Bonjour!
Bonsoir! Je vous écris du matin… Me suis levé deux ou trois fois dans la nuit,
c’est dimanche… Les journées passent et je vieillis. Frisco c’est dans l’ouest…
Par contre je me souviens de cette très belle femme style Catherine Deneuve,
parfois je me demande si c’était pas elle, à l’entrée du Musée d’Orsay, cheveux
blond et robe rouge elle était magnifique… Évidemment c’était à l’est à Paris…
Pendant ce voyage en solitaire j’avais pas discuté avec beaucoup de monde, un
peu avec ce couple d’amant québécois qui semblaient venir de la campagne et qui
n’étais là que pour trois ou quatre jours… Aujourd’hui c’est la fête Nationale
des Français, nos cousins, on a beau dire ils ont un maudit beau pays ne
serait-ce que pour les images de l’émission télé Des Racines et des Ailes… Le
neveu et sa famille sont à Cavaillon en ce moment dans le département du
Vaucluse. Je crois que c’est pas loin du Rhône-Alpes un pays que j’ai visité y’a
bien des années. J’avais fait un cours séjour dans la ville du philosophe
Jean-Jacques Rousseau, Annecy, je crois que mes lecteurs voyageurs sont pas
très loin… Mais non c’est loin plus de trois cent kilomètres entre Cavaillon et
Annecy, ils sont surement plus au sud… Bon! Je suis pas là pour donner un cours
de géographie, je retourne à mon senti que je nomme comme ça parce que le
ressenti, le ressentiment pour moi c’est la colère et je peux pas me le
permettre. Pas très fort mon texte ce matin, j’espère que mes amis lecteurs
sont pas trop sonnés par le décalage horaire… On peut pas faire autrement qu’être
attiré par la France c’est notre langue maternelle c’est important! Je
retournerais bien là-bas. Je connais des gens qui ne jurent que par les
américains, l’anglais… Quelques millions de francophones entouré par des
centaines de millions d’anglophones, c’est difficile… Je sais pas trop quoi
faire de mon senti, mon appartement s’est rafraichis… Je pense encore et
toujours au voyage… Ça va mieux ce matin, je reviens à mon senti qui est beaucoup
plus rock que granola, qui sent plus l’huile
à moteur que la canola… C’est toujours
difficile d’écrire dans la retenue, l’expression est importante mais vous le
savez, vous comprenez cette prosodie, vous riez parce que j’y crois sans trop
savoir pourquoi. Je sais pas lequel des deux fait du sens shifter où fister, on
va pas là c’est de la pornographie et j’aime pas ça… Maintenant c’est frais
chez moi, je me répète, quand mon sentis est calme je trouve pas… C’est
ensoleillé, bientôt ce seras les vacances pour plusieurs, une semaine encore…
Lentement j’approche de la fin, de l’épilogue toujours difficile… Je pense au
praticien à la retraite je lis présentement le roman qu’à écris son fils… À
tous les matins Facebook me demande à quoi je pense, voilà!!! Comme toujours à
ma façon habituelle je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la
prochaine j’espère!!! Au revoir!!!
Bonsoir!
Bonjour! Je sais pas si je vais y arriver ce soir, dans le frigo les pommes de
terre étaient pourries. Tous ça vous en dis pas grand-chose sur mon senti, j’ai
passé la journée devant la télé après être allé prendre un café avec le très
cher ami qui à la sclérose en plaques. Quand on sort comme ça prendre un café
au parc, on se dis que l’été commence… Voilà, j’ai mangé mon beefsteak coupe
française avec des pommes de terre fraîches des carottes et du brocoli… Quand
je mange je me sens moins débile… L’équipe de football locale a gagné… J’aime ça,
j’ai beaucoup aimé les photos des enfants qui sont partis en France, si je m’écoutais
je partirais mais c’est pas le temps. Je pense aux grandes et petites angoisses,
on a chacun les siennes et ont les vie différemment. Je crois que l’idée de me
tenir au frais est pas mauvaise mais c’était quand même bien ce matin sur le
banc dans le parc. Encore une fois je racontais mon séjour à San Francisco, ici
il faisait encore froid, dans l’autobus de l’aéroport au centre-ville de
Montréal j’ai cédé ma place à un jeune couple qui me prenait pour un détenu qui
allait se rapporter… Je crois l’avoir déjà écrit. Je suis vide mais vide, mon
senti je sais pas comment le qualifier… Le soleil s’est couché, chez moi c’est
encore plus frais, c’est agréable… J’espère que le climatiseur va tenir le coup…
Je sais à mon âge on est qu’un vieux bonhomme ennuyeux, mais s’est dit, je
passe à autre chose… Le climatiseur fonctionne bien quand c’est assez frais il
s’arrête tout seul… Je pense à l’ami historien de l’art qui je l’espère n’a pas
trop chaud… En vieillissant comme ça je serais incapable d’endurer la chaleur.
J’écris ça et j’ai l’impression de commettre un sacrilège… À une époque pendant
les canicules j’étais psychotique, on m’hospitalisait dans les corridors de l’hôpital,
une vrai folie furieuse je savais pas quoi en faire… Ça fait longtemps tout ça
vous me le raconteriez je ne vous croirais pas. Je me rétablis quand je vous
écris c’est comme si vous étiez-là… Ce désir, cette mélancolie, cette neurasthénie
dirait l’écrivain, cinéaste que je ne nommerai pas… Je crois qu’il n’est jamais
passé par là… J’appellerai toujours ça schizophrénie même si on veut faire
disparaitre le mot, c’est une façon de nommer l’innommable, j’ai toujours cru
qu’on voulait avoir ma peau… C’est de la vieille histoire je passe à autre
chose, je vous parlais des corridors d’hôpital qui doivent être plein avec
cette légalisation du cannabis, en veux-tu des psychotiques en v’là… Il pleut,
j’avais oublié ce soir ce sont les feux d’artifices, le quartier est plein de
monde… Je pense à tous ces beaux enfants qui sont en voyage à l’étranger, que
de souvenirs… Voilà!!! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!!
On termine comme on peut pas comme on veut!!! À la prochaine je l’espère!!!
Ciao!!!
Bonsoir!
Bonjour! Je vous écris du début de la soirée, je suis triste et vide… J’attends
l’inspiration, la matriarche est partie au Lac Saint-Jean… Un voyage en
Thaïlande cet hiver ce serais pas mal, je vais en parler au lecteur chauffeur d’autobus
de la couronne nord… Si j’y vais-je vais me faire vacciner… Je veux revenir à
mon senti, en voyage les aventures ne se vivent pas qu’à la télévision… Je
pense à la voisine du dessous qui va à Shangaïà tous les printemps, j’ai un peu peur l’été passe rapidement… Je rêve
encore de coucher de soleil à Saint-André-de-Kamouraska. Souvent les vendredis
soir d’été les jeunes font la fête. J’essais de me souvenir, y’avait ces gens
du service de main d’œuvre affilié à l’hôpital. Je les embêtais plus qu’autre
chose avec mes idées fixe, à l’époque je pensais à la vieille caméra Bétacam
une vrai obsession, aujourd’hui je me contente de ma petite caméra numérique… Les
soirées à la campagne c’est bien pour faire des feux de camp, ça me manque
vraiment, je sais pas si les amis à Myrtle beach en font… Toujours le souvenir
de la Sebka,là bas c’est magnifique, j’aimais
les soirées au bord du feu avec une vraie fatigue après une longue marche… Y’avait
de bons côtés dans cette relation… Maintenant ce sont les soirées en ville,
hier l’orage a arraché des arbres, ça devais être assez affolant sous la tente…
Je pense au magasin de plein air La Cordée et à son aura de mystère… De ce
temps-là on parle beaucoup du sucre et des jus, des boissons douce aussi, une
recherche dis qu’elles sont nocives, ça me tue on parle jamais du vin et de l’alcool
comment ça peut-être mauvais… Si on suit le guide alimentaire canadien on ne
devras boire que de l’eau et manger des beans et de la laitue… Bon! Je reviens
à mon senti à comment j’essaye de développer cette « idée » d’artiste…
Je réfléchis sur quel espèce de métier m’aurais permis de travailler sans trop
réfléchir, soixante-deux ans il est un peu tard… La nuit est tombée, demain
samedi, je souhaite bon voyage aux amis lecteurs de Hull… Du beau temps surtout
j’espère qu’ils ne se feront pas malmenés… Beaucoup de difficulté à m’exprimer
clairement, c’est encore une histoire de vide intérieur, je voudrais bien vous
étonner avec une expression vive et vrai… Je suis toujours dans la nostalgie, j’ai
quand même de mauvais souvenirs, j’étais très fou… Non! Je reviens pas à ces
vieilles histoires c’est finis, je me suis rangé, je me rétablis, j’ai moins
mal… Voilà! J’ai presque terminé pour ce soir, si vous faites un feu de camp
invitez moi! Quelques mots encore, j’essais de vous pondre un épilogue qui a du
sens. C’est toujours de la même façon, la même chose. O.k . Je vous en ai
assez raconté… Comme toujours je termine en vous remerciant d’avoir lu
jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!!
Bonsoir!
Bonjour! Superbes photos des enfants sur la plage à Hawaii… Je crois bien que j’irais,
la plage semble immense et tranquille. Je me suis fait un café de toute façon j’arrive
pas à dormir, c’est pas de ma faute moé si l’hiver t’étais jamais là et puis si
l’été tu t’en va, demande moé pas pourquoi j’écris ça, c’est de l’exercice pour
mon créole québécois, les mots simples qu’ils ont oublié à Paris, à l’académie …
Bein oui! Bein oui! J’écris n’importe quoi c’est juste que mon senti il passe
par là… Le petit monde est dehors ce soir fauché bien avant la fin du mois,
elles vendent leurs corps pour quelques dollars, on auras beau l’écrire dans
les romans la vrai affaire c’est d’être là… La pauvreté est ma maitresse j’y
évolue sans cesse pendant qu’elles vendent leurs fesses… Je sais pas si j’ai
pris l’accent de l’est avec ses pizzas express c’est bien le dernier accent que
j’aurai eu… Dans la navette qui menait à l’aéroport de San Francisco une femme
disait que je suis un « handsome man » une autre chose qui avec l’intelligence
faut savoir s’en servir… Les enfants vont avoir de beaux souvenirs, moi ce que
je me rappelle ce sont les plages de la Guadeloupe, c’est moins loin mais c’est
aussi très beau… Je vais illustrer avec ça… Je suis quand même réveillé ce soir…
Aux alentours de Montréal y’a aussi des plages mais beaucoup ont peur de s’y
baigner d’attraper des maladies, des malaises… Ce soir c’est pas trop chaud
chez moi… Je pense au ti-punch guadeloupéen, j’ai pas pu y gouter je bois pas d’alcool,
la matriarche aurait aimé cet alcool blanc… Je veux pas que la vie se mette à débouler
pour ces enfants comment parfois sans qu’on s’y attende elle deviens vache… Y’a
longtemps de ça je m’étais égaré ça a duré longtemps avec les autochtones de l’ouest.
À un moment j’ai trouvé une piste que j’ai suivie c’était la bonne, n’empêche j’étais
près de la mort inconscient de mon environnement, je vous l’écris et je me sens
mal… J’ai pas envie de revenir avec mes sempiternelles vieilles histoires… J’ai
hâte d’avoir des nouvelles pourla pièce
de théâtre superbe Au-delà des Marées. J’espère que ça va se faire… Je me
verrais bien dans une petite cabane sur la plage, j’y écrirais entre deux
baignades loin de l’hiver. Où peut-être faire comme le grand Paul Gauguin et m’exiler
en Polynésie française quoi qu’aujourd’hui c’est difficile d’être excommunicado…
Quoi que j’ai pas envie de faire de cure géographique. Je vous écris très bien
d’ici… Bon! Je suis pas très loin de la chute j’essaye de terminer sur un bon
mot… C’est vendredi, la semaine se termine mais ça compte pas quand on est en
vacance… Où retraité! Je donnerai pas un diagnostic de médecin je suis pas en
phase terminale. Comme toujours dans mes habitudes je vous remercie d’avoir lu
jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!!
Bonjour!
Bonsoir! Je vous reviens cet après-midi le temps est à l’orage, il est aussi
pesant… Je viens de régler un problème d’affichage avec Word. Je sais pas
pourquoi je me sent coupable quand je me lève le matin, c’est une histoire de
senti encore… J’aime beaucoup le journal de la famille à Hawaii… Dans mon
voyage à San Francisco j’ai pas pu visiter le magasin Beat, il était trop tôt
le matin, en fait c’est le Beat Museum, la vitrine ressemblait à un marché aux
puces… Je partirais encore, je porte un des t-shirts que j’ai acheté pas cher
dans le quartier chinois de Frisco… Je sais pas pourquoi y’a une odeur de
cannabis pourtant je ne fume pas et je suis quand même étourdis. Les pochettes
des disques vinyles sont restées fascinantes avec le temps, de vrais œuvres d’art
graphique qui ont marqué leur époque… On en trouve encore de toute neuve ça
vaut une fortune… Ce sont je crois les icônes du vingtième siècle… L’affiche du
Beat Museum est intéressante elle montre un couple d’homme qui fraternisent, je
crois pas qu’on verrais ça à Montréal à San Francisco y’a rien pour scandaliser…
Les deux hommes c’est peut-être Kerouac et Ferlinghetti… Je brode un peu autour
de ça en pensant au temps des beatniks sur la route… Je suis content de vous
écrire aujourd’hui je suis pas dans la douleur pour une fois… J’entends la
tondeuse qui passe dans le parc, c’est quand même bien entretenus, les cols
bleu font de la bonne job… J’écoute ce qui se passe dans mon monde intérieur,
pense aux copains qui n’avaient de valeurs que l’argent… Vous considérais que
si vous n’étiez enseignant, avocat, fonctionnaires avec de gros salaires, ça
changeait le monde en buvant du vin le vendredi soir et rentrais au travail
coupable le lundi matin… Je suis heureux de ne plus être dans ce monde-là et je
ne veux pas blesser les amis de l’Outaouais qui mènent et ont mené une belle
vie… Je suis pas placé pour critiquer j’ai mis du temps à comprendre… Bon! Je m’éloigne
de ce sujetça me mène toujours au même
endroit… J’ai trouvé le calme dans ma défaite… Tout à coup j’ai un doux parfum
d’orange mon eau de toilette est excellente… J’ai un peu envie de vous parler
santé mentale et citoyenneté, comment le rétablissement passe par l’implication
sociale et le fait de remplir ses devoirs. Je crois que le regretté patriarche
serais d’accord avec ça lui qui étais bien impliqué au Centre Local de Services
Communautaire. Faut bien comprendre que les implications ont dois les faires dans la sobriété sinon ça
donne rien… Je veux pas encore une fois vous écrire là-dessus. Quelques mots
encore pour terminer, une finale pas trop longtemps ruminée. Voilà! C’est l’épilogue
la conclusion, j’en finis plus de finir. Comme toujours je vous remercie d’avoir
lu jusque-là!!! Lâchez pas on y est presque, je sais plus quoi dire, à la
prochaine je l’espère!!! Au revoir!!!
Bonsoir!
Bonjour! C’est la nuit, j’ai dormis quelques heures. Ma lectrice
photographede premiers jours est rendu
à Hawaii avec sa famille… Moi qui rêve souvent de voyage ce serais un endroit
où j’irais… J’essais de rester éveillé en attendant que le climatiseur démarre…
J’ai hâte d’avoir des nouvelles pour tous les projets théâtre… C’est humide
chez moi… Je m’étais inventé des amours, un peu comme un adolescent solitaire,
amoureux sans leurs parler c’est facile mais elle ne semblait pas vouloir aller
manger où prendre un café… Je décroche de là-dessus je continus à vous écrire…
Je prends tous mon temps… J’ai les jambes comme du chiffon de la difficulté à
tenir debout, je suis surement malade je vieillis et je bave déjà, je me vois
pas dans un centre hospitalier et de soins de longue durée. Tous ces symptômes c’est
surement à cause des médicaments, je veux pas les arrêter la psychose me guette…
Hier avec mon lecteur chauffeur d’autobus de la couronne nord on discutais d’un
ami guitariste qui s’est péter un doigt, on croit que c’est parce qu’il s’est
battus pas vraiment une bonne idée pour un guitariste, il est dans la dèche… La
climatisation est arrêté, on souhaite à l’ami historien de l’art qu’il ais
récupéré son climatiseur ces temps-ci c’est essentiel… Il est une heure trente
c’est la nuit de mercredi à jeudi, je pense à l’édition à peut-être le faire à
compte d’auteur plusieurs le font et c’est pas plus mal… Mais je préfère quand
même me concentrer sur l’écriture. Hier j’étais dans le bonheur j’ai rédigé le
compte rendu de la dernière réunion j’aime ça… Je reviens à mon senti, je
chasse les démons, je sais où ils sont, j’irai pas les chercher…Je sais pas pourquoi je pense aux rats, à la
série télévisée Rat Patrol que dans mon enfance j’aimais bien, y’avait aussi la
bande dessinée du même nom… Le monde est en feu, la guerre fait pas de la bonne
bande dessinée, maintenant les enjeux sont trop complexes et les soldats sont
tout près de nous… La famille en voyage me fait quand même tripper, la regretté
sœur serait heureuse de voir ça si elle était encore ici… Moi je lui souhaite
que du bonheur à cette famille. Je pense à mon prochain départ je sais pas
quand ni où mais je vais partir… Avant d’être trop vieux, de plus être capable…
Je vais vous illustrer ça avec un ancien couvent, Émilie Gamelin, qui à été
convertis en appartement pour les plus de soixante ans je crois… Quelques mots
encore avec toujours la peur d’être anachronique, dépassé… Je suis presque à la
chute, j’habite toujours au même endroit pour cette année. Conclure un texte c’est
toujours difficile, je suis toujours heureux de vos commentaires… Le silence
parfois augmente le sentiment de solitude faut pas s’en faire et dormir. Comme
toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Nous voilà à l 'épilogue,
à la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!
Bonjour!
Bonsoir! Vraiment aujourd’hui j’ai pas d’inspiration mais comme il faut pas
attendre et travailler voilà! J’attends des nouvelles pour les amies de l’Espace
Potentiel. J’aimerais bien qu’elles jouent encore Au-delà des Marées selon mon
collègue agent de programmation ça avance, il va me tenir au courant… L’amie
photographe de Premier jours est dans l’avion avec sa famille, ils s’en vont à
Hawaii… J’ai une petite migraine, ai discuté avec mon lecteur chauffeur d’autobus
de la couronne nord pour lui c’est la meilleure température pour conduire. On a
un peu parlé voyage… Déjà essayé de s’arranger pour couper l’hiver. Comme un
enfant je mange des biscuits Oréo… Cet été on va pas au parc prendre un café
avec l’ami sclérosé, il est déménagé et paralysé, c’est triste… J’ai terminé la
boîte de biscuits, souvenirs d’après-midi à la plage… D’un voyage à Cape Cod
avec l’amie de cette époque, Provincetown surpeuplée les soirs d’été, la plage,
le sable la marche et la mer c’était bien y’a la toune nostalgique Mes vacances
d’été https://www.youtube.com/watch?v=NtmuQ-nW5poJ’aimerais ça partir, c’est après qu’on
vois le plaisir, je l’avais jamais vue la mer… Je vous envie aussi les
vacanciers de Myrtle Beach… Cet après-midi j’évite le soleil, c’est pas bon
pour ma santé, pourtant… Y’a ces moments d’été avec pour seule compagne la
solitude, elle est pas faite pour pleurer c’est pas l’habitude… J’avais oublié
le nom du fameux écrivain Henry David Thoreau qui parcourais Cape Cod à pied et
racontais ses rencontres dans les petits cabanons sur les plages… Je l’ai lu
Thoreau son écriture est aussi tranquille que les dunes et la mer avec un orage
de temps à autre mais vite tout se calme… J’ai jamais été fou de la nature mais
j’aimais bien les feux de camp sur la plage, jouer avec le bois… Dans mon
ancienne vie on pensait pas tellement nature mais aujourd’hui ça me manque, la
mer, la montagne, un chalet au bord d’un lac… Je suis piéton, j’ai pas de
permis de conduire, pas envie de marcher sur l’asphalte bouillante de la ville…
Seul sur une terrasse c’est pas intéressant. Je pense au calme dans la nature,
comment se tenir loin des virées… Voilà je suis toujours terrorisé par les
noyades, dans une embarcation je porte toujours une veste… Sur la route y’a
aussi les chevreuils qui vous barrent le chemin. Je vous parlerai pas de la
pêche j’irais bien mais j’ai pas de canne et de gréments. Je voyage beaucoup c’est
parce-que Montréal je la connais et j’aime plus prendre l’autobus pour en
sortir… J’irai peut-être faire un tour au parc Lafontaine où au Mont-Royal sur
celui-ci y’a plus de voiture je crois… Il ne me reste que peu de mots pour
terminer. Je dis bon voyage aux amis lecteurs qui sont partis et aux autres qui
partiront. Effectivement c’est l’épilogue, la conclusion, je termine avec
quelque chose qui a du sens. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu
jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Ciao!!!