police pour ensuite faire venir l’ambulance. Je vous écris je suis content j’évite ça… Voilà! Je vais essayer d’y aller rapidement, de terminer avec le bon sens… C’est pas simple, quelques mots encore, je sais pas si ce que j’écris à de la valeur, vous lisez quand même… C’est la chute l’épilogue, je termine comme toujours de la même façon. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Arrivederci!!! Ciao!!!

Bernard

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Il fait beau temps, je cherche une histoire à vous raconter. Je suis de bonne humeur… Je sais pas si mes lecteurs de Hull sont de retour… Pour plus d’explication sur les chaises de jardin épilatoire je vais essayer de vous expliquer, j’installais une rôde et deux braquettes pour assembler le siège et le dossier pour ce faire je devais donner un bon coup sur le banc de travail et en faisant ça je frottais l’assemblage sur mes cuisses. Vous savez pas combien de paire de jeans j’ai usé avant d’être épilé, c’était une job assez débile… À cette époque là j’avais commencé à me demander ce que j’allais devenir, j’attendais de retourner à l’école, je l’ai fait mais pas longtemps du désir d’être pareil j’en suis passé au délire d’être différent. À l’école on m’offrais pas grand-chose je crois que les autorités savaient que j’allais devenir un bum… J’ai jamais eu de métier, c’est un peu pour ça que j’écris, c’est la job de ceux qui n’ont plus rien à perdre… La folie un jour m’a rattrapé… La peur m’a plus quitter… Je savais pas comment dire pour me faire soigner… Je savais pas comment utiliser ce mot que je déteste, intégré! Je me relis je vois bien que je suis ignorant, j’irai pas plus loin dans mon dénigrement… J’aurais bien aimé faire des études post-secondaire mais j’étais incapable de remplir la paperasse d’inscription, sans parler des frais d’étudiant et de toute les obligations que j’étais incapable de payer… Je crois que c’est pas la première fois que je vous la raconte mon histoire, il est là mon délire sans compter qu’étudier avec un nazi c’est pas drôle. J’ai jamais compris pourquoi on acceptais ce genre de gars au collège… Quand même j’ai toujours aimé la lecture, dans ma dérive j’ai souvent cherché le poète Lucien Francoeur, je l’ai jamais rencontré mais dans un cours de discours poétique j’ai eu d’excellent enseignants… Maintenant je suis à la retraite et comme on me l’avait conseillé je prends tout mon temps… J’espère que vous aimez me lire parce qu’au fond il ne me reste que ça, j’ai pas de femme ni d’enfants, je regarde aller les  parents les plus jeunes, ils sont je crois heureux, dans le bonheur… Je vieillis, j’aurai pas fait grand-chose de ma vie si ce n’est que cette écriture… Déjà ça parle de rentrée, je sais pas si y’a encore cette odeur de cuir cartonné juste à y pensés je suis ému… Souvenir d’un retour de je ne sais où dans la voiture avec le patriarche qui me demande si je retourne à l’école, en moins de deux pour une décision si importante et en pensant aux copains je décide que je n’y vais plus, ça a fait de moi le radoteux que vous lisez ici…. Voilà! Ce sont quelques pensées répétées pour cet après-midi. Quelques mots encore pour la chute. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!

Bernard

jeudi 25 juillet 2019

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Rêve, j’étais en automobile avec un copain quand il a décidé de prendre un sens unique à l’inverse, j’ai eu peur et je me suis réveillé… C’est le genre de chose irresponsable qu’on faisait avant, maintenant on est pas parfait mais on évite le trouble… Dans quelques minutes c’est vendredi… J’ai compris je crois ce que c’est un animiste, c’est de voir Dieu partout… C’est pas très grave je crois que c’est mieux que pas avoir de Dieu du tout y’a des gens qui se font un Dieu tel qu’ils le conçoivent… Je crois beaucoup à la force supérieure. Ce soir j’ai perdu les photos des différentes peintures dans une salle de Versailles. Je vais vous illustrer ça avec des chimères dorées dans un plan d’eau du jardin de Versailles avec la canicule c’est plus approprié… Y’a beaucoup d’américains à Paris dans les interviews sur TV5 ça me rappelle le film un américain à Paris  une comédie musicale de Vincente Minelli avec Gene Kelly et Leslie Caron et des musiques de Georges Gershwin entre autre… Je voulais un peu vous montrer les jardins de Versailles quand ils sont vides, ces jours ci tous les bassins d’eau sont réquisitionné pour rafraichir la population… Y’a aussi le Minuit à Paris de Woody Allen, je vous énumérerai pas tous les films qui ont Paris comme toile de fond où comme personnage, la ville lumière nous fait toujours beaucoup rêvé… C’est un peu triste qu’elle soit envahie par les touristes  certains parisiens  disent qu’elle est devenue un grand musée… J’y suis allé une fois à Paris et je rêve d’y retourner dans des temps plus propice, plus accueillant pour les touristes faut pas oublier on ne reste jamais que des touristes dans cette ville…  Je m’exilerai pas en France je suis trop profondément Montréalais…Je me berce sur la chaise devant mon écran, j’attends l’automne et la reprise des activités de rétablissement… Je sais pas pourquoi j’ai dans la tête un concessionnaire automobile… Puisque vous savez écrire monsieur, madame faites-le donc et bâdré moi pas, je veux pas donner de leçon juste exprimer mon senti… Tout à coup y’a une fraiche odeur de savon je sais pas d’où ça viens… Voilà ça y est on est vendredi, y’en a qui rentreront pas à l’ouvrage ce matin, ils ont trop cherché et pas trouvé Montréal la nuit on est pas sauvé… Je termine ça et je retourne au lit… Je sais pas où j’ai laissé ces photos de Versailles dont je vous parlais, ça m’obsède comme si quelqu’un étais venus me les voler, quand il manque quelque chose c’est toujours le complot… Quelques mots encore, ça me désole de savoir que je vais mourir avec cette folie, cette schizophrénie… Ce texte tire à sa fin, je vous aurai encore une fois raconté mon senti… Je termine là-dessus c’est la nuit. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! On y arrive à la chute, à la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!

Bernard

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Je suis content, j’ai bien mangé, côtelettes de porc au beurre avec brocoli, carotte et pommes de terre… Avant de diner j’ai rédigé le compte rendu de la réunion de mon groupe d’entraide. Je me sens bien quand je fais ça… Le temps est superbe… Aujourd’hui je vous illustre ça avec une photo de la Transamerica Pyramid que déjà sur les plans de mille neuf cent soixante huit le directeur de l’urbanisme de San Francisco Allan Jacobs parla de « construction inhumaine ». Pendant la construction le spécialiste de l’architecture du Los Angeles Times, John Pastier critiquait la tour «  C’est de l’architecture anti sociale à son pire niveau. Une forme  d’anarchie et de perturbation comme on en voie se développer à Berkley et Oakland, de l’autre côté de la baie » Les plans ont été dessinés par les architectes de William Pereira et associés. L’édifice est d’une hauteur de deux-cent-soixante mètres «  trois-cent-vingt-quatre en comptant l’antenne » il est de quarante-huit étages c’est le plus grand bâtiment de San Francisco après le Salesforce Tower. Les travaux ont été achevé au cours de l’été mille-neuf-cent-soixante-douze. Ça répond aux normes parasismiques et à résisté au séisme de mille-neuf-cent-quatre-vingt-neuf, il est situé au six cent Montgomery street entre Clay et Washington streets. Je vous en raconte beaucoup mais moi je le trouve assez exceptionnel  cet édifice une pyramide élevé aux pharaons de la finance, je verrais bien Cléopâtre au sommet y aller d’un petit air à l’empire… La photographie montre pas vraiment sa grandeur, il manque peut-être un sphinx tout près pour qu’elle renaisse, les États-Unis-d’Amérique ont toujours de grands projets qui n’attendent pas l’autre… Je sais pas trop pourquoi je vous écris ça, peut-être pour éviter de vous écrire mon senti… La famille de ma lectrice photographe reviens d’Hawaii aujourd’hui bien mariés… Je trouve plus, je trouve pas, je pense aux enfants qui dorment dans l’avion. Encore aujourd’hui j’ai envie de partir pour je ne sais où?... Je suis très urbain, j’ai pas mon permis de conduire ça m’empêche d’aller me promener dans la campagne française… Tout ça au fond c’est pour vous distraire, vous amuser pas vous ennuyer… Je pense au quotidien comment parfois il peut-être plate, la routine… Aujourd’hui je fais pas la sieste, j’ai pas sommeil… Jeudi déjà, c’est toujours les vacances… Je sais pas quand les enfants retournent à l’école, septembre? Ils ont encore du bon temps a passé. L’été j’ai toujours de mauvais souvenirs de retour en classe raté, souvent ça me rend triste même si ça fait si longtemps… Je vous ai jamais raconté ma première job d’été, j’assemblais des chaises de jardin, je les frottais tellement sur mes cuisses que je me suis épilé à vie… J’ai le devant des cuisses tout brûlé… Parfois ma vie ressemble à un cauchemar. Voilà! C’est l’épilogue, un peu d’architecture et de senti… Comme toujours, mais l’éternité c’est long, je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!!

Bernard

mercredi 24 juillet 2019

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Ce soir ce sont les feux d’artifice, on entends les enfants pleurer parce qu’ils ont peur, ce sont les vacances du commun qui ne peut quitter Montréal. Ça me réveille toujours, la salve finale entre autre toujours plus bruyante… Vous me voyez venir j’ai pris une douche me suis parfumé pendant ce temps-là on essais de m’hameçonner avec paypal… Je viens d’apprendre que ma librairie préférée, Le Parchemin, fermait. J’y achetais souvent des bouquins pourtant mais je comprends qu’un client c’est pas suffisant… Le feux est finis les gens rentrent chez eux en écoutant riders on the storm des Doors…  Le rock vintage des années soixante-dix à la vie dure indémodable on l’entends encore partout… Les nouveaux mariés prennent l’avion ce matin, un retour d’Hawaii, ils nous ont bien fait rêver… Jeudi déjà, lentement la soirée avance je lis le parcours final d’un vieil écrivain célèbre. Je suis malheureux, je trouve plus de musique dans mes textes plus de rythme, j’arrête trop souvent ça viens pas, j’imagine que c’est plus évident dans un cahier y plonger le nez… Je crois que c’est une question de forme, je sais pas pourquoi j’écris sur la machine pendant que d’autre essaient de frauder… Je vous donne à lire vous me décevez pas, le défi c’est de sortir la moelle de l’os… J’essais de grandir avec tout ça de pas décevoir les lecteurs fidèles… Je vais encore écouter ce que mon senti me dis, le goulag après le feu d’artifice est redevenus désert. Dans ma vie à une époque j’étais incapable de vivre seul, j’ai donc habité une maison de chambres, je savais pas que c’était dangereux de m’acoquiner avec n’importe qui c’étais la paranoïa à l’envers, il était temps que la peur revienne maintenant j’apprécie ma solitude, je déménage plus je trouverai plus de culasse de balle de vingt-deux chez moi… J’ai un petit  tchat avec une amie sur Facebook, elle est allée à Terrebonne, la ville qui m’a défait et déchiré, j’y ai beaucoup souffert, je passe à autre chose ce sont de mauvais souvenirs… Il est pas encore minuit, les gens vont dans leur bistro où leur brasserie préféré et discutent devant une bière pour moi c’est finis ce temps là… Je sais vous allez parler de chaleur humaine mais une fois saoul c’est plutôt la froideur et la solitude… L’humanité je préfère la voir en voyage où à travers ma machine… L’amie elle me brise le cœur quand elle répond pas sur Facebook… Je laisse faire ça! J’ai presque terminé, y’a des gens qui vont se cacher dans le parc, il fait plus chaud, on va dormir dehors, voilà que je reviens encore avec cette thématique c’est peut-être que j’ai peur de me ramasser là inconsciemment… Voilà, j’arrive à la chute  à la conclusion. Je sais pas comment finir encore ce soir je suis passé au travers d’une gamme d’émotion. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!

Bernard


Au présent


Bonjour! Bonsoir! C’est l’après-midi je me souviens plus de rien… J’ai mangé d’énormes sandwichs au salami ça me laisse la bouche salée… Ai acheté un bouquin de Bukowsky, à la caisse j’ai eu des problèmes avec ma carte de crédit. J’en ai commandé une autre… Ce soir je mange des côtelettes de porc accompagné de pommes de terre de carottes et de brocoli… Je donne dans le domestique mon nom c’est pas Ricardo, ai lavé la vaisselle vais l’essuyer y’a pas beaucoup d’humour et de senti là-dedans… J’offre toute mes sympathies à la famille d’un oncle qui est décédé… Moi aussi je prends de l’âge je vais me dépêcher de partir en voyage, la semaine prochaine ce seras déjà le mois d’août, l’été qui s’en va… En fait on est au cœur de l’été, je me souviens de ces étés passés dans l’huile et le compound de l’atelier, ça collais dans la sueur… Je vous ai déjà surement parlé des énormes rats dans le coin des boîtes pour le métal de recyclage… Je vais y aller un peu triste avec le départ de cet oncle, c’est mon senti… Je veux pas manquer de savoir-vivre… C’est vide aujourd’hui… Je suis pas riche, un climatiseur c’est accessible à tout le monde… J’essaye d’être responsable je ne bois plus, je reste quand même égocentrique, veuillez me pardonner. J’ai pas faim j’ai trop mangé ce midi, je mangerai en soirée… En fin de journée le soleil plonge chez moi, dites-moi comment pourquoi je réussis pas à vous écrire mon senti… Je me dénigrerai pas c’est pas le temps, y’a des gens qui souffrent… Viens de lire un court poème sur la cocaïne, la drogue et sa consommation c’est tabou, ça laisse un stigmate je veux juste signaler que c’est possible d’arrêter de toute façon si j’arrêtais pas je serais mort… J’aime beaucoup voir les enfants avec leurs enfants en voyage… Je sais pas pourquoi comme souvent viens un moment où j’ai de la peine. Quand je vous écris c’est que je prends soin de ma santé mentale… Je vais vous illustrer ça avec la photo d’un carrefour à San Francisco. Me suis servis une SanPellegrino à l’orange ça fait du bien, ça me désaltère… C’est pétillant j’ai plus ce goût de sel. Je prends toujours mon temps pour vous écrire… Je sais pas si cet automne en Provence mes lecteurs de l’Outaouais vont visiter des classes comme ils le font souvent… Je me suis calmer je veux plus rien briser, rien péter, juste me rétablir je le dis encore… Encore une fois je souhaite bon anniversaire à mon lecteur de Deux-Montagnes… C’est difficile d’avoir de l’équilibre entre les sanglots et le rire… Les nouveaux mariés d’Hawaii vont être de retour bientôt, j’espère qu’ils auront pas trop de difficulté avec le quotidien. J’ai bien aimé le journal de leurs voyage. Je leurs souhaite un bon retour. Voilà! C’est la chute, la conclusion comme toujours je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine!!!

Bernard