vendredi 21 juin 2019

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Il fait chaud chez moi j’ai démarré le climatiseur… Je sais pas quoi vous raconter. Aujourd’hui c’est officiellement le début de l’été, le solstice d’été… J’ai dormis… J’abandonnerai pas l’écriture même si j’arrive pas à faire de belles phrases… Parfois je pense à lire mon dossier psychiatrique sans trop savoir ce que ça donnerais. J’ai la chance de pas avoir été placé sous psychiatrie légale, j’ai mon passeport je peux voyager sans problème… Merci mon Dieu! J’écoute mon discours intérieur, la semaine prochaine je vais penser à tous ceux qui dans leur misère font affaire avec un shylock. La folie monétaire qui recommence à tous les mois, y’a tous ceux aussi fauché qui voulaient prendre une bière « sur le bras ». Souvenir d’avoir acheté un mauvais banc de scie, dans un encan de la Saint-Jean-Baptiste je m’en suis jamais vraiment servis c’est la matriarche qui l’utilisait… Hier à la télé j’ai regardé les avions  au Bourget ça m’a donné envie d’y aller, peut-être un jour… Souvenir qu’après des années à me saouler dans ce bar « la maison » m’a offert une bière, une seule… Heureusement je suis sortis de ce monde-là, même assis au bar je discutais avec personne, je regardais ma grosse face dans le miroir au travers des bouteilles… Je vous l’ai déjà raconté… Je pense à la mort, à qui seras le prochain, la prochaine dans mon univers ce seras peut-être moi… Y’a toujours la douleur de perdre un être cher. Dans le bas de la ville on vois jamais de long convoi funéraire, on le sait les pauvres vont pas à l’église… J’essais de communiquer avec l’amie, je veux pas la harceler… Vendredi, la semaine se termine pour plusieurs, c’est un long week-end qui s’annonce… Je pense aux médicaments, aux stigmates comment se faire soigner pour une maladie mentale parfois brise une vie, c’est l’œuf où la poule la maladie où les soins… On se reconstruit pas on se rétablis, au fond je vous raconte toujours la même histoire, la nuit m’inspire pas vraiment, je suis pas Edgar Allen Poe, l’horreur ce serais de retourner dans ce monde de substances d’où je viens… Je trouve pas, je trouve plus, y’a un parfum de baguette française pourtant le boulanger est loin… Quand on me répond pas tout de suite sur les réseaux sociaux je le prends personnel, je devrais pas, ils où elles sont occupés ailleurs dans d’autre-chose… Pour revenir à la fête nationale je célèbre pas, on le mérite pas, on est pas un pays bien que j’aimerais qu’on en sois un… Y’a aussi un parfum de cannelle je crois que c’est mon eau de toilette qui dégage toute ces odeurs…Voilà! J’y arrive je vais pouvoir longtemps m’étirer sur l’été, on entend ronronner différentes machines, je sais pas comment je vais vous illustrer ça, une photo de la forêt qui parfois me manque tant. C’est la chute comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Ciao!!!

Bernard

jeudi 20 juin 2019

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Je suis un peu abattu, j’ai un peu de peine. Je cherche comment vous exprimez… J’ai beaucoup dormis, ai changé le rythme de mes écritures… Il pleut, dans la nuit de mardi à mercredi je sais pas si j’ai rêvé mais on a cogné à ma porte, j’ai pas ouvert j’avais trop peur, c’est peut-être ma théorie du complot qui prend le dessus, la maladie… Je veux juste qu’on me laisse en paix, quand je consommais la douleur était si grande que je veux pas retourner là… Je me répète c’est pas intéressant. Je pense à tous ces projets auquel j’ai participé, parfois j’en oublie… J’aime bien travailler avec les étudiants universitaires. Je pense pas à m’inscrire je suis trop vieux… Pour l’automne j’ai le projet  Centre d’apprentissage santé et rétablissement, ça va être intéressant… Je me dis que si on cogne à ma porte la nuit j’ai pas à répondre on devrait me téléphoner avant… Lundi qui viens c’est la fête nationale, j’ai longtemps été triste pendant ces célébrations, seul dans la foule… Le « pays » on l’a pas encore… Je verrai pas ça de mon vivant je crois…Le patriarche à la fête nationale partais pour la pêche à la truite mouchetée aux Escoumins. Je pense à ces bons « québécois » saoul, rien pour être fier enveloppé dans le fleur-de-lysé. Ça me demande un effort d’écrire, rien de facile, ça va aussi être le départ des feux d’artifices que je regarde pas, je trouve ça idiot des fausses bombes comme si on en avait pas assez des vrais… J’y arrive pas je cherche, c’est toujours une question d’émotion de senti… J’en ai assez des actualités… Toujours la même chose dans la boîte à grimaces… J’essaye de vous raconter quelque chose de neuf, c’est pas facile, même mon délire est souvent le même… Ce soir au souper on fête l’anniversaire des voisins, frites et pizza… Si je m’écoutais je pleurerais, ma triste mine qui vous raconte ses défaites, ses pertes de sens… Je crois que les savants psychiatres accordent pas de vertus thérapeutiques à l’écriture, ils préfèrent m’entendre parler seul sur le trottoir… Voir ma varlope de salope, je sais pas trop comment écrire ça… Le climatiseur est arrêté, j’entends les voitures passées. Je me retiens je veux pas manger je suis écoeuré… C’est souvent le fouillis dans ma tête, la folle du logis s’agite… Bon! J’y vais, j’exprime mon senti qui rime avec fatigue. Je sais pas pourquoi je pense au docteur Ferron… Un classique… J’aimerais avoir sa plume pour moi elle est intemporelle, du grand art moi je suis qu’un petit brouillon… Je suis toujours et je sais pas pourquoi dans l’urgence, peut-être que c’est à cause de mon âge, j’ai peur encore soixante- deux ans! Je suis presque rendu à la chute, j’essaye de conclure mon babillage, je vous aurai encore sollicité. Comme toujours je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!!

Bernard


mercredi 19 juin 2019

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Il était une fois… C’est comme ça que toutes les bonnes histoires commencent, les bons contes… Aujourd’hui c’est vraiment l’été, j’entends un air de bandonéon… Je cherche une émission radio sur la santé-mentale… J’ai la schizophrénie tranquille cet après-midi faut bien que j’ose le dire si je veux combattre la stigmatisation…Mercredi, milieu de semaine, souvenir, j’aimais bien jouer dans le champ dans mon enfance, attraper des sauterelles entendre les grillons… Je pense que je passais plus de temps à réparer les crevaisons des bicyclettes CCM duomatic que me promener avec… C’était nos premières bicyclettes, je crois que c’est parce que c’était moins dangereux en banlieue qu’à Montréal-Nord. Souvenirs aussi de ce tout premier magnétophone à cassettes Philips… Le copain en avait un Sony à bobines, un bel appareil… On avait tous les mêmes bébelles il en reste plus grand-chose aujourd’hui… Une fois que je les ai eu je m’amusais pas longtemps avec… Je vous écris ça et ça me rappelle la peine que j’avais… C’est y’a longtemps et j’étais un enfant souffrant… On nous volait les bicyclettes dans l’abri pour la voiture, le patriarche regardait ce qu’il pouvait faire avec les assurances. Je passais aussi beaucoup de temps à la tabagie, où y’avait des machines à boules flipper et des tables de billard, on apprenait  pas grand-chose là sauf à faire les petits bums… J’ai « grandi » là-dedans, malheureux mais je le savais pas, ça donnait une orientation de voyou à ma vie… Faut pas que je m’étonne d’être ce que je suis aujourd’hui… Ça me fait mal ces souvenirs… Plus tard quand les parents partaient le week-end et nous laissait seul à la maison, j’accueillais toute la bande dans le sous-sol, je jouais même pas avec eux, j’étais trop ivre. Le patriarche m’a avertis et j’ai cessé mes « partys »… Les copains, les gangs, les bandes ça ne dure qu’un temps, fallait que je me débrouille, que je gagne ma vie, c’était vraiment tout croche entre deux jobs et l’assurance-chômage… Quand je pense à tout ça j’ai envie d’en finir… Je vous l’écris là!!!  Parfois les gars montaient des orchestres et jouaient sur une scène montée dans l’entrée de leurs maisons. J’aimais bien les écouter moi qui était un analphabète de la musique… Voilà je me fait vieux et c’est pas de la nostalgie romantique. J’écris un peu pour bâtir pour laisser quelque chose… Je pouvais pas me résigner, incapable de retourner à l’école, où de rester à la shop… Pas grand-chose, je valais  pas grand-chose… Je me cacherai pas derrière l’ignorance… Je me souviens, je soupais et après je sortais pour me rendre l’été au parc des Braves et l’hiver pour prendre un café au El Rancho dans le bas de la côte… J’étudiais pas quand c’était difficile j’abandonnais… Je vous raconte ça et ça me fait encore mal… J’arrête pour tout de suite. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Quelques mots encore en souhaitant vous revoir à une prochaine j’espère!!!

Bernard

mardi 18 juin 2019

Au présent


Bonjour! Bonsoir! J’ai bu un jus d’orange pour ensuite me préparer un café… J’ai ensuite pris une douche et me suis parfumé c’est comme si je partais en voyage. L’été j’aimais bien faire du camping avec la douce mais déjà ça fait longtemps… Je suis quand même très urbain. En fait ce soir c’est comme j’avais écris, je me suis couché tôt pour me lever tôt et vous écrire… Je vais me brancher sur mon senti, je suis pas mal, j’ai pas d’idée de fou. Hier j’ai regardé une émission sur Angoulême https://www.youtube.com/watch?v=SpP_bJpB9vw&list=PLXSKT-6zOKzywwC-7vmjOZZ9Xf4_TMTJy&index=7 la capitale de la bande dessinée, un jour j’aimerais bien y aller la bédé ça m’a longtemps passionné mais c’est passé… On entends de la musique venant des voitures qui passent… En France c’est le salon Le Bourget ça aussi j‘aimerais bien y aller je sais pas si c’est ouvert au public, Airbus a vendu des avions A-220, cinquante, ça va être bon pour Bombardier à Mirabel, en souhaitant qu’il trouve tout leurs employés. Je crois que c’est cet avion que j’ai pris pour le voyage à San Francisco… Il est précisément minuit, c’est très narcissique mais j’aime mon odeur d’eau de toilette… La semaine prochaine on devrait avoir un retour sur la pièce de théâtre… Je me sens bien mais l’inspiration  vient pas… Cette nuit j’ai rêvé qu’on m’avait arraché le nez, j’avais le visage en sang… Cauchemar! Je  pense au Docteur Ferron, homme de lettre si il en est un. Il écrivait pendant ses tours de garde je crois, pour lui écrire c’était comme respirer, essentiel! Je suis toujours étonné de voir comment l’institut, l’asile a inspiré tant de monde, tant du côté des soignants que des soignés, Y’aurais une histoire de la littérature à L’Institut Universitaire de Santé Mentale de Montréal, à écrire… Elle est où l’institution littéraire, collège et  université la font vivre sans parler de Radio-Canada… J’ai publié dans différentes revues underground je suis pas un écrivain reconnus pourtant mon monde est toujours celui des arts, de la littérature… Bon! J’ai mangé un bol de céréales à l’érable… Je pense à la psychose à la difficulté  de la faire disparaitre… Je crois que les éditeurs sont pas intéressés par des écrits psychotiques… Je continue quand même à écrire en écoutant mon senti… À cette heure-ci c’est l’évidence même j’ai sommeil, y’a un parfum de forêt de lac et de bord de l’eau… Quelques mots encore avant la véritable chute, je ferai pas comme à l’habitude je m’auto-stigmatiserai pas ce serait y aller au plus facile… J’essaye de terminer sur une bonne note sans être grandiloquent , vous aurez encore lu une partie de ma nuit, une partie de ma vie… J’aime toujours beaucoup vos commentaires faites-moi en part. Je suis pas allé à l’école assez longtemps… Je sais pas pourquoi j’écris ça. Voilà nous y sommes ne perdez pas espoir on arrive à la conclusion. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!! Ciao!!!

Bernard


lundi 17 juin 2019

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Mardi, il est tout à moi, y’a longtemps que j’ai eu une journée comme ça… Je suis d’accord avec mon lecteur technicien de la Rolls-Royce, Rick Astley c’était le meilleur sinon un bon des années quatre-vingt… Parfois je monte sur la scène pour faire de petites choses avec ça je peux comprendre le plaisir des performers… Ça jouais partout cette toune https://www.bing.com/videos/search?q=never+gonna+give+you+up&view=detail&mid=4E7B1C0F8E67E9F7B1364E7B1C0F8E67E9F7B136&FORM=VIRE  Never gonna give you up… Dommage que dans ma vie à cette époque il y ait eu tant d’alcool…J’ai démarré le climatiseur ces mots-là sonnent comme un mantra moderniste. J’espère que dans Le Goulag, le bas de la ville, il arriveras pas de catastrophe… Lundi prochain c’est la fête nationale, c’est là que j’ai appris que deux hommes saouls ça pouvait être dangereux… À l’époque la Saint-Jean-Baptiste c’était une saoulerie, pour pas se faire démolir leur stage les gars nous faisait le surveiller en couchant dessus… J’ai pas vraiment de bons souvenirs de cette époque, la folie, la schizophrénie avait commencé à me harceler, la magie avait disparue avec l’espoir d’un pays à faire… Je verrai pas ça de mon vivant, pourtant on était passé si près, je me fait vieux pour ça et toute ces heures à me battre contre la stigmatisation, la bataille serait pas finis même dans un Québec indépendant, la nature, la société humaine étant ce qu’elle est… J’ai envie de me cacher, de vivre en ermite mais je crois que spirituellement je suis pas assez fort… Je crois que plusieurs d’entre vous sont sans spiritualité… Je pense à Jacques Languirand  décédé sur une si forte fausse note… Il en parlait beaucoup de la spiritualité on s’ennuis de son Par quatre chemins… Je prends mon temps il semble qu’on pourras pas présenter un extrait de la pièce hommage à Clémence Desrochers au colloque de l’Association Québécoise de Réadaptation Psychosociale, ils veulent pas payer pour la représentation, ça aussi c’est mon combat contre la stigmatisation, on travaille pour présenter ça, ça mérite dédommagement, on dirais que pour eux ce n’est qu’un jeu c’est pas sérieux… Ils en sont toujours à la souffrance dans le travail mais le théâtre c’est rien de facile… On aime bien recevoir des étrangers mais pour ce qui est de notre expertise à nous, de notre savoir expérientiel on tarde à lui donner de la valeur… Parfois je reçois ça comme « Ta gueule! » Je sais que pour eux la réadaptation se fait dans un milieu « normal » mais qu’est-ce que ça veut dire? Normal c’est pas un concept un peu dépassé? Voilà j’en suis presque à la chute, je sais pas si pour vous écrire a une valeur mais c’est toujours dans l’expérimentation… Je crois qu’on veut plus pour moi que nécessaire. Je vous aurai écris toujours à partir de mon senti en ne négligeant pas l’expérientiel… C’est l’épilogue, la conclusion  si ça vous a intéressé faites le moi savoir, merci d’avoir lu jusque-là!!! Lâchez pas c’est terminé, à la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!

Bernard

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Je vous écris en reprenant une habitude, c’est l’après-midi et j’écoute la radio de Radio-Canada… J’attends l’entrevue d’un auteur dont je connais le père et de qui j’ai acheté le roman… Je continue mon combat contre la stigmatisation en demandant que mes interventions et celle de mes collègues soient rémunéré. La stigmatisation c’est aussi de mon senti qu’il s’agit, j’accepte d’être différent… Je veux pas écrire ce que d’autre écrivent mieux que moi… Aujourd’hui il fait très beau ça prend pas des grandes études pour écrire ça, c’est mon senti diminutif… Y’a des personnes que je connais qui ont pas de difficulté avec leurs côté créatif, ils se disent artistes autodidactes, un autre mot avec celui d’intégration que je déteste… Si  mon ami praticien à la retraite me lis je lui signale que j’écoute son fils prof écrivain… Souvenir d’air frais d’Espagne, il l’a dit, broche à foin, mon écriture en est une de broche à foin mais j’espère que ça tiens… J’ai fermé la radio, ça me fait trop bobo… Je réussis pas… Je pense au Prado, y’a personne qui va me faire de cadeau littéraire… Je ne me diminuerai pas plus que ça, il s’agit de réussir, je sais pas si je suis capable, je m’y suis mis peut-être un peu trop tard… Un passage schizophrénique où la radio et la télé parlent de moi, ou je suis le propos, comprenez-vous ça? C’est de la folie, je suis obligé d’inventer mon discours dans le silence. Toujours mais toujours! La même histoire de fou… Aujourd’hui je suis en « vacance » les activités font relâche pour trois semaines… Tout à coup j’ai mal, je crois que c’est cette mauvaise écriture… J’ai décidé d’appeler ça de la prosodie faute de mots plus précis… J’entends les immenses poètes dire une fois passée la mort. Il ne resteras que ça et encore tes yeux ni accrocheront pas, la malédiction n’auras de sens que si tu crois qu’elle est rimbaldienne… Et on bâtis babel qui s’effondreras bien un jour… Vous n’aimez pas entendre que tout n’a qu’un temps et on a besoin de résistance. Des mots pornographiques me passent dans la tête, je les garde pour moi parce que je juge que c’est nul… On voudrais donc effacer la fin du monde, la sienne qui passe sur les aiguilles de l’horloge… Et on se regarde lentement mourir en cherchant de l’espoir je ne sais où… J’écris ça pour vous et pour vous et pour vous, c’est de la faiblesse didactique sans trop savoir ce que ça veux dire… Y’é bein mêlé le gars, il regarde à l’horizon mais ne vois pas… Mais non! Je ne cesserai pas de vous dire dans tous les sens, la peur viscérale… Paranoïa, parfois je l’oublie elle me lâche c’est peut-être les cheveux gris. J’arrête bientôt je veux pas débâtir ça tomberas bien tout seul. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Y’a des chutes comme ça on ne les refait pas. À la prochaine!!!

Bernard

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Lundi matin, la semaine qui recommence. Ce matin réunion du groupe d’entraide. Je pense à cette génération de poètes décédé, j’arriverai pas à prendre leurs place, l’écriture web ça compte pas… J’ai dormis un peu, je vais démarrer le climatiseur, lentement la pièce se rafraichis… Je crois que les amis de Brossard en sont à leur dernière journée de voyage. J’ai beaucoup apprécié le journal et les photos facebook… Cette semaine je racontais à une amie que je voulais aller à Rome, elle m’a demandé pourquoi j’allais pas à Florence en Toscane et « du coup » pour dire comme les français y’avait une émission des Racines et des Ailes sur cette région… J’ai eu l’idée de me louer une Vespa pour voyager en Italie, je sais pas si ce serait possible… Y’a comme un voyage qui prends forme dans ma tête, j’ai déjà peur qu’on me vole le scooter… Ce serait une façon sympathique de voyager. Je viens de regarder sur le net pour la location de Vespa ça semble impossible et très cher… En plus c’est épuisant, je sais pas si c’est possible de faire Rome Florence en train et Florence Pise pour ensuite revenir à Rome, en train ça semble pas trop cher… Je vais vous illustrer ça avec une photo de Milan au Nord de l’Italie où je suis déjà allé… Je prends mon temps le départ c’est pas avant le printemps prochain… Je suis même pas certain que Rome ce sois une si bonne idée. Je vais regarder sans me presser… Toujours l’idée d’être le bôf qui voyage, vaux mieux ça qu’un Elvis Gratton… Je pense à ce terrain de baseball  à Terrebonne avec à côté ce restaurant Italien Napoli  transformé en brasserie… Le climatiseur s’est arrêté… Je vous ai pas raconté qu’hier j’ai préparé un macaroni Bolognese, ça devrais être bon… Ai mangé quelques biscuits au beurre et au chocolat blanc… Je suis loin de mon senti cette nuit, j’ai sommeil pourtant j’ai de la difficulté à dormir… Me suis allongé un peu, je pense à ces magnifiques prises de vue faites avec un drone même en voyage je verrai jamais des paysages comme ça… Je pense au vin, au chianti à ce monsieur qui après plusieurs années de sobriété à rechuté parce qu’il voulait explorer l’univers des vins faire de l’œnologie , je sais qu’il est décédé y’a longtemps mais je sais pas comment. Quelques mots encore, j’hésite je veux retourner me coucher… J’apprécie toujours vos commentaires… Je pense aux podcast dont mon lecteur de Deux-Montagnes me parlait, je suis vieillot je reste au blog et à l’écriture. Je crois que c’est quand même accessible à tout le monde… Comme d’habitude la difficulté c’est de terminer, je suis au beau milieu de la nuit, c’est lundi. J’arrive à l’épilogue à la finale, ça gueule dehors il est temps que je retourne au lit. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!

Bernard