Bonsoir!
Bonjour! Rêve, j’étais en automobile avec un copain quand il a décidé de
prendre un sens unique à l’inverse, j’ai eu peur et je me suis réveillé… C’est
le genre de chose irresponsable qu’on faisait avant, maintenant on est pas parfait
mais on évite le trouble… Dans quelques minutes c’est vendredi… J’ai compris je
crois ce que c’est un animiste, c’est de voir Dieu partout… C’est pas très
grave je crois que c’est mieux que pas avoir de Dieu du tout y’a des gens qui
se font un Dieu tel qu’ils le conçoivent… Je crois beaucoup à la force
supérieure. Ce soir j’ai perdu les photos des différentes peintures dans une
salle de Versailles. Je vais vous illustrer ça avec des chimères dorées dans un
plan d’eau du jardin de Versailles avec la canicule c’est plus approprié… Y’a
beaucoup d’américains à Paris dans les interviews sur TV5 ça me rappelle le
film un américain à Parisune comédie
musicale de Vincente Minelli avec Gene Kelly et Leslie Caron et des musiques de
Georges Gershwin entre autre… Je voulais un peu vous montrer les jardins de
Versailles quand ils sont vides, ces jours ci tous les bassins d’eau sont
réquisitionné pour rafraichir la population… Y’a aussi le Minuit à Paris de
Woody Allen, je vous énumérerai pas tous les films qui ont Paris comme toile de
fond où comme personnage, la ville lumière nous fait toujours beaucoup rêvé… C’est
un peu triste qu’elle soit envahie par les touristes certains parisiensdisent qu’elle est devenue un grand musée… J’y
suis allé une fois à Paris et je rêve d’y retourner dans des temps plus
propice, plus accueillant pour les touristes faut pas oublier on ne reste
jamais que des touristes dans cette ville… Je m’exilerai pas en France je suis trop
profondément Montréalais…Je me berce sur la chaise devant mon écran, j’attends
l’automne et la reprise des activités de rétablissement… Je sais pas pourquoi j’ai
dans la tête un concessionnaire automobile… Puisque vous savez écrire monsieur,
madame faites-le donc et bâdré moi pas, je veux pas donner de leçon juste
exprimer mon senti… Tout à coup y’a une fraiche odeur de savon je sais pas d’où
ça viens… Voilà ça y est on est vendredi, y’en a qui rentreront pas à l’ouvrage
ce matin, ils ont trop cherché et pas trouvé Montréal la nuit on est pas sauvé…
Je termine ça et je retourne au lit… Je sais pas où j’ai laissé ces photos
de Versailles dont je vous parlais, ça m’obsède comme si quelqu’un étais venus
me les voler, quand il manque quelque chose c’est toujours le complot… Quelques
mots encore, ça me désole de savoir que je vais mourir avec cette folie, cette
schizophrénie… Ce texte tire à sa fin, je vous aurai encore une fois raconté
mon senti… Je termine là-dessus c’est la nuit. Comme toujours je vous remercie
d’avoir lu jusque-là!!! On y arrive à la chute, à la prochaine je l’espère!!!
Au revoir!!! À bientôt!!!
Bonjour!
Bonsoir! Je suis content, j’ai bien mangé, côtelettes de porc au beurre avec
brocoli, carotte et pommes de terre… Avant de diner j’ai rédigé le compte rendu
de la réunion de mon groupe d’entraide. Je me sens bien quand je fais ça… Le
temps est superbe… Aujourd’hui je vous illustre ça avec une photo de la
Transamerica Pyramid que déjà sur les plans de mille neuf cent soixante huit le
directeur de l’urbanisme de San Francisco Allan Jacobs parla de « construction
inhumaine ». Pendant la construction le spécialiste de l’architecture du
Los Angeles Times, John Pastier critiquait la tour « C’est de l’architecture
anti sociale à son pire niveau. Une formed’anarchie et de perturbation comme on en voie se développer à Berkley
et Oakland, de l’autre côté de la baie » Les plans ont été dessinés par
les architectes de William Pereira et associés. L’édifice est d’une hauteur de
deux-cent-soixante mètres « trois-cent-vingt-quatre en comptant l’antenne »
il est de quarante-huit étages c’est le plus grand bâtiment de San Francisco
après le Salesforce Tower. Les travaux ont été achevé au cours de l’été
mille-neuf-cent-soixante-douze. Ça répond aux normes parasismiques et à résisté
au séisme de mille-neuf-cent-quatre-vingt-neuf, il est situé au six cent
Montgomery street entre Clay et Washington streets. Je vous en raconte beaucoup
mais moi je le trouve assez exceptionnel cet édifice une pyramide élevé aux pharaons de
la finance, je verrais bien Cléopâtre au sommet y aller d’un petit air à l’empire…
La photographie montre pas vraiment sa grandeur, il manque peut-être un sphinx
tout près pour qu’elle renaisse, les États-Unis-d’Amérique ont toujours de
grands projets qui n’attendent pas l’autre… Je sais pas trop pourquoi je vous
écris ça, peut-être pour éviter de vous écrire mon senti… La famille de ma
lectrice photographe reviens d’Hawaii aujourd’hui bien mariés… Je trouve plus,
je trouve pas, je pense aux enfants qui dorment dans l’avion. Encore aujourd’hui
j’ai envie de partir pour je ne sais où?... Je suis très urbain, j’ai pas mon
permis de conduire ça m’empêche d’aller me promener dans la campagne française…
Tout ça au fond c’est pour vous distraire, vous amuser pas vous ennuyer… Je
pense au quotidien comment parfois il peut-être plate, la routine… Aujourd’hui
je fais pas la sieste, j’ai pas sommeil… Jeudi déjà, c’est toujours les
vacances… Je sais pas quand les enfants retournent à l’école, septembre? Ils
ont encore du bon temps a passé. L’été j’ai toujours de mauvais souvenirs de
retour en classe raté, souvent ça me rend triste même si ça fait si longtemps…
Je vous ai jamais raconté ma première job d’été, j’assemblais des chaises de
jardin, je les frottais tellement sur mes cuisses que je me suis épilé à vie… J’ai
le devant des cuisses tout brûlé… Parfois ma vie ressemble à un cauchemar.
Voilà! C’est l’épilogue, un peu d’architecture et de senti… Comme toujours,
mais l’éternité c’est long, je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la
prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!!
Bonsoir!
Bonjour! Ce soir ce sont les feux d’artifice, on entends les enfants pleurer
parce qu’ils ont peur, ce sont les vacances du commun qui ne peut quitter
Montréal. Ça me réveille toujours, la salve finale entre autre toujours plus
bruyante… Vous me voyez venir j’ai pris une douche me suis parfumé pendant ce
temps-là on essais de m’hameçonner avec paypal… Je viens d’apprendre que ma
librairie préférée, Le Parchemin, fermait. J’y achetais souvent des bouquins
pourtant mais je comprends qu’un client c’est pas suffisant… Le feux est finis
les gens rentrent chez eux en écoutant riders on the storm des Doors…Le rock vintage des années soixante-dix à la
vie dure indémodable on l’entends encore partout… Les nouveaux mariés prennent
l’avion ce matin, un retour d’Hawaii, ils nous ont bien fait rêver… Jeudi déjà,
lentement la soirée avance je lis le parcours final d’un vieil écrivain
célèbre. Je suis malheureux, je trouve plus de musique dans mes textes plus de
rythme, j’arrête trop souvent ça viens pas, j’imagine que c’est plus évident
dans un cahier y plonger le nez… Je crois que c’est une question de forme, je
sais pas pourquoi j’écris sur la machine pendant que d’autre essaient de
frauder… Je vous donne à lire vous me décevez pas, le défi c’est de sortir la
moelle de l’os… J’essais de grandir avec tout ça de pas décevoir les lecteurs
fidèles… Je vais encore écouter ce que mon senti me dis, le goulag après le feu
d’artifice est redevenus désert. Dans ma vie à une époque j’étais incapable de
vivre seul, j’ai donc habité une maison de chambres, je savais pas que c’était
dangereux de m’acoquiner avec n’importe qui c’étais la paranoïa à l’envers, il
était temps que la peur revienne maintenant j’apprécie ma solitude, je déménage
plus je trouverai plus de culasse de balle de vingt-deux chez moi… J’ai un
petit tchat avec une amie sur Facebook,
elle est allée à Terrebonne, la ville qui m’a défait et déchiré, j’y ai
beaucoup souffert, je passe à autre chose ce sont de mauvais souvenirs… Il est
pas encore minuit, les gens vont dans leur bistro où leur brasserie préféré et
discutent devant une bière pour moi c’est finis ce temps là… Je sais vous allez
parler de chaleur humaine mais une fois saoul c’est plutôt la froideur et la
solitude… L’humanité je préfère la voir en voyage où à travers ma machine… L’amie
elle me brise le cœur quand elle répond pas sur Facebook… Je laisse faire ça! J’ai
presque terminé, y’a des gens qui vont se cacher dans le parc, il fait plus
chaud, on va dormir dehors, voilà que je reviens encore avec cette thématique c’est
peut-être que j’ai peur de me ramasser là inconsciemment… Voilà, j’arrive à la
chuteà la conclusion. Je sais pas
comment finir encore ce soir je suis passé au travers d’une gamme d’émotion.
Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!!
Au revoir!!! À bientôt!!!
Bonjour!
Bonsoir! C’est l’après-midi je me souviens plus de rien… J’ai mangé d’énormes
sandwichs au salami ça me laisse la bouche salée… Ai acheté un bouquin de Bukowsky,
à la caisse j’ai eu des problèmes avec ma carte de crédit. J’en ai commandé une
autre… Ce soir je mange des côtelettes de porc accompagné de pommes de terre de
carottes et de brocoli… Je donne dans le domestique mon nom c’est pas Ricardo,
ai lavé la vaisselle vais l’essuyer y’a pas beaucoup d’humour et de senti
là-dedans… J’offre toute mes sympathies à la famille d’un oncle qui est décédé…
Moi aussi je prends de l’âge je vais me dépêcher de partir en voyage, la
semaine prochaine ce seras déjà le mois d’août, l’été qui s’en va… En fait on
est au cœur de l’été, je me souviens de ces étés passés dans l’huile et le compound
de l’atelier, ça collais dans la sueur… Je vous ai déjà surement parlé des
énormes rats dans le coin des boîtes pour le métal de recyclage… Je vais y
aller un peu triste avec le départ de cet oncle, c’est mon senti… Je veux pas
manquer de savoir-vivre… C’est vide aujourd’hui… Je suis pas riche, un
climatiseur c’est accessible à tout le monde… J’essaye d’être responsable je ne
bois plus, je reste quand même égocentrique, veuillez me pardonner. J’ai pas
faim j’ai trop mangé ce midi, je mangerai en soirée… En fin de journée le
soleil plonge chez moi, dites-moi comment pourquoi je réussis pas à vous écrire
mon senti… Je me dénigrerai pas c’est pas le temps, y’a des gens qui souffrent…
Viens de lire un court poème sur la cocaïne, la drogue et sa consommation c’est
tabou, ça laisse un stigmate je veux juste signaler que c’est possible d’arrêter
de toute façon si j’arrêtais pas je serais mort… J’aime beaucoup voir les
enfants avec leurs enfants en voyage… Je sais pas pourquoi comme souvent viens
un moment où j’ai de la peine. Quand je vous écris c’est que je prends soin de ma
santé mentale… Je vais vous illustrer ça avec la photo d’un carrefour à San
Francisco. Me suis servis une SanPellegrino à l’orange ça fait du bien, ça me
désaltère… C’est pétillant j’ai plus ce goût de sel. Je prends toujours mon
temps pour vous écrire… Je sais pas si cet automne en Provence mes lecteurs de
l’Outaouais vont visiter des classes comme ils le font souvent… Je me suis
calmer je veux plus rien briser, rien péter, juste me rétablir je le dis encore…
Encore une fois je souhaite bon anniversaire à mon lecteur de Deux-Montagnes… C’est
difficile d’avoir de l’équilibre entre les sanglots et le rire… Les nouveaux
mariés d’Hawaii vont être de retour bientôt, j’espère qu’ils auront pas trop de
difficulté avec le quotidien. J’ai bien aimé le journal de leurs voyage. Je
leurs souhaite un bon retour. Voilà! C’est la chute, la conclusion comme
toujours je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la
prochaine!!!
Bonsoir!
Bonjour! C’est une chaude nuit pour trainer dehors, ça chasse tousles mauvais moments passé cet hiver. C’est
moins douloureux de trouver ses sacs vert près à partir… Ce faux sentiment de
liberté, la police qui viens vous chercher obligé de quitter parce que vous n’avez
pas de bail… À l’époque tout se passait Carré Saint-Louis ont pouvait y dormir manger
et acheter ce qui étais pas vraiment nécessaire… Les premières nuits chaudes
ont y fêtais vraiment guitares chansons à la sortie des bars ou restaurant rue
Prince-Arthur, la rue qui faisait le pont entre l’est et l’ouest à l’époque ont
fréquentait beaucoup la salle la Polonaise où chez Swann qui a fait place au
café Campus… Une carrière pouvait commencer là, parlez-en à l’auteur de « Comment
faire l’amour avec un nègre sans se fatiguer ». Les nuits torrides au
carré on les passait parfois à gueuler d’autre fois on allais s’asseoir à l’unique
table en terrasse du Petit Bar rue Saint-Denis… C’étais le quartier latin à l’ombre
des édifices, ce carré Saint-Louis ont pouvaity croiser des poètes, les vers y étaient à l’abri de la police sauf ceux
écris sur la maison de la regrettée Pauline Julien… On pouvait y somnoler faute
d’ y trouver le sommeil, la poésie y étais aimante mais difficile, difficile
comme l’art d’Armand déposé sur le gazon… La murale qui illustre ce texte a été
charcuté y’a bien des années par les autorités en place, madame Julien, c’était
sa maison, avait été poursuivis, on l’avait forcé à caviardé ce texte. Aujourd’hui
c’est l’anniversaire de mon lecteur de Deux-Montagnes collectionneur d’automobiles,
on lui souhaite encore plein de balades. Ma prosodie est pas très très
originale cette nuit, le parc Émilie Gamelin a remplacé le carré Saint Louis,
maintenant c’est là qu’on trouve les substances louches pour ceux qui souffrent…
Le quartier latin s’est peuplé d’organismes qui viennent en aide aux
itinérants, je dis itinérants mais ils le sont pas toujours, le quartier semble
plus facile pour survivre pour faire la manche… Pourtant on peut y mourir d’overdose
sur le trottoir faute d’avoir fréquenté les sites d’injectionssupervisés. Moi la réduction des méfaits j’y
crois pas tellement, ils s’injectent la mort un peu plus chaque fois, plus la
nuit avance plus la cochonnerie est coupée… C’est plus fort que moi je suis
encore rendus dans cette thématique… Je veux changer de propos… Même le livre
que je vais acheter plus tard ce matin traite d’alcoolisme… Au carré Saint-Louis
y’avait toujours un visage connus, une tête qu’on avait croisé ailleurs… C’était
plus facile de demander sinon de regarder qui faisait les deals. Bon! C’était
une espèce de senti pour cette nuit, on était à l’ombre de l’Institut National
d’Hôtellerie du Québec, on y forme les chefs… Si je me souviens bien un copain
avait fréquenté cette institution…. C’est presque la chute! Quelques mots encore
pour terminer. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la
prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!
Bonjour!
Bonsoir! Aujourd’hui je suis triste, les années passent et je sais pas trop
comment vous dire… Je suis envieux des gens qui sont en voyage pourtant je l’ai
fait le mien mais je partirais encore… Je fouille dans mon senti j’ai identifié
ça mais peut-être que je me trompe… Je vais vous illustrer ça avec une photo de
la rue Sainte-Catherine ou j’habite… J’ai essayé de faire la sieste mais j’y
suis pas arrivé, j’aime beaucoup voir les photos des lecteurs, lectrices en
voyage avec leurs enfants. Je crois que la super maman va être de retour chez
elle… Moi je suis toujours dans mon quotidien drabe, je pense à l’amie chez ses
parents en France… Puisqu’il faut dire je tente ma chance, j’ai plus la
pression que j’avais dans ma jeunesse, je courrais après l’argent incapable de
payer les obligations mensuelles… Ici non plus je me dénigrerai pas, maintenant
je fais de mon mieux ça vous donne pas de la très bonne lecture… Ce matin je
cherchais un livre de Bukowsky sur ce qu’est l’écriture pour un vieil écrivain…
Le scribe est mort dans sa décadence moi j’étais incapable d’écrire sous l’influence
de l’alcool… Je pense que les écrivains qui boivent soignent leurs dépressions.
Encore dans le même champ lexical, j’essais autre chose, souvenir de ces
longues balades à vélo où j’aimais entendre ronronner les pneus gonflés bien
dur… Chaque matin de beau temps je partais par les petits chemins et je
pédalais quelques kilomètres… À l’époque
mon vélo c’était un Saint-Tropez, pas une mauvaise bécane, pas trop lourde, c’est
certain que ça valais pas une Marinoni sur mesure mais c’était pas dans mes
moyens parfois je sprintais un moment pour prendre un rythme plus régulier, j’avais
pas de coéquipier pour m’ouvrir le chemin… Mon lecteur de Brossard se souviens
peut-être de cette agréable randonnée qu’on avait fait jusqu’à Hull, de bons
souvenirs… Maintenant j’ai peur de rouler en ville, les conducteurs qui ne m’aperçoivent
pas dans l’angle mort… Y’a un de mes lecteurs qui en avais une je crois
Marinoni sur mesure… Il dormais avec dans sa chambre, on s’en était fait voler
tant de vélos… Une chose absurde que je faisais, je partais de chez le
patriarche pour sprinter sur le boulevard des Seigneurs jusqu’à la brasserie du
même nom… J’aimais pas beaucoup les pentes j’évitais le Chemin Gascon parfois
je descendais dans le vieux Terrebonne pour monter sois le boulevard des
Braves, la rue Saint-Joseph où la rue Chapleau… Je salut ici le praticien
ressource à la retraite qui roule encore malgré un âge vénérable… Parfois je
roulais sur la montée Masson à Saint-François jusqu’au boulevard Lévesque et je
traversais le pont Pie IX… J’étais jeune j’avais du temps je savais pas où la
vie allait m’amener, je lisais Foglia… Voilà quelques souvenirs pour ceux qui
comme moi ont connus une belle époque pour ensuite tomber dans le délire. C’est
la chute, je vous remercie comme toujours d’avoir lu jusque-là!!! À la
prochaine j’espère!!!
Bonsoir!
Bonjour! J’arrive pas à dormir. Cette nuit je vous illustre ça avec une
sculpture du bord de l’eau à Lanoraie. L’Iroquoienne et les trois sœurs qui
sont le maïs, les haricots et les courges. L’Iroquoienne pile le maïs dans un
mortier pour faire de la farine. La sculpteure-modeliste est Caroline Bouchard
c’est du fibre de verre. L’intérêt de cette œuvre est le patrimoine elle nous
illustre le mode de vie des autochtones avant l’arrivée des européens. C’est un
intéressant arrêt dans l’histoire… Chez le profane artistique on aime bien le
figuratif, ça parle! Lanoraie était l’emplacement d’une longue maison iroquoise…
Voilà le parcours de madame Bouchard http://www.caboartiste.ca/page-d-exemple/les dimensions de la sculpture sont de
10.2x 12.7x 15.2 cm elle est d’un poids de 158.76 kg le thème de l’amérindienne
est très actuel, les mères toujours très puissantes dans les tribus, la
sculpture illustre très bien le rôle de raffineuse de la femme amérindienne.
Elle nous rappelle aussi que nous n’étions pas les premiers sur cette terre.
Enfin je suis pas ethnologue… Je vais vous revenir avec mon senti, je sais pas
comment les autochtones apprécient qu’on s’approprie leur image… J’aime mieux l’art
abstrait il provoque et parle plus. Une femme dans ses gestes simples de tous
les jours nous ramène à une certaine réalité, c’est le souvenir d’avant, avant
qu’on est déviergé cette terre… Ça me ramène dans l’ouest ces femmes qu’ont a
tué sans raison, la faute qu’a commis l’homme blanc de ne pas protéger nos
mères https://youtu.be/277uXp2_rUQJe sais vous allez trouver ça cliché mais moi
me semble que c’est approprié… Je me rappelle dans mon enfance quand on passait
en voiture dans ce qu’on appelait encore Pointe-Bleue j’avais tellement peur j’en
pleurais, je me suis calmé plus tard plus au sud en allant à la messe à Odanak…
Je trouve pas je trouve plus de quoi vous parler, j’ai peur d’avoir perdus la
photo, cette nuit il fait un peu chaud mais ça s’endure, c’est très laid comme
phrase… J’ai éteins la lampe, je reviens à la lumière blanche de l’écran, quand
je tombe dans une thématique je délire… Souvenir de comment je détestais porter
des vêtements du dimanche, j’y étais pas à l’aise surtout l’été dans les
canicules… Mais non je m’auto-dénigrerai pas, ni ne m’auto-stigmatiserai, je
vous écris c’est pour grandir pour combattre justement ces deux fléaux, souvent
on vois dans ceux qui écrivent sur internet… J’en dis pas plus vous êtes
les juges. Je veux faire du bon, je veux être bien et bon… J’ai peur qu’on
donne un sens contraire à ce que j’écris… Je sais tout ça sonne comme de l’angoisse…
J’ai tout mêlé et je suis tout mêlé de toute façon c’est pas un texte à teneur
scientifique… Je trouve plus, je cherche dans mon senti, je verrai bien où va
la nuit. J’y suis presque, quelques mots encore, je termine comme toujours je
vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Lâchez pas c’est presque finis. À la
prochaine j’espère!!! Ciao!!!