jeudi 25 juillet 2019

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Rêve, j’étais en automobile avec un copain quand il a décidé de prendre un sens unique à l’inverse, j’ai eu peur et je me suis réveillé… C’est le genre de chose irresponsable qu’on faisait avant, maintenant on est pas parfait mais on évite le trouble… Dans quelques minutes c’est vendredi… J’ai compris je crois ce que c’est un animiste, c’est de voir Dieu partout… C’est pas très grave je crois que c’est mieux que pas avoir de Dieu du tout y’a des gens qui se font un Dieu tel qu’ils le conçoivent… Je crois beaucoup à la force supérieure. Ce soir j’ai perdu les photos des différentes peintures dans une salle de Versailles. Je vais vous illustrer ça avec des chimères dorées dans un plan d’eau du jardin de Versailles avec la canicule c’est plus approprié… Y’a beaucoup d’américains à Paris dans les interviews sur TV5 ça me rappelle le film un américain à Paris  une comédie musicale de Vincente Minelli avec Gene Kelly et Leslie Caron et des musiques de Georges Gershwin entre autre… Je voulais un peu vous montrer les jardins de Versailles quand ils sont vides, ces jours ci tous les bassins d’eau sont réquisitionné pour rafraichir la population… Y’a aussi le Minuit à Paris de Woody Allen, je vous énumérerai pas tous les films qui ont Paris comme toile de fond où comme personnage, la ville lumière nous fait toujours beaucoup rêvé… C’est un peu triste qu’elle soit envahie par les touristes  certains parisiens  disent qu’elle est devenue un grand musée… J’y suis allé une fois à Paris et je rêve d’y retourner dans des temps plus propice, plus accueillant pour les touristes faut pas oublier on ne reste jamais que des touristes dans cette ville…  Je m’exilerai pas en France je suis trop profondément Montréalais…Je me berce sur la chaise devant mon écran, j’attends l’automne et la reprise des activités de rétablissement… Je sais pas pourquoi j’ai dans la tête un concessionnaire automobile… Puisque vous savez écrire monsieur, madame faites-le donc et bâdré moi pas, je veux pas donner de leçon juste exprimer mon senti… Tout à coup y’a une fraiche odeur de savon je sais pas d’où ça viens… Voilà ça y est on est vendredi, y’en a qui rentreront pas à l’ouvrage ce matin, ils ont trop cherché et pas trouvé Montréal la nuit on est pas sauvé… Je termine ça et je retourne au lit… Je sais pas où j’ai laissé ces photos de Versailles dont je vous parlais, ça m’obsède comme si quelqu’un étais venus me les voler, quand il manque quelque chose c’est toujours le complot… Quelques mots encore, ça me désole de savoir que je vais mourir avec cette folie, cette schizophrénie… Ce texte tire à sa fin, je vous aurai encore une fois raconté mon senti… Je termine là-dessus c’est la nuit. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! On y arrive à la chute, à la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!

Bernard

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Je suis content, j’ai bien mangé, côtelettes de porc au beurre avec brocoli, carotte et pommes de terre… Avant de diner j’ai rédigé le compte rendu de la réunion de mon groupe d’entraide. Je me sens bien quand je fais ça… Le temps est superbe… Aujourd’hui je vous illustre ça avec une photo de la Transamerica Pyramid que déjà sur les plans de mille neuf cent soixante huit le directeur de l’urbanisme de San Francisco Allan Jacobs parla de « construction inhumaine ». Pendant la construction le spécialiste de l’architecture du Los Angeles Times, John Pastier critiquait la tour «  C’est de l’architecture anti sociale à son pire niveau. Une forme  d’anarchie et de perturbation comme on en voie se développer à Berkley et Oakland, de l’autre côté de la baie » Les plans ont été dessinés par les architectes de William Pereira et associés. L’édifice est d’une hauteur de deux-cent-soixante mètres «  trois-cent-vingt-quatre en comptant l’antenne » il est de quarante-huit étages c’est le plus grand bâtiment de San Francisco après le Salesforce Tower. Les travaux ont été achevé au cours de l’été mille-neuf-cent-soixante-douze. Ça répond aux normes parasismiques et à résisté au séisme de mille-neuf-cent-quatre-vingt-neuf, il est situé au six cent Montgomery street entre Clay et Washington streets. Je vous en raconte beaucoup mais moi je le trouve assez exceptionnel  cet édifice une pyramide élevé aux pharaons de la finance, je verrais bien Cléopâtre au sommet y aller d’un petit air à l’empire… La photographie montre pas vraiment sa grandeur, il manque peut-être un sphinx tout près pour qu’elle renaisse, les États-Unis-d’Amérique ont toujours de grands projets qui n’attendent pas l’autre… Je sais pas trop pourquoi je vous écris ça, peut-être pour éviter de vous écrire mon senti… La famille de ma lectrice photographe reviens d’Hawaii aujourd’hui bien mariés… Je trouve plus, je trouve pas, je pense aux enfants qui dorment dans l’avion. Encore aujourd’hui j’ai envie de partir pour je ne sais où?... Je suis très urbain, j’ai pas mon permis de conduire ça m’empêche d’aller me promener dans la campagne française… Tout ça au fond c’est pour vous distraire, vous amuser pas vous ennuyer… Je pense au quotidien comment parfois il peut-être plate, la routine… Aujourd’hui je fais pas la sieste, j’ai pas sommeil… Jeudi déjà, c’est toujours les vacances… Je sais pas quand les enfants retournent à l’école, septembre? Ils ont encore du bon temps a passé. L’été j’ai toujours de mauvais souvenirs de retour en classe raté, souvent ça me rend triste même si ça fait si longtemps… Je vous ai jamais raconté ma première job d’été, j’assemblais des chaises de jardin, je les frottais tellement sur mes cuisses que je me suis épilé à vie… J’ai le devant des cuisses tout brûlé… Parfois ma vie ressemble à un cauchemar. Voilà! C’est l’épilogue, un peu d’architecture et de senti… Comme toujours, mais l’éternité c’est long, je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!!

Bernard

mercredi 24 juillet 2019

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Ce soir ce sont les feux d’artifice, on entends les enfants pleurer parce qu’ils ont peur, ce sont les vacances du commun qui ne peut quitter Montréal. Ça me réveille toujours, la salve finale entre autre toujours plus bruyante… Vous me voyez venir j’ai pris une douche me suis parfumé pendant ce temps-là on essais de m’hameçonner avec paypal… Je viens d’apprendre que ma librairie préférée, Le Parchemin, fermait. J’y achetais souvent des bouquins pourtant mais je comprends qu’un client c’est pas suffisant… Le feux est finis les gens rentrent chez eux en écoutant riders on the storm des Doors…  Le rock vintage des années soixante-dix à la vie dure indémodable on l’entends encore partout… Les nouveaux mariés prennent l’avion ce matin, un retour d’Hawaii, ils nous ont bien fait rêver… Jeudi déjà, lentement la soirée avance je lis le parcours final d’un vieil écrivain célèbre. Je suis malheureux, je trouve plus de musique dans mes textes plus de rythme, j’arrête trop souvent ça viens pas, j’imagine que c’est plus évident dans un cahier y plonger le nez… Je crois que c’est une question de forme, je sais pas pourquoi j’écris sur la machine pendant que d’autre essaient de frauder… Je vous donne à lire vous me décevez pas, le défi c’est de sortir la moelle de l’os… J’essais de grandir avec tout ça de pas décevoir les lecteurs fidèles… Je vais encore écouter ce que mon senti me dis, le goulag après le feu d’artifice est redevenus désert. Dans ma vie à une époque j’étais incapable de vivre seul, j’ai donc habité une maison de chambres, je savais pas que c’était dangereux de m’acoquiner avec n’importe qui c’étais la paranoïa à l’envers, il était temps que la peur revienne maintenant j’apprécie ma solitude, je déménage plus je trouverai plus de culasse de balle de vingt-deux chez moi… J’ai un petit  tchat avec une amie sur Facebook, elle est allée à Terrebonne, la ville qui m’a défait et déchiré, j’y ai beaucoup souffert, je passe à autre chose ce sont de mauvais souvenirs… Il est pas encore minuit, les gens vont dans leur bistro où leur brasserie préféré et discutent devant une bière pour moi c’est finis ce temps là… Je sais vous allez parler de chaleur humaine mais une fois saoul c’est plutôt la froideur et la solitude… L’humanité je préfère la voir en voyage où à travers ma machine… L’amie elle me brise le cœur quand elle répond pas sur Facebook… Je laisse faire ça! J’ai presque terminé, y’a des gens qui vont se cacher dans le parc, il fait plus chaud, on va dormir dehors, voilà que je reviens encore avec cette thématique c’est peut-être que j’ai peur de me ramasser là inconsciemment… Voilà, j’arrive à la chute  à la conclusion. Je sais pas comment finir encore ce soir je suis passé au travers d’une gamme d’émotion. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!

Bernard


Au présent


Bonjour! Bonsoir! C’est l’après-midi je me souviens plus de rien… J’ai mangé d’énormes sandwichs au salami ça me laisse la bouche salée… Ai acheté un bouquin de Bukowsky, à la caisse j’ai eu des problèmes avec ma carte de crédit. J’en ai commandé une autre… Ce soir je mange des côtelettes de porc accompagné de pommes de terre de carottes et de brocoli… Je donne dans le domestique mon nom c’est pas Ricardo, ai lavé la vaisselle vais l’essuyer y’a pas beaucoup d’humour et de senti là-dedans… J’offre toute mes sympathies à la famille d’un oncle qui est décédé… Moi aussi je prends de l’âge je vais me dépêcher de partir en voyage, la semaine prochaine ce seras déjà le mois d’août, l’été qui s’en va… En fait on est au cœur de l’été, je me souviens de ces étés passés dans l’huile et le compound de l’atelier, ça collais dans la sueur… Je vous ai déjà surement parlé des énormes rats dans le coin des boîtes pour le métal de recyclage… Je vais y aller un peu triste avec le départ de cet oncle, c’est mon senti… Je veux pas manquer de savoir-vivre… C’est vide aujourd’hui… Je suis pas riche, un climatiseur c’est accessible à tout le monde… J’essaye d’être responsable je ne bois plus, je reste quand même égocentrique, veuillez me pardonner. J’ai pas faim j’ai trop mangé ce midi, je mangerai en soirée… En fin de journée le soleil plonge chez moi, dites-moi comment pourquoi je réussis pas à vous écrire mon senti… Je me dénigrerai pas c’est pas le temps, y’a des gens qui souffrent… Viens de lire un court poème sur la cocaïne, la drogue et sa consommation c’est tabou, ça laisse un stigmate je veux juste signaler que c’est possible d’arrêter de toute façon si j’arrêtais pas je serais mort… J’aime beaucoup voir les enfants avec leurs enfants en voyage… Je sais pas pourquoi comme souvent viens un moment où j’ai de la peine. Quand je vous écris c’est que je prends soin de ma santé mentale… Je vais vous illustrer ça avec la photo d’un carrefour à San Francisco. Me suis servis une SanPellegrino à l’orange ça fait du bien, ça me désaltère… C’est pétillant j’ai plus ce goût de sel. Je prends toujours mon temps pour vous écrire… Je sais pas si cet automne en Provence mes lecteurs de l’Outaouais vont visiter des classes comme ils le font souvent… Je me suis calmer je veux plus rien briser, rien péter, juste me rétablir je le dis encore… Encore une fois je souhaite bon anniversaire à mon lecteur de Deux-Montagnes… C’est difficile d’avoir de l’équilibre entre les sanglots et le rire… Les nouveaux mariés d’Hawaii vont être de retour bientôt, j’espère qu’ils auront pas trop de difficulté avec le quotidien. J’ai bien aimé le journal de leurs voyage. Je leurs souhaite un bon retour. Voilà! C’est la chute, la conclusion comme toujours je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine!!!

Bernard

mardi 23 juillet 2019

Au présent


Bonsoir! Bonjour! C’est une chaude nuit pour trainer dehors, ça chasse tous  les mauvais moments passé cet hiver. C’est moins douloureux de trouver ses sacs vert près à partir… Ce faux sentiment de liberté, la police qui viens vous chercher obligé de quitter parce que vous n’avez pas de bail… À l’époque tout se passait Carré Saint-Louis ont pouvait y dormir manger et acheter ce qui étais pas vraiment nécessaire… Les premières nuits chaudes ont y fêtais vraiment guitares chansons à la sortie des bars ou restaurant rue Prince-Arthur, la rue qui faisait le pont entre l’est et l’ouest à l’époque ont fréquentait beaucoup la salle la Polonaise où chez Swann qui a fait place au café Campus… Une carrière pouvait commencer là, parlez-en à l’auteur de « Comment faire l’amour avec un nègre sans se fatiguer ». Les nuits torrides au carré on les passait parfois à gueuler d’autre fois on allais s’asseoir à l’unique table en terrasse du Petit Bar rue Saint-Denis… C’étais le quartier latin à l’ombre des édifices, ce carré Saint-Louis ont pouvait  y croiser des poètes, les vers y étaient à l’abri de la police sauf ceux écris sur la maison de la regrettée Pauline Julien… On pouvait y somnoler faute d’ y trouver le sommeil, la poésie y étais aimante mais difficile, difficile comme l’art d’Armand déposé sur le gazon… La murale qui illustre ce texte a été charcuté y’a bien des années par les autorités en place, madame Julien, c’était sa maison, avait été poursuivis, on l’avait forcé à caviardé ce texte. Aujourd’hui c’est l’anniversaire de mon lecteur de Deux-Montagnes collectionneur d’automobiles, on lui souhaite encore plein de balades. Ma prosodie est pas très très originale cette nuit, le parc Émilie Gamelin a remplacé le carré Saint Louis, maintenant c’est là qu’on trouve les substances louches pour ceux qui souffrent… Le quartier latin s’est peuplé d’organismes qui viennent en aide aux itinérants, je dis itinérants mais ils le sont pas toujours, le quartier semble plus facile pour survivre pour faire la manche… Pourtant on peut y mourir d’overdose sur le trottoir faute d’avoir fréquenté les sites d’injections  supervisés. Moi la réduction des méfaits j’y crois pas tellement, ils s’injectent la mort un peu plus chaque fois, plus la nuit avance plus la cochonnerie est coupée… C’est plus fort que moi je suis encore rendus dans cette thématique… Je veux changer de propos… Même le livre que je vais acheter plus tard ce matin traite d’alcoolisme… Au carré Saint-Louis y’avait toujours un visage connus, une tête qu’on avait croisé ailleurs… C’était plus facile de demander sinon de regarder qui faisait les deals. Bon! C’était une espèce de senti pour cette nuit, on était à l’ombre de l’Institut National d’Hôtellerie du Québec, on y forme les chefs… Si je me souviens bien un copain avait fréquenté cette institution…. C’est presque la chute! Quelques mots encore pour terminer. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!

Bernard








Au présent


Bonjour! Bonsoir! Aujourd’hui je suis triste, les années passent et je sais pas trop comment vous dire… Je suis envieux des gens qui sont en voyage pourtant je l’ai fait le mien mais je partirais encore… Je fouille dans mon senti j’ai identifié ça mais peut-être que je me trompe… Je vais vous illustrer ça avec une photo de la rue Sainte-Catherine ou j’habite… J’ai essayé de faire la sieste mais j’y suis pas arrivé, j’aime beaucoup voir les photos des lecteurs, lectrices en voyage avec leurs enfants. Je crois que la super maman va être de retour chez elle… Moi je suis toujours dans mon quotidien drabe, je pense à l’amie chez ses parents en France… Puisqu’il faut dire je tente ma chance, j’ai plus la pression que j’avais dans ma jeunesse, je courrais après l’argent incapable de payer les obligations mensuelles… Ici non plus je me dénigrerai pas, maintenant je fais de mon mieux ça vous donne pas de la très bonne lecture… Ce matin je cherchais un livre de Bukowsky sur ce qu’est l’écriture pour un vieil écrivain… Le scribe est mort dans sa décadence moi j’étais incapable d’écrire sous l’influence de l’alcool… Je pense que les écrivains qui boivent soignent leurs dépressions. Encore dans le même champ lexical, j’essais autre chose, souvenir de ces longues balades à vélo où j’aimais entendre ronronner les pneus gonflés bien dur… Chaque matin de beau temps je partais par les petits chemins et je pédalais  quelques kilomètres… À l’époque mon vélo c’était un Saint-Tropez, pas une mauvaise bécane, pas trop lourde, c’est certain que ça valais pas une Marinoni sur mesure mais c’était pas dans mes moyens parfois je sprintais un moment pour prendre un rythme plus régulier, j’avais pas de coéquipier pour m’ouvrir le chemin… Mon lecteur de Brossard se souviens peut-être de cette agréable randonnée qu’on avait fait jusqu’à Hull, de bons souvenirs… Maintenant j’ai peur de rouler en ville, les conducteurs qui ne m’aperçoivent pas dans l’angle mort… Y’a un de mes lecteurs qui en avais une je crois Marinoni sur mesure… Il dormais avec dans sa chambre, on s’en était fait voler tant de vélos… Une chose absurde que je faisais, je partais de chez le patriarche pour sprinter sur le boulevard des Seigneurs jusqu’à la brasserie du même nom… J’aimais pas beaucoup les pentes j’évitais le Chemin Gascon parfois je descendais dans le vieux Terrebonne pour monter sois le boulevard des Braves, la rue Saint-Joseph où la rue Chapleau… Je salut ici le praticien ressource à la retraite qui roule encore malgré un âge vénérable… Parfois je roulais sur la montée Masson à Saint-François jusqu’au boulevard Lévesque et je traversais le pont Pie IX… J’étais jeune j’avais du temps je savais pas où la vie allait m’amener, je lisais Foglia… Voilà quelques souvenirs pour ceux qui comme moi ont connus une belle époque pour ensuite tomber dans le délire. C’est la chute, je vous remercie comme toujours d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!!

Bernard

lundi 22 juillet 2019

Au présent


Bonsoir! Bonjour! J’arrive pas à dormir. Cette nuit je vous illustre ça avec une sculpture du bord de l’eau à Lanoraie. L’Iroquoienne et les trois sœurs qui sont le maïs, les haricots et les courges. L’Iroquoienne pile le maïs dans un mortier pour faire de la farine. La sculpteure-modeliste est Caroline Bouchard c’est du fibre de verre. L’intérêt de cette œuvre est le patrimoine elle nous illustre le mode de vie des autochtones avant l’arrivée des européens. C’est un intéressant arrêt dans l’histoire… Chez le profane artistique on aime bien le figuratif, ça parle! Lanoraie était l’emplacement d’une longue maison iroquoise… Voilà le parcours de madame Bouchard http://www.caboartiste.ca/page-d-exemple/  les dimensions de la sculpture sont de 10.2x 12.7x 15.2 cm elle est d’un poids de 158.76 kg le thème de l’amérindienne est très actuel, les mères toujours très puissantes dans les tribus, la sculpture illustre très bien le rôle de raffineuse de la femme amérindienne. Elle nous rappelle aussi que nous n’étions pas les premiers sur cette terre. Enfin je suis pas ethnologue… Je vais vous revenir avec mon senti, je sais pas comment les autochtones apprécient qu’on s’approprie leur image… J’aime mieux l’art abstrait il provoque et parle plus. Une femme dans ses gestes simples de tous les jours nous ramène à une certaine réalité, c’est le souvenir d’avant, avant qu’on est déviergé cette terre… Ça me ramène dans l’ouest ces femmes qu’ont a tué sans raison, la faute qu’a commis l’homme blanc de ne pas protéger nos mères https://youtu.be/277uXp2_rUQ  Je sais vous allez trouver ça cliché mais moi me semble que c’est approprié… Je me rappelle dans mon enfance quand on passait en voiture dans ce qu’on appelait encore Pointe-Bleue j’avais tellement peur j’en pleurais, je me suis calmé plus tard plus au sud en allant à la messe à Odanak… Je trouve pas je trouve plus de quoi vous parler, j’ai peur d’avoir perdus la photo, cette nuit il fait un peu chaud mais ça s’endure, c’est très laid comme phrase… J’ai éteins la lampe, je reviens à la lumière blanche de l’écran, quand je tombe dans une thématique je délire… Souvenir de comment je détestais porter des vêtements du dimanche, j’y étais pas à l’aise surtout l’été dans les canicules… Mais non je m’auto-dénigrerai pas, ni ne m’auto-stigmatiserai, je vous écris c’est pour grandir pour combattre justement ces deux fléaux, souvent on vois dans ceux qui écrivent sur internet… J’en dis pas plus vous êtes les juges. Je veux faire du bon, je veux être bien et bon… J’ai peur qu’on donne un sens contraire à ce que j’écris… Je sais tout ça sonne comme de l’angoisse… J’ai tout mêlé et je suis tout mêlé de toute façon c’est pas un texte à teneur scientifique… Je trouve plus, je cherche dans mon senti, je verrai bien où va la nuit. J’y suis presque, quelques mots encore, je termine comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Lâchez pas c’est presque finis. À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!

Bernard