mardi 21 mai 2019

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Je suis debout, j’ai toujours le voyage en tête parfois c’est le parfum qui me rappelle des endroits. J’ai plus cette idée du voyage qui dit que ça prend une Harley pour traverser l’Amérique. Souvenir du Beresford un petit hôtel simple mais tranquille, un peu vieillot aussi… Vingt et un mai c’est l’anniversaire de la matriarche, demain ce seras répétition au théâtre pour dimanche faire une générale et lundi prochain jouer. J’ai la chienne peur de me planter, ça vient de loin une représentation au cours secondaire que j’avais fait sans papier et que j’avais raté. J’avais eu l’air d’un beau fou mon père y avait assisté… Le vieux barbu m’avait aussi déconseillé d’y participer… J’ai de meilleurs souvenirs, cette longue marche dans les quartiers et les parcs centraux de Montréal avec ma lectrice de l’Outaouais. Cette nuit je vous écris, je dors très mal avec la bouche sèche… Mardi déjà, j’ai hâte de voir si notre représentation seras un fiasco où un succès, je m’engage à faire de mon mieux… J’ai du plaisir à vous écrire même si parfois je crois que personne ne lis, les plus braves m’envoient souvent leurs commentaires j’apprécie… Je sais que la matriarche aurait aimé que je voyage quand j’étais dans la vingtaine, ça excuse rien mais j’étais malade la schizophrénie venait de m’attaquer… Criss de maladie! J’ai fait ce que j’ai pu avec ce que j’étais… On m’a jamais donné la clé pour entrer dans la maison paternelle… Et voilà que ça reviens comme si je n’avais fait que boire… La douleur d’entendre ce claquage dans l’appartement du dessus, les prestations d’assurance chômage tiraient à leurs fin, je n’aurais plus d’argent pour payer le loyer. Je suis partis pour le sofa des amis, je les remercie ici… J’ai dormis là un mois où deux… Je me calmais avec du mauvais vin et des ativans, je sais je devrais pas écrire ça mais c’est pour combattre le stigmate dire qu’on me meurt pas tous… Ça fait longtemps tout ça presque quarante ans et je radote, je radote. J’étais partis douloureusement jamais plus je ne reviendrais chez le patriarche, j’ai vécu ma misère dans différents endroits avec différentes personnes, ça s’est terminé ici y’a vingt -cinq ans et je ne prévois pas de partir… J’ai survécu à la souffrance, je crois pas que la majorité des gens passent par là c’est possible qu’il y ait des gens qui me détestent. Maintenant  j’ai de la peine de vous avoir raconter ça, c’est un peu comme un stress post-traumatique ça ne disparaitras pas, faut savoir vivre après les difficultés… Je me suis donner un défi ne plus jamais demander et remplir mes obligations… Mais oui j’en suis presque à cette partie finale la plus difficile, la chute… Je vous mentirai pas les souvenirs s’échappent pas… En voyage j’ai rencontré quelques Australiens de Brisbane… Voilà! Comme toujours je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! Quelques mots encore pour espérer vous revoir dans une prochaine!!!

Bernard


lundi 20 mai 2019

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Cet après-midi j’ai rêvé qu’on était dans la neige avec une ancienne douce et un copain. La police m’avait monté sur une espèce d’échafaudage à plus de cent mètres j’avais le vertige j’ai gardé les yeux fermés en bas y’avait une femme dans un scaphandre avec une caméra avant j’étais sortis d’un bistro où on savait que je ne buvait plus. En partant j’ai croisé la douce, le copain est arrivé on a cherché un café où on pouvait manger léger, dans la cuisine y’avait une femme qui avait de la difficulté avec son personnel… De retour chez moi une voisine avait gagné beaucoup d’argent, elle voulait savoir où ma famille habitait… Je sais pas ce que ça veut dire ce rêve… J’ai installé le climatiseur, il fonctionne encore très bien… Je vais me préparer un café… C’est un lundi férié, les patriotes, dehors il vente à écorner les bœufs… Je pense à ce bar que j’ai longtemps fréquenté, j’aurais bien aimé être ami avec le staff, c’était pas possible je crois que ça leurs ai interdit de discuter avec les clients… Aujourd’hui même l’édifice n’existe plus, y’avait aussi cette brasserie une des premières à faire de la bière artisanale elle aussi est disparue dans les flammes. Je racontais à l’intervenante que je pouvais pas oublier ce long pan de ma vie, je crois que c’est bien comme ça ça m’empêche d’y retourner… Le climatiseur viens de redémarrer il fonctionne au poil… Souvenir d’une douce qui aurais préféré que je boive et reste avec elle que d’être abstinent et de m’en séparer… Encore mon sujet de prédilection, parfois je me dis que c’est du délire… J’ai fait mon scrap-book pour la pièce au Théâtre du Nouveau Monde, je sais pas ce que la metteur en scène vas en penser.  Je sais pas trop quoi dire sur les patriotes, ils ont perdus, avec la victoire on aurais tous vécu autrement… Je pense aux lendemains qui chantent, y’en a pas eu… Ça fait dur ce que je vous écris aujourd’hui… Je sais que les serveurs et serveuses ont beaucoup de charme ils rencontrent beaucoup de monde et ont une variété de relation sexuelle, je crois que plusieurs de mon époque se sont rendu malade du VIH… Le bon temps ne dure qu’un temps, fallait payer pour la popularité. Ça aussi le virus d’immuno déficience acquise on en parle plus pourtant il est encore très présent et plusieurs succombent de ses suites… Ouais! Aujourd’hui je suis pas mal dans la maladie… Protégez-vous! J’ai remarqué qu’il y a des endroits où on ne parle pas de la mort, pourtant elle est bien là qui guette et attends de frapper… C’est toujours étonnant parce qu’on a rencontré une personne une ou deux fois on s’imagine la connaitre, on vous oublie vite… Je pense à toute ces rencontres ratés au collège, ça me fait mal! Voilà! C’est la chute je termine là-dessus en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!

Bernard

dimanche 19 mai 2019

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Il fait chaud chez moi, j’ai mis mes jeans et ouvert la porte pour faire de l’air. Beaucoup aimé les photos d’Antoine et de la matriarche. J’ai retrouvé le numéro de téléphone de l’heureuse secrétaire retraité du syndicat des enseignants du Collège d’enseignement général et professionnel de l’Outaouais. La semaine va passer vite demain une rencontre avec l’intervenante, mercredi répétition au théâtre ce qui me mène à la générale de dimanche et la représentation lundi prochain. Je mène deux ou trois projets de concert j’espère que ça va être O.K. Je fais un scrapbook y’a longtemps que j’avais pas fait ça, ça me rappelle mes jeunes années… J’ai ressortis la plume fontaine et retrouvé les cartouches d’encre. Hier j’avais encore en mémoire San Francisco j’aime beaucoup les souvenirs de voyage, dans la navette pour l’aéroport une dame disait que je suis un « handsome man » ça fait plaisir, en voyage en général je parle pas longtemps mais je rencontre des gens sympathiques, j’ai pas pu voir la banlieue de Frisco on arrive le soir quand il fait noir et on part le matin très tôt… Cette année je commanderai pas mon voyage trop tôt, il faut que je me fixe une destination… Rome? Lisbonne? Italie? Portugal? Je vais voir, je vais peut-être avoir une illumination soudaine pour une destination inattendue. Les amis de Brossard partent pour la France, Marseille! Aujourd’hui… Ça fait du bien l’air frais cette nuit… J’ai rêvé à un ancien voisin de chambre, je le verrais j’en aurais peur, ça fait plus de vingt-cinq ans, partis comme il était partis il ne doit plus être de ce monde… Je mange des biscuits OREO… Nous sommes maintenant lundi, j’ai le souvenir des B.B.Q. des T-Bones steak, à la maison de chambres… Y’avait toutes sortes d’intrigues dans cette maison.  Je suis jamais étonné de voir comment la misère s’abat sur les défavorisés. C’est assez étonnant comment on a peu de souvenirs, ça fait quand même soixante-deux ans bientôt soixante-trois et je me souviens pas de grand-chose, j’aimais bien le camping en famille, lets go Stéphane! J’ai pas mal fait le tour de mon jardin, cette nuit c’est les orages le tonnerre, j’aimais bien être à l’abri dans la tente, ce sont les dernières nuits où je crois avoir bien dormis, la lecture c’est ce que j’aimais le plus, vous le savez je le répète toujours… Lecture et écriture, après un long passage en enfer, j’aurai rebâtis ma vie sur ces deux pratiques c’est important pour moi écrire, je peux dire et éclaircir… Le sommeil viens de me rattraper, j’ai les yeux à moitié fermés. J’en suis presque à la chute, dehors des gens parlent, ce sont des anglophones, y’a pas que dans les rues de Frisco que les gens parlent la nuit. Voilà c’est l’épilogue, je termine, les gens honnêtes dorment la nuit, quelques mots encore avec les mêmes difficulté que toujours. Voilà! Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!

Bernard

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Aujourd’hui j’ai beaucoup dormis, me suis levé et suis allé acheter un scrap-book pour faire un collage que la metteur en scène nous a demandé… Je fais toujours les choses à la va vite ça donne pas de bons résultats. Cet après-midi j’irais bien prendre un café au marché avec une amie, mais je crois qu’elle est occupée. Le temps s’est découvert il ne pleut plus… La première de notre pièce approche lentement… J’essaye de faire ce qu’on appelle du cut-up dans le scrap-book, j’y arrive pas, c’est trash mon affaire… Demain, la fête des patriotes, je sais pas pourquoi on célèbre des défaites. J’ai remarqué que mon lecteur chauffeur d’autobus de la couronne nord avait la même façon de parler que le patriarche, je me suis jamais entendus avec lui… Je me prépare un café… Cet après-midi y’a un parfum de pâtisserie, y’a beaucoup de circulation automobile… Mon lecteur chauffeur d’autobus semblait croire que je pouvais partir comme ça sans aviser personne… J’ai quand même ma vie, mes activités à Montréal, je peux pas tout lâcher… Pour le scrap-book j’ai peur d’être jugé je suis pas très délicat, en tout cas ce seras ce que ça seras… Je préfère m’exprimer par l’écriture. Mon senti pour tout de suite semble évanescent je force beaucoup pour pas qu’il disparaisse c’est en quelque sorte ma muse… Combien de temps faut-il pour arriver à écrire son senti correctement. Je pense à cet ami que je m’étais fait à mes débuts sur internet je sais pas ce qu’il est devenus voilà ce qu’il avait fait de mes écrits… http://editions-hache.com/parauteur.html#saulnier  Le temps à passer, je sais pas si j’ai encore des lecteurs. L’écriture c’est quand même la seule chose dans laquelle je suis capable de mettre de l’amour. Pourquoi? Je sais pas, je réussis à pas m’auto-stigmatisé… J’essaye de pas faire semblant, de pas être faux, une goutte d’alcool vaux pas un texte, bon! Je m’en vais pas encore dans cette direction, j’ai bu mon café, j’ai pas soif, je pense à ces restaurants à la mode qui ne durent pas… À l’époque rue Saint-Denis y’avait beaucoup de cafés de bistros et de commerce, aujourd’hui la rue est un désert, l’action est sur Saint-Laurent je crois qu’il y a pas de place pour les deux… Je crois aussi que c’est une question de génération  on avait nos habitudes, au Fridolin où au Bruit coure par exemple… C’était y’a plus de trente ans, le quartier était grouillant. Je pense aussi au Passeport et sa musique, c’était une mode on essayait dans faire un mode de vie de la musique industrielle… La climatisation était quand même bien l’été mais je me roulais par terre sur la piste de danse et j’arrivais pas à avoir une conversation. Je vous ai déjà écrit tout ça… Voilà! J’en suis presque à la chute, à la difficile épilogue. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Je termine en essayant de trouver une photo. À la prochaine j’espère!!!

Bernard


samedi 18 mai 2019

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Y’a mes lecteurs de Brossard qui s’en vont, je leurs souhaite un bon voyage. Aujourd’hui c’est dimanche j’ai pas connus l’hégémonie de l’église je crois qu’à cette époque les gens se posaient pas trop de questions… Je me souviens que pour faire des études les jeunes hommes prétendaient avoir la vocation, à la révolution tranquille ils ont défroqué et son devenus directeurs d’écoles… J’ai pas eu cette option toute mes tentatives de réintégré le système scolaire ont été raté. Je crois qu’en haut lieu on avait décidé que je deviendrais un peu moins qu’un éboueur, une épave, peut-être un membre du lumpenprolétariat… Des hommes ont dirigé des hommes et moi je me suis réfugié dans la folie ont a pas pu en faire beaucoup pour moi j’étais en mode autodestruction… À part le chômage et l’aide sociale j’ai jamais eu plus du gouvernement qu’une entrevue d’embauche ratée à la voirie… Ils m’en ont fait croire de belles histoires avec leurs indépendance c’était un peu comme la religion… Aujourd’hui je trouve que parti au pouvoir comme opposition ils ont tous de sales gueules et je veux pas me laisser gouverner par eux… J’ai hâte de voir ce qu’ils vont faire avec les sinistrés des inondations. Enfin tout ça c’est de ma responsabilité j’ai pas su persévérer comme préposé à l’entretien ménager c’était pas ma vocation  j’ai toujours cherché…. Tout ce qu’on avait à dire c’est ta gueule fait ta job pis écoeure nous pas… Je sais pas si y’en a qui s’imaginait que j’allais passer des années à balayer… Je suis un traumatisé retraité de la petite semaine… Je vous dirai pas que tout ça proviens de la schizophrénie, j’aime pas beaucoup rendre la maladie responsables de mes conneries… Je reste et je resterai paranoïaque moins virulent mais ce seras toujours là… C’est le printemps pourtant il fait encore froid, un jour peut-être j’irai me louer une cabane au bord de la mer et j’écrirai peut-être à la manière du regretté Hemingway. En ce moment j’ai des brûlements d’estomac c’est loin du senti… Je remercie les gens qui prennent la peine de partager ce que j’écris… Sauve moi maudite poésie je n’arrive pas à toi c’est dis… Hey bein! Je suis à court de mots, je pense à cette usine de verre taillé de vitrine où j’ai travaillé quelques nuits comme d’habitude j’ai eu peur et j’ai laissé la job là… J’en suis presque à la chute, cette nuit je pense moins à San Francisco, je vous met le logo de la banque dans le village… J’ai plus rien à dire, rien pour vous entretenir. Dans une vingtaine de minutes on ne serviras plus d’alcool, les gens vont aller manger du gros stuff gras pour désaouler… On va continuer à rigoler de façon cynique, la nuit auras passé encore une fois on rentreras seul… Rien pour avoir de la peine, juste assez ivre pour s’endormir. Voilà! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!!

Bernard

Au présent


Bonjour! Bonsoir! C’est l’après-midi et pourtant j’ai sommeil. J’ai fait des courses et la lessive, les t-shirt de San Francisco sont restés beau… Autant à une époque je parlais en sacrant autant maintenant quand j’entends ça j’ai peur… Souvenir d’avoir passé y’a longtemps le week-end au parc du Mont-Tremblant, on avait dormis sur le dur de la boîte de pick-up, il pleuvait c’était le plein air à la dure, on avait croisé un orignal… On était trop bum pour faire du camping confortable… Quand même ça meublait ma solitude viscérale trop triste pour m’amuser… Souvent on ne pensait qu’à la bière. Je sais pas pourquoi nos sorties étaient toujours tout croche… Moi j’étais monsieur Motel, je me sentais poursuivis je me cachais paranoïaque dans un motel, cette peur cette angoisse c’était très difficile, je voulais mourir… Dehors y’a une bande de motards qui passent… Ça aussi ça me paralysait… J’étais pas très brave. Je crois que bientôt y’a d’autre chantiers de construction qui vont ouvrir… J’ai jamais rêvé à la fortune, j’étais plus une sorte de psycho-socialiste… Je parlais de syndicat et je fuyais. Maintenant j’ai finis mon temps sur le marché du travail, je comprends très bien pourquoi on voulait pas de moi, un paquet de troubles… Je vais essayer de m’en tenir à ma prose… Au présent m’y voilà pourtant je suis triste et j’attends… La schizophrénie me laisse en paix aujourd’hui, la maladie parfois vous veut mort, c’est pas le bon choix… Aujourd’hui  y’a un peu de musique chez les voisins mais ça dure pas, ça aussi à un moment dans ma vie j’étais incapable de tolérer, je pense aux effets secondaire des antipsychotique qui m’empêchaient de vivre, c’est une chose assez difficile à décrire je vous souhaite pas de passé par là… Je pense qu’il y avait pas de solutions simples à cette folie… Encore une fois y’a un gars qui gueule dehors, quand je vous aurai rédigé ça je vais lire le texte de la pièce de théâtre juste pour me souvenir un peu plus… Je cherche c’est difficile, je pense à l’amour comment ça sonne sentimental… La vie est plus toffe que ça, écrire c’est pas que de la romance… Souvenir d’un grand souper à Milan, les bonzes de la santé Mentale italienne y étaient, je m’étais fait dire que mes textes étaient rafraichissant, pourtant… Je l’ai certainement déjà écris ailleurs… Je descends dans la chute… Vous devez vous demander quel est le propos pour garder ça simple on va dire que c’est la santé mentale et ses aléas. C’est bien un endroit où je peux en parler pourtant vous réagissez pas… C’est toujours une histoire de rétablissement, d’ancien souffrant qui maintenant accepte… Y’a des samedis comme celui-là où je me retrouvais à l’urgence de l’hôpital parfois je me demande si j’ai attendus tout ce temps là pour rien… J’ai quand même vieillis et changé ma façon de vivre… Voilà! Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!

Bernard


vendredi 17 mai 2019

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Vendredi soir tout est calme, étrangement je me couche en bavant ma salive et quelques minutes plus tard j’ai la bouche sèche à m’empêcher de respirer… De pauvres considérations pour vous écrire… La boucherie Limoges à Terrebonne semble avoir d’appétissante charcuterie va falloir que j’aille faire un tour… Comme vous voyez ce soir je suis en surface quoi que je vais plonger dans pas long… L’introspection c’est difficile nommer ce qu’on sent et ressent… Je m’ennuis des pics-nics et des fins de semaine de camping avec la douce. Si j’avais les moyens je m’achèterais un camping car… C’est toujours l’agitation dans ma tête je devrais faire de la méditation pleine conscience ça me calmerais… Je comprends pas pourquoi je respire pas mieux que ça pourtant c’est la vie… Je pense encore à la gracieuseté des boissons douces à l’hôtel c’était bien… Je vais  vous illustrer ça avec une photo de San Francisco que j’aime bien… Cette semaine on parlait de l’éclairage du pont Jacques-Cartier à Montréal, comment ça deviens une signature…  Les femmes disaient d’un air détaché c’est que de l’écriture elles semblaient pas accorder d’importance aux mots, pourtant les mots moi j’en fait toute ma vie j’essais de toucher les âmes sensibles… La douleur du senti on la ressent dans cette solitude alcoolisé assis dans un bar à écluser des drinks pour faire taire la voix,  mais viens un moment qu’on y arrive pas qu’on y arrive plus… Parfois je crois que ce que j’écris c’est de la sensiblerie, ça me prendrais une ligne plus éditoriale pourtant j’écris pas politique… Ai pris une douche et je me suis parfumé, je prends soin de moi. Quand j’ai plus rien à vous raconter je me retourne vers moi et je me dénigre, me souviens d’une fille qui se sentait jugé disons que l’accueil inconditionnel c’était pas pour elle… Samedi s’en viens avec la toujours très intéressante chronique voyage dans LaPresse+… À l’automne si tout va bien je devrais suivre une formation pour devenir formateur au Recovery College, j’en ai parlé avec mon lecteur de Deux montagnes et il y a effectivement une professeure-chercheure de l’Université du Québec à Trois Rivières. Les écrivains pour se faire connaitre ça gagne des prix, avec mon écriture brinquebalante je gagnerais pas grand-chose, il est un peu tard pour gagner des prix et me diriger vers l’enseignement…  J’écris c’est toujours ça que j’ai voulus faire et advienne que pourras… Encore une semaine et on joue envoyez moi le mot de Cambronne… Voilà! C’est la nuit et je cherche une façon de terminer. J’ai encore plein de chose à faire, je vais relire la pièce… Je crois qu’encore une fois aujourd’hui j’aurai fait de mon mieux, plus que ça je suis incapable. Je pense à un petit cousin qui étais présent sur les réseaux sociaux, j’ai un peu peur qu’il ait fait l’irréparable. Si tu me lis fait moi signe. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!

Bernard