jeudi 11 juillet 2019

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Je vous reviens cet après-midi le temps est à l’orage, il est aussi pesant… Je viens de régler un problème d’affichage avec Word. Je sais pas pourquoi je me sent coupable quand je me lève le matin, c’est une histoire de senti encore… J’aime beaucoup le journal de la famille à Hawaii… Dans mon voyage à San Francisco j’ai pas pu visiter le magasin Beat, il était trop tôt le matin, en fait c’est le Beat Museum, la vitrine ressemblait à un marché aux puces… Je partirais encore, je porte un des t-shirts que j’ai acheté pas cher dans le quartier chinois de Frisco… Je sais pas pourquoi y’a une odeur de cannabis pourtant je ne fume pas et je suis quand même étourdis. Les pochettes des disques vinyles sont restées fascinantes avec le temps, de vrais œuvres d’art graphique qui ont marqué leur époque… On en trouve encore de toute neuve ça vaut une fortune… Ce sont je crois les icônes du vingtième siècle… L’affiche du Beat Museum est intéressante elle montre un couple d’homme qui fraternisent, je crois pas qu’on verrais ça à Montréal à San Francisco y’a rien pour scandaliser… Les deux hommes c’est peut-être Kerouac et Ferlinghetti… Je brode un peu autour de ça en pensant au temps des beatniks sur la route… Je suis content de vous écrire aujourd’hui je suis pas dans la douleur pour une fois… J’entends la tondeuse qui passe dans le parc, c’est quand même bien entretenus, les cols bleu font de la bonne job… J’écoute ce qui se passe dans mon monde intérieur, pense aux copains qui n’avaient de valeurs que l’argent… Vous considérais que si vous n’étiez enseignant, avocat, fonctionnaires avec de gros salaires, ça changeait le monde en buvant du vin le vendredi soir et rentrais au travail coupable le lundi matin… Je suis heureux de ne plus être dans ce monde-là et je ne veux pas blesser les amis de l’Outaouais qui mènent et ont mené une belle vie… Je suis pas placé pour critiquer j’ai mis du temps à comprendre… Bon! Je m’éloigne de ce sujet  ça me mène toujours au même endroit… J’ai trouvé le calme dans ma défaite… Tout à coup j’ai un doux parfum d’orange mon eau de toilette est excellente… J’ai un peu envie de vous parler santé mentale et citoyenneté, comment le rétablissement passe par l’implication sociale et le fait de remplir ses devoirs. Je crois que le regretté patriarche serais d’accord avec ça lui qui étais bien impliqué au Centre Local de Services Communautaire. Faut bien comprendre que les implications  ont dois les faires dans la sobriété sinon ça donne rien… Je veux pas encore une fois vous écrire là-dessus. Quelques mots encore pour terminer, une finale pas trop longtemps ruminée. Voilà! C’est l’épilogue la conclusion, j’en finis plus de finir. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Lâchez pas on y est presque, je sais plus quoi dire, à la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!!

Bernard

mercredi 10 juillet 2019

Au présent


Bonsoir! Bonjour! C’est la nuit, j’ai dormis quelques heures. Ma lectrice photographe  de premiers jours est rendu à Hawaii avec sa famille… Moi qui rêve souvent de voyage ce serais un endroit où j’irais… J’essais de rester éveillé en attendant que le climatiseur démarre… J’ai hâte d’avoir des nouvelles pour tous les projets théâtre… C’est humide chez moi… Je m’étais inventé des amours, un peu comme un adolescent solitaire, amoureux sans leurs parler c’est facile mais elle ne semblait pas vouloir aller manger où prendre un café… Je décroche de là-dessus je continus à vous écrire… Je prends tous mon temps… J’ai les jambes comme du chiffon de la difficulté à tenir debout, je suis surement malade je vieillis et je bave déjà, je me vois pas dans un centre hospitalier et de soins de longue durée. Tous ces symptômes c’est surement à cause des médicaments, je veux pas les arrêter la psychose me guette… Hier avec mon lecteur chauffeur d’autobus de la couronne nord on discutais d’un ami guitariste qui s’est péter un doigt, on croit que c’est parce qu’il s’est battus pas vraiment une bonne idée pour un guitariste, il est dans la dèche… La climatisation est arrêté, on souhaite à l’ami historien de l’art qu’il ais récupéré son climatiseur ces temps-ci c’est essentiel… Il est une heure trente c’est la nuit de mercredi à jeudi, je pense à l’édition à peut-être le faire à compte d’auteur plusieurs le font et c’est pas plus mal… Mais je préfère quand même me concentrer sur l’écriture. Hier j’étais dans le bonheur j’ai rédigé le compte rendu de la dernière réunion j’aime ça… Je reviens à mon senti, je chasse les démons, je sais où ils sont, j’irai pas les chercher…  Je sais pas pourquoi je pense aux rats, à la série télévisée Rat Patrol que dans mon enfance j’aimais bien, y’avait aussi la bande dessinée du même nom… Le monde est en feu, la guerre fait pas de la bonne bande dessinée, maintenant les enjeux sont trop complexes et les soldats sont tout près de nous… La famille en voyage me fait quand même tripper, la regretté sœur serait heureuse de voir ça si elle était encore ici… Moi je lui souhaite que du bonheur à cette famille. Je pense à mon prochain départ je sais pas quand ni où mais je vais partir… Avant d’être trop vieux, de plus être capable… Je vais vous illustrer ça avec un ancien couvent, Émilie Gamelin, qui à été convertis en appartement pour les plus de soixante ans je crois… Quelques mots encore avec toujours la peur d’être anachronique, dépassé… Je suis presque à la chute, j’habite toujours au même endroit pour cette année. Conclure un texte c’est toujours difficile, je suis toujours heureux de vos commentaires… Le silence parfois augmente le sentiment de solitude faut pas s’en faire et dormir. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Nous voilà à l 'épilogue, à la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!

Bernard

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Vraiment aujourd’hui j’ai pas d’inspiration mais comme il faut pas attendre et travailler voilà! J’attends des nouvelles pour les amies de l’Espace Potentiel. J’aimerais bien qu’elles jouent encore Au-delà des Marées selon mon collègue agent de programmation ça avance, il va me tenir au courant… L’amie photographe de Premier jours est dans l’avion avec sa famille, ils s’en vont à Hawaii… J’ai une petite migraine, ai discuté avec mon lecteur chauffeur d’autobus de la couronne nord pour lui c’est la meilleure température pour conduire. On a un peu parlé voyage… Déjà essayé de s’arranger pour couper l’hiver. Comme un enfant je mange des biscuits Oréo… Cet été on va pas au parc prendre un café avec l’ami sclérosé, il est déménagé et paralysé, c’est triste… J’ai terminé la boîte de biscuits, souvenirs d’après-midi à la plage… D’un voyage à Cape Cod avec l’amie de cette époque, Provincetown surpeuplée les soirs d’été, la plage, le sable la marche et la mer c’était bien y’a la toune nostalgique Mes vacances d’été https://www.youtube.com/watch?v=NtmuQ-nW5po  J’aimerais ça partir, c’est après qu’on vois le plaisir, je l’avais jamais vue la mer… Je vous envie aussi les vacanciers de Myrtle Beach… Cet après-midi j’évite le soleil, c’est pas bon pour ma santé, pourtant… Y’a ces moments d’été avec pour seule compagne la solitude, elle est pas faite pour pleurer c’est pas l’habitude… J’avais oublié le nom du fameux écrivain Henry David Thoreau qui parcourais Cape Cod à pied et racontais ses rencontres dans les petits cabanons sur les plages… Je l’ai lu Thoreau son écriture est aussi tranquille que les dunes et la mer avec un orage de temps à autre mais vite tout se calme… J’ai jamais été fou de la nature mais j’aimais bien les feux de camp sur la plage, jouer avec le bois… Dans mon ancienne vie on pensait pas tellement nature mais aujourd’hui ça me manque, la mer, la montagne, un chalet au bord d’un lac… Je suis piéton, j’ai pas de permis de conduire, pas envie de marcher sur l’asphalte bouillante de la ville… Seul sur une terrasse c’est pas intéressant. Je pense au calme dans la nature, comment se tenir loin des virées… Voilà je suis toujours terrorisé par les noyades, dans une embarcation je porte toujours une veste… Sur la route y’a aussi les chevreuils qui vous barrent le chemin. Je vous parlerai pas de la pêche j’irais bien mais j’ai pas de canne et de gréments. Je voyage beaucoup c’est parce-que Montréal je la connais et j’aime plus prendre l’autobus pour en sortir… J’irai peut-être faire un tour au parc Lafontaine où au Mont-Royal sur celui-ci y’a plus de voiture je crois… Il ne me reste que peu de mots pour terminer. Je dis bon voyage aux amis lecteurs qui sont partis et aux autres qui partiront. Effectivement c’est l’épilogue, la conclusion, je termine avec quelque chose qui a du sens. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Ciao!!!

Bernard


mardi 9 juillet 2019

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Je gosse avec Word, ça me distrais de cette salope d’angoisse… Parfois j’ai mal ça vous intéresse probablement pas de me lire sur cet éternel thème. Je suis seul chez moi, j’ai besoin d’être rassuré, c’est pas très masculin… Je vais essayer de vous écrire et de décrire cet état, c’est surtout quand y’a quelqu’un de nouveau dans ma vie et que je me demande si je peux lui faire confiance… Paranoïaque c’est pas évident… Ce soir je me rabat sur une mauvaise prosodie. Je vous donne mon « goddam best » comme écrirais Victor Lévi Beaulieu et le jouerais le regretté Robert Gravel. Quand j’ai joué le Monde de Clémence après la pièce en coulisse une dame m’a dit que pour elle j’évoquais justement le grand Robert Gravel, c’est une flatterie c’est bien évident que je lui arrive pas à la cheville… Quand-même j’aime bien ces jeux de lecture, la scène et les applaudissements à la toute fin… Le Théâtre du Nouveau Monde est toujours plein quand on donne la représentation… Maintenant on cherche un nom pour la troupe, je sais pas si je vais être là l’an prochain… Artiste? Peut-être mais j’essais de m’exprimer avec les moyens que j’ai… Le temps que j’écris je compte pas les heures… Cette semaine j’étais somnambule et je croyais avoir échappé l’appareil photo derrière les livres dans la bibliothèque, j’ai dégagé la tablette du bas il n’était pas là, tout à coup je me suis réveillé pour réaliser qu’il était dans la poche de mon bermuda… Ça aussi c’est une chose qui me fait peur… Je commence à bailler, je veux pas laisser la maladie runner, j’essaye de faire un homme de moé, soixante-deux ans et en être que là ça sert à rien de se demander pourquoi, semble que le thème à la mode en santé mentale à la rentrée ce seras les « two hats » les deux chapeaux, moi je parlais de schizophrénie et de co- morbidité, ça fait une belle patère pour tenir pour accrocher tous ces chapeaux, je pense que la « schizophrénie pure » ça existe pas… Je pense aux problèmes de communication différents pour chacun.  Lentement le soleil s’est couché, il est vingt-et-une heure, l’asphalte va se rafraichir … Ce matin j’ai rédigé le compte-rendu de la dernière réunion, j’aime faire ça autant que ce que je vous écris là… Je dis pas grand-chose de mon senti douloureux, j’essais de vous le traduire mais parfois c’est innommable… J’approche de la finale pour ce soir, je vous ai écrit maintenant c’est plus confortable, vous savez où sont mes pensées c’est tout comme si je vous accueillais chez moi, je me sens moins seul… Quelques mots encore, ce seras pas une apothéose, juste une humble finale à ma façon habituelle… Je sais pas si vous aimez ça mais comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Lâchez pas c’est presque finis malheureusement j’ai pas de mots d’esprit, je vous laisse. À la prochaine je l’espère!!!

Bernard

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Matin, je suis debout mais j’ai encore sommeil… Chez moi c’est le désordre… Je sais plus comment dire, lentement le soleil se lève, les oiseaux chantent. Je me rappelle que je détestais ces matinées de lendemain de veille, ces nuits passées dehors où le jour venus il fallait entré travailler… Je me cachais dans les toilettes incapable… Ils étaient bien bon de m’embaucher, j’étais tous les jours fatigué…. Je cherchais un travail qui me convenait… J’ai jamais trouvé… Ce que je vous écris là ça ressemble à des confessions, j’ai eu mes moments plus productifs mais j’ai passé pas mal de temps sur la bol… Souvenir de mon temps de balayeur d’entreprise, je pensais grimpé dans la hiérarchie devenir machiniste et après qui sait mais on m’a jamais rien appris, je trainais mon balai et mes savates… Je crois que le gérant de la shop aimais pas me voir brossé les allées comme un malade… J’ai quand même jamais compris les millimètres, et j’étais incapable de monter un die… J’ai toujours eu des jobs de sans desseins… J’en pleurais au prise avec ma schizophrénie, on parlait de mon équipe traitante comme de mes gars à Saint-Jérôme personne s’informais de ce que j’avais comme maladie, j’hallucinais… Ouais! J’ai dormi je vous aurai rédigé ça en deux segments, ça me désole de pas avoir été capable de vous rédiger ça d’un jet… Vous êtes bien beau à la plage je sais pas si vous me lisez… Mardi matin! À peine réveillé mon senti parle pas, me suis rasé et douché, parfumé aussi… À la radio ils parlent de vin faut avoir le palais, le vocabulaire aussi… Je me prépare un café, je me trouve pas correct de vous écrire sur un horaire décalé… Quand même, c’est un très beau matin… Je porte mon T-shirt de San Francisco. Je manque d’inspiration, je cherche ce que mon senti veux dire… Le matin comme ça j’ai pas mal, je pense à cette nouvelle édition du Bal des Lumières bientôt, j’ai pas les moyens d’aller là… Je vais préparer ce qu’on a à dire au colloque de l’Association québécoise de réadaptation psychosociale, ça promet… Je vais parler de stigmatisation et de dédommagement… J’ai hâte d’avoir des nouvelles d’Au-delà des Marées, j’espère qu’ils vont la monter encore une fois… Ce matin c’est que du bonheur, j’aime ça… Je pense au bien nommé Espace Potentiel où on fait du théâtre thérapeutique et social, il y a là de bonnes comédiennes… J’ai finis mon café, aujourd’hui la journée est toute à moi… Quelques mots encore pour un épilogue potable, une chute qui s’écrit sans trop de mal… Je suis pas allé trop trop dans mes thèmes de prédilections, c’est mieux comme ça… Le parfum me fait toujours pensés au voyage… Je vais vous illustrer ça d’une photo du câble car de San Francisco. Comme toujours je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! J’y arrive à cette finale matinale, à la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!!

Bernard

lundi 8 juillet 2019

Au présent


Bonsoir! Bonjour! J’ai changé mon horaire d’écriture, c’est difficile… Il est toujours question de la même chose. Aujourd’hui c’était une journée magnifique, ce matin j’ai eu une réunion de mon groupe, ça me donne beaucoup de travail… Je suis allé manger mexicain avec l’ami, des empenadas… On en a perdus un grand de la musique sud-américaine Joao Gilberto et sa fille d’Ipanema… Je suis triste tout à coup et ils s’en vont… Ça m’indique que moi aussi un jour où une nuit, je devrai partir. C’était une belle journée pour s’asseoir sur un banc et discuter de mon voyage à San Francisco avec l’ami, on a un peu parlé marche mais la chaleur, le soleil rendrais difficile les sentiers… Je vous écris ce soir avec un senti remplis de nostalgie, heureusement je suis plus accroché au bar du coin et je vais essayer de prendre une autre direction pour ce qui viens… Comment vous dire mon monde intérieur? Cette semaine c’est tranquille, les vacances pour plusieurs, on pense à l’amie photographe de Premiers jours à Terrebonne qui part pour une noce à Hawaï, on souhaite bon voyage à toute cette jolie famille, ils se marient à la même date que la matriarche avait épousé le patriarche. Plus j’avance en âge plus j’ai besoin de mes pairs… Je sais pas pourquoi je suis triste…Aujourd’hui rue Ontario c’était les belles filles de l’est de Francoeur, Hochelaga c’est vivant de toute sorte de monde du violoniste de coin de rue au pimp en Mercedes… S’t’une fille de l’est une barbie en vie dirais Lucien… Pis y’ont toutes des tatoos, une marque de où elles viennent, faut pas essayer de comprendre… Pas résumer ça à la bêtise du manque d’estime de soi, c’est pour aimer plus grandement son corps, pour que celui à qui tu le donne te reconnaisse dans la foule… Va tu t’écrire mon soleil sur ta peau ardente, tes histoires de nuits levantes et ta vie indécente a te montré seyante… Tu veux de l’amour de hash, du stock de fou éberlué qui voulait te caresser là sur le trottoir debout su’l ciment, une fille aimant, une fille amant… Ça ride dans l’est à n’en plus finir c’est l’ambulance pis les souvenirs de ceux qui partent et d’autre qui restent… Pis à dis qu’avant c’était pas pareil… Les filles du haut de la côte les autres du bas va tu laisser ton bécyk là? Ma vie c’était un cartoon, un coyote pis la roche, dans le no mans land de l’est, encore… Je va te retrouver tu sais bébé, même si c’est à la fin… Demande moé pas pourquoi je me suis arrêté de te dire des mots salés, mon nom c’est Saulnier pis j’ai pas besoin de pitié… Parle moé pas du désir je veux juste… Le rubber crie avant de partir, les rockers pleurent avant de mourir. J’en finis plus de finir, un autre l’a dit vaux mieux périr. C’était ce qu’il y avait s’te’nuitte!!! Je finis ça vite!!!

Bernard


dimanche 7 juillet 2019

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Il est vingt-trois heure six et je ne dors plus. J’ai https://www.youtube.com/watch?v=EVm6ZEQt71c  cette toune dans la tête, twilight zone… hier j’y suis allé d’une description  émotive de la psychose, faut comprendre que dans la maladie parfois c’est pas la réaction, l’émotion approprié… J’ai souvenir de mon senti de l’époque, j’exprimais mon malaise pour ce que l’autre disait pourtant ça m’appartenais pas, c’était un transfert dans le senti de l’autre… Semble que Saint-Jacques-de- Compostelle ce soit pas vraiment la meilleure idée, y’a surement moyen de marcher dans des sentiers du Mont-Tremblant pour plus qu’une journée… Hier j’étais épuisé à bout de faim ça m’aurais pris quelqu’un pour cuisiner… Parfois j’aimerais juste m’asseoir et manger… Ça fait des années que je cuisine mes repas pas très très élaborés… Je cherche, je cherche ce que je pourrais manger, une salade au thon, je me souviens plus ça fait combien de fois que j’en prépare et en mange… Je reviens avec mon senti exprimé dans et avec l’autre y’a surement un rapport avec le ça lacanien que je ne saurais expliquer autrement qu’avec un silence…            Hier j’ai regardé les châteaux à l’émission des Racines et des Ailes que j’avais enregistré, la France toujours sous le bon angle de vue… J’avais envie de renouveler mon permis de conduire et d’aller visiter la France profonde en voiture… Je crois que c’est possible, je vais voir. Lundi réunion du groupe d’entraide on a du boulot… Je pensais au pays où on parle français, y’a pas mieux que la capitale, rien à faire je suis francophone ma langue maternelle c’est le français même si parfois j’ai des expressions de navigateur, mes ancêtres ils sont venus par la mer… Paradoxalement je vous illustre ça avec une photo de montagne dont je ne connais pas le nom… Ce soir j’ai dormis, je suis bien réveillé dans la nuit. Je me suis égaré je devais vous écrire sur mon senti et me voilà dans la montagne… Y’a des sommets dans mon senti des pics de rétablissements, cette nuit il fait plus frais… J’ai envie de vous parler de mon âme qui à son ticket pour l’enfer, je serai pas seul, j’ai quand même un peu peur du toujours jamais… J’espère que l’enfer c’est pas la marque au fer rouge. Si je me fie à la bible ça semble terrible je crois que c’est pour ça qu’on a peur de mourir. J’aimerais ça partir dans la sérénité sachant que j’ai fait de mon mieux. Je vais essayer de bien vivre ce qui me reste de temps, je suis quand même pas à l’agonie… Voilà que la première semaine de juillet est déjà passée, bientôt les vacances de la construction, heureusement le rush de la construction du nouveau pont Champlain est passé… Je m’éloigne de mon émotion première parfois je la donne comme mon senti… Voilà! C’est la chute, la conclusion pour celui-là. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!

Bernard