dimanche 9 juin 2019

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Nuit de dimanche  à lundi, ce matin je vais au groupe Reprendre Pouvoir. Je sais qu’il y en a beaucoup qui discutent encore de la pertinence de ce nom pendant ce temps-là ils foutent rien… Nous on se rétablis et participe à différents comités… Je vais essayer de placer une photo du musée du Quai d’Orsay… Il fait chaud je vais prendre une douche, voilà c’est fait propre et parfumé… Je laisse le climatiseur démarré automatiquement… C’était la fin de semaine où les hôteliers et les restaurateurs font des affaires d’or sans parler des agences d’escortes. J’y vais avec mon senti… Le regretté écrivain Hubert Aquin était un grand amateur de formule un… En ce moment je pense à la peine de sa femme, Aquin s’est suicidé on en parle pas beaucoup c’est même pas une histoire de gars saoul… J’aimerais avoir un peu de son talent mais je me tuerai pas pour ça du moins pas ce soir… Vingt-trois heure trente c’est vraiment la nuit, je retourne pas au lit, ça sent le bacon… Les Bruins de Boston vont jouer le match déterminant la série est égale trois trois… À Montréal les courses de voitures sont maintenant plus populaire que le hockey je crois… Les traditions se perdent, je sais pas si on apprends à être pilote en faisant le chauffard dans la rue? Parfois je me dis que c’est pas sérieux ces écritures que je devrais laisser ça aux enfants… J’arrive pas à la sensibilité avec mon senti, quand même j’écris beaucoup, je veux arriver à quelque chose de qualité par la quantité je sais pas si c’est possible, ça défait je crois, bien des théories littéraire … Je pense au rouleau de papier de Jack Kerouac… J’ai mangé quelques biscuits, je pense au parc Laurier et à ses commerces à l’est du parc… Si j’ai une si belle plume pourquoi ne suis-je pas édité en version papier, les éditeurs me disent toujours que leurs catalogue d’auteurs est plein… Bon! Je reviens avec mon senti pense à ces « amis » qui eux aussi écrivent mais ont du succès, je change de sujet… Je devrais soigner le propos, livrer le malheur, le chagrin pourtant je sais pas si c’est mon destin, je suis une personne simple donc j’écris compliqué les personnes compliqués écrivent simple c’est notre auteur académicien qui le dis… Je me suis réveillé en sursaut juste comme j’allais m’endormir profondément, j’ai eu peur… Je sais pas si j’ai vocation d’écrire, il me semble que depuis le temps on devrais le savoir, y’a mes compatriotes analphabètes mais qui s’en tirent, ça me donne quoi d’écrire et de lire? C’est difficile j’ai pas envie de me battre avec  la machine, quelques mots encore pour terminer j’essais de vous composer une chute qui a du sens. J’y suis presque… Voilà c’est l’épilogue, je termine continuez encore un peu je vais y arriver. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Ciao!!!

Bernard








Au présent


Bonjour! Bonsoir! C’est vraiment l’été, y’a plein de belles voitures, on a beau être écologiste on peut pas faire autrement qu’avoir un petit crush pour ces automobiles… Y’a pas beaucoup de petit gars qui ont pas rêvé d’auto sport… Je sais pas si vous vous souvenez de la bande dessinée Michel Vaillant, du grand art! J’aime bien les belles machines mais pas au point d’en avoir une… Ce matin dehors chez moi on entendait vrombir les formules un… La photo qui illustre mon texte c’est une mustang que j’ai vu rue Saint-Laurent… J’espère que mon lecteur de Deux Montagnes va apprécié… Quand j’étais plus jeune j’étais pas assez sérieux pour conduire, mes premières leçons de conduite je les ai pris j’avais vingt-quatre ans j’ai pas accroché… En plus j’ai toujours été très poche en mécanique… J’y comprenais rien, dans toute ma vie j’ai eu trois voitures, une vieille Pontiac Parisienne à l’odeur de mort à l’intérieur, une puissante Oldsmobile quatre-vingt- huit surtout faite pour tirer une roulotte et une Honda civic toute rouillée mais économique. Avec la Pontiac je partais sans savoir où j’allais et je déprimais, je me souviens que sous la pluie dans les Cantons de L’Est un essuie-glace avait brisé j’ y voyais plus rien, le Oldsmobile sur un nowhere sur la côte nord était tombé en panne, trop paranoïaque pour le faire réparer je l’avais donné à deux gars avec qui j’avais discuté quand au Civic, le cap distributeur je crois c’était débranché, je l’avais laissé au garage pour le prix du remorquage… De toute façon je buvais trop pour conduire ça aurais été dangereux… J’ai fait un peu de vitesse mais en plein jour et à jeun…  Le patriarche était de la génération où la voiture était nécessaire. Je pense à Ford qui fabriquait des voitures pour ses employés…  C’est là presque tout mon senti pour le voitures, j’aimais bien les films de poursuite comme Bullit  et Point limite Zéro, les batmobiles m’ont aussi fait tripper… Je racontais à une amie que je préférais être assis dans un avion qui accélère et s’envole que dans les estrades de formule un où parait-il on peut sentir la pression des voitures qui passent… La Mach one c’était aussi une belle machine, la Shelby… J’aimais aussi assembler des modèles réduits, c’était amusant, pourtant ça m’a pas donné le désir de conduire longtemps. Je pense à la Camaro de mon lecteur technicien à la Rolls-Royce c’était une voiture montée et très rapide… L’auto c’est pas très sentimental, les moteurs rien de très senti… Mon lecteur de Deux Montagnes à une Camaro qui ferait damnés les puristes… Je me souviens d’un vieux film intitulés Formule-Un que j’ai vus très souvent… Je pense au stationnement l’hiver à Montréal, impossible et l’été tous les détours qu’il faut effectuer… Voilà! C’était mon spécial Grand-Prix, je pèse sur le gaz pour terminer. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Je sais pas comment finir. La course est faite, Je vous dis à la prochaine!!!

Bernard

samedi 8 juin 2019

Au présent


Bonsoir! Bonjour! J’ai des démangeaisons aux mains c’est fatigant. Bientôt dimanche en fait dans quelques minutes. J’ai rêvé… J’ai démarré le climatiseur… Je crois bien que la pièce va se rafraichir… Plus tard je vais regarder des Racines et des Ailes que j’ai enregistré… Je pense à Notre Dame, à comment ça doit être difficile de replacer les pierres à leurs places… J’illustre avec une photo avant l’incendie… Dimanche, c’est tranquille dehors… Je suis trop bavard je cesse pas de répéter… Je me souviens plus vous l’avoir dit mais ma lecture de vendredi était bien, le directeur a eu de bons commentaires… J’ai terminé la journée avec des médecins qui voulaient démarrer une façon de soigner la diskynésie, ils voulaient avoir accès à la banque de données signature… Je pense à l’argent nécessaire pour soigner la schizophrénie comment à part les antipsychotique y’a rien, la lourdeur que laisse l’haldol dans le corps et tous ces effets secondaires irréversibles qui handicapent et ne disparaissent pas… Pas de difficulté à trouver des milliards d’Euro pour Notre-Dame mais toutes les difficultés du monde pour avoir les milliards qui soigneraient la schizophrénie, la maladie mentale… Voilà on est encore un peu au moyen-âge où on soignait avec des saignements et la prière… Je me suis préparé un café, dimanche est arrivé… Je pense à toutes mes implications santé mentale, à comment ça contribue à mon rétablissement… J’ai vus le feu de camp  de  mon lecteur technicien à la Rolls-Royce, ça me manque beaucoup les soirées devant le feu juste à le regarder crépiter… En fait c’est le camping à la sebka de Kamouraska qui me manque, tranquille dans une tente au bord du fleuve c’est très agréable. Si vous voulez un partenaire de camping faites-moi signe, ce soir je suis passé de la cathédrale Notre-Dame à Paris aux rives du fleuve à Saint-André-de-Kamouraska… J’ai toujours de bons souvenirs de camping. Je me suis quand même perdus dans la ville… Tout à coup y’a un agréable parfum de savon… Je me souviens je regardais de magnifique coucher de soleil… J’aurai quand même un peu bourlingué… C’est vraiment l’été  c’est bien. Je poursuis la lecture des romans la bête intégrale, ensuite je vais lire le roman de Simon Leduc le fils du praticien ressource à la retraite que je connais bien… Je suis loin de mon senti cette nuit… J’ai pas mal c’est bon signe, je délire un peu, je vois mes pairs suffoquant de chaleur à L’Institut universitaire de santé mentale de Montréal, la chaleur et la psychose ça fait vraiment pas bon ménage… Je me souviens de cette tension paranoïde c’était difficile… Si je garde ça confortable chez moi y’a peu de chance que je sois hospitalisé… Voilà! Quelques phrases encore pour vous dire que j’apprécie votre lecture, je sais pas trop comment terminer. Je commence jamais par la fin. J’arrive à la chute pour vous remercier d’avoir lu jusque-là!!! Ne désespérez pas je termine en souhaitant vous voir à la prochaine je l’espère!!!

Bernard


Au présent


Bonjour! Bonsoir! Il fait un temps superbe, j’en ai profité pour marcher au moins une heure et demie jusque chez l’ami qui souffre de la sclérose en plaques. Je lui ai raconté un peu mon voyage à San Francisco, on s’est dit qu’il y a quand même pas mal de choses à voir aux États-Unis d’Amérique. Je pensais au voyage de nos snowbirds de l’Outaouais… Je me branche sur mon senti, pense encore à la journée de la recherche hier qui étais assez réussis, j’ai un peu discuté avec des psychiatres chercheurs, ça semble fascinant mais la collecte de données je crois pas que c’est très passionnant… Un livre avec mon histoire va paraitre cet automne, l’histoire de plusieurs autre aussi… C’est samedi, y’a un copain qui est partis en mer faire la traversée de l’atlantique en voilier… J’essais de m’arracher un cuticule. J’ai hâte de débuté la formation du Centre d’apprentissage santé et rétablissement, ça aussi c’est à l’automne… Je cherche du nouveau à vous raconter, je continus mon chemin dans le rétablissement… J’aime bien quand le temps parait long… Je vieillis et c’est rapide… J’aimerais bien être une figure masculine qui marque les plus jeunes… Ça fait longtemps que j’ai eu des journées libres comme celle-ci. Je regarde pas les actualités c’est pas nécessaire… Raconter, toujours! Pourtant y’a pas de personnage c’est toujours mon senti, je fréquente l’Institut Universitaire de santé mentale de Montréal, ça fait pas de moi un fou je vais y chercher de l’aide pour ma vie quotidienne… Parfois c’est quand je suis enragé où près de la psychose que je suis le plus fertile, la paranoïa aussi me fait écrire, cette peur je sais pas trop d’où elle viens .  Souvenir de ce lecteur qui se demandait si c’est bien utile ce que j’écris… Je crois que le premier qui est aidé c’est moi si y’en a d’autre par la bande tant mieux… Un autre souvenir d’un gars qui me disait de rester sport, je sais pas trop ce qu’il voulait dire… Je croyais que mon lecteur de Deux-Montagnes était fâché, mais non il était juste occupé. Je sais pas si je vais arriver à vous écrire un texte complet... Je manque d'inspiration, les chercheurs avec leurs gadgets électroniques dans la maison d’un paranoïaque ça donneras pas des données très probantes… Les amis sont tous en voyage, moi j’attends que ça repartir, ce seras pas avant le printemps prochain… Demain je crois que je vais aller à la librairie Chapters essayé de trouver un livre en anglais de Bukowsky illustré par Robert Crumb… Je sais bien que ce que je vous écris c’est pas de la grande littérature mais quand même faut le faire. Voilà! J’en suis presque à l’épilogue pour celui-là, la chute, je sais jamais comment je vais y arriver. Quelques mots encore pour ces écrits de chambreur dirait l’autre. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Ça y est presque, n’abandonnez pas. À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!!

Bernard

vendredi 7 juin 2019

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Excellente journée recherche à l’institut avec des bémols dont ce chercheur suisse qui cherchait à développer des apps pour soigner la maladie mentale, il y en avait beaucoup contre le cannabis et le tabagisme mais étrangement il a pas mentionné l’alcool souvent. Je reste toujours dans l’impression que c’est un peu ça que je fait avec mon blog, mon courriel et facebook, c’est moins sophistiqué ,mais ça se ressemble… J’ai aussi retenus ces deux chercheurs qui installent des appareils informatiques chez leurs patients, des sortes d’instruments de contrôle je leurs ai signalé qu’avec  ma schizophrénie paranoïde et co- morbidité ils auraient les résultats de leurs recherche faussé… Ils semblaient prendre en note ma remarque… Quant-à moi j’ai lu un bref texte sur le Recovery College, le directeur santé mentale et dépendance a aussi lu avec une responsable du programme… J’ai hâte de commencé ça cet automne tout le monde semble aimable… Comme vous voyez je m’approche de mon quotidien pour ne pas dire mon senti… Y’avait beaucoup de monde dans cette salle, l’animateur de la journée à pas mentionné que j’étais là comme pairs aidants, personne en rétablissement. Je crois que la recherche considère pas beaucoup les patients on leurs donne le droit de parole dans des cadres bien déterminés, on vous triture et farfouille la psyché mais une fois que vous avez signé la paperasse pas de commentaire!  C’était quand même une belle expérience…  Je pense à la psychanalyse absente du réseau, on sait que ça existe mais on en pas un mot… En septembre va sortir un livre avec mon histoire et celle de collègues de mauvaise fortune, j’ai hâte de lire… Je vous ai pas parlé de la journée comment il faisait une température superbe aujourd’hui, le climatiseur s’est arrêté, il fait quand même pas si chaud… Aujourd’hui dans LaPresse+ ce sont les pages voyage c’est toujours intéressant… Week-end de formule un, les amateurs portent des chandails à l’image de leurs écuries favorites, c’est toujours étrange de voir de vieux bonhommes s’habiller comme ça… Aujourd’hui je vous illustre ça avec une jolie maison de San Francisco… J’ai encore dans la tête les quelques rire que j’ai soutiré à la salle… Il est pas encore minuit, la rues Crescent est surement pleine de monde, j’y vais pas je veux pas me retrouver dans une bagarre de gars ivre, ça finis pas… J’ai sommeil mais je termine ça avant d’aller me coucher. Par la fenêtre je regarde les autobus passer, les voitures de police aussi… J’entends un avion qui passe… Je pense à toute ces festivités comment j’y vois une analogie avec les fêtes religieuses du passé. Je peux pas m’empêcher de pensés au veau d’or… Lentement je me dirige vers la chute, je pense aux amis qui se laissent mourir sans donner signe de vie, c’est toujours une tentative de finale. J’espère que vous allez passer un beau samedi… Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!

Bernard


jeudi 6 juin 2019

Au présent



Bonsoir! Bonjour! J’ai rêvé que je m’étais trouvé un complet trois pièces avec bretelles et je dansait, je dansait… Je sors de la douche, je me suis parfumé avec ce parfum dispendieux que j’adore… Il me rappelle les voyages que j’ai fait, ça sent drôlement bon…  Je sais pas pourquoi je me sent dimanche… Si je reviens à mon histoire de bar dans le temps la soirée de jeudi à vendredi étais très animée, je prenais un coup solide j’avais de la difficulté à travailler, je faisais ce qu’on appelle du présentéisme… Je pense aux drapeaux multicolore des quartiers gay c’est international… Ce midi j’ai une où deux minutes de temps qui m’est alloué dans le cadre de la journée de la recherche, avec mes collègues je vais parler du Recovery College où en français du Centre d’apprentissage santé et rétablissement… J’ai en tête le discours « délirant » de quelques un, y’a longtemps que je l’ai pas entendu, je pense que les assemblées sont bien balisées, les participants aussi… Je vais faire de mon mieux… Parfois y’en a qui sont hospitalisé avec un profond sentiment de persécution, ils ont peur des représailles, je sais pas comment articuler tout ça mais si t’est malade et que tu à rien à te reprocher tout devrais bien aller… Quand j’étais hospitalisé j’avais tellement peur je restais tranquille parfois je croyais qu’on m’avait oublié… Ça fait tellement longtemps que j’ai pas vue mon dossier psychiatrique on m’a dis que les personnalités limites étaient très désagréable a soigner, moi j’ai un diagnostique de schizophrénie, je dirais que ça m’a aidé à payer le loyer… C’est rare que j’écris comme ça, j’ai eu mal très mal et cet immense sentiment de solitude… Ça excuse rien des mauvais gestes que je posait, de la peur que je faisais à certaines dames j’ai mes torts et je m’en excuse… Les choses ont changé. Probablement que par ignorance la schizophrénie fait encore peur… J’étais dans la toilette de l’hôpital, j’avais péter mes lunettes pour me mutiler, j’y étais pas arrivé… J’étais étendus sur le plancher je croyais qu’on viendrais ma sauver, je serais mort là si je m’étais pas relevé. Tout ça c’est du passé… Je pense à cette mauvaise vie sexuelle que je menais, j’arrivais pas à me détendre… J’ai rayé ça de ma vie, je reste abstinent et célibataire… Je me pose une question aux sujet des cours de vie sexuelle au secondaire, ils veulent que ce soit propre  mais qui a dis que la vie sexuelle devait être propre. Moi je préfère ne pas en avoir ça me fait moins mal. Cette nuit je vous ai écris sur un sujet dont je ne parle pas souvent… J’espère que j’ai insulté personne, voilà c’est la chute quelques mots encore… Encore une fois c’est la conclusion, le climatiseur est arrêté, il fait pas une chaleur torride, comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là c’est terminé, à la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!!

Bernard


Au présent


Bonsoir! Bonjour! Je me prépare pour la présentation du Recovery College demain… Ils veulent que j’y mette de l’humour mais je sais pas trop comment. Je vais essayer d’être spontané… Le climatiseur a démarré, j’ai peur de me planter demain, c’est comme le théâtre une espèce de trac. Aujourd’hui je me suis acheté l’eau de toilette que je préfère, Burberry BRITT Rhythm, ça sent bon! Je lis de jeunes auteurs québécois, ils ont plus de talent que moi, ils sont publié moi pas, faut dire que je construis rien de très romantique mon écriture en est une de tous les jours… Mon senti, l’introspection c’est rien de trop publiable… Un jour peut-être j’écrirai une histoire. Ai lu ce que laPresse+ pense de trois derniers romans, pendant ce temps-là je lis la Bête intégrale de David Goudreault un excellent roman carcéral… Je vous écris et il est toujours question de mon senti, de cette douleur ultra-présente dont je suis incapable de me débarasser… Je souffre, je suis pas Hitler, je suis humain et j’accepte les autres, je sais pas pourquoi je me sent obligé de le préciser… Je pense à la dope à comment ça enrichis les trafiquants d’armes…J’ai changé mon horaire de rédaction, me suis fait un café, la matriarche m’a téléphoné, on a un peu discuté heureux de ce beaux temps… C’est l’été, je salut les amis qui je crois sont en bourgogne, le vin c’est l’alcool qui me manque le plus… Mais je veux pas me détruire, y’a longtemps que je ne bois plus et je laisse faire les autres… Je suis pas capable de consommer avec modération, me souviens des soupers chez le patriarche où je vidais les bouteilles… J’ai passé l’après-midi à faire la sieste, étrangement ça m’a inspiré, rien de transcendant mais juste assez pour traduire mon senti… Je veux trop dire j’arrive à rien, une prosodie vide et presque morte… Parfois j’ai envie de me triturer l’estomac au couteau, une sorte d’Hara-kiri nord américain… Quand-même quand le désir est là on n’arrête pas, le désir de vivre bien, vivre mieux… Souvenir de ces gars dans ma jeunesse qui roulaient à toute vitesse sur leurs motos, d’autre roulaient moins vite mais ils sont quand même mort… Je pense aux policiers, comment avec raison ils expliquent que le monde des motards est criminel, que la Série Son’s of Anarchy c’est de la télévision, de la fiction, les assassins vont en prison…Dans la vie « normale ». Je vais vous illustrer ça avec une photo des cellules de la prison d’Alcatraz… Je suis content, j’arrive à vous écrire ce soir je croyais pas être capable. J’ai tellement eu peur de la prison, je suis resté tranquille, quand j’avais  affaire aux policiers ils m’emmenaient à l’hôpital… Voilà! J’ai presque terminé, c’est difficile… J’espère que ça vous plait, lentement comme toujours j’y arrive. Quelques mots encore pour dire qu’après avoir écris j’ai moins mal. Enfin je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!!

Bernard