mardi 23 juillet 2019

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Aujourd’hui je suis triste, les années passent et je sais pas trop comment vous dire… Je suis envieux des gens qui sont en voyage pourtant je l’ai fait le mien mais je partirais encore… Je fouille dans mon senti j’ai identifié ça mais peut-être que je me trompe… Je vais vous illustrer ça avec une photo de la rue Sainte-Catherine ou j’habite… J’ai essayé de faire la sieste mais j’y suis pas arrivé, j’aime beaucoup voir les photos des lecteurs, lectrices en voyage avec leurs enfants. Je crois que la super maman va être de retour chez elle… Moi je suis toujours dans mon quotidien drabe, je pense à l’amie chez ses parents en France… Puisqu’il faut dire je tente ma chance, j’ai plus la pression que j’avais dans ma jeunesse, je courrais après l’argent incapable de payer les obligations mensuelles… Ici non plus je me dénigrerai pas, maintenant je fais de mon mieux ça vous donne pas de la très bonne lecture… Ce matin je cherchais un livre de Bukowsky sur ce qu’est l’écriture pour un vieil écrivain… Le scribe est mort dans sa décadence moi j’étais incapable d’écrire sous l’influence de l’alcool… Je pense que les écrivains qui boivent soignent leurs dépressions. Encore dans le même champ lexical, j’essais autre chose, souvenir de ces longues balades à vélo où j’aimais entendre ronronner les pneus gonflés bien dur… Chaque matin de beau temps je partais par les petits chemins et je pédalais  quelques kilomètres… À l’époque mon vélo c’était un Saint-Tropez, pas une mauvaise bécane, pas trop lourde, c’est certain que ça valais pas une Marinoni sur mesure mais c’était pas dans mes moyens parfois je sprintais un moment pour prendre un rythme plus régulier, j’avais pas de coéquipier pour m’ouvrir le chemin… Mon lecteur de Brossard se souviens peut-être de cette agréable randonnée qu’on avait fait jusqu’à Hull, de bons souvenirs… Maintenant j’ai peur de rouler en ville, les conducteurs qui ne m’aperçoivent pas dans l’angle mort… Y’a un de mes lecteurs qui en avais une je crois Marinoni sur mesure… Il dormais avec dans sa chambre, on s’en était fait voler tant de vélos… Une chose absurde que je faisais, je partais de chez le patriarche pour sprinter sur le boulevard des Seigneurs jusqu’à la brasserie du même nom… J’aimais pas beaucoup les pentes j’évitais le Chemin Gascon parfois je descendais dans le vieux Terrebonne pour monter sois le boulevard des Braves, la rue Saint-Joseph où la rue Chapleau… Je salut ici le praticien ressource à la retraite qui roule encore malgré un âge vénérable… Parfois je roulais sur la montée Masson à Saint-François jusqu’au boulevard Lévesque et je traversais le pont Pie IX… J’étais jeune j’avais du temps je savais pas où la vie allait m’amener, je lisais Foglia… Voilà quelques souvenirs pour ceux qui comme moi ont connus une belle époque pour ensuite tomber dans le délire. C’est la chute, je vous remercie comme toujours d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!!

Bernard

lundi 22 juillet 2019

Au présent


Bonsoir! Bonjour! J’arrive pas à dormir. Cette nuit je vous illustre ça avec une sculpture du bord de l’eau à Lanoraie. L’Iroquoienne et les trois sœurs qui sont le maïs, les haricots et les courges. L’Iroquoienne pile le maïs dans un mortier pour faire de la farine. La sculpteure-modeliste est Caroline Bouchard c’est du fibre de verre. L’intérêt de cette œuvre est le patrimoine elle nous illustre le mode de vie des autochtones avant l’arrivée des européens. C’est un intéressant arrêt dans l’histoire… Chez le profane artistique on aime bien le figuratif, ça parle! Lanoraie était l’emplacement d’une longue maison iroquoise… Voilà le parcours de madame Bouchard http://www.caboartiste.ca/page-d-exemple/  les dimensions de la sculpture sont de 10.2x 12.7x 15.2 cm elle est d’un poids de 158.76 kg le thème de l’amérindienne est très actuel, les mères toujours très puissantes dans les tribus, la sculpture illustre très bien le rôle de raffineuse de la femme amérindienne. Elle nous rappelle aussi que nous n’étions pas les premiers sur cette terre. Enfin je suis pas ethnologue… Je vais vous revenir avec mon senti, je sais pas comment les autochtones apprécient qu’on s’approprie leur image… J’aime mieux l’art abstrait il provoque et parle plus. Une femme dans ses gestes simples de tous les jours nous ramène à une certaine réalité, c’est le souvenir d’avant, avant qu’on est déviergé cette terre… Ça me ramène dans l’ouest ces femmes qu’ont a tué sans raison, la faute qu’a commis l’homme blanc de ne pas protéger nos mères https://youtu.be/277uXp2_rUQ  Je sais vous allez trouver ça cliché mais moi me semble que c’est approprié… Je me rappelle dans mon enfance quand on passait en voiture dans ce qu’on appelait encore Pointe-Bleue j’avais tellement peur j’en pleurais, je me suis calmé plus tard plus au sud en allant à la messe à Odanak… Je trouve pas je trouve plus de quoi vous parler, j’ai peur d’avoir perdus la photo, cette nuit il fait un peu chaud mais ça s’endure, c’est très laid comme phrase… J’ai éteins la lampe, je reviens à la lumière blanche de l’écran, quand je tombe dans une thématique je délire… Souvenir de comment je détestais porter des vêtements du dimanche, j’y étais pas à l’aise surtout l’été dans les canicules… Mais non je m’auto-dénigrerai pas, ni ne m’auto-stigmatiserai, je vous écris c’est pour grandir pour combattre justement ces deux fléaux, souvent on vois dans ceux qui écrivent sur internet… J’en dis pas plus vous êtes les juges. Je veux faire du bon, je veux être bien et bon… J’ai peur qu’on donne un sens contraire à ce que j’écris… Je sais tout ça sonne comme de l’angoisse… J’ai tout mêlé et je suis tout mêlé de toute façon c’est pas un texte à teneur scientifique… Je trouve plus, je cherche dans mon senti, je verrai bien où va la nuit. J’y suis presque, quelques mots encore, je termine comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Lâchez pas c’est presque finis. À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!

Bernard




Au présent


Bonsoir! Bonjour! Nuit de dimanche à lundi, y’en a qui vont mieux dormir en sachant qu’ils vont pas travailler ce matin… Je me demande toujours pourquoi le regretté patriarche avait décidé d’acheter une maison à Terrebonne. Il racontais toujours la même histoire, que comme il avait des enfants, six! On refusait de lui louer un appartement…L’autoroute et les ponts de l’île Saint-Jean étaient déjà là, nous habitions tout au bout au nord de ce qui étais construit. Rue Kennedy, les premières années ce n’étaient que des champs… Mais oui! On va pouvoir trainer tard dans la ville bien que ce soit dangereux… Je pense encore aux maisons de San Francisco à ces quartiers pour richard… J’aurais aimé être un vrai Montréalais, je me suis ramassé avec une gang qui venait de Ville D’Anjou j’avais pas d’affaire là… J’étais perdu la ville est grande, à Terrebonne y’avait pas de Collège d’enseignement général et professionnel, les gars étaient inscrit aux arts graphiques à Ahuntsic… Je m’étais laissé prendre par un gars qui disait se faire payer pour terminer son secondaire, tout ce qu’ils payaient c’était ma pension chez le patriarche… Pas de métier beaucoup de misère, en anglais ils disent « jack of all trade master of none ». Souvenir d’un gars qui boitais, je l’ai croisé deux fois dans ma vie je sais pas ce qu’il voulait, il est vite disparu, je lui faisait pas confiance... J’en parle pas plus je veux pas qu’il revienne. C’est la nuit, je vous vois déjà en chaloupe où sur le bord de l’eau sans téléphone et sans ordinateur… Je pense m’en passé des vites, j’ai pas conscience de ce que je suis de ce que je fais, il me manque le regard extérieur. Je suis trop dans l’introspection… Hier après-midi  j’ai fait une trop longue sieste c’est pour ça que je dors pas cette nuit, je sais pas pourquoi j’ai ce propriétaire de bistro dans la tête, il faisait tout pour me décourager et me vendait de la bière. Ça été long avant de prendre conscience de mon affect déglingué, je vous l’ai déjà écrit… Parfois je crois qu’il n’y a que moi qui pleure, ça fait longtemps je me suis consolé… Ce matin j’ai une réunion, on va préparer une présentation qu’on va faire cet automne au congrès de l’association québécoise de réhabilitation psychosociale. Une pensée pour mon lecteur de Deux-Montagnes qui est de retour au travail aujourd’hui… Semble que la vague de chaleur est terminé… Souvenir d’un dimanche en famille passé au zoo du parc LaFontaine il n’existe plus. Je crois que maintenant il est au parc Angrignon… Déjà plus que la moitié du mois de juillet de passé, j’espère qu’il y auras d’autre vagues de chaleur… Souvenir de haut-le-cœur dans le Rambler du patriarche, c’était cet odeur de plastique qui recouvrait les sièges. Voilà! C’est la chute pas différente de toutes les autres. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Quelques mots encore pour terminer, à la prochaine je l’espère!!! Ciao!!!

Bernard

dimanche 21 juillet 2019

Au présent


Bonjour! Bonsoir! J’arrive de dehors, il fait très chaud c’est lourd… Je voulais acheter une édition américaine d’un livre de Bukowsky, y’en avait pas chez Indigo. Me suis perdus dans le centre Eaton, je pense que nous sommes dans des temps fertile, prospère y’a des travaux partout. Les ouvriers travaillent même les dimanches de vacance de travail dans la construction… Je me suis pris au jeu dans le centre-ville j’ai fait comme si j’étais en voyage, essayé de reproduire cette amusante émotion… Maintenant je suis chez moi, au frais… Je suis passé tout près du terrain vague au coin de D’Iberville et Sainte-Catherine y’avait l’odeur de mauvaise herbe dans la chaleur comme dans mon enfance… Je sais pas pourquoi ce temps-là cette chaleur ça me rappelle Jean De Florette et Manon Des Sources, la Provence même si j’y suis jamais allé… Je crois que mes lecteurs d’Aylmer s’en vont là cet automne… Ça m’a fait du bien de sortir… Y’a juste le pharmacien qui à marmonné quelque chose que j’ai pas compris… Je pense qu’il y a de l’ouvrage à faire pour le stigmate même chez le pharmacien… De toute façon cet après-midi je vie pas de psychose. Je me suis acheté un nouveau portefeuille j’ai fait le ménage dans le vieux, ça fait du bien… J’irais bien à la plage mais y’a rien de plus triste qu’aller se baigner seul. J’ai un peu les bleus tout-à-coup, je sais pas trop pourquoi… J’ai jamais été campagnard, je suis très urbain, banlieusard même. J’ai passé une grande partie de ma vie là, en banlieue, on était de la nouvelle classe moyenne… J’ai jamais rien pu faire avec ça… Je pense à tous ceux qui comme moi ont pas su se faire une vie incapable d’étudier, pas même la sociologie ni l’anthropologie…Ils ont bâtis des hôpitaux, ont les à remplis avec la folie, la famille stigmatisante, je voulais juste me faire une place mais j’étais pas capable de la garder tout ce que je savais faire c’est pleurer. J’aimerais ça vous en dire plus sur la schizophrénie, on veut même que le mot disparaisse, moi j’y tiens pas il est lourd de sens et je veux pas alléger la souffrance… Y’a toute cette idée d’uniformatisation , tous sur le même pied, mais j’aime bien qu’on prenne en compte mon expérience unique de la douleur de la souffrance… Je ferai pas comme vous, je vais garder mon unicité… Tiens, tout à coup je crois que mon lecteur technicien à la Rolls-Royce s’en va à la pèche, on lui en souhaite une bonne… Dehors c’est grand soleil, les gens s’amusent… Les terrasses sont remplis, on y bois de la bière fraîche quand on a une chance de s’y trouver une table une chaise… Pour moi il est finis ce temps-là, je préfèrerais me retrouver dans la nature. Bon! C’est presque terminé, je vais essayer de vous écrire une chute différente, c’est une difficulté, j’y arrive pas. Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!!

Bernard

Au présent


Bonsoir! Bonjour! J’ai pas beaucoup dormis, l’équipe locale de football canadien a gagné hier… Quand je termine de regarder ça j’ai le senti d’un  parfait abrutis. Je vous écris de la nuit… J’arriverai jamais à rien avec ce journal informatique de mon senti… Mais oui, je suis « vieux » et j’ai peur de mourir… J’ai un ami qui s’en va au Nouveau-Brunswick ce matin… Je sais pas trop avec quoi je vais illustrer. J’ai terminé mon café me suis rasé et parfumé avec de l’après-rasage, ça fait du bien ça sent bon... Deux heures du matin j’ai une « sorte » de nausée. Y’a personne qui me rend visite dans ma tanière du Goulag… Je pense au commis aux fruits et légumes, je sais pas si on peut faire ça longtemps, y’a le marché Jean-Talon la récolte du pays directement devant vous, les produits du terroir, Fromage Hamel, ce matin les restaurateurs vont acheter les primeurs pour le menu d’aujourd’hui, la fraîcheur… Le dimanche plusieurs ont pris l’habitude d’aller bruncher parfois j’y allais avec mon lecteur chauffeur d’autobus de la couronne nord. Voilà c’est fait! La nièce est mariée on leurs souhaite que du bonheur à cette famille ils le méritent… Pour revenir au marché je vais peut-être aller acheter de la charcuterie italienne, c’est cher mais c’est bon… Les parents de l’ami qui a la sclérose en plaques lui ont amené et installé un climatiseur, je suis heureux pour lui la nuit va être moins lourde… Chez moi il fait bon c’est juste bien frais… Je pense à ceux qui ont le syndrome Gilles de La Tourette, à comment j’étais entouré y’a plus de vingt-cinq ans… Ils sont assez épeurant ceux qui ont ce syndrome… Partis comme ça je vais être en contact avec toute sorte de maladie mentale ou pas… Le climatiseur est à vingt-et-un degrés c’est bien… Quand je pense au marché du travail je suis trop vieux, je suis à la retraite, je respire par le nez et y’a toute sorte de mélodie qui me passent en tête… Ça aussi c’est affolant de pas avoir fait tout ce qu’on voulait faire avant de mourir, c’est pas faute d’avoir essayé, j’ai toujours été un « drifter ». Faut-être fou pour vous écrire comme ça à tous les jours mais j’aime ça… Douche et parfum! Je sens bon, ça fait du bien ça me rappelle toujours les voyages. Je sais pas où je vais faire le prochain, Cambodge? Vietnam? Thaïlande? Je suis jamais allé en Asie… Je pense au vaccin qu’il faut avoir longtemps avant… C’est tellement loin je devrais y rester plus que dix jours… Cette nuit y’a des odeurs de marché européen… La matriarche m’a raconté l’histoire d’un ami avec une française chieuse qui trouvait qu’on avait pas de bon fromage, l’ami lui a fait la leçon et elle s’est tue… Je termine là-dessus c’est la chute, la conclusion. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!!

Bernard




vendredi 19 juillet 2019

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Les vacances sont officiellement commencé. J’ai compris que les gens qui ont travaillé plus de trois ans au même endroit auront droit à une troisième semaine de vacance. C’est bien… Je crois que je vais vous illustrer ça avec une photo de Cape Cod où je suis allé en camping y’a quelques années, l’orage est passé et on a été inondé y’avait plus moyen de dormir sur le sol, on a tout laissé là et on est allé se louer une cabine de motel pas loin… Ici chez moi, cette nuit je réussis à garder ça frais. On m’a proposé une nouvelle activité pour cette automne. Je garde ça en réserve… Ceux qui veulent avoir une représentation de la schizophrénie joué par des actrices devraient demander à leurs organismes qu’ils invitent l’Espace Potentiel à jouer Au-delà des Marées, une vision bouleversante de la schizophrénie … Cette nuit j’ai dormis un peu, j’entends le babil sur les terrasses la nuit c’est en majorité des hommes qui sont dehors, ils se saoulent en solitude… Y’a pas une femme qui veux d’un alcoolique actif quoi que ça leurs permet de garder le contrôle sur la maisonnée, elles vont pleurer pour le bonheur qu’elles n’ont pas eu… Même si on dis que c’est pas bon, que c’est trop sucré je me suis servis un verre de jus d’orange à écouter on ne peut boire que de l’eau et pour les plus fancys du vin… Je pense aux ravages de la maladie mentale, à mon combat contre la stigmatisation, encore heureux j’ai mon passeport je peux voyager, y’en a qui sont sous le mandat du gouverneur général. Ils ne peuvent quitter le pays… Y’a ce gars qui est retourné vivre à l’hôpital de psychiatrie légale, il ne veut plus rien faire il a brisé sa vie. Y’en a plusieurs d’entre vous qui doivent se demander ce que je fais, j’ai presque toujours vécu en lien avec la psychiatrie, j’avais besoin de me faire soigner. Ça été tellement long avant que je réussisse à dire ce dont je souffrais c’était indicible… Pourtant je me rétablis, ça fait pas nécessairement de la bonne poésie… Je sais que plusieurs donnent un sens à leurs vie avec des poèmes… C’est cette écriture quotidienne et nocturne qui me tiens… C’est pas nécessairement une question de folie, les plus grands se sont fait soigner pourtant ils ne sont pas resté ils se sont éloignés. Dans mon enfance à l’école fallait faire attention aux hommes qui lisaient à la sortie, on se plaisait à les appeler les maniaques alors que c’était tout bonnement des criminels…  J’en suis presque à la chute, je pense à l’école primaire où j’avais qu’à traverser la rue, où on jouait avec les copains sur le parterre de l’école. Les mamans avaient pas besoin de nous surveiller elles nous entendaient crier dans nos jeux… Je vais conclure à ma façon habituelle en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!

Bernard


Au présent





Bonjour! Bonsoir! J’ai eu les nouvelles que j’attendais de L’Espace Potentiel… C’est encourageant… Aujourd’hui c’est très chaud… J’essais de composer du neuf. Je me rappelle qu’à la petite école on nous demandait d’écrire une composition… Vendredi, vrai début des vacances de la construction, la majorité des vacanciers les passent au Québec, faut être prudent sur les routes… Ce matin j’ai rencontré la nouvelle adjointe administrative du comité des usagers, ça s’est bien passé, elle va commencer bientôt… Aujourd’hui je dirais que c’est la prosodie du quotidien, je suis un peu gêné d’écrire sur ces thèmes. Je remercie mon lecteur technicien de la Rolls-Royce qui est intéressé par ce que j’écris à propos de mon voyage. L’hôtel c’était le Beresford un petit hôtel vieillot mais propres quand je suis partis on m’a fait la gracieuseté des boissons douces dans le frigo… J’aime beaucoup visiter des nouvelles villes, à Frisco grimpé les côtes et les redescendre de l’autre côté pour aller voir les phoques. Je pense que c’est la ville où je me suis le plus amusé, plus je vieillis plus je me dis que j’ai le droit de vivre, c’est bien… Je le répète je me rétablis. Je prends conscience que j’ai été très malade… Encore aujourd’hui j’essaye de faire, d’écrire de mon mieux. J’ai bien aimé ma dernière journée là-bas, il a fait très beau je suis allé dans l’immense quartier chinois… Me suis arrêté dans un parc où ils faisaient du Taï chi… J’ai pris un café dans un bistro pas loin qui était Italien… Y’avait un jeune homme qui écrivais il semblait inspiré, c’était un bistro typique sans télé et de beau clients… Je me suis pas perdus j’arrivais toujours à me retrouver entre la mer et le centre-ville. Maintenant je cherche une destination au moins aussi agréable. Je reviens à mon senti, cet après-midi je suis heureux même si j’ai un peu mal aux jambes, je vous raconte ça comme ça en pensant à la regretté poétesse qui écrivait qu’il fallait tout dire. Je crois qu’elle voulait nommer les émotions qui la faisaient vivre, cette célèbre poétesse je l’ai rencontré une fois en sachant bien après que c’était elle… Depuis elle nous a quitté comme son chum poète lui aussi et le propriétaire de la librairie le chercheur de trésor, qui a malheureusement pas eu le temps de vivre la légalisation du cannabis qu’il aimait beaucoup… En voyage j’ai pas eu le temps de tout voir le San Francisco Museum of modern art pourtant j’ai pris mon temps mais en regardant un documentaire télévisé j’ai réalisé que j’avais pas tout vu… Je vous ai encore raconté, j’espère que je répète pas… C’est presque la chute, je me suis laissé emporter, quelques mots encore, mon senti est pas trop mal… Vous voyez parfois j’ai de la difficulté à écrire une phrase complète, je termine où j’ai commencée. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Lâchez-pas vous y êtes presque. À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!!

Bernard